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CE QU'ON NE SAIT PAS POURRAIT EN SURPRENDRE PLUS D'UN !
Maintenant qu'on a probablement entendu suffisamment de débats sur Le Débat, il sera peut-ëtre nécessaire de souligner quelques points que tous les connards de chez LCI et BFM ont laissés de côté. Vous le savez peut-être - ou peut-être pas -, mais Hollywood joue un rôle plus important dans la campagne Kamala Mala Harris que de simplement mettre le soutien de célébrités telles que George Clooney, Taylor Swift ou John Legend dans le réservoir des médias de masse. En fait, des pointures beaucoup plus grandes, Jeffrey Katzenberg et Steven Spielberg, produisent et dirigent aujourd'hui des films dans les coulisses de la campagne de Kamala, donc ce qui fait l'actualité de Kamala se joue comme un film de Spielberg tel La Couleur Pourpre. Juste pour que vous perdiez pas le fil de la pelote. . .
La mère Harris a eu l’avantage mardi soir de pouvoir s’exprimer avec des phrases pompeuses et déclaratives, tandis que son adversaire, Donald Trump, était plus enclin, disons, à un discours télégraphique plus saccadé. Cela a donné à Malaria Harris l’apparence d’être intelligente. Le hic, c’est que tout ce qu’elle a dit était fallacieux quand c'était pas de purs mensonges.
Ce qui est plus important que vous ne le pensez, c'est qu'elle a déclaré qu'elle se trouvait dans le bâtiment du Capitole américain lorsque l'émeute du 06 Janvier s'est produite. On pourrait penser qu'elle aurait souhaité y être présente, étant donné qu'une session conjointe du Congrès était sur le point de la certifier comme la première femme de l'histoire des États-Unis à atteindre la vice-présidence – une chance d'être joyeuse et de briller !
Mais en fait, à 11h15 le 06 Janvier 2021 – quelques heures avant que les manifestants n'envahissent le Capitole – Malaria Harris fut emmenée à quelques pâtés de maisons du 430 South Capitol Street, le bâtiment du siège du Comité National Démocrate, où une bombe artisanale (ou un fac-similé d'une bombe artisanale) avait été posée quelques heures plus tôt par un membre des forces de l'ordre de Washington DC (police du Capitole ? FBI ? Police municipale de Washington DC ? Un « prestateur de service » rémunéré ?).
L'identité exacte du coupable n'a jamais été révélée par le FBI, bien que ce même FBI dispose de toutes les données du téléphone portable du poseur de bombe et des images télévisées en circuit fermé.
Le plan, voyez-vous, était de perturber le processus de certification des élections en cours à midi dans la Chambre des représentants en créant un tollé suite à la découverte de la bombe artisanale posée pour assassiner la nouvelle élue Malaria Harris – une opération conjointe État Profond/Parti Démocrate.
Il s’est avéré que la ruse de la bombe artisanale n’a jamais été nécessaire, car l’émeute provoquée par le FBI au Capitole a créé une grande perturbation juste à temps pour envoyer les politiciens se précipiter vers la sécurité et annuler l’examen des rapports des électeurs de divers États.
Après cette frayeur, les sénateurs et les membres du Congrès ont en fait abandonné le défi de la certification et sont revenus pour terminer rapidement le processus de certification plus tard dans la nuit du 06 Janvier 2021. L’histoire de la bombe artisanale a à peine fait la une des journaux, et les rares nouvelles à son sujet ont été rapidement oubliées par la suite. Après près de quatre ans, comme indiqué ci-dessus, le FBI a trouvé une solution. . . zip nada zéro. Il est important de comprendre à quel point les agences fédérales américaines sont néfastes et à quel point les informations sont corrompues.
En ce qui concerne le débat Harris-Trump, par ailleurs, et compte tenu des caractéristiques truquées de l’exercice, il est évident que Donald Trump a laissé passer plusieurs occasions majeures de marquer des points. Lorsque Malaria Harris a déterré le canular notoire selon lequel « des gens très bien des deux côtés » à Charlottesville, Donald Trump aurait pu s'adresser aux modérateurs, David Muir et Linsey Davis, et leur demander pourquoi ils n'avaient pas « vérifié les faits » de cette déclaration. qui avait été complètement démystifiée par le site de gauche Snopes.com, un site à la con se présentant comme « la source de référence Internet par excellence pour la recherche sur les légendes urbaines, le folklore, les mythes, les rumeurs et la désinformation ».
Ils n’ont pas non plus vérifié les faits, tout aussi démystifiés par le canular des « suceurs et loosers » au sujet des soldats américains qui aurait été proféré par Donald Trump au cimetière du débarquement en Normandie. En fait, Muir et Davis ont « vérifié les faits » des déclarations de Donald Trump plus de trente fois mais aucune des déclarations de Malaria Harris.
Quoi qu’il en soit, Donald Trump a gâché bien d’autres occasions d’accuser Mme Harris avec ses propres mensonges et hypocrisies – par exemple, en omettant de déclarer clairement qu’en près de quatre ans, elle ne s’est jamais rendue à la frontière mexicaine (quel que soit le titre sous lequel la Vice-Présidente était désignée : « Tsarine de la Frontière », « Détective des Causes Premières »). . . en omettant de préciser que le président a été complètement exclu du débat sur l'avortement et qu'il n'a aucun rôle à jouer pour dire aux femmes quoi faire de leur propre corps en vertu de la loi actuelle. . ., que la sélection sans vote de Mme Harris comme candidate a été un affront paradigmatique à « la démocratie » que même ses propres collègues membres du parti démoniaque devraient reconnaître. . ., que la guerre en Ukraine a en réalité été déclenchée début 2014 par Barack Obama, Victoria Nuland et la CIA, et non par Vladimir Poutine. . . et en omettant de déclarer que toutes – jusqu’à la dernière – des poursuites électorales de 2020 à travers le pays ont été rejetées pour des raisons de procédure ou d'incompétence (pas la bonne cour, pas le bon juge) et non sur le bien-fondé des arguments et des preuves, qui n’ont jamais été entendus par les tribunaux.
Ce n'est qu'une courte liste. Selon certaines rumeurs, Malaria Harris aurait reçu les questions du débat à l'avance, puisque son mari, l'avocat hollywoodien Doug Emhoff, est un ami proche de Dana Walden, coprésidente du conseil d'administration de Disney Corporation qui possède ABC News, chaîne TV organisatrice du débat.
Quoi qu’il en soit, cet événement tant attendu est désormais terminé et on est arrivé dans la dernière ligne droite de cette élection. Malaria Harris n'a toujours montré aucune volonté de rencontrer la presse, de répondre à des questions impromptues et non écrites à l'avance. Les électeurs semblent perdre patience face à ce silence radio. Ses chiffres dans les sondages sont repartis à la baisse, malgré son admirable capacité à s’exprimer avec des phrases pompeuses et déclaratives et à diriger de joyeux fous-rires.
Ce qui reste à ces pauvres américains en souffrance, au-delà de ce vortex de bavardages infâmes et de lois électorales, c’est le développement intéressant que leur gouvernement presse maintenant pour déclencher la Troisième Guerre mondiale avant que les élections puissent avoir lieu. « Joe Biden », bien sûr, est ces derniers temps aussi absent de la conscience publique que le patriotisme dans la tête à Macron, mais celui qui agit au nom du président ces jours-ci (Babama ? Clinton ? Blinken ?) vient d'autoriser l'Ukraine à frapper des cibles en Russie avec des missiles à longue portée. Et maintenant, le Royaume-Uni, la France viennent officiellement de prendre la même décision.
Notez que les Ukrainiens n’ont ni la capacité ni la technologie pour diriger eux-mêmes ces missiles sur leurs cibles, ce qui implique la technologie satellitaire que seuls possèdent les fournisseurs de ces missiles, ce qui signifie que tout missile tiré sur la Russie sera effectué par du personnel de l’OTAN.
Vladimir Poutine a clairement indiqué qu’une telle action aurait des conséquences. On pourrait en déduire que ça signifie que la Russie ripostera contre certaines cibles de l’OTAN. Imaginons que sa cible principale soit le quartier général de l’OTAN à Bruxelles ou Rammstein, la plus grande base américaine en Europe. D’autres cibles suivraient probablement, peut-être même en France, en Grande-Bretagne et aux États-Unis. Préparez-vous à vous planquer, ou éventuellement à mettre votre tête le plus loin possible entre vos jambes pour dire au revoir à vos trous de balle.