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Y en a qui jasent sur la guerre comme si que c’était un feuilleton Netflix, persuadés que ce sont toujours "les autres" qui mettent le feu aux poudres. Pendant ce temps, ils scrollent sur leurs écrans, gobant les fake news de LCI ou de BFM et rigolent des "théories du complot". Réveillez-vous, les amis ! Les marionnettistes qui dirigent le monde ont déjà réservé vos places au premier rang de leur grand cirque guerrier, et vous, vous applaudissez en pensant que c’est juste un mauvais buzz sur X.
LA GUERRE CONTRE LE BON SENS
L’Europe, c’est le Titanic en pleine croisière, avec une élite aux manettes qui préfère réarranger les chaises longues plutôt que d’éviter l’iceberg. Ces "génies" sont prêts à jeter le peuple dans le grand bain pour sauver leur trône doré. Sous couvert de "valeurs" et de menaces sorties tout droit d’un film de science-fiction, ils nous embarquent dans une spirale de crises et de guerres. Les réalités sociales, économiques, humaines ? Ils s’en tapent royalement. Le peuple, lui, n’a rien demandé, mais c’est lui qui trinque, otage d’un jeu d’échecs où il n’est qu’un pion. La solution ? Bouger nos fesses, ensemble, avant que ces clowns ne réduisent tout en cendres.
Nos chers dirigeants vivent dans une réalité parallèle, un monde où leurs fantasmes idéologiques tiennent lieu de GPS. La multipolarité ? Ils ne connaissent pas. Ils s’accrochent à leur bulle comme des gosses à leur doudou, voyant des complots russo-chinois derrière chaque arbre. Leur arrogance est telle qu’ils croient pouvoir remodeler le monde à coups d’ingérence et de sermons. Résultat ? Ils ont réussi l’exploit de souder des puissances qu’ils méprisent en un bloc qui leur fait un gros doigt d’honneur planétaire.
Leur stratégie ? Allumer des incendies et hurler "au feu !" comme s’ils n’avaient rien à voir avec la boîte d’allumettes. Paniqués, ils misent tout sur la guerre, comme un joueur fauché qui double la mise avec l’argent des autres. Et les autres, c’est nous, les Européens, sacrifiés sur l’autel de leur incompétence. Pour eux, ce n’est pas notre avenir qui compte, mais leur survie politique. Quitte à faire exploser ce qui reste de la civilisation européenne, tant qu’ils gardent leurs fauteuils.
Ils jouent les cachottiers, mais leurs manigances puent à des kilomètres. Ces élites, déconnectées de tout sauf de leurs comptes offshore, foncent tête baissée dans un conflit mondial qu’ils ont allumé avec soin. Représenter le peuple ? Ils s’en contrefichent. Ils servent un ordre oligarchique qui pille nos ressources, planque son fric et se moque de la morale. Leur "politique" ? C’est la gestion d’un empire en ruines, prêt à tout pour ne pas rendre de comptes.
Cette guerre qu’ils nous préparent n’est pas une réponse à une menace, mais un écran de fumée pour planquer leur fiasco total – économique, social, moral. C’est leur plan B foireux pour masquer des décennies de choix catastrophiques. La guerre, c’est leur joker pour faire diversion, noyer leurs bourdes dans le bruit des explosions et serrer la vis sur une population réduite à regarder le spectacle, la bouche ouverte, en payant les pots cassés.
Ce n’est pas une guerre contre un ennemi extérieur, c’est une fuite en avant pathétique. Ils ont besoin de ce chaos pour éviter de regarder leur échec en face. Leur modèle ? Un désastre rongé par le néolibéralisme sauvage, l’injustice sociale et une dette qui étrangle tout le monde sauf eux. Pendant ce temps, des puissances comme la Chine, la Russie ou l’Inde avancent, et nos élites, incapables de suivre, préfèrent tout faire sauter plutôt que d’admettre qu’ils ont perdu la main.
Ils veulent la guerre, pas pour nous protéger, mais pour nous distraire. Pas pour libérer, mais pour nous enchaîner. Pas pour unir, mais pour écraser toute voix qui ose la ramener. Une guerre pour réécrire l’histoire, pour faire oublier qu’ils ont vendu notre souveraineté, pillé nos économies, empoisonné notre bouffe et marchandisé notre santé. Et maintenant, ils veulent notre avenir.
Parce que la peur ne suffit plus, ils passent à la vitesse supérieure : la violence, bien organisée, bien institutionnalisée. Peu importe que les caisses soient vides, les hôpitaux en ruine, les services publics à l’agonie. Les priorités, c’est missiles à gogo, subventions pour des salaires à l’étranger, et précarité pour les travailleurs d’ici. Pendant qu’ils financent la guerre, nous, on galère avec des impôts qui nous étouffent et une vie qui ressemble à une partie de Monopoly truquée.
L’Europe ? Un pion sur l’échiquier de l'état profond américain. Nos dirigeants suivent la feuille de route des néo-conservateurs comme des toutous bien dressés, prêts à transformer le continent en champ de bataille pour une guerre qui ne nous concerne pas. Contenir la Russie aujourd’hui, taper sur la Chine demain, et tant pis si l’Europe finit en cendres. Les décisions se prennent à des milliers de kilomètres, loin de nos galères quotidiennes.
Bruxelles, ce soi-disant temple de la paix, s’est transformé en QG de la guerre. Les mots "soutien inconditionnel", "sanctions massives" ou "envoi d’armes" ont remplacé toute idée de diplomatie. L’Europe est devenue une machine à broyer les libertés, un laboratoire de techno-dictature où l’immigration n’est qu’un outil pour maintenir un marché du travail précaire et pour diluer les nations, et où la pensée unique règne en maître. Tout ça sous des tonnes de lois et de données pour nous faire taire.
La presse, fidèle toutou des puissants, nous vend du vent : la Russie serait derrière tous les maux, des pannes de GPS aux cauchemars de nos élites. Mais la réalité, la vraie, celle des factures impayées et des espoirs brisés, ils l’ignorent. Ils préfèrent leur fiction sécuritaire, justifiant censure, surveillance de masse et militarisation à outrance. Ce n’est pas une guerre contre la Russie, c’est une guerre contre nous, contre la réalité. Une réécriture orwellienne où tout est truqué pour servir un pouvoir qui n’a plus peur de se contredire. Pendant qu’ils agitent le drapeau de la guerre, ils ne craignent qu'une chose : que le peuple se réveille et dise STOP. Stop à cette guerre qui n’est pas la nôtre. Stop à leurs sacrifices insensés. Stop à cette comédie tragique jouée sur notre dos, stop à leur immigration imposée.
L’Histoire ne va pas nous attendre. Elle jugera, mais à quel prix ? On est à la croisée des chemins. Rester spectateurs ou prendre les rênes ? Laisser ces élites nous écraser ou leur montrer qu’on n’est pas leurs pions ? Le temps de l’inaction est fini. Si on veut sauver ce qui reste de nos sociétés, de nos libertés, il faut se bouger, dire non à cette guerre, exiger une paix qui ne soit pas un slogan vide. Les élites doivent rendre des comptes, et leur impunité doit cesser. Le temps presse. On peut encore changer la donne, mais la fenêtre se referme. C’est à nous de décider : plier ou résister. Sauver notre avenir ou le laisser partir en fumée. Alors, on fait quoi ? On continue à scroller ou on se lève pour dire "ça suffit" ?