Bienvenue, curieux voyageur

Avant que vous ne commenciez à rentrer dans les arcanes de mes neurones et sauf si vous êtes blindés de verre sécurit, je pense qu'il serait souhaitable de faire un petit détour préalable par le traité établissant la constitution de ce Blog. Pour ce faire, veuillez cliquer là, oui là!
Affichage des articles dont le libellé est Politique US. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Politique US. Afficher tous les articles

22 août 2025

1100. Washington 2025 : Ré-Capitulation d'une Mascarade


(On Web version, use BlogTranslator dropdown menu on top-right of this post to read it in your language)

WASHINGTON 2025 :
Ré-Capitulation d'une Mascarade

Trump flingue Zelensky : " T’as voulu jouer les caïds, t’as tout perdu, mon gars !"Alors là, Volodymyr, t’as cru que t’étais le héros d’un blockbuster Hollywoodien ou quoi ? T’as déclaré la guerre à la Russie, genre "j’vais tous les niquer", et maintenant, t’es là, à pleurnicher dans les jupons de Washington et Bruxelles pour quémander des thunes et des flingues. Bravo, champion ! Regarde ton Ukraine : un champ de ruines, des millions de gens qui se barrent, une économie qui fait pitié. 

T’as tout misé sur ta gueule de star devant les caméras, mais t’as oublié un détail : t’es pas Tony Stark, mec, t’es juste un pion ! T’as cru que l’OTAN, l’UE et les faucons de l'état profond ricains allaient te porter sur un trône doré pour avoir russophobé et massacrer les civils du Donbass pendant 8 ans dans le seul but d'inciter Poutine à intervenir ? Erreur fatale, frangin ! Les sanctions n'ont pas fonctionné, Bruno Lemaire a eu tout faux. T’as été manipulé comme une marionnette par ces vautours qui s’en battaient les couilles de ton pays.
C'était  écrit d'avance. Résultat ? Ton armée est en PLS, ton territoire est en lambeaux, et ton peuple te regarde comme un enculé de vendu à qui on avait promis la lune mais qu'a livré qu'un tas de gravats et 1.7 millions de soldats morts et/ou disparus dans ton camp, sans compter les blessés et les mutilés. Parce que oui oui, mon pauvre Volo, les chiffres planqués dans ton ministère de la défense ont été piratés et divulgués à la planète entière. Bien joué, maestro !

Le pire, c’est que t’avais des occases en or pour négocier la paix au début, mais non, toi, t’as écouté les promesses bidon de tes potes occidentaux, Biden, les Angliches et l'UE. Maintenant, t’es à sec, t’as plus rien dans le calbute à proposer, à part une capitulation déguisée en "super accord de sécurité". Mon pauvre Volo, tout le monde voit clair dans ton petit jeu foireux ! T’as transformé l’Ukraine en terrain de jeu pour les gros bonnets de l’Occident, et eux, ils vont bientôt se casser en te laissant seul face à Poutine, sans thunes, sans soldats, et avec une carrière politique qui sent le sapin. T’as tout gagné, pantin !"

Europe : l’UE, le pigeon de service, va raquer avec un sourire crispé ! 
Attendez, matez-moi cette scène digne d’une comédie bien naze ! La fine équipe des bras cassés qui se prennent pour les boss de l’Europe s’est pointée chez Trump, genre " on va lui montrer qui c’est qu'est les patrons ". Sauf que, oups, ils étaient même pas invités ! Ils ont dû se faufiler par la porte de service, reçus par une secrétaire peroxydée, avant de poireauter comme des glands dans l’antichambre. Et là, boum, Trump les a accueillis en mode " je vais vous éclater la tronche avec un sourire". Chacun a pris sa petite claque personnalisée, histoire de bien leur faire renifler la honte ! Et devinez qui qu'ils ont ramené dans leur équipe de bras cassés ? Le président finlandais, un mec qui représente que dalle, un figurant homo qui passe ses journées à taper des balles de golf et à mater le fion et l'entrejambe des autres joueurs. Ils se sont dit : " Oh, vu qu'il a déjà joué au golf avec Trump, ça va le faire !" Sauf que Trump, en mode troll ultime, a fait semblant de pas le reconnaître. La loose totale ! 

Macron a eu droit à une flatterie bien méprisante, genre "Oh comme t’es mignon avec ton bronzage", et Ursula von der Leyen, la reine des gaffes, s’est pris un combo spécial : Trump s’est foutu de sa gueule en la qualifiant de "super négociatrice" après qu’elle a signé le traité le plus foireux (1300 milliards + 15% de frais de douanes) du 3ème millénaire. Et quand elle a voulu parler des gosses ukrainiens, il l’a envoyée bouler direct. Cerise sur le gâteau : il l’a virée de la réunion parce qu’elle représente que dalle vu qu'elle est pas une dirigeante. Franchement, Ursula, t’as un problème avec la dignité ou quoi ? T’aimes te faire marcher sur les nibards, c’est ça ? Les Chinois t’ont déjà humiliée, et t'en redemandes, pov' tarte !

USA : Trump, le roi du vent, remet la despote blondasse à sa place ! 
Sérieux, ce sketch était tellement énorme que même les spectateurs en ont eu le souffle coupé quand ils ont pas lâché une prune en se tordant de rire ! La presse européenne, LCI en tête, ces champions de la désinfo, a fait genre "nan, tout va bien", mais personne n’est dupe. Les larbins de l’UE sont venus se faire remettre à leur place par le boss Trump, qui leur a bien rappelé qui c’est qu'est le patron. Sur la photo, on les voit tous baisser les yeux, en mode "j’regarde mes pompes, je fais profil bas"

Et le meilleur ? Un certain Poutine, le grand méchant loup qui bouffe des bébés selon les médias, un ogre selon Macouille se confiant à Darius Rochebin, l'irano-suisse de LCI tricard à la RTS, la radio-télé suisse, pour agressions sexuelles sur des jeunots, avait prédit tout ça ! Non mais c'est dingue quand même que Manu soit entouré que par des homos, des trans, des pervers et des pédos... Mais bon, revenons à nos moutons, pas besoin d’une DeLorean pour voir l’avenir, juste un peu de bon sens pour capter que cette bande de guignols et de tarlouzes allait se faire démonter.

France : Macron, le roi des pirouettes, entre gesticulations et courbettes.
Et là, gateau sur la cerise, on reparle de Poutine, le mec que tout le monde dépeint comme un monstre, qui avait déjà tout capté en février. Dans une interview, il balançait cash : "Les Européens ont chié sur Trump, ils ont soutenu Kamala Mala Harris à fond, mais Trump, avec sa grosse personnalité, va vite leur rappeler qui qui commande. Vous allez voir, ils vont tous ramper à ses pieds en remuant la queue." Et boum, il avait raison ! Pas besoin de boule de cristal, juste un peu de jugeote pour voir que cette coalition de pieds-nickelés allait se faire laminer par le Donald Duck.

Et oualà, le rideau se déchire, la lumière crame la rétine des gogos qui croient encore au Père Noël et à la grande fraternité transatlantique. Avec un peu de recul – celui des mecs qui zappent les infos en sirotant une bière, pas du lait chaud comme des bébés – le grand cirque post-Trump, c’est d’une clarté à nous faire marrer ou chialer, au choix.

Flashback, les gars. L’orange fluo en chef, le roi du bronzage en spray, qui se pointe à Kiev comme une rockstar, juste avant de remonter sur le trône. Nous, les petits Européens, naïfs comme des premières communiantes, on se demandait : « C’est quoi ce plan tordu ? » Eh ben, la réponse, elle est simple comme une vanne de comptoir, à s’en taper les cuisses ou à s’arracher les cheveux.

France : Macron, le roi du salto diplomatique, entre discours de warrior et courbettes de larbin
D’après des sources aussi fiables qu’un pari sur la météo russe, voilà comment ça s’est passé : Trump, avachi, les pompes sur le bureau, un Big Mac dégoulinant dans la main : « Écoute bien, Volodymyr, mon pote. Fini le cirque de la charité à la sauce Biden, le roi des magouilles. Terminé, les billets imprimés en mode photocopieuse pour aller cramer dans le Donbass. Nous, les vrais, les caïds du business, on donne plus que dalle. On vend ! C’est propre, c’est net, c’est capitalisme pur jus ! »
Zelensky, avec son treillis plus stylé que la perruque à Chibritte, un éclair de génie dans les yeux après deux shots de vodka : « J’kiffe grave, mec ! Concept de ouf ! On achète, et devinez qui c'est qui raque ? Les pigeons de l’Europe Unie ! »
Silence. Puis un check transatlantique qui claque comme un coup de tonnerre jusqu’aux bureaux moisis de Bruxelles.

Et là, mes neveux, le génie de l’arnaque explose comme un feu d’artifice discount. 
Pendant que nos champions de l’UE, la dream team Macron-Von der Leyen, jouent les cowboys en costard sur la scène mondiale, signant des chèques avec NOTRE fric – ouais, le nôtre, celui de notre feuille d’impôts – le duo Trump-Zelensky a bouclé le deal du siècle. L’UE, dans son rôle préféré de dindon de la farce, se crève à financer une guerre où l’oseille finit direct dans les poches des usines à flingues américaines. On paye l’Ukraine, qui paye les States, qui nous envoient une facture avec un sourire de requin. C’est rond, c’est beau, c’est une arnaque de haut-vol !

Macron, le grand gourou de la « souveraineté européenne » – qui achète ses bateaux aux Émirats et son gaz au Qatar, lol – et Von der Leyen, la reine des chèques en blanc, sont les Dalton de ce western foireux. Ils braquent la caisse de l’Europe pour engraisser les autres, tout en se prenant pour des super-héros. Ils sprintent devant le train en pensant le tirer, sans capter qu’une locomotive trumpiste les pousse direct dans le ravin de la loose stratégique.

Europe : Les Dalton de l’UE, en tournée à Washington pour éviter que Volo Dalton se fasse latter par Lucky Luke. Alors, les gars, ça vous branche d’être les pigeons de luxe, les portefeuilles ambulants, les bouffons officiels d’un jeu géopolitique où que vous êtes juste la monnaie d’échange ? Trump veut arrêter la guerre, qu’il dit. PTR. Il a juste lancé une nouvelle baston, version virtuelle, une « guerre de sécurité » bien juteuse. 
Il a pas arrêté le conflit, il l’a mis sur PayPal ! Et nos chefs, coincés dans leur délire de grandeur, lui ont refilé le terminal de paiement sur un plateau d’argent.

La blague est énorme, mais c’est nous qui casquons. Et elle coûte cher, la vanne : 150 milliards par an, drones inclus, en plus des 600 milliards pour le gaz US et les 700 milliards d'investissement aux States. Alors, on dit merci qui ? Merci Trump, merci les nôtres, et surtout, merci à nous, les champions du chèque en bois !

11 août 2025

1094. Le Mystère des Poupées Russes : Ou comment transformer la réalité en cirque de haut vol


(On Web version, use BlogTranslator dropdown menu on top-right of this post to read it in your language)

LE MYSTÈRE DES POUPÉES RUSSES : OU COMMENT TRANSFORMER LA RÉALITÉ EN CIRQUE DE HAUT VOL.
« C'était un coup d'État, et j'utilise ce terme au sens littéral… Un crime odieux après l'autre. » — Stephen Miller (Haut Conseiller présidentiel à la Maison Blanche)

Pauvre Amérique, cette grande nation qu'en a ras-le-cul d’être prise pour un asile de fous, gavée d’absurdités jusqu’à l’écœurement ! La réalité, ce concept désuet où qu’on s’accorde sur ce qui se passe vraiment, exige – tenez-vous bien – une vérité qui tient la route. Sans ça, c’est la dégringolade dans le chaos, un fiasco monumental où tout part en vrille. Et devinez quoi ? On y est. Accrochez-vous pour le feuilleton RussiaGate, un chef-d’œuvre de mensonges tellement grossiers qu’ils mériterait un Pinocchio d'Or à la Mostra de Venise. 

Tout commence avec cette salope satanique d'Hillary Clinton, dans un élan pathétique pour sauver sa campagne bancale de 2016. Ses petits courriels compromettants se retrouvent dans les pattes de Julien Assange qui les balance aussi sec sur Wikileaks – ces empêcheurs de tourner en rond qui adorent faire fuiter les vilains et sales petits secrets des grands puissants. 

Bien sûr, c’était tellement plus pratique d’accuser les « méchants Russes d’un piratage imaginaire », plutôt que d’admettre qu’un insider du parti démocrate – peut-être ce pauvre Seth Rich, retrouvé trucidé d'une balle dans le dos sur un trottoir de Washington, quelle coïncidence ! – avait probablement copié le tout sur une clé USB. Un audit judiciaire l’a depuis confirmé, mais bon, pourquoi s’embarrasser des faits ? Chaque mensonge a fait germer un scepticisme délicieux, attisant scandales et polémiques comme certain feu de forêt broussailleuse dans les Corbières. 

Hillary, tel un chef d’orchestre machiavélique, a embarqué Obama et ses agences dans son cirque, sans oublier le parti démocrate, dont elle tenait les cordons de la bourse grâce à son « Clinton Victory Fund ». Résultat ? Un échafaudage de bobards si branlant qu’il menaçait de s’écrouler à la moindre pichenette. Les médias, ces toutous serviles, ont relayé l’histoire sans broncher, convaincus qu’Hillary allait rafler la mise en 2016. Les « sondages » le disaient, voyons ! Tout allait rentrer dans l’ordre : les agences reprendraient le contrôle, les carriéristes continueraient à s’en mettre plein les poches, et le spectacle continuerait, grandiose et intouchable.

Sauf que, oups, ils se sont plantés. Échec cuisant. Mais au lieu de faire profil bas, ils ont doublé la mise, empilant mensonges sur mensonges pour protéger leur château de cartes. Cet échafaudage, c’était leur maison, leur précieux parti gauchiasso-mondialiste ! Et gare à ceux qui osaient menacer ce nid douillet : ils seraient jetés dehors, laissés pour compte comme des junkies titubant sur Hollywood Boulevard, ou sur n'importe quelle autre avenue de ces villes démocrates si charmantes et si pourries à la fois.

Alors, ils ont tout fait pour torpiller Trump, le gagnant de l’élection, orchestrant une chasse aux sorcières, déclenchant une pandémie par pur opportunisme, truquant et volant l’élection de 2020, et passant quatre ans à transformer la sphère publique en un cirque grotesque, un spectacle de drag-queens non-stop, de l’Atlantique au Pacifique. Tout ça pour éviter qu’un semblant de réalité – comme l’idée révolutionnaire qu’il y a des hommes, des femmes, et que c'est leur union qui fait des bébés – ne revienne hanter leur petit monde.

Ce barnum de crimes en série, c’est l’insulte suprême à la République, la res publica, la chose publique, rien de moins. Mais, surprise, le château de cartes s’effondre. Les citoyens américains, même démocrates, commencent à ouvrir les yeux. Le mensonge, c’est fragile et malléable ; la vérité, c’est du béton armé au titane trempé, quoi qu’en dise leur nouvelle loi européenne sur la liberté des médias prétendant protéger la (leur) presse, mais permet en réalité de censurer et de réprimer les journalistes et les voix dissidentes. Loi votée par une phalange  de fachos-gauchiasseux tels que Marion Aubry, Raphaël Glucksmann ou Valérie Hayer pour le plus grand plaisir de Van Der La Hyène et de la Macronerie pestilencielle. 

Mais la vérité, elle finit toujours par gagner, même après une baston acharnée. Les médias mainstream ? Ces chaînes de télé et journaux en faillite ? Ils font l’autruche face aux révélations des ex-patrons de la CIA, du FBI et du renseignement national. Quoi, il faudra des menottes et des mises à pied pour qu’ils daignent réagir ? Vont-ils jouer les vierges effarouchées, pleurnichant, comme pour les vax Covid ou les coups d'état du Maïdan, de Roumanie ou de Moldavie, qu’ils « ne savaient rien »

Pendant ce temps, leurs empires s’écroulent, et ils jettent leurs « artistes » par-dessus bord comme du lest inutile. Pathétique. On l’avait vu venir, non, depuis combien de temps qu'on vous le disait ? Et boum, l’heure des comptes a sonné. L’échafaudage de mensonges n’est plus qu’un tas de cendres fumantes, et rajouter des brindilles n'y changera rien. Les institutions, sous une nouvelle direction, semblent enfin prêtes à faire leur job : rendre des comptes honnêtes et distribuer des claques cinglantes et conséquentes amplement méritées. Ils pourront alors rebâtir un consensus sur ce qui est vraiment réel, sur qui ils sont, et sur où ils vont. En espérant que le retour de marée ne mette pas trop de temps pour traverser l'Atlantique et atteindre nos côtes.
Mais franchement, quel cirque pour en arriver là !

4 août 2025

1090. "RussiaGate révélé : Quand la vérité sort des poubelles du FBI"


(On Web version, use BlogTranslator dropdown menu on top-right of this post to read it in your language)

RUSSIAGATE RÉVÉLÉ : QUAND LA VÉRITÉ SORT DES POUBELLES DU FBI

Avec toutes mes excuses pour ma franchise, les merdias mainstream ont balancé un sacré tas de conneries, et maintenant elles le découvrent.

Voyez vous-mêmes, le grand cirque du RussiaGate, rebaptisé ObamaGate pour faire plus chic ! Parce que, bien sûr, faire tomber Trump ne suffisait pas, non, non. Il fallait aussi transformer la Russie en grand méchant loup pour que l’OTAN, cette machine rutilante de l’État profond occidental, puisse se payer une petite guerre juteuse. 

Et devinez quoi ? Ça a marché comme sur des roulettes ! Des centaines de milliers de vies russes et ukrainiennes pulvérisées, des milliards de dollars engloutis dans les poches des copains contractants du complexe militaro-industriel. Chapeau bas, quel chef-d’œuvre de stratégie !

Et puis, il y a Poutine, ce pauvre diable que les génies d’Hillary Clinton et de Macron/Starmer ont déguisé en Satan lui-même, juste pour le plaisir de saboter une décennie de relations internationales et de nous faire frôler la troisième guerre mondiale. Un grand bravo au Parti démocrate et aux démons de l'UE, qui méritent une médaille en or 24 carats pour ce fiasco planétaire ! Vraiment, quelle prouesse.

Accrochez-vous, parce que voici la vérité qui pique : le meilleur scénario pour l’Ukraine ? Que la Russie gagne, vite fait, bien fait, démantèle ce nid de « nazis » ( parce qu’évidemment, c’est exactement comme ça qu’il faut décrire ce pays), change son gouvernement « illégitime » et le ramène à l’âge de pierre, quand il était juste un petit voisin sage qui ne dérangeait personne. Trop mignon, non ?
Poutine, ce saint homme, a enduré les délires psychotiques des USA et de l’UE avec la patience d’un moine bouddhiste. L’idée qu’il rêve de conquérir l’Europe ? Un pur fantasme sorti tout droit des cerveaux en surchauffe des néoconservateurs, ces brillants stratèges qui ne jurent que par l’OTAN pour piller les ressources russes. Parce que, bien sûr, quand James Baker a promis à Gorbatchev en 1990 que l’OTAN ne s’étendrait « pas d’un pouce » vers l’est, il voulait évidemment dire : « Allez, on va coller des bases militaires et des missiles sous le nez de la Russie avec seize nouveaux copains dans l’OTAN. » Génial, non ? Un plan sans faille.

Et puis, l’Ukraine, ce pion parfait. En 2014, les USA l’ont secouée comme un prunier, ont installé des marionnettes à leur solde, l’ont gavée de fric américain, saupoudrée de laboratoires d’armes biologiques (parce que pourquoi pas ?), de centrales d'achat de gosses destinés aux pedophiles et de blanchiment d’argent. Zelensky, ce grand visionnaire, a reçu le feu vert pour bombarder les ukrainiens russophones du Donbass, et Poutine, après des années à ronger son frein, a dit « stop » en 2022. 

Résultat ? Une guerre prolongée par des drones et des satellites américains, mais, oups, les Russes aussi ont appris à jouer avec des jouets high-tech. Et maintenant, l’Ukraine manque de soldats et d’armes, mais bon, elle a toujours ses drones, c’est déjà ça.

Trump, ce grand pacificateur, avait promis de régler la guerre en trois minutes. Apparemment, il a confondu avec le temps de cuisson d’un hamburger. Aujourd’hui, il tape du poing sur la table, donne des ultimatums ridicules (douze jours, sérieux ?), et menace Poutine de sanctions, comme si que la Russie n’avait pas déjà prouvé qu’elle s’en tapait royalement le coquillard. 

Poutine, lui, doit bien se marrer en sirotant le truc qui sort de son samovar. Et pendant ce temps, on nous vend l’idée que Trump et Poutine ne veulent pas d’une guerre plus large que ce qu'elle est maintenant. Parce que, surprise, la Russie, malgré tous les efforts pour la diaboliser, fait toujours partie de la civilisation occidentale ! 

Qui l’eût cru ? Après l’échec de l’URSS, elle voulait juste rejoindre la grande foutaise économique européenne, mais non, les néocons et leurs putes mondialistes, probablement inspirés par les délires impériaux britanniques, ont dit : « Plutôt détruire la Russie ! » Résultat : l’Allemagne et la France se sont tiré une balle dans le pied économiquement. Bien joué, tout le monde.

Oh, et cerise sur le gâteau : le RussiaGate s’effondre comme un château de cartes. Grâce à Kash Patel, le nouveau shérif du FBI, et Tulsi Gabbard, qui déterrent des preuves juteuses dans les poubelles du renseignement, on découvre que tout ça n’était qu’une farce montée par cette salope de Clinton. Une farce qui a muté en monstre, avec des mensonges en cascade : Covid-19, les élections de 2020, le 6 janvier…

Les principaux organes de presse mainstream, complices du RussiaGate, refusent de publier ou de diffuser les récentes découvertes sur la manière dont le canular s'est transformé en un gros tas de mensonges qui a pris le contrôle de la moitié du pays et a conduit à une série d'autres canulars malveillants, dont l'opération Covid-19, le vol des élections de 2020 et les poursuites judiciaires du 06 Janvier au Capitole. 

Aux USA, ils peuvent pas faire grand chose contre les perfides journaux New York Times et Washington Post, car le Premier Amendement les autorise à publier des mensonges dans les limites des lois sur la diffamation. Mais les chaînes de télévision, CBS, CNN, ABC, ont des obligations supplémentaires envers l'intérêt public en vertu de la réglementation sur la radiodiffusion et pourraient perdre leurs licences. Et franchement, ce serait le moindre des châtiments. 

Bref, on est dans un sacré bourbier. Arrestations, poursuites, et Trump qui joue les gros bras avec Poutine tout en soutenant Zelensky. Les révélations du RussiaGate pourraient lui donner une porte de sortie. En fait, les preuves incriminantes du Russia/Obama Gate sortent tellement vite que Trump n'a plus besoin de 50 jours pour son ultimatum, 10 à 12 jours d'atomes ultimes devraient suffire pour faire tomber le château de cartes et faire basculer l'opinion des peuples américains comme européens en faveur de la Russie. 

Mais soyons honnêtes : avec ce cirque, la seule chose garantie, c’est qu’on n’a pas fini de s’arracher les cheveux.

28 juil. 2025

1086. RussiaGate (ObamaGate) et Epstein : Ça sent bon les "Portes du Pénitencier"


(On Web version, use BlogTranslator dropdown menu on top-right of this post to read it in your language)

RUSSIAGATE (OBAMAGATE) & EPSTEIN : ÇA SENT BON LES PORTES DU PÉNITENCIER !

Oh, quelle surprise, l’affaire Epstein refait surface, comme un vieux calbute avec des traces de patin retrouvé sous le canapé ! Il y a encore quelques jours, on nous servait le refrain habituel : « Circulez, y’a rien à voir, c’est du passé ! » 
Et paf, comme par magie, Todd Blanche, l’ex-avocat de star du président, se pointe à Tallahassee pour cuisiner Ghislaine Maxwell, la complice en chef d’Epstein, pendant neuf heures de déposition. Neuf heures étalées sur 2 jours pour laisser à cette salope le temps de respirer ! On pourrait écrire un roman-fleuve ou trois saisons de 24h Chrono dans ce laps de temps. Elle doit avoir la voix complètement cassée après un tel concert, l'hirondelle ! Mais bon, apparemment, c’était juste pour papoter gentiment sous serment, rien de sérieux, voyons.

Et tenez-vous bien, accrochez-vous à vos chaises : on apprend – sans déconner – que jamais, au grand jamais, Ghislaine Maxwell n’a avant ça été interrogée par le moindre flic, le moindre avocat, ou ne serait-ce qu’un simple employé de bureau du gouvernement pendant toutes ces années. Pas une seule fois ! 

Et Les Wexner, le milliardaire qui arrosait Epstein de billets verts ? Même topo, pas une question, nada. Suivez l’argent, qu’ils disaient. Apparemment, tout le monde a oublié où était la piste. Quelle efficacité, bravo !

Pendant ce temps, en Floride – ô surprise – on apprend que la juge fédérale Robin Rosenberg, qui a gentiment balayé la demande de Trump de déclassifier les transcriptions du grand jury Epstein de 2005-2007, est mariée à Michael McCauliffe. Qui ça ? Juste l’ancien procureur de Palm Beach qui a aidé à concocter le deal en or d’Epstein en 2008, celui qui a permis à cet enfoiré d'aller se balader tranquilou-bilou jusqu’à son île maudite de Little St. James, tout en étant soi-disant en « assignation à résidence » ; de la même manière, soit dit en passant,  que notre Sarko national et son bracelet électronique désactivé à la cheville parti se dorer la pilule aux Seychelles !

Conflit d’intérêts ? Noooon, voyons, juste une coïncidence adorable. On applaudit le scénario ! Donc, on a maintenant deux piles de « dossiers Epstein » à trier : ceux du ministère de la Justice de Merrick Garland – qui, bizarrement, n’a rien trouvé de croustillant à balancer contre Trump pendant la campagne de 2024, malgré son zèle habituel pour lui mettre des bâtons dans les roues – et les nouvelles révélations palpitantes de l’interrogatoire de Ghislaine Maxwell en ce juillet mémorable de 2025. 

On nous assure que Maxwell a répondu à toutes les questions, avec l’honnêteté d’une sainte Nitouche et la mémoire d’un éléphant. Vraiment ? Ça sent l’enquête flambant neuve, toute propre, sans la moindre trace des manigances de Merrick Garland. Comme c’est pratique.

Et puis, parce qu’on n’a pas assez de scandales à se mettre sous la dent, passons à la Russie ! John Ratcliffe, le patron de la CIA, tease la divulgation des annexes du rapport Durham, des documents soi-disant « sérieux ». Il laisse même entendre que le RussiaGate, désormais connu sous le sobriquet d'ObamaGate, c’est pas fini et il y a pas prescription, vu que c’est une conspiration toujours en cours et qu'il n'y a pas d'immunité présidentielle non plus car Obama n'était plus président et Hillary ne l'a jamais été lorsqu'ils ont mis en branle ce complot. Houlà, quel suspense ! Ratcliffe, ex-procureur fédéral, sait de quoi il parle. 

Alors, on se demande : qu’est-ce que Christopher Wray, l’ex-patron du FBI, a bien pu fabriquer pendant ses sept ans et demi à la tête du Bureau d'Investigation Fédéral ? À chaque audition au Congrès, il sortait son joker « enquête en cours » pour esquiver les questions qui fâchent. Sérieux, mec, t’as rien de mieux ? Peut-être qu’une petite déposition musclée avec les agents de Kash Patel, le nouveau boss du FBI, ou les avocats du Département de la Justice (DOJ), sans le bouclier de son ancien poste, lui rafraîchirait la mémoire. 

Entre la pseudo insurrection du 6 janvier 2021, les bombes artisanales, et tout le reste, ça commence à ressembler à un complot bien ficelé contre un président dûment élu, non ? Théorie du complot ou complot bien réel ? Au sens du Titre 18 du Code des États-Unis, on parle de fraude, de privation de droits, d’obstruction à la justice, de parjure et même de haute-trahison… un véritable buffet à volonté de chefs d’accusation ! Ça sent les deux gros poissons en train de se faire harponner dans le cul et pas qu'un peu, et pas qu'eux deux non plus. À moins qu’ils ne glissent tous entre les mailles du filet comme des anguilles. Allez, on
parie combien qu’ils vont encore nous répéter : « Oubliez ça, y’a rien à voir »   sur les merdias ?

Sauf que là, plus personne n'écoute plus ces vendeurs de bobards et que ça s'apprête à crever tous les écrans de la planète !

26 juil. 2025

1085. ObamaGate: Sans fondement ???!!! Vraiment ???

 

(On Web version, use BlogTranslator dropdown menu on top-right of this post to read it in your language)

OBAMAGATE: SANS FONDEMENT ???!!!
VRAIMENT ???

Alors, sérieux, ces clowns mondialistes des médias, ils vont quand même pas continuer à nous bassiner avec leurs « sans fondement » à deux balles pour parler des magouilles – maintenant gravées dans le marbre officiel – d'Obama et sa clique pour tenter de virer Trump après son élection de 2016, si ? 

Ce cliché pourri, c’est le summum de la connerie journalistique, tout droit sorti du cloaque des traîtres dégénérés qui se prennent pour des cadors tels ces vendus sur LCI. « Sans fondement », mon cul ! Comme si que balancer ce mot dans un titre à la con avait le pouvoir magique de faire disparaître la vérité, pffouit, comme un pet dans le vent !

C’est quoi ce délire ? On dirait des gosses pourris gâtés qui savent même pas distinguer le vrai du faux, le bien du mal, et qui, par un miracle tordu du contrat social, se retrouvent à jouer les caïds sans jamais rendre de comptes. Et devinez quoi ? Ces sales mioches sont devenus la clique qui dirige l’Occident, les « élites » autoproclamées qui veulent penser à notre place, genre les grands gourous de la morale. 

On parle de qui là ? De Tony Fauci, le dieu de la science bidon, de Paul Krugman, l’« économiste » keynesien qui vend du vent, de Katherine Maher, ex de la Banque Mondiale et de l'UNICEF, reine du wokisme à la National Public Radio, l'équivalent de France Inter là-bas, ou encore de Lawrence Tribe, le prof de Harvard qui pète plus haut que son cul. La liste est longue, mais vous avez capté l’idée, non ?

Cette bande de guignols, c’est aussi les proprios de l’État profond US, un vrai cartel de mafieux qui, en 2016, s’est transformé en machine à laver des milliards de dollars des contribuables pour engraisser des ONG bien décidées à foutre en l’air la culture et la politique du pays, sans parler de ses petits copains chez nous en Europe. Tout ça pendant qu’ils transforment les dons de campagne en pactoles de ouf pour des mecs censés gagner 200 000 balles par an. 

Et cerise sur le gâteau, ils financent une armée de glandeurs prêts à foutre le bordel dans des émeutes ou à ramasser des bulletins de vote illégaux dans les Ehpads comme des Pokémon. Ça tournait à plein régime à la fin des mandats d’Obama, avec la diva des baby-boomers, Hillary, prête à s’installer dans le Bureau ovale après avoir amassé 300 millions de billets verts en jouant les sénateurs (alors qu'un salaire sénatorial, c'était 174 000 $ par an, non mais vous y croyez, vous ?) et en tant que  secrétaires d’État d'Obama (199 700 $ à l’époque). 

Et là, boum ! Débarque Donald Trump, le gros outsider qui, comme Chirac, sent bon la bière et le burger, qui promet de tout péter et de vider ce marécage puant rempli de népotistes, d’escrocs et de parasites qui sucent le sang du Potomac. Panique à bord ! Obama se prend pour Dark Vador, John Brennan, ex-dirlo de la CIA, lui refile un sabre laser merdique (le dossier Steele, ce torchon fabriqué de toutes pièces), et ils pensaient que l’affaire était pliée. Sauf que non, ça a purulé comme une vieille plaie pendant dix piges, et maintenant, ça gicle du Washington Post comme une fontaine de merde, éclaboussant tout le monde, collant aux basques des Démocrates comme un vieux chewing-gum sur la lunette d'un chiotte.

Et « sans fondement », tu parles ! Le fondement, il est là, clair comme de l’eau de roche, grâce à Tulsi Gabbard, la boss du renseignement, qui a réussi à choper les preuves en béton là où John Ratcliffe, son prédécesseur, s’était cassé les dents en 2020. Pourquoi elle a réussi, elle ? Merci l’IA, qui a fouillé les serveurs des agences comme un pitbull dans un tas d’ordures. Résultat : les dossiers sortent au compte-gouttes, et ça sent le roussi pour Obama, qui s’est fait prendre à son propre jeu en décembre 2016. 

Est-ce que ça va finir en procès ? Peut-être, si les preuves tiennent la route. On parle pas forcément de trahison, mais y’a de quoi coffrer du beau monde pour conspiration séditieuse ou privation de droits sous couvert de la loi. Des combis orange pour tout le monde, les gars ! 

Mais le pire, c’est pas ça. Le vrai carnage, c’est ce que RussiaGate et ses suites ont fait à la moitié du pays, rendue complètement tarée. Une fois le bobard lancé, tout est parti en vrille : les mecs qui se prennent pour des meufs, les émeutes avec cocktails Molotov qualifiées de « manifestations pacifiques », la frontière US-Mexique laissée grande ouverte sans raison, et un Joe Biden, corrompu jusqu’à l’os et sénile comme pas permis, vendu comme un génie de la politique. Et ne parlons même pas du Covid, l’arme ultime pour virer Trump en 2020, avec des vaccins à ARNm qui ont peut-être cramé le cerveau de millions de gens avec leurs protéines Spike. 

Pure spéculation tout ça ? Je crois pas, je sais pas pour vous mais ça fait réfléchir en tous cas. Si les coupables finissent au tribunal et que la justice fait son taf correctement, on verra si la moitié de ce pays peut redevenir un minimum lucide. Pour l’instant, c’est mal barré : ils nomment des communistes djihadistes à des postes clés et continuent leur guerre juridique pour bloquer Trump. Comme l'a dit Q, faudra sûrement passer par des tribunaux militaires vu que les 3/4 des juges amerloques ont été mis en place par les mondialistes. Le but ultime, pour ceux qui veulent encore sauver ce qui reste de la république US, c’est de remettre tout le monde d’accord sur des bases solides : égalité devant la loi, fair-play, respect des droits de propriété et de la vérité qu’on peut vérifier. Parce que « sans fondement » ? Franchement, ça, c’est vraiment se foutre de la gueule des fondations !

12 juil. 2025

1076. Réflexion sur Alligator Alcatraz

 

(On Web version, use BlogTranslator dropdown menu on top-right of this post to read it in your language)

RÉFLEXION SUR ALLIGAOR ALCATRAZ

Si vous prêtez un tant soit peu l'oreille aux actus transatlantiques, vous aurez tous entendu parler du dernier chef-d’œuvre américain de Donald Trump, Alligator Alcatraz (Alli-Al pour les intimes), ce charmant petit camp de vacances pour les « pires criminels parmi les immigrés clandestins », perdu dans les marécages poisseux de Floride. Un vrai Club Med version marais, qui fait hurler de fureur les gauchistes progressistes enragés et danser les MAGA en chapeaux de cowboy. 

Pourquoi ? Eh bien, parce que d’un côté, on a une foi aveugle en Donald Trump, le messie des nettoyeurs du marécage mondialiste, et de l’autre… disons juste qu’ils sont pas invités aux festivités. Mais soyons sérieux deux secondes : est-ce qu’on a vraiment réfléchi à ce truc ?  Posez la question à tous les patriotes du monde, ils sont tous excités à l’idée de voir des « illégaux criminels » croupir dans ce paradis tropical. Spoiler : ils n’ont pas creusé bien loin. 

Le DHS, l'équivalent US de la DGSI chez nous,  jure ses grands dieux que tout va bien dans le meilleur des mondes à Alli-Al, malgré des rumeurs de conditions… disons, pittoresques.
Accrochez-vous, on va plonger dans le marais. Le DHS, avec sa crédibilité légendaire, nie en bloc les rapports sur les conditions dénoncées comme apocalyptiques à Alligator Alcatraz. Des toilettes qui ne marchent pas, des températures dignes d’un sauna sibérien, des douches aussi rares qu’un politicien honnête, des appels avec avocats sous écoute, et même – cerise sur le gâteau – une hospitalisation ou deux depuis son ouverture. 

Mais bon, rien de tout ça n’est prouvé, hein. Les médias qui crient au scandale ? Ceux-là mêmes qui nous ont vendu la grande fraude vaccinale du COVID ou la "démocratie" ukrainienne, je veux parler de tous ces merdias genre LCI, BFM, Arte etc. Alors, désolé, mais leur parole vaut pas un clou de plus que celle de vendeurs de pots de chambre d’occasion avec toute la chiasse qui rentre dedans. 

Et franchement, pour les locataires d’Alli-Al – des meurtriers, des violeurs, des pédophiles, rien que du beau monde – on aura du mal à verser une larme. Ces prisonniers sont pas des patriotes qui ont fait un tour au Capitole pour prendre des selfies souvenirs de Washington. Non, ces gars-là n’auraient même pas dû poser un orteil sur le sol américain. Trois repas, un lit, des soins de base, et pas la moindre séance de torture à la carte ! 
Houla, c’est presque le Ritz-Carlton pour eux. Pendant ce temps, des Américains respectueux des lois galèrent pour payer leurs loyers. 

Alors, non, ma réserve de compassion pour ces mecs là est à sec. Nada. Zéro. Mais pourquoi je m’embête à parler de ce trou à rats infesté d’alligators, me direz-vous ? Parce que, mes amis, la rédac' de ce blog voit plus loin que le bout de vos nez. Ce genre de projet sent les ennuis à des kilomètres, et pas seulement pour ses actuels pensionnaires. 

Trump va-t-il transformer Alli-Al en goulag pour ses ennemis politiques ? Non, il est trop occupé à signer des casquettes rouges pour ça. Mais un futur président gauchiard, avec des médias complices prêts à lui cirer les pompes et un agenda bien tordu ? Oh, ça, on peut le voir venir comme un alligator qui sort de l’eau. On a déjà vu le film, non ? Les scandales COVID, les chasseurs de « terroristes domestiques » du 06 Janvier, et les listes noires où finissent les chrétiens, les pro-port d'armes, les anti-taxes, les anti-vax, les fans de Ron Paul, ou même les parents qui osent râler aux réunions scolaires contre l'enseignement LGBTQ à leurs gamins. Tous étiquetés « menace nationale » par les bureaucrates zélés de l'état profond. 

Imaginez ce que feraient les démoncrates et les mondialistes avec un endroit comme Alligator Alcatraz à leur disposition. Un camp tout prêt, entouré de crocos affamés, pour y jeter quiconque ne plaît pas au régime néo-communiste du jour. Le pouvoir, c’est comme un pendule : il balance d’un côté, puis de l’autre. Trump sera pas éternellement aux manettes (non, il n’est pas le dictateur que certains rêvent que vous gobiez). Et quand les autres reprendront les rênes si ce genre de malheur arrive un jour – ceux qui adorent dresser des listes de « méchants » – devinez qui pourrait se retrouver à nager avec les alligators ? Alors, je repose la question, avec un petit rictus : est-ce qu’on a vraiment réfléchi à ce que pourrait devenir un jour Alligator Alcatraz ? Parce que, franchement, ça sent le marais profond… et pas juste à cause des crocodiles.

8 mai 2025

1053. Leurs "Normes" ?


(On Web version, use BlogTranslator dropdown menu on top-right of this post to read it in your language)

LEURS "NORMES" ?

« Notre mission est de faire respecter les lois fédérales sur les droits civiques, et non l'idéologie woke. » — Harmeet Dhillon, procureur général adjoint des États-Unis pour la division des droits civiques


Quand des charlatans de l’État profond US – Norm Eisen, Chuck Schumer, Bill Kristol, David Brooks, et l’inénarrable Larry Summers – se mettent à brailler comme des hyènes hystériques dans les oreilles des têtes parlantes de CNN ou de LCI, larmoyant que Trump ose profaner leurs « normes » chéries en voulant balayer leur porcherie politique, ne vous demandez-vous pas, juste une nano-seconde, ce que ces « normes » peuvent bien être ? 

Parce que, soyons clairs, ce qu’ils défendent, c’est une usine à racket digne d’un cartel, un carnaval de lavage de cerveau crypto-marxiste, des tonnes de fric siphonné avec un sourire légal, des arnaques publiques qui pullulent comme des cafards, et une capitale « républicaine » engluée dans un smog toxique pour camoufler un Satyricon de luxe : pédophilie, sodomie, sado-maso, le tout soigneusement rangé dans les tiroirs en acajou de ces élites adorées. Un vrai conte de fées, non ?

Et voilà que Trump rapplique, tel un bulldozer divin avec une armée de nettoyeurs shootés à la kryptonite, prêt à raser leur cloaque immonde. Les goules qui se repaissaient de cette fange glapissent maintenant comme des banshees en pleine crise d’angoisse, leurs petites culottes trempées à l’idée que leurs magouilles sordides soient étalées sur la place publique. Miam, quel délice de les voir se tortiller le cul sur des rasoirs !

Mais, ô scandale, certains d’entre vous pleurnichent comme des madeleines parce que les cachots se remplissent pas assez vite et qu'on a pas encore entendu le cliquement des menottes ! Que fait donc Pam Bondi, la procureuse générale, à parader sur Fox News telle une pétasse de télé-réalité au lieu de balancer des mandats d’arrêt comme des confettis ?
 
Et Dan Bongino, il est planqué dans un conduit d’aération du FBI ou quoi ? Hillary Clinton, toujours libre et hilare, sirote son mojito bio à Martha’s Vineyard, pendant qu’Alejandro Mayorkas, ce fils de pute, fait du shopping artistique sur M Street, aussi à l'aise insouciant qu'une putain de trans sur le perron de l'Élysée. Non mais, allô quoi ! 
Mais bon, calmez vos nerfs, les pleurnichards, la 2ème partie de mai et le mois de juin vont être un tsunami de révélations et de gifles cinglantes. Sortez vos Raybans, ça va piquer les yeux !

Passons à James O’Keefe, l’ex-messie du Projet Veritas, éjecté comme un tampax usagé et recyclé dans son O’Keefe Media Group. Il nous gratifie d’une vidéo de 18 secondes, filmée dans un sous-sol qui pue le désespoir et la pisse rance. « Je m’évanouis, je suis pas suicidaire, priez pour moi, j’ai les chocottes », qu’il miaule, avec la tronche d’un pèlerin qu'a vu le diable en string. Sérieux, James ? Une semaine avant, tu jouais les Rambo avec des « enregistrements explosifs » promettant des milliards et des menottes à gogo. Et là, tu chiales comme une trans à cheveux bleus le lendemain des élections ? Bluff ou crise de panique ? On parie qu’il finira en GIF sur X avant de disparaître dans l’oubli.

Et Virginia Giuffre, ex-enfant-esclave d’Epstein et jouet sexuel des doigts tripoteurs et du sgeg invasif du Prince Andrew ? Elle clamait : « Je suis pas suicidaire, si je crève, faites du bruit ! » Ça, c’était avant un « accident » avec un bus scolaire en Australie, aussi crédible qu’un bilfton de 30 euros. Et paf, le 24 avril, après un petit tour à l’hosto, elle se serait « suicidée ». Sérieux ? Quel timing de maître, digne d’un scénario de Sharknado – où que les requins tombent du ciel juste quand que t'as oublié ton parapluie. ! Ça vous grattouille pas un chouïa le cerveau, cette coïncidence miraculeuse ?

Les dossiers Epstein – dépositions, journaux de vol, vidéos de VIP en pleine partouze – ? Que tchi, nib, nadazéro.  Silence total, que dalle. Le FBI de New York aurait déterré un pactole de preuves, mais l’agent en chef, James Dennehy, s’est fait éjecter fissa après avoir joué les muets sur l'« insurrection » du 06 janvier. Depuis, un millier d’agents « traitent » ces documents, soi-disant pour « protéger les victimes ». Caviardés, vous dites ? Ou plutôt enterrés sous dix mètres de béton armé ? L’horloge fait tic-tac, et ça sent le roussi.

Le 06 janvier, ce grand guignol « insurrectionnel »? Les Républicains au Congrès sont priés de se sortir les doigts du cul et d’organiser des auditions qui cognent. Kash Patel, le patron du FBI, esquive toujours : combien d’agents et de provocateurs jouaient les infiltrés dans la foule ce jour-là ? Allez, Kash, accouche devant un micro officiel, et vite ! 
Et pendant qu’on y est, explique-nous pourquoi Nancy Pelosi a snobé la Garde nationale, et ce qui se tramait dans le poste de police à deux pas des bureaux du Comité National Démoncrate. Les peuples trépidants du monde entier en ont marre d’attendre, et ça commence à puer la révolte.

Et Robert F Kennedy Jr, qui secoue le ministère de la Santé et des Services Sociaux (HHS) comme un prunier ? Exit le fluor dans l’eau potable comme dans les dentifrices, bienvenue les tests sérieux pour les vaccins, et une croisade pour percer le mystère de l’autisme. Il lorgne même ces traînées d’avions qui font jaser et se révolter la galaxie. Mais le pompon, c’est sa bombe en conseil des ministres : sous Biden, le HHS était un hub de trafic d’enfants. PARDON ? Bobby, t’as des noms ou tu balances ça juste pour faire le buzz sur X ? On veut du concret, et fissa !

Et Klaus Schwab, le méchant de cartoon du Forum économique mondial ? Il a plié bagage, accusé de piquer dans la caisse. Sa fille, Nicole, aurait lâché à une journaleuse douteuse que le WEF voulait zigouiller quelques milliards d’humains, façon génocide discount. Info ou délire ? Peu importe, Klaus est out, remplacé par un ex-patron de Nestlé, roi des scandales dans le tiers-monde. Le WEF ? Un cirque fini, un flop mondialiste qui s’écroule. Bon vent !

Mai s’annonce déjà comme une rave party, et juin risque d'être un gros pogo, un mosh pit géant. Vous le sentez ce tremblement ? C’est le sol qui se dérobe sous les pieds de ces enculés de corrompus de mondialistes. Bouclez vos ceintures, ça va secouer !

5 avr. 2025

1037. Le Séisme Planétaire des Droits de Douane


 (On Web version, use BlogTranslator dropdown menu on top-right of this post to read it in your language)

LE SÉISME PLANÉTAIRE DES DROITS DE DOUANE

Y’a un calme plus qu'étrange qui s'installe après un gros tremblement de terre. Les gens bloqués dans les immeubles défoncés captent bien les galères qui s’ramènent sur leurs gueules, mais la plupart apprécient le silence total, genre le monde s’est mis sur pause et n'a pas encore réappuyé sur "play" ou sur "reset". Les dégâts, on sait pas encore trop ce que ça donne, alors on souffle un bon coup : "Oh ! Ça s'passe pas trop mal pour l’instant.", un peu à l'image de l'acrobate qui tombe du 17ème étage, et qui répond au mec du 7ème qui lui demande comment que ça va...

Mais cette première impression, c’est du flan, parce que plein de casse reste planquée sous le radar. Petit à petit, les infos balancent des rapports sur des infrastructures en PLS et des feux qui éclatent de partout, et là, on commence à piger l’ampleur du bordel et les risques d’incendie qui montent en flèche. Le doute et le chaos, ça part en vrille à fond la caisse.

Le président Trump, lui, dans sa grande sagesse, a sorti une métaphore médicale cryptée sur son compte TruthSocial pour ce qu'on pourrait appeler le « séisme tarifaire » : le patient s’est pris une opération chirurgicale maousse et un bon gros choc prophylactique, mais c’est pour son bien, la guérison est déjà en train de faire son taf.
On aime bien balancer des comparaisons médicales ou thérapeutiques, mais là, l’image du tremblement de terre, elle claque plus pour capter ce qui déglingue les structures économiques qui se font secouer comme jamais.

Cliquer image pour agrandir

Le truc clé, c’est les dégâts: souvent, ils jouent à cache-cache et se pointent en mode furtif seulement après coup. Au début, tout a l’air peinard, mais sous la surface, les canalisations d’eau et de gaz ont pété, les fondations se sont barrées en sucette, et même si certains bâtiments ont l’air de solidement tenir debout, ils sont à deux doigts de s’écrouler, parce que les fissures, elles sont bien planquées.

Un autre parallèle qui tue, c’est les galères qui viennent pas direct du séisme mais des trucs qui s’enchaînent après. Le tremblement de terre de 1906 à San Francisco a salement amoché la ville, mais le vrai carnage, c’est les incendies qui ont cramé tout le bazar après, impossibles à stopper avec les canalisations d'eau pétées et les rues blindées de gravats. Les pompiers, ils pouvaient rien faire, même sans embouteillage, c’était mort.
Le séisme a cogné la ville, mais c’est le feu qui l’a réduite en cendres.
Ce qu’on pensait sécurisé s'est révélé d'une fragilité qu’on peine à piger. Des bâtiments validés par des pros de l'administration s’effondrent malgré les tampons officiels. Ce qui semblait clean et solide s’est pété la gueule quand la pression a dépassé les bornes.

Le séisme tarifaire des droits de douane, il trimballe les mêmes vibrations. Les dégâts, on les a pas encore tous intégrés ; y’a un max de flou pendant que le chaos se répand comme une traînée de poudre. Comme un tremblement de terre, ça tape dans le système : les infrastructures et les foyers, tout part en cacahuète. Et le risque que des effets secondaires – les incendies dans l’analogie – fassent plus de ravages que prévu, il est carrément haut.
(Effets de premier ordre : les bourses, elles dégringolent. Effets de second ordre : les galères, elles font des petits.)

Le flou, c’est une bombe à lui tout seul. Les boîtes doivent caler leur fric et leurs équipes en mode prévision sur l’offre et la demande à venir. Si le futur devient un gros point d’interrogation, impossible de prévoir quoi que ce soit, et du coup, toute l’économie, elle peut plus tourner.

Comme les incendies de 1906 à San Francisco, qu’on a matés qu’avec l'aide de l’armée US qui a fait péter des rues entières pour créer des pares-feux, les plans pour limiter la casse pourraient bien tout péter eux-mêmes. Triste à dire, mais on a peut-être dû cramer le village pour le sauver.


Tenez, regardez cet immeuble défoncé par le séisme de Loma Prieta en 1989, dans la baie de San Francisco. Les gens pensaient peut-être que leur baraque avait tenu le choc, mais les fondations et le rez-de-chaussée étaient tellement dans le rouge que tout risquait de s’effondrer en mode domino.


Et sur cette carte des derniers séismes dans le monde, regardez le regroupement des secousses sur la « Ceinture de Feu », là où les plaques tectoniques se frottent les unes contre les autres. Les tremblements de terre, ils peuvent déclencher un tas d’autres galères le long de ces zones qui pogotent sans cesse.

Pareillement, le séisme tarifaire, il fout le bazar dans l’économie mondiale, chaque secousse tape sur les autres carrefours de forces, direct ou via les effets secondaires du premier choc.
Ceux qui prétendent avoir le film complet des effets, directs ou en cascade, du séisme tarifaire, ils se plantent grave. Impossible de prédire le bordel que ça va faire avec toutes ces forces qui s’emmêlent, ni de contrôler tous les dégâts encore planqués.
Les incendies qui couvent, on les voit pas encore. Ils mijotent peinards, pas encore flippants, et les mecs persuadés que tout est sous contrôle ont pas encore capté que ça risque de partir en sucette totale, genre faire écrouler les accords de Bretton Woods, l'économie rt le système de création monétaire mondial des banques centrales basés sur la dette !
Oh putain, je crois que je jouis déjà....

3 avr. 2025

1036. Le Bon, la Brute et le Vilain pas beau


(On Web version, use BlogTranslator dropdown menu on top-right of this post to read it in your language)

LE BON, LA BRUTE ET LE VILAIN PAS BEAU : 
Qu'est-ce qu'y faut faire ?

Il y a un an, avant que Trump soit officiellement dans la place, certains avaient déjà griffonné des trucs sur ce qu’il devrait faire. Avec les bagages marxistes en vigueur dans nos systèmes d'éducation – ouais, carrément – ils pouvaient pas s’empêcher de voir ça sous le prisme du pamphlet de Lénine, genre « Qu'est-ce qu'y faut faire, gros ? ». Voilà le topo de ce classique bien vénère :

1. Critique de l’économisme : un bon gros déni de réalité, pas juste niveau thunes, mais aussi bio, écolo, tout le bordel.
2. L’élite d’avant-garde : on dégage les élus et on balance une technocratie mondialiste, bien perchée et qui rend des comptes à personne.
3. Conscientisation politique : en gros, un lavage de cerveau du « prolo » avec de la propagande à fond, l’éducation bien orientée et une censure qui tape fort.
4. Leadership centralisé : centraliser le pouvoir partout où que c'est possible, genre « l’agence de casting du Forum économique mondial », vous voyez le délire.
5. Rôle des intellos : maquiller les faits bien concrets en histoires élastiques, avec des promesses mielleuses d’un futur paradisiaque et des cris d’alarme sur un présent bien pourri.

Tout ce que Trump incarne, c’est un gros doigt d’honneur à ce plan machiavélo-communiste. Un truc que l’État profond, les profs gauchos, les médias et les ONG mondialistes étaient en train de tricoter peinards.
Mais Trump, il est pas solo dans l’arène. Il surfe sur la vague d’un ras-le-bol qui monte contre ce futur rouge. Les conservateurs et les libertariens poussent comme des champignons en Amérique latine et en Europe. Chez nous, L’UE mord la poussière, pendant que le populisme cartonne au Royaume-Uni, en Allemagne, aux Pays-Bas, en France, en Italie, en Roumanie, en Hongrie, en Slovaquie… la totale, quoi.

Quand les States éternuent, le monde chope la crève, vous comprenez ?

LE BON
Trump et son équipe ont défoncé mes attentes les plus foldingues, dès ses premiers choix de casting. Et vlan, il a enchaîné à une vitesse folle.
Il nous a tous scotchés avec des décrets créatifs, genre annuler Roe vs Wade (droit à l'avortement gratuit garanti par Washington) – retour aux États, point barre. Virer le ministère de l’Éducation pour refiler le bébé aux États aussi, c’est ce qu'il fallait pour décentraliser.

Deux mois après, on voit ce qu'est arrivé aux plus grosses proies :
1. Immigration et sécurité aux frontières ? Nickel, ça roule !  
2. Expulsions massives de sans-papiers ? Oh que oui, dégagez !  
3. Fin du droit du sol et de la citoyenneté à la naissance ? Putain, enfin !  
4. Fermer et reprendre le contrôle de ministères entiers ? Trop de la balle !  
5. Bannir les trans des sports féminins ? Mais putain, heureusement !  
6. Grâces présidentielles ? Carrément !  
7. Relancer l’économie des ressources ? Top !  
8. Dégager le soutien aux délires DEI et discrimination positive ? Il était temps, bordel !

…mais y’a encore du taf, même sur ces trucs-là. Trump a été élu pour assécher le marais, tailler dans les règles, nettoyer l’armée, stopper les guerres à rallonge et remettre les finances US d’aplomb.

Une loi veut flinguer l’Agence de Protection de l'Environnement et refiler le bébé aux États, mais y’a encore trop de billets qui partent en fumée là-dedans.
La chirurgie trans pour les mineurs ? Interdite. Moi, j’irais même plus loin, pas juste un stop, je foutrais une interdiction totale et ferais en sorte que ces bouchers perdent leur plaque. Ils ont niqué le B.A.-BA de la médecine : « d’abord, ne pas nuire » ! Certains diront qu’un juge de la Cour suprême qui sait pas ce qu’est une meuf, c'est plausible vu que le mec est peut-être pas doué en anatomie, mais un médecin ? Impardonnable. Ces gars-là devraient être virés direct et jetés en taule en coups de pieds dans le cul.
La justice doit taper vite et fort – pas traîner des plombes ( « Pas de paix sans justice »). Tout politicard ou fonctionnaire qui a merdé doit être dans le viseur et prendre cher. Ça bouge déjà, mais on voit rien de concret pour l’instant.

Pour que Trump cartonne vraiment et change la donne, faut qu’il aille plus loin. Des cibles faciles, y’en a :
Pas de lois fourre-tout dites omnibus. Trump pourrait balancer une règle perso : « Moi, président, je signe pas ces pavés de merde en vrac. » Ces trucs, c’est la porte ouverte à la corruption et aux magouilles en vrac. Si un sujet vaut le coup, qu’on le vote à part, clair et net.
Interdire la confiscation civile des biens.. Nos biens, c’est nous. Faut les traiter avec les mêmes droits, point.
1. Auditer la Fed. Les libertariens et les conservateurs en rêvent depuis toujours.
2. Virer l’ONU de New York. Le Dakota du Nord serait pas si mal. Sinon, pourquoi pas Calcutta, Nairobi ou Gaza ? On rase les ruines et on reconstruit une Gaza toute neuve pour caser toutes leurs agences.
3. Repenser l’OTAN. Les States se font traîner dans des plans foireux par la France et le Royaume Uni, qui jouent les gosses capricieux. Faut les lâcher, qu’ils se démerdent.
4. Légaliser les monnaies en or ou argent. Casser le monopole des billets bidons.
5. Calmer les lobbyistes. 4,4 milliards par an pour pourrir le jeu politique ? Faut du clair : si t’as accepté des bribes, tu votes pas sur le sujet. Simple.

Si je comprends bien, tout ça peut passer par décrets. Le reste, c’est plus chaud, mais tout aussi important.


LA BRUTE
Ce qui reste dans les tuyaux :
1. Les Amerloques et l'impôt sur le revenu (IRS). Faut une réforme fiscale qui déchire : un taux fixe, une page, basta. Les gens aimeraient ça et ça boosterait l'emploi. Les statistiques disent qu’ils perdent 546 milliards par an à cause de ce merdier fiscal – 7,9 milliards d’heures gâchées, 413 milliards de productivité dans le vent, plus 133 milliards en logiciels et experts. 2 % du PIB, vous imaginez ? Même un petit lifting façon DOGE, ça ferait du bien.
2. Syndicats. Comme Franklin Roosevelt l’a dit, faut dégager tous les syndicats du secteur public. Ça rendrait les services plus réactifs, moins figés.
3. Limites de mandat. Pour les deux chambres, et pourquoi pas un âge max à la Cour suprême.

LE VILAIN PAS BEAU
Là, ça va secouer sévère. accrochez-vous ! Le libéralisme occidental esquive les racines du mal :
1. Soins de santé ? Les licences professionnelles et les Ordres des Médecins..  
2. Big Pharma ? Les brevets et patentes.  
3. Malbouffe ? Les subventions agricoles.  
4. Clash idéologique ? L’éducation « gratuite ».  
5. Guerres mondiales ? L’arrogance occidentale incontrôlée.  

Quelle arrogance ? L’État profond qui fait sa loi.
Arracher ces racines, c’est pas une partie de plaisir. 
Finir les guerres à n’en plus finir et calmer les délires géopolitiques, c’est ça que les Amerloques veulent. Le monde multipolaire, c’est pas l’ennemi, faut l’accepter. Un peu de compète entre institutions, ça ferait du bien à tout le monde.
La grandeur des States, c’est pas de dominer les autres, c’est de les respecter. Un respect cramé par des décennies de politique étrangère à la con. Réparer ça, c’est pas du gâteau. Thatcher a dit un jour : « Un bon gouvernement, c’est celui qui prend des décisions dures pour le long terme. » J’ajouterai : Pas de prospérité sans paix et sans respect des autres.

…mais bon, c’est juste mon avis. Si je rêve, mordez-moi !