Bienvenue, curieux voyageur

Avant que vous ne commenciez à rentrer dans les arcanes de mes neurones et sauf si vous êtes blindés de verre sécurit, je pense qu'il serait souhaitable de faire un petit détour préalable par le traité établissant la constitution de ce Blog. Pour ce faire, veuillez cliquer là, oui là!
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5 sept. 2025

1107. La Guerre contre le Bon-Sens


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Y en a qui jasent sur la guerre comme si que c’était un feuilleton Netflix, persuadés que ce sont toujours "les autres" qui mettent le feu aux poudres. Pendant ce temps, ils scrollent sur leurs écrans, gobant les fake news de LCI ou de BFM et rigolent des "théories du complot". Réveillez-vous, les amis ! Les marionnettistes qui dirigent le monde ont déjà réservé vos places au premier rang de leur grand cirque guerrier, et vous, vous applaudissez en pensant que c’est juste un mauvais buzz sur X.

LA GUERRE CONTRE LE BON SENS

L’Europe, c’est le Titanic en pleine croisière, avec une élite aux manettes qui préfère réarranger les chaises longues plutôt que d’éviter l’iceberg. Ces "génies" sont prêts à jeter le peuple dans le grand bain pour sauver leur trône doré. Sous couvert de "valeurs" et de menaces sorties tout droit d’un film de science-fiction, ils nous embarquent dans une spirale de crises et de guerres. Les réalités sociales, économiques, humaines ? Ils s’en tapent royalement. Le peuple, lui, n’a rien demandé, mais c’est lui qui trinque, otage d’un jeu d’échecs où il n’est qu’un pion. La solution ? Bouger nos fesses, ensemble, avant que ces clowns ne réduisent tout en cendres.

Nos chers dirigeants vivent dans une réalité parallèle, un monde où leurs fantasmes idéologiques tiennent lieu de GPS. La multipolarité ? Ils ne connaissent pas. Ils s’accrochent à leur bulle comme des gosses à leur doudou, voyant des complots russo-chinois derrière chaque arbre. Leur arrogance est telle qu’ils croient pouvoir remodeler le monde à coups d’ingérence et de sermons. Résultat ? Ils ont réussi l’exploit de souder des puissances qu’ils méprisent en un bloc qui leur fait un gros doigt d’honneur planétaire.

Leur stratégie ? Allumer des incendies et hurler "au feu !" comme s’ils n’avaient rien à voir avec la boîte d’allumettes. Paniqués, ils misent tout sur la guerre, comme un joueur fauché qui double la mise avec l’argent des autres. Et les autres, c’est nous, les Européens, sacrifiés sur l’autel de leur incompétence. Pour eux, ce n’est pas notre avenir qui compte, mais leur survie politique. Quitte à faire exploser ce qui reste de la civilisation européenne, tant qu’ils gardent leurs fauteuils.

Ils jouent les cachottiers, mais leurs manigances puent à des kilomètres. Ces élites, déconnectées de tout sauf de leurs comptes offshore, foncent tête baissée dans un conflit mondial qu’ils ont allumé avec soin. Représenter le peuple ? Ils s’en contrefichent. Ils servent un ordre oligarchique qui pille nos ressources, planque son fric et se moque de la morale. Leur "politique" ? C’est la gestion d’un empire en ruines, prêt à tout pour ne pas rendre de comptes.

Cette guerre qu’ils nous préparent n’est pas une réponse à une menace, mais un écran de fumée pour planquer leur fiasco total – économique, social, moral. C’est leur plan B foireux pour masquer des décennies de choix catastrophiques. La guerre, c’est leur joker pour faire diversion, noyer leurs bourdes dans le bruit des explosions et serrer la vis sur une population réduite à regarder le spectacle, la bouche ouverte, en payant les pots cassés.

Ce n’est pas une guerre contre un ennemi extérieur, c’est une fuite en avant pathétique. Ils ont besoin de ce chaos pour éviter de regarder leur échec en face. Leur modèle ? Un désastre rongé par le néolibéralisme sauvage, l’injustice sociale et une dette qui étrangle tout le monde sauf eux. Pendant ce temps, des puissances comme la Chine, la Russie ou l’Inde avancent, et nos élites, incapables de suivre, préfèrent tout faire sauter plutôt que d’admettre qu’ils ont perdu la main.

Ils veulent la guerre, pas pour nous protéger, mais pour nous distraire. Pas pour libérer, mais pour nous enchaîner. Pas pour unir, mais pour écraser toute voix qui ose la ramener. Une guerre pour réécrire l’histoire, pour faire oublier qu’ils ont vendu notre souveraineté, pillé nos économies, empoisonné notre bouffe et marchandisé notre santé. Et maintenant, ils veulent notre avenir. 

Parce que la peur ne suffit plus, ils passent à la vitesse supérieure : la violence, bien organisée, bien institutionnalisée. Peu importe que les caisses soient vides, les hôpitaux en ruine, les services publics à l’agonie. Les priorités, c’est missiles à gogo, subventions pour des salaires à l’étranger, et précarité pour les travailleurs d’ici. Pendant qu’ils financent la guerre, nous, on galère avec des impôts qui nous étouffent et une vie qui ressemble à une partie de Monopoly truquée.

L’Europe ? Un pion sur l’échiquier de l'état profond américain. Nos dirigeants suivent la feuille de route des néo-conservateurs comme des toutous bien dressés, prêts à transformer le continent en champ de bataille pour une guerre qui ne nous concerne pas. Contenir la Russie aujourd’hui, taper sur la Chine demain, et tant pis si l’Europe finit en cendres. Les décisions se prennent à des milliers de kilomètres, loin de nos galères quotidiennes.

Bruxelles, ce soi-disant temple de la paix, s’est transformé en QG de la guerre. Les mots "soutien inconditionnel", "sanctions massives" ou "envoi d’armes" ont remplacé toute idée de diplomatie. L’Europe est devenue une machine à broyer les libertés, un laboratoire de techno-dictature où l’immigration n’est qu’un outil pour maintenir un marché du travail précaire et pour diluer les nations, et où la pensée unique règne en maître. Tout ça sous des tonnes de lois et de données pour nous faire taire.

La presse, fidèle toutou des puissants, nous vend du vent : la Russie serait derrière tous les maux, des pannes de GPS aux cauchemars de nos élites. Mais la réalité, la vraie, celle des factures impayées et des espoirs brisés, ils l’ignorent. Ils préfèrent leur fiction sécuritaire, justifiant censure, surveillance de masse et militarisation à outrance. Ce n’est pas une guerre contre la Russie, c’est une guerre contre nous, contre la réalité. Une réécriture orwellienne où tout est truqué pour servir un pouvoir qui n’a plus peur de se contredire. Pendant qu’ils agitent le drapeau de la guerre, ils ne craignent qu'une chose : que le peuple se réveille et dise STOP. Stop à cette guerre qui n’est pas la nôtre. Stop à leurs sacrifices insensés. Stop à cette comédie tragique jouée sur notre dos, stop à leur immigration imposée. 

L’Histoire ne va pas nous attendre. Elle jugera, mais à quel prix ? On est à la croisée des chemins. Rester spectateurs ou prendre les rênes ? Laisser ces élites nous écraser ou leur montrer qu’on n’est pas leurs pions ? Le temps de l’inaction est fini. Si on veut sauver ce qui reste de nos sociétés, de nos libertés, il faut se bouger, dire non à cette guerre, exiger une paix qui ne soit pas un slogan vide. Les élites doivent rendre des comptes, et leur impunité doit cesser. Le temps presse. On peut encore changer la donne, mais la fenêtre se referme. C’est à nous de décider : plier ou résister. Sauver notre avenir ou le laisser partir en fumée. Alors, on fait quoi ? On continue à scroller ou on se lève pour dire "ça suffit" ?

1 sept. 2025

1105. Pourquoi suis-je si négatif ?


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POURQUOI SUIS-JE SI NÉGATIF ?

J'ai un livre en tête, tellement glauque qu’il pourrait faire passer un film d’horreur pour un épisode de Teletubbies, plus sombre que celui-là tu meurs. Je garde cette idée en tête depuis que je l'ai lu, car je suis toujours pas certain que les gens puissent s'y identifier. C'est un livre bouleversant ; un truc qui vous colle au cerveau comme une vieille chanson pop merdique, mais en version cauchemar. C'est pas un hasard s'il a fallu 176 ans pour qu'il soit traduit hors des frontières de l'hexagone.

Je veux parler de « La Philosophie dans le boudoir » du Marquis de Sade (in english Philosophy in the bedroom ). Je suis moi aussi assez « négatif » dans mes écrits, vous l'aurez sûrement remarqué si vous trainez vos savates sur ce blog depuis un certain temps, parfois même aussi joyeux qu’un enterrement sous une tempête de grêle. Ce qui est intéressant, c'est que je suis probablement la personne la plus optimiste qu'on puisse rencontrer. Je suis optimiste, merci à Trump, Poutine et RFK.Jr sur ce que 2025 et 2026 ont des chances d'apporter à notre planète. ! Voyez que je peux positiver aussi !

Il y a d'innombrables choses qui peuvent me rendre jovial, mais la politique en fait pas partie, pire que ça, elle me donne des boutons.
Pour paraphraser Trotsky qu’était pas franchement un rigolo, même si je m'intéresse pas à la politique, j'ai capté que la politique s'intéressait à moi. 
Je souhaite rien de plus que de vivre dans un monde où je puisse l'oublier, mais je suis pas assez débile pour me voiler la face et prétendre que tout va bien pendant que le monde part en vrille.

Mais je peux pas non plus me permettre de couper tout lien avec la civilisation. Ça me priverait de la plupart des choses qui peuvent me rendre heureux. J'adore voyager et découvrir de nouvelles cultures. Je pourrais pas vivre sans musique. J'aime lire et regarder de bons films. J'aime apprendre et tenter l'impossible : satisfaire mon insatiable curiosité. J'aime observer l'évolution des sciences et des technologies. J'aime la moto, l'écriture, la guitare, la poésie et j'en passe. J'aime la bonne bouffe et une bonne bière entre potes. Je suis une personne heureuse et sociable, mais je ne peux pas faire comme si que tout allait bien quand le monde autour de nous est en train de sombrer. je peux pas faire semblant que tout est rose quand le monde autour de nous coule comme le Titanic, avec les politicards qui jouent du violon sur le pont. Je ne peux pas non plus rester silencieux. La réalité est la même pour chacun d'entre nous, ce qui diffère, c'est notre rapport à elle. 

L’élément le plus important des différences est que, tandis que la réaction de la gauchiasserie globaliste ou ignorante est la panique et/ou le déni, la réaction de la droite patriote est l’alarme et la préparation.

Ceci étant dit, jetons un œil à ce livre : Ce bouquin a été écrit 6 ans après le coup d'état Franc-Maçon de 1789, mais n'a été traduit à l'international qu'en 1971. Qualifier ce livre de dérangeant est un euphémisme. Ce qui le rend horrifiant, c'est pas les perversions sexuelles extrêmes qu'il décrit avec tous leurs détails sordides, mais les arguments terriblement convaincants et articulés, voire éloquents, qui les justifient. 

Le message est le suivant : tout est permis. Tant que ça vous plaît et que vous pouvez vous en sortir sans risquer la potence ou la lapidation, faites-le ! Vous, vos besoins, la protection juridique et la force nécessaire pour les satisfaire devraient être vos seules préoccupations. Aucun scrupule « moral » ne devrait jamais s'immiscer dans la satisfaction de vos désirs.

Ce livre est une ode à la sociopathie narcissique, un rejet de toutes les normes sociales en faveur d’un égoïsme absolument sans contrainte et je suis quasiment sûr d'être certain que c'est un des favoris de Jack Lang et de son cercle d'amis.

Le libertinage, comme l'expression elle-même, est un rejeton des Lumières, vous savez, ces grands malades nommés Rousseau, Diderot, Voltaire et j'en passe. Il était déjà bien développé et pratiqué bien avant le coup d'état maçonnique cité plus haut et, selon les historiens, la décadence morale qu'il incarnait contribua aux nombreuses causes de la révolution.

Le libertinage représente la liberté de pouvoir faire tout ce qu'on veut sans entrave ni sans réciprocité. Les éléments qui ne sont pas (suffisamment) abordés sont les implications de ce pouvoir sans entrave. Comment ça conduit inévitablement à des horreurs telles que les atrocités des révolutions françaises (les massacres de Vendée et la Terreur) et les massacres totalitaires du XXe siècle .
Comment ça mène inévitablement à une spirale où pouvoir et immoralité se nourrissent mutuellement. Parce que, surprise, quand tu donnes un pouvoir sans limites à des gens sans scrupules, ça finit toujours en bain de sang.

J'ai lu « La philosophie dans le boudoir » dans les années 2000, après avoir eu l'occasion d'en apprendre davantage sur la nature du mal, du sadisme et de la sociopathie dans ma propre vie. En tant qu'ex-capitaine de marine marchande et Biker, je peux dire sans exagérer que j'ai été exposé à plus de réalité que la plupart des normies. Pourtant, malgré toute ma compréhension, rien ne m'a autant convaincu que « La philosophie dans le boudoir ». Rien ne m'a autant marqué que cette phrase: « Il faut regarder dans l'abîme si on ne veut pas tomber dedans ».

Si vous me demandez si je crois à l’existence du mal « originel », vous serez pas le premier, et probablement pas la dernière non plus.
Ma réponse sera à côté de la plaque, car je comprends pas vraiment le sens de cette question.
Je crois pas aux « absolus » ni aux « originels », car ils impliquent un degré de finalité et d'inévitabilité, qui peut servir d'excuse. Le mal et le bien sont tous deux relatifs, car ils sont liés à des choses extérieures à eux-mêmes. Ils ne peuvent être interprétés qu'en relation avec d'autres actes. Ceci dit, je crois fermement en la capacité de l'homme à être mauvais et à produire du mal.

Je crois aussi, très fermement, que le mal, les mauvaises choses, les aspects négatifs doivent être vus, compris, dénoncés et affrontés chaque fois que c'est possible. Et une chose est sûre : l’homme est champion pour faire des saloperies. Donc je crois dur comme fer qu’il faut regarder le mal en face, le nommer, le dénoncer, et lui rentrer dedans.
Par exemple, il y a rien de mal à informer les ignorants que Macron est un psychopathe sodomite, que sa 1ère dame est un vieil homme pédophile, que la plupart de nos représentants élus, aussi bien à Paris qu'à Strasbourg, sont des pourris corrompus, que Bill Gates et Soros sont des fils de putes, que Zelensky est un enculé de vendu, que Bibi Netanyahou est un putain de khazar sioniste même pas sémite comme 90% de ses compatriotes, que Buzyn et Véran sont des criminels et je parlerai même pas des plateaux de BFM ou de LCI tellement que c'est évident qu'ils sont remplis de couilles molles et de salopes.

Le déni, le détournement de regard et le fait de faire semblant de rien voir ne feront qu'encourager davantage de mal, davantage de mauvaises choses et d'atrocités auxquelles nous serons toujours confrontés. Il n'y a pas d'endroit sûr.

Se montrer négatif à propos de saloperies et de salopards est une bonne chose.

24 août 2025

1101. Big Brother veut ton selfie

 

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BIG BROTHER VEUT TON SELFIE

Nous devrions probablement quitter Internet. Ou pas, parce que, franchement, qui a le temps pour ça ?
Et voilà le grand complot pour "protéger les enfants" en espionnant tout le monde

23 août 2025, parce que, apparemment, le monde s’effondre en une semaine chrono. Oh, regardez-moi ça ! En SEULEMENT SEPT JOURS, le monde occidental a eu une illumination divine : les enfants existent sur Internet ! Quelle découverte époustouflante ! Après des décennies à laisser les prédateurs numériques se balader comme des touristes en tongs, à collecter les données des gamins comme des cartes Pokémon et à programmer des algorithmes pour transformer les ados en zombies accros aux écrans, nos chers gouvernements se réveillent soudainement avec une mission sacrée : « Protégeons les enfants ! » 

Pitié, passez-moi un kleenex, je suis tellement ému que j'ai les fesses qui suent. Si cet article vous donne des frissons de révolte, aimez-le, partagez-le, parce que, soyons honnêtes, ça changera probablement rien, mais ça fera super plaisir à mon ego surdimensionné. Et puis, ça lutte contre la censure, ou un truc dans ces eaux là. Youkaîdi !

13 août 2025 : YouTube, dans un élan de patriotisme digne d’un blockbuster hollywoodien, exige maintenant une carte d’identité pour regarder des vidéos de chatons  qui tombent des tables. God Bless America ! Liberté, courage, et… vérification d’identité pour du contenu en 480p. 

Le Royaume-Uni, jamais loin derrière, veut interdire les VPN, parce que pourquoi se contenter de murs quand on peut aussi brûler les échelles ? L’Irlande, elle, propose de scanner vos pensées avant que vous ne les tapiez – génial, non ? L’Australie interdit YouTube aux moins de 16 ans, parce que, visiblement, regarder des tutos Minecraft est une menace nationale. 

Et l’UE, fidèle à son amour pour les lois poussiéreuses, ressuscite des règles de surveillance dignes d’un méchant de James Bond. Tout ça en sept jours. Bravo, les gars, vous avez battu le record de la panique autoritaire.
Perso, je suis prêt à tout plaquer. Internet ? Poubelle. Blogspot ? À la trappe Et même Telegram s’ils osent demander ma carte d’identité ou mon permis d'écrire. Je suis prêt à vivre comme un ermite numérique, à graver mes posts sur des tablettes d’argile si ce besoin devient nécessaire. 

Vive la liberté ! Toutes ces plateformes qui se plient comme des roseaux sous la tempête méritent un boycott cataclysmique, genre le boycott des cartes bancaires prévu pour le 10 septembre puissance 10. Pas un petit « je désinstalle l’appli » discret, non, un exode biblique, une chute des actions qui fera pleurer leurs actionnaires dans leurs pentachaumières de Dubaï. 

Ce qu’ils veulent vraiment ? Oh, rien de bien méchant : juste scanner votre visage en continu pendant que vous regardez des niaiseries. Mesurer vos pupilles, analyser vos micro-grimaces, et transformer vos émotions en un joli tableur Excel pour leurs algorithmes. Adorable, non ? 

Apple, ces gentils philanthropes qui fabriquent des iPhones dans des usines avec des filets anti-suicide, a quand même eu le culot de dire non au gouvernement britannique. Chapeau, les gars, vous êtes quasi-presque des héros. Pendant ce temps, Spotify verrouille votre playlist de death metal derrière une vérification faciale. Parce que, oui, écouter du Metallica ou Marilyn Manson, c’est apparemment une menace pour la société. Imaginez Beethoven obligé de montrer son passeport pour jouer sa Neuvième. Ou Bob Dylan scannant sa rétine pour chanter Blowin’ in the Wind. Poétique, non ?

Ils protègent pas les enfants. Ils protègent leur petit pouvoir chéri. Chaque chanson rebelle, chaque post qui ose critiquer le système doit d’abord passer par leur base de données biométriques. Bien essayé, les gars. Supprimez Spotify, achetez des vinyles, piratez votre musique comme en 2005. Un peu d’effort, et hop, la liberté, la vraie, pas celle qu’on vous vend à 9,99 € par mois.

Au pays de Keir Starmer, 913 enfants meurent chaque année par automutilation ou suicide. Septième cause de mortalité infantile, juste après les accidents de bagnole et les cancers. Est-ce que le gouvernement a lancé une croisade contre les routes mal sécurisées ou les hôpitaux sous-financés ? Haha, bonne blague. Non, ils préfèrent scanner vos gueules pour vous empêcher de lire un thread sur Reddit. 

Pendant la plandémie de COVID qu'ils ont eux-mêmes orchestrée, ils ont enfermé les gosses chez eux, détruit leur santé mentale, saboté leur éducation, et maintenant ils blâment TikTok. Classique. Et pendant qu'en Angleterre, Channel 4 diffuse du porno soft à 21h, ils exigent une vérification d’âge pour regarder un tuto de tricottage. Logique imparable. 

Et qui récupère vos données ? Pas votre gentil gouvernement, non, non. Ce sont des boîtes privées, avec des CV qui sentent le renseignement militaire à plein nez. Authentics, dirigée par un ancien de l’unité 8200 israélienne, et AU10IX, encore des copains du Shinbet. Ils créent des « jumeaux numériques » de vous, des profils biométriques pour chaque fois que vous voulez tweeter une blague sur les chats. Rien de flippant là-dedans. 

Votre carte d’identité pour écouter du rap sur Spotify ? Elle ne va pas à Cupertino, elle atterrit direct dans une base de données d’espions. Youpi, la fête continue ! 300 000 Britanniques ont uploadé la bouille à Keir Starmer juste pour troller et saturer les systèmes de vérification. Chef-d’œuvre. Bravo les angliches ! Norman Reedus de Death Stranding est devenu l’icône improbable de la rébellion. C’est presque trop beau. Mais vous inquiétez pas, le système s’adapte. Bientôt, ce sera un scan facial en temps réel pendant que vous regardez une pub pour du shampoing. Vos émotions ? Monétisées. Votre attention ? Quantifiée. Votre liberté ? Lol, c’était quoi ce truc, déjà ?

Ils ne se soucient pas des enfants. S’ils s’en souciaient, ils n’auraient pas transformé la COVID en prison pour gamins, ignoré les vraies causes de mortalité infantile, ou diffusé du contenu explicite à l’heure du dîner. Ils ne veulent pas protéger, ils veulent contrôler. Internet est devenu trop puissant, trop libre, trop… dangereux pour eux. Printemps arabe, Occupy, WikiLeaks, GameStop, Brexit, Trump – tous ces moments où les gens ont osé penser par eux-mêmes. Quelle horreur ! 

Internet, c’est le pouvoir des gens, et ça, ils ne peuvent pas le tolérer. Google, ces gentils philanthropes du capitalisme de surveillance, a lancé son API d’identification numérique il y a onze mois. Quelle coïncidence ! Ils créent les lois, fournissent la tech, et facturent chaque clic. Votre existence ? Un abonnement Netflix. Votre vie privée ? Un péage à 2,99 balles par jour. Bienvenue dans le futur.

On a besoin d’un autre Internet. Pas un vague protocole à la mode, non, un truc parallèle, chiffré, décentralisé, où on peut parler sans qu’un algorithme ne vienne vérifier si on a le droit d’avoir une opinion. Les Amish avaient raison, finalement. Ils ont vu le piège venir et ont dit : « Non, merci, on va tricoter. »

Mais soyons sérieux deux secondes : on est à deux doigts du score de crédit social. Vérification d’âge aujourd’hui, interdiction des VPN demain, et après-demain, votre tweet sur le prix du pain sera refusé parce que votre score d’obéissance est trop bas. Youpi, la dystopie party ! Et pendant ce temps, Roblox, cette plateforme pour gosses qui vaut 25 milliards, attaque en justice les gens qui dénoncent les prédateurs pédophiles sur son site. Pas les prédateurs eux-mêmes hein, juste ceux qui les dénoncent. Logique. Montrez des preuves de grooming de gosses ? Poursuites. Exiger un scan facial pour lire Wikipédia ? Mesure de sécurité. Tout va bien dans le meilleur des mondes.
Les plateformes comme Roblox adorent le danger, juste assez pour faire peur, pas assez pour fermer boutique. Les gouvernements adorent les scandales, ça justifie leurs joujoux de surveillance. Et les boîtes de renseignement ? Elles transforment vos données en or massif. Tout le monde gagne, sauf vous. 

Et les enfants ? Lol, qui ? Les héros qui dénoncent les vrais problèmes ? Ils se retrouvent avec des avocats à payer. Les plateformes qui laissent les prédateurs courir ? Protégées par les lois. Et pendant ce temps, on vous demande votre passeport pour lire un article sur les bienfaits du yoga ou du miel d'acacias. Magnifique.

Alors, quoi ? On abandonne Internet ? Pff, dramatique. Le vrai Internet, celui où on s’organise, où on résiste, c’est notre dernier bastion. Boycottez les plateformes qui demandent votre ADN pour un like. Faites chuter leurs actions. Ignorez leurs règles. Créez vos propres réseaux, vos propres serveurs, vos propres règles. La révolution, c’est maintenant, pas après la prochaine mise à jour de leurs conditions d’utilisation. Ils veulent jouer les papas protecteurs ? Qu’ils surveillent des plateformes vides. Qu’ils scannent des fantômes. Qu’ils vérifient l’identité de personnes absentes ou d'ectoplasmes. Résistez. Boycottez. Criez. Pas demain. Maintenant. Parce que sinon, vos gosses grandiront dans un monde où que chaque pensée devra être approuvée par un algorithme. Sympa, non ?

Choisissez la liberté. Ou choisissez la commodité et regardez vos rêves devenir un service par abonnement. À vous de juger. À vous de jouer.

22 août 2025

1100. Washington 2025 : Ré-Capitulation d'une Mascarade


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WASHINGTON 2025 :
Ré-Capitulation d'une Mascarade

Trump flingue Zelensky : " T’as voulu jouer les caïds, t’as tout perdu, mon gars !"Alors là, Volodymyr, t’as cru que t’étais le héros d’un blockbuster Hollywoodien ou quoi ? T’as déclaré la guerre à la Russie, genre "j’vais tous les niquer", et maintenant, t’es là, à pleurnicher dans les jupons de Washington et Bruxelles pour quémander des thunes et des flingues. Bravo, champion ! Regarde ton Ukraine : un champ de ruines, des millions de gens qui se barrent, une économie qui fait pitié. 

T’as tout misé sur ta gueule de star devant les caméras, mais t’as oublié un détail : t’es pas Tony Stark, mec, t’es juste un pion ! T’as cru que l’OTAN, l’UE et les faucons de l'état profond ricains allaient te porter sur un trône doré pour avoir russophobé et massacrer les civils du Donbass pendant 8 ans dans le seul but d'inciter Poutine à intervenir ? Erreur fatale, frangin ! Les sanctions n'ont pas fonctionné, Bruno Lemaire a eu tout faux. T’as été manipulé comme une marionnette par ces vautours qui s’en battaient les couilles de ton pays.
C'était  écrit d'avance. Résultat ? Ton armée est en PLS, ton territoire est en lambeaux, et ton peuple te regarde comme un enculé de vendu à qui on avait promis la lune mais qu'a livré qu'un tas de gravats et 1.7 millions de soldats morts et/ou disparus dans ton camp, sans compter les blessés et les mutilés. Parce que oui oui, mon pauvre Volo, les chiffres planqués dans ton ministère de la défense ont été piratés et divulgués à la planète entière. Bien joué, maestro !

Le pire, c’est que t’avais des occases en or pour négocier la paix au début, mais non, toi, t’as écouté les promesses bidon de tes potes occidentaux, Biden, les Angliches et l'UE. Maintenant, t’es à sec, t’as plus rien dans le calbute à proposer, à part une capitulation déguisée en "super accord de sécurité". Mon pauvre Volo, tout le monde voit clair dans ton petit jeu foireux ! T’as transformé l’Ukraine en terrain de jeu pour les gros bonnets de l’Occident, et eux, ils vont bientôt se casser en te laissant seul face à Poutine, sans thunes, sans soldats, et avec une carrière politique qui sent le sapin. T’as tout gagné, pantin !"

Europe : l’UE, le pigeon de service, va raquer avec un sourire crispé ! 
Attendez, matez-moi cette scène digne d’une comédie bien naze ! La fine équipe des bras cassés qui se prennent pour les boss de l’Europe s’est pointée chez Trump, genre " on va lui montrer qui c’est qu'est les patrons ". Sauf que, oups, ils étaient même pas invités ! Ils ont dû se faufiler par la porte de service, reçus par une secrétaire peroxydée, avant de poireauter comme des glands dans l’antichambre. Et là, boum, Trump les a accueillis en mode " je vais vous éclater la tronche avec un sourire". Chacun a pris sa petite claque personnalisée, histoire de bien leur faire renifler la honte ! Et devinez qui qu'ils ont ramené dans leur équipe de bras cassés ? Le président finlandais, un mec qui représente que dalle, un figurant homo qui passe ses journées à taper des balles de golf et à mater le fion et l'entrejambe des autres joueurs. Ils se sont dit : " Oh, vu qu'il a déjà joué au golf avec Trump, ça va le faire !" Sauf que Trump, en mode troll ultime, a fait semblant de pas le reconnaître. La loose totale ! 

Macron a eu droit à une flatterie bien méprisante, genre "Oh comme t’es mignon avec ton bronzage", et Ursula von der Leyen, la reine des gaffes, s’est pris un combo spécial : Trump s’est foutu de sa gueule en la qualifiant de "super négociatrice" après qu’elle a signé le traité le plus foireux (1300 milliards + 15% de frais de douanes) du 3ème millénaire. Et quand elle a voulu parler des gosses ukrainiens, il l’a envoyée bouler direct. Cerise sur le gâteau : il l’a virée de la réunion parce qu’elle représente que dalle vu qu'elle est pas une dirigeante. Franchement, Ursula, t’as un problème avec la dignité ou quoi ? T’aimes te faire marcher sur les nibards, c’est ça ? Les Chinois t’ont déjà humiliée, et t'en redemandes, pov' tarte !

USA : Trump, le roi du vent, remet la despote blondasse à sa place ! 
Sérieux, ce sketch était tellement énorme que même les spectateurs en ont eu le souffle coupé quand ils ont pas lâché une prune en se tordant de rire ! La presse européenne, LCI en tête, ces champions de la désinfo, a fait genre "nan, tout va bien", mais personne n’est dupe. Les larbins de l’UE sont venus se faire remettre à leur place par le boss Trump, qui leur a bien rappelé qui c’est qu'est le patron. Sur la photo, on les voit tous baisser les yeux, en mode "j’regarde mes pompes, je fais profil bas"

Et le meilleur ? Un certain Poutine, le grand méchant loup qui bouffe des bébés selon les médias, un ogre selon Macouille se confiant à Darius Rochebin, l'irano-suisse de LCI tricard à la RTS, la radio-télé suisse, pour agressions sexuelles sur des jeunots, avait prédit tout ça ! Non mais c'est dingue quand même que Manu soit entouré que par des homos, des trans, des pervers et des pédos... Mais bon, revenons à nos moutons, pas besoin d’une DeLorean pour voir l’avenir, juste un peu de bon sens pour capter que cette bande de guignols et de tarlouzes allait se faire démonter.

France : Macron, le roi des pirouettes, entre gesticulations et courbettes.
Et là, gateau sur la cerise, on reparle de Poutine, le mec que tout le monde dépeint comme un monstre, qui avait déjà tout capté en février. Dans une interview, il balançait cash : "Les Européens ont chié sur Trump, ils ont soutenu Kamala Mala Harris à fond, mais Trump, avec sa grosse personnalité, va vite leur rappeler qui qui commande. Vous allez voir, ils vont tous ramper à ses pieds en remuant la queue." Et boum, il avait raison ! Pas besoin de boule de cristal, juste un peu de jugeote pour voir que cette coalition de pieds-nickelés allait se faire laminer par le Donald Duck.

Et oualà, le rideau se déchire, la lumière crame la rétine des gogos qui croient encore au Père Noël et à la grande fraternité transatlantique. Avec un peu de recul – celui des mecs qui zappent les infos en sirotant une bière, pas du lait chaud comme des bébés – le grand cirque post-Trump, c’est d’une clarté à nous faire marrer ou chialer, au choix.

Flashback, les gars. L’orange fluo en chef, le roi du bronzage en spray, qui se pointe à Kiev comme une rockstar, juste avant de remonter sur le trône. Nous, les petits Européens, naïfs comme des premières communiantes, on se demandait : « C’est quoi ce plan tordu ? » Eh ben, la réponse, elle est simple comme une vanne de comptoir, à s’en taper les cuisses ou à s’arracher les cheveux.

France : Macron, le roi du salto diplomatique, entre discours de warrior et courbettes de larbin
D’après des sources aussi fiables qu’un pari sur la météo russe, voilà comment ça s’est passé : Trump, avachi, les pompes sur le bureau, un Big Mac dégoulinant dans la main : « Écoute bien, Volodymyr, mon pote. Fini le cirque de la charité à la sauce Biden, le roi des magouilles. Terminé, les billets imprimés en mode photocopieuse pour aller cramer dans le Donbass. Nous, les vrais, les caïds du business, on donne plus que dalle. On vend ! C’est propre, c’est net, c’est capitalisme pur jus ! »
Zelensky, avec son treillis plus stylé que la perruque à Chibritte, un éclair de génie dans les yeux après deux shots de vodka : « J’kiffe grave, mec ! Concept de ouf ! On achète, et devinez qui c'est qui raque ? Les pigeons de l’Europe Unie ! »
Silence. Puis un check transatlantique qui claque comme un coup de tonnerre jusqu’aux bureaux moisis de Bruxelles.

Et là, mes neveux, le génie de l’arnaque explose comme un feu d’artifice discount. 
Pendant que nos champions de l’UE, la dream team Macron-Von der Leyen, jouent les cowboys en costard sur la scène mondiale, signant des chèques avec NOTRE fric – ouais, le nôtre, celui de notre feuille d’impôts – le duo Trump-Zelensky a bouclé le deal du siècle. L’UE, dans son rôle préféré de dindon de la farce, se crève à financer une guerre où l’oseille finit direct dans les poches des usines à flingues américaines. On paye l’Ukraine, qui paye les States, qui nous envoient une facture avec un sourire de requin. C’est rond, c’est beau, c’est une arnaque de haut-vol !

Macron, le grand gourou de la « souveraineté européenne » – qui achète ses bateaux aux Émirats et son gaz au Qatar, lol – et Von der Leyen, la reine des chèques en blanc, sont les Dalton de ce western foireux. Ils braquent la caisse de l’Europe pour engraisser les autres, tout en se prenant pour des super-héros. Ils sprintent devant le train en pensant le tirer, sans capter qu’une locomotive trumpiste les pousse direct dans le ravin de la loose stratégique.

Europe : Les Dalton de l’UE, en tournée à Washington pour éviter que Volo Dalton se fasse latter par Lucky Luke. Alors, les gars, ça vous branche d’être les pigeons de luxe, les portefeuilles ambulants, les bouffons officiels d’un jeu géopolitique où que vous êtes juste la monnaie d’échange ? Trump veut arrêter la guerre, qu’il dit. PTR. Il a juste lancé une nouvelle baston, version virtuelle, une « guerre de sécurité » bien juteuse. 
Il a pas arrêté le conflit, il l’a mis sur PayPal ! Et nos chefs, coincés dans leur délire de grandeur, lui ont refilé le terminal de paiement sur un plateau d’argent.

La blague est énorme, mais c’est nous qui casquons. Et elle coûte cher, la vanne : 150 milliards par an, drones inclus, en plus des 600 milliards pour le gaz US et les 700 milliards d'investissement aux States. Alors, on dit merci qui ? Merci Trump, merci les nôtres, et surtout, merci à nous, les champions du chèque en bois !

19 août 2025

1098 Une offre qu'on peut pas refuser

 

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UNE OFFRE QU'ON PEUT PAS REFUSER

Volodymyr Zelensky, la star du psychodrame ukrainien, s’est traîné jusqu’à la Maison Blanche pour une petite leçon de realpolitik par le grand maître Trump en personne. Apparemment, Donald lui a lu le règlement intérieur comme on lit un conte de fées à un enfant turbulent, histoire de lui rappeler qui c'est qui commande. Peu de jours avant, quelque part dans les étendues glacées dégelées de l’Alaska, Trump, dans un éclair de génie digne d’un philosophe, avait réhabilité Vladimir Poutine sur la scène internationale et décrété qu’un cessez-le-feu, c’était de la merde. Pourquoi ? Parce que sept tentatives foireuses ont déjà prouvé que ça faisait qu’attiser la méfiance et les caprices des belligérants qui en profitaient pour se réarmer et se repositionner. Non, ce qu’il faut, c’est un vrai accord de paix, et rien d'autre. 

Facile, non ? Sauf que, surprise, les États-Unis et la Russie ne peuvent pas juste s’asseoir autour d’une table et régler l’affaire comme deux vieux potes qui se disputent une bière. Non, cette guerre, c’est l’Ukraine contre la Russie, et les ricains ne sont que les médiateurs autoproclamés, prêts à distribuer des conseils comme des prospectus. 
L’Ukraine, elle, a besoin d’un sérieux coup de main pour formuler des conditions qui ne soient pas tirées d’un sketch des Monty Python. La Russie, elle, a des demandes limpides depuis des lustres : pas d’OTAN pour l’Ukraine, point barre. C’est pas sorcier, si ? Mais non, l’UE, avec son obsession de coller des bases de missiles sous le nez de Poutine, veut à tout prix draguer l’Ukraine dans sa sphère d’influence. Parce que, bien sûr, l’Ukraine, c’est tellement européen depuis… attendez une petite minute, jamais, en fait.

Et qui a mis le feu aux poudres en 2014 ? Les États-Unis, sous la baguette magique d’Obama, avec Victoria “Cookies” Nuland en guest star, distribuant des biscuits aux putchistes nationalistes néonazis partisans du 4ème reich de l'UE comme une animatrice de kermesse. Une opération d’un cynisme à faire rougir Machiavel, orchestrée main dans la main avec les bureaucrates de l’UE, ces champions du cynisme en col blanc. 

Trump, lui, a dit “stop” à ce cirque, reconnaissant que ce projet était aussi futile et criminel qu’un régime sans gluten pour un tyrannosaure. Mais les Européens, ces marionnettes des Rothschild, s’accrochent à leur délire comme des moules à leur rocher, même s’ils n’ont ni les sous ni les flingues pour continuer, et qu’ils s’amusent à saboter leurs propres sociétés par la même occasion. Bravo, les gars, belle performance. Et voilà qu'ils vont s'abaisser à quémander l'aide de Trump pour arriver à leur fin ! Non mais ils ont bouffé quoi ?

L’Ukraine, pendant ce temps, est à bout de souffle, lessivée, kaput. Continuer à jouer les durs pourrait prolonger l’agonie, mais la Russie, elle, ne va pas se gêner pour avancer vers l’ouest en mode rouleau compresseur, avec du sang en bonus, juste pour le fun. Le débat est plié : il faut affronter la réalité, point. Zelensky, lui, doit être ramené à la raison, et vite. Son mandat ? Fini depuis mai 2024. Il squatte le pouvoir grâce à une loi martiale autoproclamée, ce qui fait de lui le président le plus légitime depuis… attendez, personne je crois. Les Russes le tolèrent parce qu’il n’y a pas mieux dans le coin pour l’instant. Trump a dû lui faire un petit dessin en tête-à-tête à la Maison Blanche, genre “ Volod, mon pote, c’est fini les caprices.”

Alors, quelles sont les options de notre diva ukrainienne ? 
1) Refuser l’accord de paix, poliment ou avec un doigt d’honneur, et prolonger la guerre pour la gloire. 
2) Faire semblant d’accepter, puis changer d’avis comme on change de chemise, sa spécialité. 
3) Jouer la comédie à Washington, puis sauter dans un avion pour demander l’asile à l’autre bout du monde, laissant Kiev dans un chaos digne d’un final de Game of Thrones. 
4) Ou, soyons fous, jouer franc jeu et accepter les faits : la Russie garde les provinces russophones de l’est (celles qui ont voté à 99% pour rejoindre la Fédération, après des années de bombardements ukrainiens et de massacres de russophones, merci Zelensky), la Crimée reste russe, pas d’OTAN, nouvelles élections, et l’Ukraine range ses joujoux militaires au placard. Fastoche, non ?

Zelensky, lui, sait qu’il n’a plus de cartes à jouer. Il doit se dire, entre deux sueurs froides, qu’il a autant de chances de survivre à ce fiasco qu’un snowball en enfer, même planqué dans un coin sombre avec ses milliards détournés. Rester en Ukraine ? Pas une option, vu le chaos qu’il a semé. Peut-être que Trump lui a promis une villa à West Palm Beach, avec vue sur le green et un job de comique dans un bastringue local. Qui sait ?

Et pendant ce temps, les trois pieds nickelés de l’OTAN – Macron, Merz et Starmer, ces génies incompris – ruminent leur impuissance, coincés dans leurs illusions comme des mouches dans un pot de miel. Avec un taux d’approbation cumulé qui frôle les 25 %, ils représentent fièrement la frange de la population qui croit encore à leurs conneries. Même la Pologne, dotée de la plus puissante armée de Terre de l'UE, n'a pas daigné venir s'abaisser comme ces trois mendiants. Cinq chefs d'état de l'UE présents (dont 2, peut-être même 3, sodomites). Quant à Ursula von der Leyen, la Calamity Jane de l’UE, elle s’est pointée à Washington avec ses trois Dalton pour jouer les cheerleaders de Zelensky, ou plutôt pour essayer de tordre le bras à Trump en se lamentant sur les pauvres orphelins mis à l'abri loin des combats par les russes (officiellemt 339 comme le prouve la liste fournie par l'Ukraine à la Russie et non pas 20 ou 30 mille comme on nous le conte sur LCI) et prolonger une guerre sans queue ni tête, juste pour faire plaisir aux mondialistes rothschildiens assoiffés de ressources russes. Trump, lui, les a gentiment mis au coin dans la salle Roosevelt, le temps de discuter avec Zelensky et de remettre les pendules à l'heure. Puis, hop, tout le monde au Bureau Ovale pour un café et des donuts, histoire de célébrer l’humiliation en direct sur les écrans mondiaux. 

Nos 3 trois Daltons ont même proposé de rajouter 100 milliards d'armes US pour l'Ukraine, en plus des 600 déjà promises par Van der Leyen pour les droits de douane, pour acheter l'appui militaire de Trump. Trump prendra les 100 milliards mais il appuiera ni l'Ukraine ni ses alliés européens. Franchement, si l’objectif était d’organiser une masterclass en humiliation diplomatique, c’est un 10/10. Reste à voir combien de temps ces clowns européens va-t-en guerre tiendront avant de s’effondrer comme des châteaux de cartes. Popcorn, quelqu’un ?

16 août 2025

1097. La triste trajectoire européenne : de la paix et du bien-être à la guerre et à la dèche ?


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LA TRISTE TRAJECTOIRE EUROPÉENNE: DE LA PAIX ET DU BIEN-ÊTRE À LA GUERRE ET À LA DÈCHE

L’UE : de la belle promesse à la grosse arnaque guerrière
Avant, l’Union européenne, c’était la vitrine clinquante de la paix et de la bonne vie. Aujourd’hui ? Une vraie forteresse de la trouille et de la galère, où les citoyens se font plumer pendant que les gros bonnets de Bruxelles jouent les valets des néo-conservateurs Américains.

Y’a pas si longtemps, on nous vendait l’UE comme le paradis sur terre : un grand kumbaya de Télétubbies post-Seconde Guerre mondiale, où que tout le monde se tenait la main grâce au commerce et aux institutions communes. L’idée, c’était que l’Europe devienne une grande famille morale, avec des droits sociaux et une sécurité pour tous. 
Sympa, non ? Sauf que là, c’est fini les contes de fées. L’Europe se transforme en camp retranché, avec des budgets militaires qui explosent – jusqu’à 5 % du PIB, vous imaginez le délire ? 
Et tout ça, pas pour une grande idée européenne, mais pour faire plaisir à tonton Sam, qui rigole bien en refourguant ses flingues et ses zings hors de prix.

De la paix au bordel guerrier : merci les élites !
L’UE, c’était censé être la paix, mais là, c’est en train de virer au cauchemar militarisé, piloté par une bande de technocrates qui se foutent royalement de ce que pensent les gens. Prenez Mark Rutte (Tutti Frutti), l’ex-Premier ministre néerlandais, maintenant grand manitou de l’OTAN. Ce mec, il a organisé un "Sommet Trump" à La Haye qui ressemblait plus à une kermesse pour flatter le président ricain qu’à un vrai débat stratégique. Tapis rouge, petits fours, et zéro couilles pour parler des vrais problèmes, comme l’engrenage en Ukraine ou cette folie des 5 % du PIB pour les armes. 
Rutte, lui, il balance des histoires à dormir debout sur une soi-disant attaque russe contre l’OTAN, sans la moindre trace de miette de preuve. Du grand cinéma, façon série B, pour faire flipper la populace et justifier l’armement à gogo.

Et au Parlement européen, c’est encore pire. Les sondages disent que 70 % des Européens et 68% des ukrainiens de ce qui reste de l'Ukraine eux-mêmes veulent une paix négociée en Ukraine (Ces derniers étaient le même nombre à soutenir l'effort de guerre ukrainien pour reprendre les 4 oblasts et la Crimée en 2022). Et les eurodéputés de merde soumis aux lobbies rothschildiens et aux faucons de guerre des néo-cons américains, ils en pensent quoi ? 80 % d’entre eux envoient balader toute idée de diplomatie, comme si que les peuples d'Europe étaient juste une bande de ploucs qui n’y comprennent rien. 
Clare Daly et Mick Wallace, deux ex-députés irlandais, l’ont bien capté : l’UE, avec son masque de gentille libérale, c’est juste une façade. En vrai, c’est une machine à obéir aux lobbies de l’armement et aux ordres de Washington, en snobant les citoyens comme des malpropres. La démocratie ? Ces guignols s’en torchent !

Les citoyens trinquent, les marchands d’armes se gavent
Et qui paie la note de cette folie guerrière ? Vous, moi, tout le monde ! Pendant que les usines d’armes américaines se remplissent les poches, les budgets pour la santé, l’école ou les aides sociales partent en fumée. Petar Volgin, un député bulgare, a balancé une vérité bien sentie, en mode Tchekhov : " Si t'accroches un flingue au mur dès le premier acte, attends-toi à ce que quelqu'un s'en serve avant la fin de la pièce. "
Sauf que là, c’est toute l’Europe qui risque de morfler, transformée en bunker sans cœur, vidée de son âme sociale. Et puis, y’a cette obsession antirusse qui tourne à la caricature. OK, l’invasion de l’Ukraine, c’est grave quoiqu'il y avait des raisons (massacres de russophones, laboratoires d'armes biologiques américains aux frontières de la Russie, commerce d'enfants pour pédophiles occidentaux, traffic d'organes et j'en passe), mais l’UE répond avec une russophobie digne d’un mauvais western. 

La Russie, qui a toujours été un peu dans l’Europe et un peu à part, est devenue l’ennemi public numéro un, sans nuance. Au lieu de chercher un deal intelligent pour calmer le jeu, les chefs de l’UE balancent des sanctions à tout va, achètent des armes à prix d’or et creusent un fossé encore plus grand. 
Résultat ? Une union qui jurait de rapprocher les peuples sème la zizanie sur son propre continent.

Démocratie ? Connais pas !
Le plus gerbant dans l’histoire, c’est que tout ça se fait dans le dos des gens. Les Européens galèrent avec l’inflation, les factures d’énergie qui explosent et des salaires qui stagnent – merci les sanctions et le gaz ricain hors de prix. Mais quand ils demandent de la paix ou un peu de justice sociale, les élites de l’UE les regardent de haut, genre : « Circulez, y’a rien à voir ! » L’UE ferme les yeux sur le génocide à Gaza, ignore les aspirations de ses citoyens et s’enfonce dans une logique de guerre qui profite surtout aux States. Bravo, les champions de la "légitimité morale" ! Vassal ou souverain ? Faut choisir ! 

L’UE est dans une galère monstre, et ses dirigeants sont trop occupés à lécher les bottes de Washington pour s’en rendre compte. Vont-ils transformer l’Europe en sous-fifre militaire des States, en bazardant notre ADN de paix ? Ou vont-ils enfin se bouger pour une stratégie qui respecte les gens, avec du social et un minimum de démocratie ? 

Pour l’instant, l’UE, c’est une marionnette qui danse sur les tambours de guerre, pendant que les citoyens rament dans la misère. On nous avait promis un avenir radieux ; on se retrouve avec un présent blindé de flingues et un futur qui sent la loose. 
Chapeau bas, Bruxelles, Macron, Merz et les autres, vous dégueulassez tout ce que vous touchez !

12 août 2025

1095. "Démoncratie 2.0 : L’UE offre fichage, censure et emprisonnement sous couvert de liberté"


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DÊMONCRATIE 2.0 : L'UE OFFRE FICHAGE, CENSURE ET EMPRISONNEMENT SOUS COUVERT DE LIBERTÉ

Non mais quelle merveilleuse surprise nous a concoctée l’Union européenne avec sa flambante toute nouvelle Loi sur la liberté des médias, le European Media Freedom Act ! Entrée en vigueur le 8 août 2025, cette pépite législative, portée fièrement par des figures comme Raphaël Glucksmann, Manon Aubry ou Valérie Hayer, cette triade française de la facho-gauchiasserie mondialiste, promet de « protéger » la presse avec la tendresse d’un rouleau compresseur. 

Liberté d’expression ? Oh, quelle adorable petite notion, si mignonne, si fragile… et si facilement écrasée sous le poids de l’« intérêt public ». Préparez-vous à une virée sarcastique dans ce chef-d’œuvre de double langage, où la « liberté » rime avec surveillance, censure et fichage. Accrochez-vous, ça va piquer.

Liberté de la presse ou permis de museler ?
Ursula von der Leyen, la grande prêtresse de la démoncratie européenne, a applaudi cette loi comme un « pilier essentiel » de nos libertés. Émouvant, non ? Sauf que, derrière les discours sirupeux, cette législation est un véritable piège à journalistes. L’article 4, avec son air innocent, proclame que nul ne peut forcer un journaliste à révéler ses sources. Magnifique ! Mais attendez, il y a une petite note en bas de page : les États peuvent tout à fait arrêter, surveiller ou fouiller dans la vie d’un journaliste si c’est « justifié par une raison impérieuse d’intérêt public ». Et qui décide de ce qui est « impérieux ? Les autorités, bien sûr ! Quelle surprise ! Cette vague notion d’« intérêt public » est une porte grande ouverte à toutes les dérives. Vous avez écrit un article qui dérange le narratif officiel ? Hop, vous voilà suspect d’« atteinte à l’ordre public ». Vous enquêtez sur une magouille d’un haut fonctionnaire européen ? Mauvaise idée, vous risquez de vous retrouver avec un logiciel espion dans le cul de votre téléphone, légalement installé, car votre travail est soudainement jugé « grave » (comprendre : gênant). Le texte autorise explicitement les logiciels de surveillance intrusifs dès qu’une infraction potentielle est détectée et est passible de trois ans de prison. Trois ans ! Autant dire que n’importe quel prétexte fera l’affaire pour mettre un journaliste divulgateur de vérité sur écoute ou derrière les barreaux.

Les « complotistes », boucs émissaires parfaits
Et puis, il y a les méchants « complotistes », ces empêcheurs de penser en rond qui osent poser des questions embarrassantes. La loi s’en donne à cœur joie avec eux. Les plateformes en ligne ? Désormais responsables de « limiter l’amplification des contenus clivants et de la désinformation ». Mais qui définit la désinformation ? Mystère ! C’est le flou artistique total, une aubaine pour coller l’étiquette « fake news » à tout ce qui contredit la vérité (doxa) officielle, qu’il s’agisse d’une enquête sérieuse ou d’un tweet un peu trop audacieux. 

Voici le menu des réjouissances pour les vilains « complotistes » :
- Censure en ligne : Votre contenu est déréférencé, supprimé, ou noyé par les algorithmes. Bonne chance pour atteindre votre public !
- Blocage transfrontalier : Un État membre n’aime pas votre média ? Pas de souci, il peut convaincre et même contraindre ses petits complices européens de bloquer votre contenu dans toute l’UE. Solidarité européenne, qu’ils disent.
- Asphyxie financière : Exit les revenus publicitaires, exit les financements. Vous êtes un média indépendant ? Préparez-vous à bouffer des pâtes à l'eau et du riz vapeur toute l'année.
- Surveillance renforcée : Vous êtes accusé de répandre des « fausses informations » ? Bienvenue dans le monde du fichage et des écoutes. Souriez, vous êtes surveillé !
- Lynchage médiatique : Une fois étiqueté « complotiste », vous êtes fini. Pas besoin de preuves, une bonne campagne de diffamation suffit à vous discréditer.

En résumé, cette loi est un véritable kit de survie pour gouvernements fascisants en mal d’autorité. Elle transforme les plateformes en shérifs du net et les journalistes en cibles mouvantes. Et le pire ? Tout ça se fait sous couvert de « protéger la démocratie ». Orwell doit se retourner dans sa tombe.

Fichage des médias : transparence ou contrôle total ?
Parlons du registre des propriétaires de médias, une idée vendue comme un parangon de transparence. Chaque État doit répertorier qui possède quoi. Génial, non ? Sauf que cette « transparence » ressemble furieusement à un outil de fichage pour mieux cibler les récalcitrants. Qui possède ce média un peu trop critique ? Quels sont ses financements ? Une base de données bien remplie, c’est une mine d’or pour exercer des pressions économiques ou judiciaires. « Transparence », qu’ils disaient. Contrôle, oui !

Et pendant ce temps, l’UE dépense 2,9 millions d’euros pour une « plateforme de liberté des médias » soutenant les médias russes et biélorusses « indépendants »… c'est à dire uniquement ceux qui sont gentiment alignés sur la doxa européenne et otanienne sans se soucier de la ou des vérités. Russia Today ? Toujours bannie, bien sûr. Être indépendant de Moscou et pro-Otan, c’est noble. Être indépendant de Bruxelles ? C’est suspect. Complotiste, même. Quelle belle leçon d’équité.

Les dangers ? Une dystopie en gestation. 
Cette loi n’est pas juste une entrave à la liberté d’expression, c’est un pas de géant vers un contrôle total de l’information. Voici les risques majeurs, servis avec une pointe de cynisme :
- Surveillance généralisée : Les logiciels espions deviennent des outils légitimes pour traquer les journalistes. Votre smartphone ? Un mouchard potentiel. Et tout ça, grâce à des clauses si vagues qu’elles pourraient justifier n’importe quoi.
- Censure paneuropéenne : Avec la coopération renforcée entre régulateurs, un contenu jugé gênant dans un pays peut être banni partout. Adieu, diversité des opinions.
- Fichage systématique : Les bases de données sur les propriétaires de médias ? Un rêve pour tout régime qui veut savoir qui dit quoi et couper les vivres aux trouble-fêtes.
- Vérité unique : En l’absence de définition claire de la « désinformation », tout ce qui dérange peut être étiqueté comme faux. Les enquêtes gênantes ? Désinformation. Les opinions divergentes ? Désinformation. La vérité ? Celle que l’UE décide.
- Chilling effect : Les journalistes, consci-REDACTED par peur d’être surveillés ou censurés, vont s’autocensurer. Pourquoi risquer sa carrière pour une vérité que personne n’entendra ?

Conclusion : bienvenue dans l’Europe de la « liberté »
Cette Loi sur la liberté des médias est une ode à l’hypocrisie. Elle prétend protéger la presse tout en frappant les chaînes qui l’entraveront. Journalistes mainstream trop curieux, médias indépendants, « complotistes » agaçants : tous dans le même panier, prêts à être muselés dès que l’« intérêt public » l’exige. Et le plus beau ? On nous vend ça comme un rempart pour la démocratie. Merci, Ursula, pour cette leçon de liberté. Dans cette Europe de la « vérité unique », remettre en question le narratif devient un crime. Souriez, citoyens, vous êtes en démocratie. C’est la Commission européenne qui vous le dit.

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Juste pour tremper une tartine supplémentaire dans ce caoua.
Nous sommes aujourd'hui le 11 Août 2025, trois jours depuis l'entrée en vigueur de cette loi, et cet après-midi même, sur le plateau de LCI, la présentatrice s'est lourdement offusquée sur Candace Owens et l'affaire Becoming Brigitte, traitant Candace de propagatrice de Fake-News à ce sujet. 
Alors récapitulons ce qu'a dit Candace jusqu'à ce jour: Elle s'est dite archi-intimement convaincue que Brigitte est née homme et c'est son droit vu la quantité de faisceaux d'indices concordants à ce sujet. C'est sa liberté de penser. La rédaction de ce blog l'est également (convaincue) et ce n'est ni un crime ni une fake news (d'être convaincu de quelque chose je veux dire). 
Candace a également annoncé qu'elle était prête à renoncer à sa carrière si les Macrons prouvaient qu'elle avait tort et que Brigitte est réellement née femme.. Ce qui est tout à fait honorable de sa part, on ne peut qu'en convenir. 
Le problème, c'est que les Macron n'ont toujours pas ou ne peuvent pas juridiquement prouver que Brigitte est née femme, pas plus que LCI d'ailleurs. Alors, qui est dans la fake-news ici, Candace Owens et son intime conviction ou LCI et ses affirmations sans preuve que ce dont Candace est convaincue est faux ?
La même présentatrice a également annoncé que les Macron avaient fait condamné Amandine Roy et Natacha Rey pour diffamation au sujet de Brigitte Macron, ce qui a bien été le cas en 1ère instance. Elle a toutefois omis de préciser que ces deux condamnées avaient depuis été innocentées et relaxées en cours d'appel. Fake-News par omission, si je ne m'abuse, destinée à tromper les téléspectateurs.
La rédac de ce blog demande la pleine application de la nouvelle loi contre LCI, même s'il s'agit de la chaîne de Fake-News préférée et subventionnée de la Macronie. Parce que c'est vrai quoi, quand c'est qu'on les fout en taule, ces déverseurs de bobards qui squattent chez LCI ou BFmerde et qui passent leur temps à embrouiller H24 le cerveau des français ? Ce serait pas d'un intérêt public d'urgence, ça ?

11 août 2025

1094. Le Mystère des Poupées Russes : Ou comment transformer la réalité en cirque de haut vol


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LE MYSTÈRE DES POUPÉES RUSSES : OU COMMENT TRANSFORMER LA RÉALITÉ EN CIRQUE DE HAUT VOL.
« C'était un coup d'État, et j'utilise ce terme au sens littéral… Un crime odieux après l'autre. » — Stephen Miller (Haut Conseiller présidentiel à la Maison Blanche)

Pauvre Amérique, cette grande nation qu'en a ras-le-cul d’être prise pour un asile de fous, gavée d’absurdités jusqu’à l’écœurement ! La réalité, ce concept désuet où qu’on s’accorde sur ce qui se passe vraiment, exige – tenez-vous bien – une vérité qui tient la route. Sans ça, c’est la dégringolade dans le chaos, un fiasco monumental où tout part en vrille. Et devinez quoi ? On y est. Accrochez-vous pour le feuilleton RussiaGate, un chef-d’œuvre de mensonges tellement grossiers qu’ils mériterait un Pinocchio d'Or à la Mostra de Venise. 

Tout commence avec cette salope satanique d'Hillary Clinton, dans un élan pathétique pour sauver sa campagne bancale de 2016. Ses petits courriels compromettants se retrouvent dans les pattes de Julien Assange qui les balance aussi sec sur Wikileaks – ces empêcheurs de tourner en rond qui adorent faire fuiter les vilains et sales petits secrets des grands puissants. 

Bien sûr, c’était tellement plus pratique d’accuser les « méchants Russes d’un piratage imaginaire », plutôt que d’admettre qu’un insider du parti démocrate – peut-être ce pauvre Seth Rich, retrouvé trucidé d'une balle dans le dos sur un trottoir de Washington, quelle coïncidence ! – avait probablement copié le tout sur une clé USB. Un audit judiciaire l’a depuis confirmé, mais bon, pourquoi s’embarrasser des faits ? Chaque mensonge a fait germer un scepticisme délicieux, attisant scandales et polémiques comme certain feu de forêt broussailleuse dans les Corbières. 

Hillary, tel un chef d’orchestre machiavélique, a embarqué Obama et ses agences dans son cirque, sans oublier le parti démocrate, dont elle tenait les cordons de la bourse grâce à son « Clinton Victory Fund ». Résultat ? Un échafaudage de bobards si branlant qu’il menaçait de s’écrouler à la moindre pichenette. Les médias, ces toutous serviles, ont relayé l’histoire sans broncher, convaincus qu’Hillary allait rafler la mise en 2016. Les « sondages » le disaient, voyons ! Tout allait rentrer dans l’ordre : les agences reprendraient le contrôle, les carriéristes continueraient à s’en mettre plein les poches, et le spectacle continuerait, grandiose et intouchable.

Sauf que, oups, ils se sont plantés. Échec cuisant. Mais au lieu de faire profil bas, ils ont doublé la mise, empilant mensonges sur mensonges pour protéger leur château de cartes. Cet échafaudage, c’était leur maison, leur précieux parti gauchiasso-mondialiste ! Et gare à ceux qui osaient menacer ce nid douillet : ils seraient jetés dehors, laissés pour compte comme des junkies titubant sur Hollywood Boulevard, ou sur n'importe quelle autre avenue de ces villes démocrates si charmantes et si pourries à la fois.

Alors, ils ont tout fait pour torpiller Trump, le gagnant de l’élection, orchestrant une chasse aux sorcières, déclenchant une pandémie par pur opportunisme, truquant et volant l’élection de 2020, et passant quatre ans à transformer la sphère publique en un cirque grotesque, un spectacle de drag-queens non-stop, de l’Atlantique au Pacifique. Tout ça pour éviter qu’un semblant de réalité – comme l’idée révolutionnaire qu’il y a des hommes, des femmes, et que c'est leur union qui fait des bébés – ne revienne hanter leur petit monde.

Ce barnum de crimes en série, c’est l’insulte suprême à la République, la res publica, la chose publique, rien de moins. Mais, surprise, le château de cartes s’effondre. Les citoyens américains, même démocrates, commencent à ouvrir les yeux. Le mensonge, c’est fragile et malléable ; la vérité, c’est du béton armé au titane trempé, quoi qu’en dise leur nouvelle loi européenne sur la liberté des médias prétendant protéger la (leur) presse, mais permet en réalité de censurer et de réprimer les journalistes et les voix dissidentes. Loi votée par une phalange  de fachos-gauchiasseux tels que Marion Aubry, Raphaël Glucksmann ou Valérie Hayer pour le plus grand plaisir de Van Der La Hyène et de la Macronerie pestilencielle. 

Mais la vérité, elle finit toujours par gagner, même après une baston acharnée. Les médias mainstream ? Ces chaînes de télé et journaux en faillite ? Ils font l’autruche face aux révélations des ex-patrons de la CIA, du FBI et du renseignement national. Quoi, il faudra des menottes et des mises à pied pour qu’ils daignent réagir ? Vont-ils jouer les vierges effarouchées, pleurnichant, comme pour les vax Covid ou les coups d'état du Maïdan, de Roumanie ou de Moldavie, qu’ils « ne savaient rien »

Pendant ce temps, leurs empires s’écroulent, et ils jettent leurs « artistes » par-dessus bord comme du lest inutile. Pathétique. On l’avait vu venir, non, depuis combien de temps qu'on vous le disait ? Et boum, l’heure des comptes a sonné. L’échafaudage de mensonges n’est plus qu’un tas de cendres fumantes, et rajouter des brindilles n'y changera rien. Les institutions, sous une nouvelle direction, semblent enfin prêtes à faire leur job : rendre des comptes honnêtes et distribuer des claques cinglantes et conséquentes amplement méritées. Ils pourront alors rebâtir un consensus sur ce qui est vraiment réel, sur qui ils sont, et sur où ils vont. En espérant que le retour de marée ne mette pas trop de temps pour traverser l'Atlantique et atteindre nos côtes.
Mais franchement, quel cirque pour en arriver là !