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9 sept. 2024

946. Le non-déni de négationnisme de Tucker Carlson à l'égard de l'Holocauste

 

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LE NON-DÉNI DE NÉGATIONISME DE TUCKER CARLSON À L'ÉGARD DE L'HOLOCAUSTE
(Par Thomas Dalton, Ph.D)

Eh bien, le lobby juif est de retour. Dans la dernière polémique sur le « négationnisme », les Juifs et leurs flagorneurs sont en émoi à cause d'une interview en podcast diffusée le 2 septembre dans lequel Tucker Carlson s'est longuement entretenu avec un « historien populaire » nommé Darryl Cooper. L'épisode de deux heures est intitulé « La véritable histoire de la secte de Jonestown, de la Seconde Guerre mondiale et de la façon dont Winston Churchill a ruiné l'Europe » – un peu exagéré pour une seule émission, mais avec le thème central que l'histoire conventionnelle ou orthodoxe se trompe souvent - volontairement ou pas ? - sur les événements petits et grands, et a donc souvent besoin d'être révisée. L'histoire n'est pas seulement écrite par les vainqueurs, elle est soutenue par de puissants lobbies qui ont un intérêt direct dans une certaine interprétation des événements passés. C'est tellement évident qu'il n'est guère nécessaire de le définir.


Et pourtant, quand il est question de la Seconde Guerre mondiale et en particulier de l’Holocauste, toutes les règles sont bafouées. Les « vainqueurs » ne peuvent être nommés, les interprétations alternatives ne sont pas autorisées et le révisionnisme est déclaré pénalement criminel. Dans l’interview, Cooper fait des déclarations très modérées sur ses réflexions concernant la Seconde Guerre mondiale et sur ce qui est arrivé aux « civils et prisonniers de guerre » à cette époque. Deux points semblent avoir suscité la plus grande colère : Churchill, et non Hitler, était le véritable méchant de la guerre ; et les millions de personnes qui sont mortes – vraisemblablement incluant des centaines de milliers de Juifs – étaient en fait des victimes accidentelles plutôt que les cibles d’un génocide prémédité et planifié. Nos gardiens de la culture sont contrariés par le premier point, mais vraiment enragés par le second.

L’horreur de ces propos était trop grande pour nos médias juifs et pour notre régime Biden, inspiré par les Juifs. Les gros titres sont alarmants : 
Rien que ça ! Et CNN rapporte que l’administration Biden a pris la mesure inhabituelle de « dénoncer publiquement Tucker Carlson » et son invité. Le porte-parole adjoint Andrew Bates a publié une déclaration officielle, qualifiant non seulement l’interview d’« insulte dégoûtante et sadique à tous les Américains » mais condamnant également Carlson pour « avoir donné un micro à un négationniste de l’Holocauste qui diffuse de la propagande nazie ». La principale préoccupation de Bates semble être « les plus de 6 millions de Juifs qui ont été assassinés de manière génocidaire par Adolf Hitler ». « Hitler était l’une des figures les plus maléfiques de l’histoire humaine », nous assure Bates – « point final ». Aucun révisionnisme n’est certainement autorisé dans cette nation la plus « éprise de liberté ».

Tout cet incident mérite réflexion. Je commencerai par ce qu'a dit Cooper. Voici les déclarations pertinentes:

« Lorsque les Allemands sont entrés à l’Est en 1941, ils ont lancé une guerre dans laquelle ils n’étaient absolument pas préparés à gérer les millions et millions de prisonniers de guerre, prisonniers politiques locaux, etc., qu’ils allaient devoir gérer. Ils sont entrés dans la guerre sans aucun plan pour cela. Ils ont tout simplement jeté ces gens dans des camps et des millions de personnes y ont péri.
Vous avez des lettres datant de juillet-août 1941, rédigées par les commandants de ces camps de fortune qu'ils installent pour ces millions de personnes qui se rendent ou qu'ils raflent. Et c'est deux mois après le lancement de l'opération Barbarossa [en juin], et ils répondent au haut commandement à Berlin en disant : « Nous ne pouvons pas nourrir ces gens… » Et l'un d'eux dit en fait : « Plutôt que d'attendre qu'ils meurent tous de faim cet hiver, ne serait-il pas plus humain de les achever rapidement maintenant ? »

En fin de compte, Hitler a lancé cette guerre contre l'URSS sans prévoir de prendre soin des millions et des millions de civils et de prisonniers de guerre qui allaient se retrouver sous son contrôle. Et des millions de personnes sont mortes à cause de cela.

Pour comprendre ce que Cooper veut dire ici, il faut se rappeler les faits de base : Hitler a lancé sa guerre contre la Pologne au début du mois de septembre 1939. Sur la base d’un pacte de non-agression mutuel (et non une alliance comme n'arrête pas de nous dire LCI), Staline a attaqué la Pologne par l’Est deux semaines plus tard, et les deux grandes puissances ont rapidement divisé la Pologne en deux. L’Angleterre et la France ont alors déclaré la guerre à l’Allemagne, et non l’inverse (attendez, qui était l’agresseur déjà ?), et Hitler a donc été contraint de diriger ses efforts militaires vers l’Ouest. Il n’a jamais voulu de guerre à l’Ouest et, comme l’explique Cooper, Hitler a souvent essayé de faire la paix avec Chamberlain (pas encore Churchill). Chamberlain a recherché un compromis, mais le reste de son gouvernement divisé – y compris Churchill – a préféré continuer une guerre pour laquelle il était mal équipé. L’Allemagne a envahi les Pays-Bas en mai 1940, Chamberlain a démissionné et Churchill a été nommé Premier ministre.

Au cours de la seconde moitié de 1940 et de la première moitié de 1941, Hitler continua sa série impressionnante de victoires. La France était presque vaincue et l’Angleterre était à bout de souffle. Puis, soudain, le 22 juin 1941, Hitler rompit son pacte de non-agression avec Staline et envahit l’Union soviétique (« Opération Barbarossa »). C’était, selon Cooper, une guerre dans laquelle l’Allemagne n’était pas préparée à gérer des « millions » de prisonniers. En effet, plus de 3 millions de prisonniers de guerre soviétiques passèrent sous contrôle allemand à la fin de 1941, dont beaucoup se rendirent ou firent défection. Ils furent initialement hébergés dans près de 100 camps de fortune établis en Russie sous contrôle allemand, et les conditions étaient effectivement horribles, comme le suggère Cooper. Plus de 500 000 prisonniers de guerre soviétiques moururent chaque mois : environ deux millions de morts à la fin de 1941. Pour autant que nous le sachions, ce n’était pas planifié ; Les Allemands étaient trop occupés à se battre sur le front pour s’occuper de leurs trois millions de prisonniers nouvellement capturés. Ils ont tout simplement « fini par mourrir », comme l'explique Cooper.

Il est à noter que Cooper ne parle nulle part des prisonniers juifs. Toute la discussion se concentre sur les prisonniers de guerre soviétiques et autres prisonniers politiques, parmis lesquels il y avait relativement peu de Juifs. Les Juifs ont payé le prix du sang durant Barbarossa, mais c'était parce qu'ils étaient des partisans combattants : ils attaquaient les troupes allemandes depuis l'arrière des lignes de front. Selon les règles internationales de la guerre, les partisans doivent être traités de la même manière que les soldats, ce qui signifie qu'ils peuvent être capturés ou tués. Et les Allemands préféraient tuer les partisans, ce qui était logique, étant donné leurs camps de prisonniers de guerre ad-hoc déjà surpeuplés.

C’est ainsi que débuta véritablement « l’Holocauste », si l’on peut dire. Des milliers de Juifs partisans furent fusillés sur le front de l’Est – peut-être 30 000 ou 40 000 en 1941, selon des estimations raisonnables (certainement pas les 400 000 ou 500 000 que nos historiens orthodoxes voudraient nous faire croire). Mais Cooper ne parlait pas de ces morts. Des Juifs moururent également dans les ghettos en 1941 – peut-être 40 000 ou 50 000 autres, la plupart de causes naturelles (vieillesse, maladie, accident, suicide). Et exactement aucun Juif ne mourut dans des « chambres à gaz homicides » ou des « camps de la mort » en 1941 ; aucun des six camps tristement célèbres – Auschwitz, Belzec, Sobibor, Treblinka, Chełmno et Majdanek – n’était opérationnel cette année-là. En fait, aucun juif n’est mort dans des « chambres à gaz homicides » pendant toute la guerre, précisément parce que de telles choses n’existaient pas. Mais ni Carlson ni Cooper n’ont osé s’aventurer sur ce terrain glissant.[1]
[1] Pour plus de détails, lire le livre Debating the Holocaust (4e éd ., 2020) ou Lectures on the Holocaust de Germar Rudolf 

Un débat sur l’Holocauste fait rage dans la clandestinité ; non pas si cela s'est produit ou non, mais plutôt comment, par quels moyens et dans quelle mesure. Ici, des arguments et des contre-arguments sont présentés et tous les faits pertinents sont exposés de manière claire et concise. L'ensemble du débat, censuré en public, est présenté de manière savante.
Description
Au cours des dernières décennies, une sorte de débat souterrain a fait rage, d’une importance monumentale. Il s’agit d’un débat sur l’Holocauste – non pas sur la question de savoir s’il « s’est produit » ou non (c’est une affirmation dénuée de sens), mais plutôt sur la façon dont il s’est produit, par quels moyens et dans quelle mesure. D’un côté, nous avons la vision traditionnelle et orthodoxe : les six millions de victimes juives, les chambres à gaz, les fours crématoires et les fosses communes. D’un autre côté, il existe un petit groupe d’écrivains et de chercheurs renégats qui refusent d’accepter de grandes parties de cette histoire. Ces révisionnistes, comme ils se nomment eux-mêmes, présentent des contre-preuves et posent des questions difficiles. Parmi les questions qu’ils soulèvent figurent les suivantes :
1.Il n'y a aucune trace d'un « ordre hitlérien » d'exterminer les Juifs ;
2.Des témoins clés ont soit falsifié, soit grandement exagéré des aspects importants de leurs récits ;
3. Les principaux camps de la mort – Belzec, Chelmno, Sobibor et Treblinka – ont pratiquement disparu ;
4. Nous trouvons peu de preuves de terres remuées pour les fosses communes ;
5. Nous ne trouvons que peu de restes des millions de victimes présumées – ni os ni cendres ;
6. Le gazage massif avec du Zyklon-B serait presque impossible sans ventilateurs et sans trous dans les plafonds ;
le gazage massif avec les gaz d'échappement des moteurs diesel est pratiquement impossible, étant donné le faible niveau de monoxyde de carbone ;
7. Les photos aériennes d'Auschwitz en temps de guerre ne montrent aucun des prétendus incendies de masse ou crémations ;
8. Le chiffre de « 6 millions » n'a aucun fondement factuel et remonte en réalité à des décennies avant la guerre ;
9. Les tendances de la population juive mondiale suggèrent fortement que moins de 6 millions de personnes ont été perdues ; et
le nombre actuel de « survivants » – actuellement supérieur à 1 million – implique peu de morts en temps de guerre.
10. Les révisionnistes arrivent à une version différente. Hitler, disent-ils, voulait expulser les Juifs, pas les tuer. Les ghettos et les camps de concentration servaient principalement au nettoyage ethnique et au travail forcé, et non aux meurtres de masse. Les chambres à gaz Zyklon existaient bel et bien, mais étaient utilisées à des fins d'épouillage et d'hygiène. Et plus important encore, le nombre de morts juives était bien inférieur à ce que l’on pensait généralement – ​​de l’ordre de 500 000 personnes au maximum.

Dans ce livre, pour la PREMIÈRE FOIS, le lecteur peut désormais juger par lui-même. Les arguments et contre-arguments des deux parties sont présentés et tous les faits pertinents sont exposés de manière claire et concise. L’ensemble du débat est présenté de manière savante et non polémique. Les citations sont marquées et les faits sont vérifiés. LISEZ et JUGEZ PAR VOUS-MÊME.

Donc, pour la défense de Cooper (et de Carlson), le passage en question ne dit rien sur les Juifs et donc rien sur « l’Holocauste ». Tout ce que Cooper a dit était factuellement correct. En fait, dans toute l’interview de plus de deux heures, les Juifs n’ont été mentionnés qu’une poignée de fois, et l’« Holocauste » pas une seule fois, autant que je me souvienne.

Les Juifs passent à l'attaque

Mais ce n’est pas ainsi que notre lobby juif voit les choses. Chaque référence à des « millions » de morts est, pour eux, une référence codée aux Juifs. Même le fait de parler d’Hitler autrement que comme d’un fou comiquement diabolique revient à dire que vous êtes un sympathisant nazi, un « négationniste » (quoi que cela veuille dire), ou simplement « dégoûtant et sadique ».

On peut trouver un bon exemple de cette réponse orthodoxe absurdement inepte dans l’éditorial de Michelle Goldberg (juive) dans le New York Times (juif) du 6 septembre 2024. Le soi-disant « apologiste d’Hitler » Darryl Cooper n’a pas suivi la ligne du parti sur le mal inconditionnel des nazis, et elle le condamne donc dans les termes les plus forts, sans même savoir de quoi elle parle. Elle n’aime clairement pas l’idée que l’Holocauste soit notre « religion d’État » actuelle (ce qu’elle est), et elle est furieuse lorsque Cooper mentionne à juste titre les « déclencheurs émotionnels » qui nous empêchent de poser des questions difficiles. Pour Goldberg, Cooper ne nous offre que des « formulations rhétoriques astucieuses » présentées d’une « manière douce et faussement raisonnable ». Elle est tellement bouleversée par l'audace de Carlson et Cooper qu'elle en est réduite à l'idiotie suivante : « La sympathie nazie est le point final naturel d'une politique fondée sur un esprit de contradiction désinvolte, une transgression d'extrême droite et des griefs ethniques. » Ceci, d'une journaliste du New York Times.

Plus précisément, malgré l’absence totale de mention de l’Holocauste dans l’interview, Goldberg est obsédée par cette supposée inférence. Elle déplore « le tournant de Carlson vers le scepticisme à l’égard de l’Holocauste » ; elle s’inquiète de « l’auteur David Irving, tombé en disgrâce et niant l’Holocauste » (comme s’il était pertinent ici) ; et elle déplore le fait qu’« il y a peu de meilleurs trolls que les négationnistes de l’Holocauste ». Ces négationnistes intelligents « aiment se faire passer pour des chercheurs de vérité hétérodoxes » et ils « excellent à imiter les formes et le langage de la recherche légitime » – alors qu’en fait leur niveau de recherche égale ou dépasse souvent celui de nos soi-disant experts conventionnels.[2] Les négationnistes « bombardent leurs adversaires de détails historiques hors contexte et de questions de mauvaise foi » (Comment osent-ils entrer dans les détails ! Comment osent-ils poser des questions !). En fin de compte, « ils ne savent utiliser que la provocation grossière pour attirer l’attention » – dit la journaliste juive en quête d’attention.
[2] Pour l’article complet, voir la série en 50 volumes « Holocaust Handbook ». Pour un traitement concis de toutes les questions fondamentales, voir la nouvelle Encyclopédie de l’Holocauste .

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Ou bien regardez notre présentation video vers le Tome 1 ci-dessous:

L’une des plus grandes craintes de Goldberg est que, dans son univers idéologique contrôlé par les Juifs, la situation soit en train de changer. Elle s’inquiète de la croyance de la droite selon laquelle « tout ce qu’on nous a dit sur la nature de la réalité est un mensonge, et donc tout est à reprendre ». En fait, une grande partie de ce que nous a dit notre orthodoxie d’inspiration juive est un mensonge, ou une demi-vérité, ou encore profondément trompeur, et Goldberg craint que de plus en plus de gens ne le comprennent. Et elle a raison de s’inquiéter : un réveil de masse va entraîner de gros problèmes pour elle et ses congénères.

Enfin, à la fin de son article, elle met le doigt sur un point de vérité : « En fin de compte, le déni de l’Holocauste n’a rien à voir avec l’histoire, mais avec ce qui est permis dans le présent et imaginable dans le futur. » Hitler et les nazis doivent être considérés comme « la négation de nos valeurs les plus profondes », sinon nous sommes « ramollis » par le fascisme de type Trump. Le déni de l’Holocauste – c’est-à-dire la remise en question profonde des hypothèses de base de cet événement – ​​n’a en effet rien à voir avec l’histoire, simplement parce que les révisionnistes ont gagné : l’histoire orthodoxe des « chambres à gaz homicides », des « 6 millions » et du prétendu complot fou des nationaux-socialistes pour tuer tous les Juifs – tout cela a été complètement démoli. Les historiens orthodoxes n’essaient même plus de répondre aux révisionnistes parce qu’ils savent qu’ils seront déshonorés. Au lieu de cela, eux et leurs puissants soutiens juifs ont recours à la censure, à la guerre juridique, à la calomnie, à l’intimidation et (dans de nombreux pays) à l’emprisonnement pour étouffer le révisionnisme. De telles choses sont un signe certain de défaite.

Quant à sa remarque sur ce qui est permis et imaginable, elle est également correcte : l’histoire standard de l’Holocauste est la clé de voûte du pouvoir juif actuel aux États-Unis et en Occident ; tout repose sur notre culpabilité collective, et toutes les atrocités juives/israéliennes sont ainsi justifiées, y-compris le viol des palestiniennes et le massacre des Gazaouis. Le pouvoir juif déclare actuellement que remettre en question l’Holocauste est inadmissible ; et qu’une société dans laquelle Hitler et le national-socialisme seraient considérés de manière neutre ou même positive est inimaginable . Mais cela va bientôt changer. Lorsque le révisionnisme de l’Holocauste deviendra permis et que le national-socialisme deviendra imaginable, alors tout – tout – changera. Ce jour ne pourra pas arriver assez tôt.


L’ironie de tout ce tapage autour de rien, c’est que tout aurait pu être différent : Carlson et Cooper auraient pu discuter des nombreux problèmes que pose l’histoire de l’Holocauste, et ils auraient pu poser les questions difficiles auxquelles l’orthodoxie ne peut répondre. Ils auraient pu examiner les nombreux travaux de Germar Rudolf ou de Carlo Mattogno ; ils auraient pu passer en revue les raisons pour lesquelles les chambres à gaz homicides étaient techniquement impossibles ; ils auraient pu expliquer que les meilleures preuves à ce jour suggèrent que peut-être 500 000 Juifs sont morts pendant la guerre, et non 6 millions. Et lorsque tout cela sera révélé, Michelle Goldberg et ses amis auront vraiment quelque chose à craindre.

Thomas Dalton, Ph.D. , a écrit ou édité plusieurs livres et articles sur la politique, l'histoire et la question juive. Tous ses travaux sont disponibles sur www.clemensandblair.com et sur son site Web personnel www.thomasdaltonphd.com .
(Utilisez Google Translate pour traduire ces sites)
Traduit et republié depuis The Unz Review avec l'autorisation de l'auteur ou de son représentant.

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QUESTIONS SUR LE LOBBY JUIF

▪️Existe-t-il des versions américaine (MAGA US) de l'AIPAC ou française (Patriotes FR) du CRIJF en Israël, qui contrôlent ses élections et déterminent qui entre ou sort de la Knesset ?

▪️Votre carrière politique en Israël est-elle définitivement terminée pour avoir critiqué la France ou les États-Unis ?

▪️Les politiciens israéliens doivent-ils signer un engagement promettant de soutenir les États-Unis ou la France - et sont-ils radiés s'ils ne le font pas ?

▪️Les membres de la Knesset ont-ils un responsable « MAGA US ou Patriotes Français » (contrôleur) comme les membres du Congrès américain ou du Parlement Français ont des contrôleurs « de l'AIPAC ou du CRIJF » ?

▪️Devenir Premier ministre d'Israël dépend-il du soutien d'un président US ou français, ou devenir président des États-Unis ou de la France dépend-il du soutien d'un président israélien ?

▪️Les politiciens israéliens doivent-ils se rendre aux États-Unis ou en France, mettre un chapeau de cow-boy et aller embrasser le barrage Hoover ou le Washington Monument, puis se coiffer d'un béret basque et aller baiser les pieds de la statue de jeanne d'Arc ?

▪️Les États-Unis et la France ont-ils des groupes de façade en Israël qui censurent les discours là-bas au profit de l'Amérique et de la France et pour cacher le contrôle américano-français sur Israël ; ou Israël a-t-il des groupes de façade aux États-Unis et en France qui censurent les discours chez nous au profit d'Israël et pour cacher son pouvoir sur l'Amérique et la France ? En d'autres termes, existe-t-il des versions américaines et françaises de l'ADL et de la LICRA en Israël ?

▪️Des citoyens israéliens sont-ils annulés et leurs vies détruites pour avoir critiqué les États-Unis, la France ou les Américains et les Français blancs chrétiens (ou même les Français et Américains noirs, d'ailleurs) ?

▪️Des troupes ou des moyens militaires israéliens sont-ils déployés pour mener des guerres pour l'Amérique ou pour la France auxquelles il n'est pas logique qu'Israël participe ?

▪️Des moyens et du personnel israéliens sont-ils déployés pour protéger les frontières américaines et françaises ?

▪️Israël verse-t-il chaque année des milliards de dollars en tributs aux États-Unis et à la France en tant qu'État vassal des empires américain ou français ?

▪️Y a-t-il autant de drapeaux américains et français affichés ou flottant dans les bureaux de la Knesset que de drapeaux israéliens affichés/flottants dans les bureaux des députés américains ou français ?