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5 sept. 2024

944. La Responsabilité revisitée

 

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LA RESPONSABILITÉ REVISITÉE

Si vous lisez ce blog depuis un certain temps, en particulier si ça fait rien que deux-trois jours, vous aurez peut-être remarqué un thème absent de mon dernier post. Il s'agit de la responsabilité. Prendre ses responsabilités est ce que je demanderais à mes lecteurs si je les tenais à bout de bras entre quatre zyeux. C’est aussi ce que je pourrais attendre des amis et des proches dont j’ai causé dans ce dernier post. Je voudrais tant qu’ils reconnaissent leurs erreurs et qu’ils en tirent des leçons.

Non pas que je veuille me réjouir de leurs erreurs ou de leurs manques de perspicacité, les mépriser ou les humilier. Je m’attendrais plutôt à une certaine humilité, à un signe de compréhension. Pas à des excuses, mais à une reconnaissance de leur tort, du fait que la politique et les mesures qu’ils ont préconisées, soutenues ou défendues ont contribué à leur nuire, à eux comme à moi, à eux comme à tous. Seule une analyse honnête de leur rôle, une réévaluation de leur position peuvent les empêcher de commettre à nouveau les mêmes erreurs néfastes.  

Je n’ai pas parlé de tous les sujets avec chacune des six connaissances que j’ai mentionnées dans mon dernier article, mais je suis sûr qu’elles sont d’accord sur le Covid, l’Ukraine et Israël.

Chacun de ces sujets est un désastre absolu.

COVID-19
Que s'est-il passé ? La recherche sur les armes biologiques a mal tourné, libérant un agent pathogène provoquant, selon les nouvelles normes de l'OMS, une "pandémie". Une réaction excessive, des statistiques manipulées, des politiques de confinement stupides - et même voulues - ont aggravé la situation. Les mesures préventives, les remèdes naturels, les médicaments disponibles ont non seulement été ignorés, mais activement supprimés ou interdits. De nouveaux médicaments basés sur la manipulation génétique, non éprouvés et insuffisamment ou frauduleusement testés ont été présentés comme des vaccins fiables et imposés aux populations mondiales. Ils ont été présentés comme sûrs et efficaces. Les fabricants de ces soi-disant vaccins ont bénéficié d'une immunité totale contre toute responsabilité, tandis que leurs détracteurs ont été calomniés, ridiculisés, censurés et leurs carrières et réputations détruites.

Ces « vaccins » qu'ont devrait plutôt baptiser innoculations ou injections se sont révélés non seulement inefficaces, mais ont aussi provoqué un nombre sans précédent d’« événements indésirables » et d’effets secondaires, dont beaucoup se sont et s'avèrent encore mortels trois ans après l'injection du produit. Les médicaments thérapeutiques commercialisés à la hâte, comme le Remdesivir, ont été encore pires. Les interventions non médicales ont porté préjudice aux sociétés, détruit les économies, en particulier les petites entreprises, tout en permettant à certaines grandes multinationales de réaliser d’énormes profits, augmentant considérablement les inégalités de richesse et de revenus.

Pour certains, comme moi, toute cette opération puait la corruption criminelle bien avant que les preuves ne soient claires et indéniables. Pour certains, les conneries étaient évidentes dès le début, mais leur opposition à ces absurdités a été utilisée pour créer une division sociale et amplifier l’effet de l’opération dans son ensemble.

Où en sommes-nous aujourd’hui ?
Nous ne saurons jamais précisément l’étendue des dégâts. Des injectés en meurent encore aujourd'hui tous les jours. Les grossesses et les naissances sont en chute libre dans les pays les plus vaccinés comme le Portugal, l'Ecosse ou le Chili. Les données originales sur les dommages causés par le Covid sont bien trop déformées et les informations sur les dommages causés par les vaccins sont bien trop dissimulées.
La véritable science est toujours occultée, les carrières et les réputations détruites ne sont toujours pas réhabilitées et les criminels clairement coupables, tels que Manu Macron, Agnès Buzyn, Olivier Véran, Edouard Philippe, Jérôme Salomon ou Jean Castex pour ne citer qu'eux et ceux de notre pays et j'en passe, ne font toujours pas l’objet d’enquêtes ni de poursuites pénales.
Les grandes sociétés pharmaceutiques sont toujours à l’abri de toute responsabilité, les gouvernements s’accrochent toujours aux nouveaux pouvoirs qu’ils ont acquis pendant la fausse pandémie et la propagande mensongère des médias continue.
Des millions de personnes sont mortes ou ont subi des dommages irréparables inutiles.

En fin de compte, l'ennemi, c'est toujours nous. Les mensonges n'ont de pouvoir que si nous y croyons. La paresse et la soumission lâche ne sont pas des excuses acceptables.

UKRAINE
Que s’est-il passé ? Probablement depuis l’indépendance de l’Ukraine, mais certainement depuis 2005, les États-Unis ont secrètement travaillé à saper la démocratie ukrainienne pour en faire un État vassal utilisé comme mandataire ou proxy contre la Fédération de Russie. Les États-Unis sont responsables de la fraude électorale et de l’ingérence de 2005 et du coup d’État de Maïdan en 2014. L’OTAN a armé et entraîné l’Ukraine en vue d’un conflit armé avec la Russie pendant plus d’une décennie. Les pays occidentaux et l'OTAN ont sans vergogne ressuscité, enrôlé et soutenu des organisations nazies en Ukraine. Ils ont menti aux Russes dans les accords de Minsk qu'ils reconnaissent eux-mêmes n'avoir jamais voulu voir mis en oeuvre et n’ont jamais cessé de provoquer cette dernière. Finalement, lorsque les nazis ukrainiens ont lancé une campagne de génocide contre les Russophones du Donbass, Poutine, avec raison et empathie, est intervenu.

L’objectif de l’Occident a toujours été de provoquer un conflit qui pourrait servir de prétexte pour affaiblir l’armée russe, ruiner son économie et déclencher un changement de régime pour installer un gouvernement fantoche qui balkaniserait la Russie en une  multitude d'États aux gouvernements fantoches vassaux des États-Unis. Tout ça pour avoir accès à ses ressources naturelles et à son territoire afin de se préparer à un conflit avec la Chine.

Où en sommes-nous aujourd’hui ?
La rapidité avec laquelle les sanctions ont été imposées est une indication claire de la préparation des États-Unis et de ses vassaux occidentaux.
Les sanctions ont eu un effet spectaculaire. L’économie russe et le rouble sont aujourd'hui plus forts que jamais.
La popularité de Poutine est plus grande que jamais. La réputation de Poutine et de la Russie sur la scène internationale est sans précédent. Les Russes et les Chinois offrent une alternative très attrayante à l’hégémonie américaine, au dollar américain, aux institutions internationales contrôlées par les États-Unis et à « l’ordre international fondé sur des règles » occidental.

Au moment où j’écris ces lignes, des soldats de l’OTAN utilisant des armes de l’OTAN et des renseignements de l’OTAN combattent sur le territoire de la Fédération de Russie dans la zone frontalière de la région de Koursk. On peut considérer ça comme du terrorisme international ou comme une guerre non déclarée de l’OTAN à la Russie.

Pourtant, la Russie est en train de gagner la guerre.
La question n’est pas de savoir si l’Ukraine va s’effondrer, mais quand.
La question n’est pas de savoir si l’UE va s’effondrer, mais quand. 
La question n’est pas de savoir si le dollar va perdre son statut de monnaie de réserve, mais quand. 
La question n’est pas de savoir si la bulle de la dette américaine va éclater et son économie s’effondrer, mais quand.
La question n’est pas de savoir si le nouvel ordre mondial multipolaire va émerger, mais quand.

La guerre en Ukraine n’est que le catalyseur qui les fait se produire

Les six connaissances dont j'ai parlé avant-hier veulent toutes secrètement voir couler du sang russe pour des raisons que je peux pas comprendre et qu'ils ne peuvent pas expliquer.

… et c’est une question morale. Même si vous détestez les Russes et souhaitez leur mort à tous, vous devez comprendre la réalité. Vous devez comprendre que la Russie ne peut pas se permettre de perdre cette guerre car cela signifierait non seulement la fin de la Russie mais la victoire des mondialistes eugénistes et sataniques. Vous devez comprendre que des milliards de personnes peuvent mourir inutilement sans raison valable.

ISRAËL / GAZA
Que s’est-il passé ? Israël est en état de guerre permanente depuis sa création en 1948. Même sa naissance a été entachée par l’arrogance coloniale britannique et Rotschildienne, qui l’a conduit à l’échec et à un conflit permanent avec ses voisins. La guerre, parfois tiède, parfois brûlante, dure depuis 76 ans. Il n’y a pas de fin en vue, aucune perspective de résolution. J’entrerai pas dans les détails, vous pouvez lire mes précédents articles sur le sujet, dont les liens se trouvant dans les menus de ce blog. Pendant 76 ans, le conflit israélo-palestinien a été le visage du choc des civilisations. Les deux camps sont largement financés de l’extérieur. Aucun des deux n’a un contrôle total et réel sur son destin. Ils sont des pions dans un jeu d’échecs géopolitique que personne ne veut lâcher.

C’est le problème qu’il faut résoudre. 

Près d’un an après son déclenchement, le conflit n’avance pas. Les massacres et les destructions insensées n’ont abouti à rien. 53% des israéliens interrogés dans un sondage défendent le viol des palestinniennes par les soldats de Tsahal. Le Hamas, créé et financé par Israël et les USA tout comme Daesh, est toujours en vie et l’Iran est plus que jamais déterminé à soutenir la cause palestinienne. La guerre est un désastre en termes de relations publiques pour Israël. L’antisémitisme se répand dans le monde occidental. Dans certaines grandes métropoles occidentales, les juifs peuvent plus sortir dans les rues s'ils portent une kippa. Pourtant, personne ne veut parler de la seule solution : séparer les deux pays.

C’est aussi une question morale, mais les gens sont trop attachés à leurs allégeances tribales pour même envisager des options rationnelles.

Quand ma connaissance théâtreuse me disait qu’écouter des gens comme moi lui causait une détresse émotionnelle quasi respiratoire, j’ai essayé de la réconforter, alors que j’aurais dû essayer de lui expliquer que parler à des défenseurs éhontés des massacres, de la destruction et du chaos me dérangeait.

LGBTQ+IA
Ma propre fille ne m’a pas adressé la parole depuis plus d'un an après que j’ai l'ai eue au téléphone, lui soulignant que le fait que de défendre et de soutenir la LGBTQ+ impliquait une certaine complicité avec ces ignominies soutenues par l'Occident dont l'unique but est de dissoudre les sociétés, les familles, la spiritualité, de ramollir les cerveaux et de dépeupler la planète. 
Je me demande si elle va accompagner sa fille, ma petite fille, pour applaudir les trans venant raconter leurs salades d'immondices dans leurs salles de classe. Déjà que je sais qu'elle a réussi à faire travestir son mari pour la fierté gay (en photo sur son Facebook), je m'attends à tout.

Les trois icônes de la mythologie grecque illustrant ce post représentent Cassandre, Némésis et Léthé. Hormis le fait qu'elles sont hyper gouleyantes dans ces images, elles sont les déesses des avertissements ignorés et non entendus, de la rétribution et de l'oubli. Sur ces trois points, je ressens les craintes de Cassandre, j'espère, que dis-je, j'attends en trépignant des pieds la rétribution de Némésis et je me méfie comme de la peste de l'oubli de Léthé.
C'est le fondement des tragédies grecques classiques. Le fardeau des choix difficiles.

Pourtant, tout en pianotant ce post, une réponse m’est venue à l’esprit : c’est là le point commun : la peur et l’aversion pour les choix difficiles. Ma fille n’aime pas les gens comme moi parce qu’ils ne sont pas gentils. Parce qu’ils ont fait des choix difficiles.
Chacune des personnes que j’ai mentionnées dans mon dernier post est une personne gentille qui s’accroche désespérément à l’espoir que la gentillesse peut gagner, sans comprendre que la véritable bataille se déroule toujours entre le bien et le mal et que les choix difficiles sont inévitables. Refuser de choisir conduit généralement au pire des résultats.
Souvent, et c'est triste à dire, même les personnes les plus gentilles - aussi gentilles que des moutons - peuvent n'être ni des personnes bonnes ni des personnes sensées.