LA GRANDE ESPLICASSION
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"De nombreux démocrates on réfléchi à la manière de naviguer dans un avenir sombre, le parti étant incapable d'empêcher Donald Trump de mener à bien une transformation de droite du gouvernement américain. D'autres se sont tournés vers l'intérieur, cherchant à comprendre pourquoi la nation US les avait rejetés. Ils ont parlé de la désinformation et de la lutte pour communiquer la vision du parti dans un environnement d'information réduit inondé de propagande de droite » - Le New York Times
Le 27 juillet 1794, les membres non fous de la Convention Républicaine française, ou organe législatif national à Paris, se retournèrent soudainement contre le leader jacobin enragé Maximilien Robespierre et renversèrent son groupe tyrannique au pouvoir, qui avait tué 40 000 de leurs concitoyens dans l'orgie paranoïaque connue sous le nom de « Règne de la Terreur ». Le lendemain, Robespierre se rendit à son propre rendez-vous avec le « rasoir national » et la réaction thermidorienne commença !
À propos, dans l'une de leurs nombreuses actions visant à désorganiser la société française, les Jacobins avaient changé le calendrier, rebaptisé tous les mois et fait passer les semaines de sept à dix jours (pour éliminer le dimanche comme jour de repos sacré dans leur croisade contre Jésus-Christ et l'Église). C'est ainsi qu'est né Thermidor, le mois du milieu de l'été. C'était qu'une petite partie de leur programme proto-communiste, mais on peut y voir la saveur de leur extrémisme radical.
Les Woke Démoncrates de ces derniers temps étaient les Jacobins des USA, et l'élection du 5 novembre 2024 marque le coup d'envoi de la réaction thermidorienne de l'Amérique. Les fous ont été renversés et ce pays attend désormais le rétablissement des normes culturelles et juridiques. Finie la sexualisation des enfants, finie l'inondation de criminels mutants à la frontière américaine, finie la censure furtive de la parole publique, finie la guerre juridique créative, finies les femmes sur les champs de bataille, fini le racisme « antiraciste » sur les lieux de travail, finie la prise de contrôle de la vie privée de chacun par les services de renseignement. Imaginez le tableau !
De nombreux mystères persistants sur la manière dont tout ça s'est produit - et même sur ce qui s'est passé exactement - restent à éclaircir par la loi et par l'histoire. C'est probablement parce qu'une grande partie de la révolution éveillée a été provoquée par des manipulations mentales de pointe dans le laboratoire d'opérations psychologiques de l'énorme bloc d'intelligence. Ce blob, vous le comprendrez les doigts dans le nez, était devenu une colossale opération de racket avec de nombreuses branches et des racines toujours plus étendues, et il jetait ses sortilèges sur la population pour protéger ses intérêts - qui, bien sûr, impliquaient d'énormes flux de revenus.
Son sort le plus puissant fut sans doute la manipulation des émotions des femmes, l'exploitation du psychodrame féminin comme moteur de la discorde sociale de masse comme on l'a vu chez nous depuis mai 68. Dans une nation de pères absents, d'enfants abîmés et de relations hommes-femmes brisées, Donald Trump a été dépeint comme l'archétype ultime du papa tyran pour détourner l'attention du public de la tyrannie réelle qui se développe sous la direction des services de renseignements américains et de leurs acolytes mondialistes. Exemple concret : Le RussiaGate, une hystérie de longue date d'accusations fabriquées, un fabuleux pot-pourri de ragots scabreux, conçu aux plus hauts niveaux du gouvernement US dans le but exprès de ruiner le premier mandat de Donald Trump. La « chasse aux sorcières » était exactement le terme approprié.
De nombreux autres psychodrames ont suivi, tous artificiellement concoctés par diverses branches du blob de l'état profond : les destitutions #1 et #2 ; "l'émeute" du 06 Janvier au Capitole concoctée et provoquée par le FBI et la fausse enquête sur ce même 06 Janvier à la Chambre des Représentants tenue par l'infâme sorcière Pelosi qui a suivi ; le déploiement de fausses affaires criminelles et civiles inspirées par le Département de la Justice qui ont immobilisé Donald Trump dans les salles d'audience tout au long de l'année. Trump dans les salles d'audience tout au long de l'année, et surtout la présentation par les médias hostiles et collabos de toutes ces choses comme une grande frénésie éternelle de femmes à l'écran criant après la figure du père, Donald Trump, comme des adolescentes hystériques et boutonneuses en proie à des fuites de perturbations hormonales.
Les électeurs, soumis à des années d'agitation, ont fini par voir, à travers tout ce psychodrame induit, comment ils étaient manipulés, et le 5 novembre, ils se sont finalement révoltés. Leur dilemme a probablement été illustré par l'absurdité de voir des hommes pratiquer des sports féminins - envoyer des ballons de volley-ball sur la tête des filles, les frapper en pleine poire sur le ring aux JO de Paris, les humilier dans les couloirs de natation - et, surtout, d'être impuissants à faire quoi que ce soit, parce que les responsables de « Joe Biden » avaient dit qu'il devait en être ainsi, peu importe qu'est-ce que vous pensiez et ressentiez à propos de ce que vous voyiez.
Le New York Times, le guide de la "bien-pensance" du blob de l'état profond mondialiste, avertit son lectorat de moins en moins nombreux d'accros au psychodrame que Donald Trump va maintenant se défouler sur la noble bureaucratie qui gère si bien les choses dans ce pays. Comme d'habitude, le NYT, comme le Monde ou Libération, induit en erreur et désinforme. Il s'agit des griefs de la nation qui a vu sa loi et sa culture transformées en de nouveaux ordres de méchanceté qui laissent la vie quotidienne aux États-Unis, mais pas que, pervertie, déshonorée et grotesquement modifiée.
Donald Trump a donc choisi un cabinet qui effraie l'état profond à mort - pour de bonnes raisons. Leur objectif est de désarmer et de démanteler systématiquement ce blob. Il s'agit d'une équipe de guerriers sérieux et intelligents qui ne plaisantent pas, en particulier Matt Gaetz (Procureur Général au Département de la Justice DOJ), Tulsi Gabbard (Supervision de toutes les 17 agences de renseignement incluant la CIA, la DIA, le FBI et la NSA), Robert F Kennedy Jr (Santé & Alimentation), John Ratcliffe (Directeur de la CIA) et Tom Homan (Contrôle des frontières et Immigration), Mike Waltz (Directeur adjoint à la Sécurité), Marc Rubio (Politique étrangère), Pete Hegseth (Ministre de la Défense DOD), Elsie Stefanik (Ambassadrice aux Nations Unies), Lee Zeldin (Environnement), Elon Musk (Efficacité gouvernementale DOGE), Susie Wiles (Porte-parole de la Maison Blanche) et Vivek Ramaswamy (Efficacité gouvernementale DOGE avec Elon Musk). Brendan Carr (à la FCC - Commission de régulation des Telecoms Radio TV Internet etc), Chris Wright (Le climatoseptique à l'Energie) Et le nouveau directeur du FBI n'a pas encore été nommé mais tout porte à croire que ce sera Kash Patel.)
On peut se demander comment que le blob compte se défendre contre une telle équipe de super-héros patriotes, mais vous pouvez être sûrs que la Bête acculée tentera de résister jusqu'à son écrabouillage total.
On est nombreux à penser que les deux récentes tentatives d'assassinat contre le président élu étaient des opérations commanditées par l'état profond et les mondialistes. Tout le monde s'attend à ce qu'ils essaient à nouveau. Mais il est possible que le système américain ait encore assez de mojo pour s'auto-corriger. Un grand nombre de fonctionnaires ont beaucoup d'explications à fournir. Il semble qu'ils y seront contraints, y compris les responsables de la santé publique comme Anthony Fauci ou Olivier Véran chez nous et ses copains qui nous ont apporté le Covid-19 et les vaccins ARNm obligatoires, inefficaces et nocifs.
Il y a tout lieu de croire que l'explication peut avoir lieu dans le cadre de procédures correctes, conformément à la loi : auditions, grands jurys, tribunaux. Les USA disposent déjà de lois contre le racket, l'abus de pouvoir, la fraude électorale, la corruption, les poursuites abusives, la sédition, la trahison et la conspiration en vue de commettre tous ces crimes dont certains contre l'humanité. Attention : tout ça est différent d'une guerre juridique, qui consiste à inventer des crimes ou à en simuler et à fausser les procédures. On va avoir droit à une démonstration de la différence entre le droit tout court qu'est correct et la guerre juridique via un droit militarisé qu'est rien qu'une saloperie.
Voilà qui devrait avoir un effet salutaire sur l'esprit national des USA et sur le reste du monde. Et ça devrait motiver ce reste du monde à s'atteler à la réparation des dommages causés à nos différents pays.
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Mais c'est pas parce qu'on a le momentum qu'il faut s'arrêter en si bon chemin, au contraire. Banzaï !!!