À MOITIÉ BARRÉ SEULEMENT...
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« Les démocrates s’auto-immolent sur l’autel de leur propre relation ténue avec la décence commune. » Tom Luongo
« La vie imite l’art », aimait à dire Oscar Wilde. Et ainsi, tout d’un coup, dimanche, les États-Unis sont devenus l'épisode de Kama Mala Harris , après que le président « Joe Biden » ait eu cette rencontre fatidique avec Dieu à laquelle il avait fait allusion il y a environ une semaine ici même sur ce blog :
Dieu : "Ouais, c'est encore moi. Qu'est-ce que je t'ai dit à propos de ces élections la semaine dernière ?
Joe Bidono : "( toussement ) Je dois finir le boulot. ( toussage de gueule .)
- Boulot, mon cul. T'as pas fini avec tes conneries, mec ? Bouffer des glaces, craquer du pognon qu'existe même pas et renifler de près le cul de tous les gosses qui s'approchent de toi ?
- Non, vous ne comprenez pas ! Je défends la démocratie.
- Ah ouais ? Depuis quand mon testament est soumis à un caucus de minables ? Dans mon manoir, il y a tout plein de portes, et celle-ci est la sortie, fiston. Je t'ai dit de te barrer. Et quand je dis « barre-toi », ça veut dire que t'es déja parti ! J'ai écrit ta lettre de renoncement et tu signes sur la ligne pointillée tout de suite.
- Et si je le fais pas ?
- Je vais devoir te botter le cul.
- Bon, puisque vous insistez. . . mais, avant que je me casse, avez-vous également ce document de grâce et de grand pardon dont nous avions parlé. . .?
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Et c’est exactement ce qui s’est passé chez lui dans son bureau de Rehoboth Beach dimanche après-midi. Et tout d’un coup, la vice-prez Kamala -Mala- Harris s'est retrouvée élevée au rang de candidate putative du Parti du Chaos à la convention d’août. La plupart des autres remplaçants évoqués l’ont immédiatement approuvée – Gavin Newsom, Gretchen Whitmer, (Gouverneur et neuse démoncrates de Californie et du Michigan) Pete Buttigieg (ministre des transports de Joe Biden) et tous les autres suceurs de queue du Deep State. — comme une convocation des mollahs pourrait bénir une chèvre sur le point d'être sacrifiée. Kamala a lancé un cri de guerre émouvant : " Ensemble, nous nous battrons. Et ensemble, nous gagnerons. Bâillement. . . ."
Tout cela n’était bien sûr qu’une feinte, ou, dirons-nous, une continuation de la feinte qui est le principe de fonctionnement fondamental du parti des démoncrates. Faire le contraire de ce qu'il dit, dire le contraire de ce qu'il fait, exactement comme Macroute.
Par exemple, la merveilleuse déclaration de Hillary Clinton (alias Celle-dont-c'est-toujours-le-tour ou Rodan le Reptile volant), qui a publié ce joyau malicieux : " Le président Biden a couronné son extraordinaire carrière de service avec une présidence qui a sorti l’Amérique d’une pandémie sans précédent, créé des millions de nouveaux emplois, reconstruit une économie en difficulté, renforcé notre démocratie et restauré notre position dans le monde. À tous égards, il a fait avancer la mission de nos fondateurs de construire une union plus parfaite et son propre objectif déclaré de restaurer l'âme de notre nation."
Nom de Dieu, « Joe Biden » a fait tout ça ? Incroyab' ! Hillary, voyez-vous, est en train de tartiner de vaseline l'orifice 'cloaquanal' du groupe afin de pouvoir s'y introduire sans trop tortiller du cul pour lui bouffer le cerveau, comme une de ces larves de guêpes parasites qui pénètrent dans une chenille.
Elle soutient Kamala -Mala- Harris jusqu'à ce que ça devienne opportun de ne plus le faire, c'est-à-dire lorsque le conglomérat de l'État profond se mettra en colère contre son échec pour voler les élections, perdant ses positions de pouvoir et ses avantages, et très probablement faisant l'objet de poursuites pour crimes graves - et pires que ça si c'est une justice enfin juste et impartiale qui tient le marteau.
Bien entendu, les développements du week-end suggèrent que « Joe Biden » devra quitter complètement son poste de commandant en chef. Cela va de soi même sans qu'on ait besoin de s'attarder sur les détails. C'est rien qu'une question de temps, et ça dépendra probablement de son indemnité de départ négociée – essentiellement quelque chose qui évitera la prison aux différents membres de sa famille.
Kamala -Mala- montera ensuite jusqu'au Bureau Ovale, ha ha ha.
Dans ces moments d'incertitude maximale, le Parti du Chaos fera donc semblant de suivre le cas Mala Harris pendant une semaine ou deux, donnant ainsi à la première femme présidente de couleur de nombreuses occasions de prononcer des conneries effrayantes et de tomber dans des crises de fou rire comme à son habitude afin de démontrer qu'elle ne peut pas être prise au sérieux. Soudain, vous verrez les longs couteaux sortir pour trancher et découper la Mala Kamala en petits dés comme un radis Daikon sur une table Hibachi, et toute autre personne, à part Hillary, qui osera intensifier ses efforts recevra le même traitement.
Notez que ni Babama, ni Nancy Pelosi, ni Hakim ou Chuck Schumer ne se sont prononcés en faveur de la Mala Kamala. Par Dieu, ils obtiendront leur convention gratuitement, même si chaque instant sera scrupuleusement géré par les gros bras. Et de ce pandémonium s’envolera l’indomptable Hillary, croassant à qui voudra pas l'entendre : " Croaaa croaaa, l'avortement ! Croaaa croaaa, la Russie !"
Est-ce que ça pourrait marcher ? Des clous. Dans une élection véritablement équitable, Hillary serait écrasée par le convoi Trump-Vance et se retrouverait avec un taux de mortalité mortifère sur la route, attirant les mouches à merde des quatre coins du pays, une triste fin à toute cette ambition fulgurante.
Je veux pas changer de sujet trop brusquement, mais voilà. . . avez-vous capté cette petite conversation sur YouTube entre George Gammon et Robert Barnes sur la tentative d'assassinat de Trump ? Houla, celle-ci va faire vibrer votre vision du monde. La voici traduite à ma sauce en quelques mots :
" La tentative d'assassinat de Butler, en Pennsylvanie (Mr. Barnes théorise) était une opération conjointe AntiTrumps / conglomérat de l'état profond / néo-conservateurs qui était censée fonctionner comme suit : Nikki Haley et Mike Pompeo, deux RINOs (Républicains de Nom Seulement) tous deux pro-Deep State, sont en retrait avec un Parti Républicain qui se solidifie autour de Donald Trump. Avant l'ouverture de la Convention Républicaine de Milwaukee, ils discutent avec les délégués en vue d'une sorte de coup d'État.
L'opération Butler, Pennsylvanie, a été chronométrée pour survenir avant qu'une nomination de Trump puisse avoir lieu. L’objectif était (évidemment) d’éliminer l’ancien président Trump une fois pour toutes et de s’assurer qu’il n’y ait pas d'autre candidat trumpiste pour prendre sa place. Le conglomérat du Deep State impute ensuite l’assassinat de Trump à l’Iran, évoquant instantanément une nouvelle guerre pour distraire la nation aux cheveux bleuissants. La Convention Républicaine nomme cette salope de déesse de la guerre Nikki Hailey comme présidente et Mike Pompeo comme vice-prez. Le parti de la guerre de Washington DC continue en triomphe. Mission accomplie."
"Notez," dit Mr. Barnes, " que CNN et d’autres réseaux d’information tels que la BBC, le Washington Post ou le New York Times qui évitent généralement de diffuser les rassemblements de Trump couvrent en fait l’événement de Butler, en Pennsylvanie, en direct alors qu'il s'agit d'un tout petit meeting de rien du tout en rase campagne dans un tout petit patelin. Ils veulent que toute l’Amérique voie la tête de Donald Trump exploser comme une pastèque à la télévision – envoyant le message : c’est ce qui arrive à quiconque défie le conglomérat. De nombreux autres observateurs et enquêteurs sans lien avec le gouvernement sont occupés à examiner les analyses médico-légales du site, les lignes de tir, l’acoustique des coups de feu, les faits étranges autour du présumé « tireur » (peut-être un bouc émissaire) Thomas Matthew Crooks qui a tourné dans des pubs pour BlackRock, le pari à la baisse de dizaines de millions d'actions de Truth Social appartenant à Trump par Vanguard et BlackRock la veille de l'attentat, les échecs stupé-sidérants des services secrets. Une image est en train de se former."
Comme le dit le vieil adage sicilien, la vengeance est un plat qui se mange froid. Certes, Donald Trump sait un truc ou deux sur ce qui s’est réellement passé le 13 juillet. Ses adversaires savent qu’il le sait, et il sait qu’ils savent qu’il le sait.
Remarquez que Trump ne saute pas de joie en faisant des moulinets avec ses bras à cause de tout ce bazar. Au contraire, il reste assis et tient calmement ses cartes près de sa poitrine. Il viendra éventuellement régler ses comptes.
Donc, on ne peut que supposer qu'ils vont retenter le coup. Ou trouver un moyen de reporter les élections indéfiniment. Y a rien que ces démons n'oseront pas faire. Bizarrement – beaucoup de gens l’ont remarqué – il semble que Dieu soit de notre côté.
Alors gardez votre calme. Et vos chapeaux d'alu bien vissés sur vos cervelles.