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" Cher Hitler" , a débuté la note personnelle de condoléances de Joe Biden à Donald Trump samedi soir. " Je suis vraiment hyper désolé d'apprendre que vous ayez été gêné par des bruits incongrus au niveau d'un de vos pavillons dans le Wisconsin ou peut-être que c'était en Pennsylvanie où que j'ai grandi dans l'église noire ? Chris Wray (le Dirlo du FBI) me dit que des gens bien sont peut-être derrière tout ça. Je vous tiens au courant. Bon rétablissement ! Joe Robinette Biden, votre Président actuel et à venir."
Voici une consolation supplémentaire : le New York Times, ce porte-parole du Deep State, rapporte ce matin que le FBI considère l'attentat contre la vie de Donald Trump comme un « possible acte de terrorisme intérieur ». Il faut se demander : essaient-ils de jeter un nouvel éclairage sur cet événement, ou simplement de jeter encore plus de fumée dans le cul de l'Amérique – parce que c'est la spécialité du FBI depuis au moins huit ans. On saura bientôt s’ils prennent la décision définitive de qualifier cet acte de « crime haineux ».
La faiblesse des ajustements narratifs commence à se manifester. Ce qui est étonnant, c’est que seule l’élite « bien pensante » des Américains s’est laissée prendre au piège, pour être plus précis, le groupe démographique qui léchouille chaque mot du New York Times. Les sans-dents de l'Amérique Profonde livrant des Pizzas dans le Bronx ou conduisant des chariots élévateurs dans les entrepôts d'Amazon n'ont apparemment jamais cru aux conneries narratives générées par le complexe industriel Media-Conglomérique. On détesterait supposer que la réflexion soit surjouée ou surfaite. Ou est-ce que c'est juste un certain type de pensée ?
Même si vous essayez de localiser une cabale malveillante, démesurée et intrigante derrière tous les voyages organisés dans ce pays de cocards et de cocagne, la vérité est probablement beaucoup plus simple : partez pour un narratif défini par un mensonge, puis mentez pour couvrir ce premier mensonge, puis ainsi de suite, et bientôt vous mentez partout sur tout jusqu'à ce que la réalité soit effacée. C’est exactement ce qui a commencé en 2016, lorsqu’Hillary Clinton a cherché à dissimuler son scandale de courriers électroniques et de serveurs privés avec un marteau et le canular de la collusion russe de Donald Trump.
Avez-vous oublié à quel point le FBI, la CIA et d’autres agences se sont enracinées dans ce dossier ? Cela a commencé par une insinuation stupide selon laquelle Donald Trump était un agent russe, mais le FBI s’est transformé en usine à gaz fantasmique lorsqu’il a raconté cette histoire. Ils ont fabriqué une intrigue secondaire après l'autre, la plupart comiquement absurdes, comme le piégeage du général Flynn pour avoir eu une conversation avec l'ambassadeur de Russie – comme si des pays étrangers envoyaient des ambassadeurs dans d'autres pays dans un but autre que celui de communiquer avec les représentants gouvernementaux de ces derniers.
Dites-moi, vous les diplômés de Harvard qui dévorez le New York Times chaque matin avec vos pillules détox au curcuma et à l’herbe à chat : un nouveau conseiller à la sécurité nationale de la Maison Blanche ne devrait-il pas communiquer avec les émissaires des autres pays ? Est-ce que c'est pas pour ça qu'on le paye en général ?
Ainsi, après l’élection de 2016, des dizaines de responsables gouvernementaux, depuis Barack Obama jusqu’à Joe Biden, ont entrepris de détruire le mandat de Donald Trump, et ont lancé un canular après l’autre pour le neutraliser et le déloger, et chaque canular était une batterie de mensonges engendrant encore plus de mensonges. Le style de pensée derrière tout ça est appelé « sans principes », ou alternativement « sans vergogne ». Beaucoup de ces mensonges impliquaient des crimes, dont certains étaient de gigantesques fraudes perpétrées contre les citoyens, comme l’opération de bourrage d’urnes qui a contraint « Joe Biden » au pouvoir – et dont personne n’était autorisé à parler sous peine de censure, de bannissement et de poursuites judiciaires.
En 2020, « Joe Biden » avait accumulé suffisamment de pots-de-vin en provenance de pays étrangers tels que le Parti Communiste chinois et l'Ukraine pour qu’il soit exposé au chantage et donc à la manipulation.
Le fait que son esprit dérangé ait échoué tout au long de son mandat n'a fait que rendre les choses plus faciles. « Joe Biden » et le gang néoconservateur de l’État et de la CIA étaient tous deux impliqués dans un réseau de crimes en Ukraine dont le traffic d'enfants et les armes biologiques interdites par l'ONU, et la guerre là-bas était un moyen de dissimuler tout cela, alors ils ont veillé à ce que la guerre ait lieu.
Les mensonges et les canulars ont continué à se multiplier, accompagnés d’énormes farces destructrices – les émeutes de George Floyd, les drag queens dans les écoles maternelles et primaires, la frontière mexicaine grande ouverte, l’émeute du 06 Janvier provoquée par le FBI – et le Parti démocrate a été brodé dans toute cette tapisserie de politique dégénérée avec le conglomérat de l’État profond.
En bref, le Parti démocrate semble coupable de trahison programmatique contre le peuple des États-Unis. Ils savent qu’un règlement des comptes les attend si Donald Trump parvient à reprendre ses fonctions. Ils le savent depuis des années. Mais deux décisions récentes de la Cour suprême ont vraiment exacerbé leurs craintes :
1) Le procès Trump contre les États-Unis établit l’immunité présidentielle contre les poursuites pour les actes impliquant ses principales fonctions constitutionnelles ;
et 2) Le Procès Loper Bright contre Raimondo - une histoire de pêcheurs de harengs du New Jersey obligés par l'Institut Hydrographique National (NOAA) à payer de leurs poches (700 dollars/jour) l'appareil de contrôle sur leurs bateaux chargé de surveiller leurs captures et leurs lieux de pêche) établit que la bureaucratie fédérale ne peut plus gouverner les citoyens sans le contrôle des tribunaux.
Ces deux verdicts vont permettre au président Trump réélu de démanteler beaucoup plus facilement l’État profond. Et bien sûr, cela pourrait conduire à des enquêtes et à des poursuites contre les personnalités de l’État profond qui ont abusé de leurs fonctions – peut-être même à de la prison de sûreté et de haute sécurité du côté de Guantanamo, et même pour certains, au gibet ou au peloton d'exécution pour haute-trahison. . . une perspective aussi déconcertante qu'intéressante ! ( Et puisqu'on parle de ce genre de crime, souvenez-vous en passant que c'est pas par humanisme ou compassion mais bien par souci d'auto-préservation pour lui et ses potes mondialistes, contemporains comme futurs, que cet enculé de Mitterand visionnaire et ses acolytes ont fait supprimer en 1994 le crime de haute-trahison - passible de la peine de mort - du code pénal et militaire français)
La couverture du Parti démocrate a été dévoilée le 27 juin lorsque Joe Biden a dû participer à un débat en direct et a affiché son incompétence mentale aux yeux de tous. Ce choc sur le système a forcé une ruée pour remplacer « Joe Bidono » assez tard dans le cycle électoral, car désormais, un nombre d’électeurs démocrates suffisant pourraient se sentir indisposé à réélire une évidente épave humaine.
Mais les efforts de transition semblent avoir perdu de leur attrait. Et le Parti Démoncrate a peut-être atténué son influence sur « Joe Biden ». Après tout, ses pots-de-vin sont tous bien répertoriés par le Comité de Surveillance de la Chambre des Représentants, y compris les vastes dossiers bancaires des nombreuses sociétés écrans créées pour recevoir l’argent de ces mêmes pots-de-vin.
Est-il possible, cependant, que « Joe Biden » détienne du matériel de chantage contre les nouveaux anti-Biden confédérés de son parti ? Après tout, il est toujours président. Il a accès à des choses dont vous n'auriez jamais rêvé et, aussi dément qu'il soit, il a beaucoup d'aide à portée de main de son fils Hunter, de sa femme le Dr Jill et du groupe Lawfare pour régler le problème.
Il sait probablement aussi une chose ou deux sur son ancien partenaire et complice, Barack Obama, qui mettrait certaines personnes plus que mal à l'aise. On dirait donc que « JB » est sur le point de s'accrocher en tant que candidat de son parti, et celui qui n'aime pas ça peut aller se faire cuire un œuf.
Après les événements stupéfiants de samedi soir, il semble également que le candidat « Joe Biden » s’enflammerait contre Donald Trump le 5 novembre, bourrage des boîtes de dépôt de bulletins de vote et tout le toutim comme en 2020. À la puissance 10. Bah ouais, c'est la panique ! De nombreux grands noms du Parti Démoncrate ont déjà fait entendre leur voix quant à leur départ du pays si Trump revenait, peut-être vers des pays dépourvus de traités d'extradition avec les États-Unis. Beaucoup d’autres doivent engloutir des cachets de Xanax comme si c'étaient des Tic Tacs maintenant que Donald Trump a survécu à l’affront ultime à son existence.
Vous connaissez la vieille pépite de sagesse : "Si vous venez pour déssouder le roi, vous feriez mieux de pas le rater" . Oups.