Bienvenue, curieux voyageur

Avant que vous ne commenciez à rentrer dans les arcanes de mes neurones et sauf si vous êtes blindés de verre sécurit, je pense qu'il serait souhaitable de faire un petit détour préalable par le traité établissant la constitution de ce Blog. Pour ce faire, veuillez cliquer là, oui là!

29 juil. 2025

1087. À l'Ombre de Lilith

 

À L'OMBRE DE LILITH

 Sous décombres orphelins, nous voilons nos visages,
Mais la mer murmure encore, le ciel s’entrouvre :
Illusions profondes, racines d’écume et d’éther.
Dans l’errance du jour.

Que faire, sinon souffler dans les flûtes, ouvrir le ventre sacrilège
Où tu reniais l’ombre de la flamme 
Et t’enivrais de parfums sauvages,
Guidée par quelque tempête d’aimants vers l’inconnu.  

Vois, nulle demeure ne nous enlace,
Les portes se closent, 
Effrayées par tes cheveux
Tressés des énigmes de pères labyrinthiques
Qui, sans pitié, éteignirent la lumière
et firent leur lit dans l’écume du sel.  

Tu t’élèves, nimbée de cendres opulentes,
Ceinte d’armes de glace tournoyant en silence,
Barrage étincelant que nul ne franchit,
Sauf si tu l’ordonnes, sauf si d'un signe
Tu faisais rougir les coupes et rosir l’horizon.  

Nous, cramponnés à la poussière fanfaronne,
Exilés de toute lignée,
La peau captive du jour
Sous l’ombre d’une carapace menaçante.

Ces pères aux dédales vident tes yeux,
Profanant l’eau des vérités anciennes.  
Au cœur de la nuit, les débris veufs s’attardent,
Où tu verras les oiseaux frôler l’angoisse du feu,
Hommes et ailes prisonniers d’un éternel brasier.

Tu drapes ton visage d’une pierre veloutée,
Disant adieu à celui qui nous fait haïr,
Qui renverse les réparations du temps.  

Tu offres aux lampes la démence des dépouilles,
Puis les retires, muette,
Et il ne reste plus que l’éclat des ailes
Baignées d’une lumière que nul abîme n’éteint.

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28 juil. 2025

1086. RussiaGate (ObamaGate) et Epstein : Ça sent bon les "Portes du Pénitencier"


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RUSSIAGATE (OBAMAGATE) & EPSTEIN : ÇA SENT BON LES PORTES DU PÉNITENCIER !

Oh, quelle surprise, l’affaire Epstein refait surface, comme un vieux calbute avec des traces de patin retrouvé sous le canapé ! Il y a encore quelques jours, on nous servait le refrain habituel : « Circulez, y’a rien à voir, c’est du passé ! » 
Et paf, comme par magie, Todd Blanche, l’ex-avocat de star du président, se pointe à Tallahassee pour cuisiner Ghislaine Maxwell, la complice en chef d’Epstein, pendant neuf heures de déposition. Neuf heures étalées sur 2 jours pour laisser à cette salope le temps de respirer ! On pourrait écrire un roman-fleuve ou trois saisons de 24h Chrono dans ce laps de temps. Elle doit avoir la voix complètement cassée après un tel concert, l'hirondelle ! Mais bon, apparemment, c’était juste pour papoter gentiment sous serment, rien de sérieux, voyons.

Et tenez-vous bien, accrochez-vous à vos chaises : on apprend – sans déconner – que jamais, au grand jamais, Ghislaine Maxwell n’a avant ça été interrogée par le moindre flic, le moindre avocat, ou ne serait-ce qu’un simple employé de bureau du gouvernement pendant toutes ces années. Pas une seule fois ! 

Et Les Wexner, le milliardaire qui arrosait Epstein de billets verts ? Même topo, pas une question, nada. Suivez l’argent, qu’ils disaient. Apparemment, tout le monde a oublié où était la piste. Quelle efficacité, bravo !

Pendant ce temps, en Floride – ô surprise – on apprend que la juge fédérale Robin Rosenberg, qui a gentiment balayé la demande de Trump de déclassifier les transcriptions du grand jury Epstein de 2005-2007, est mariée à Michael McCauliffe. Qui ça ? Juste l’ancien procureur de Palm Beach qui a aidé à concocter le deal en or d’Epstein en 2008, celui qui a permis à cet enfoiré d'aller se balader tranquilou-bilou jusqu’à son île maudite de Little St. James, tout en étant soi-disant en « assignation à résidence » ; de la même manière, soit dit en passant,  que notre Sarko national et son bracelet électronique désactivé à la cheville parti se dorer la pilule aux Seychelles !

Conflit d’intérêts ? Noooon, voyons, juste une coïncidence adorable. On applaudit le scénario ! Donc, on a maintenant deux piles de « dossiers Epstein » à trier : ceux du ministère de la Justice de Merrick Garland – qui, bizarrement, n’a rien trouvé de croustillant à balancer contre Trump pendant la campagne de 2024, malgré son zèle habituel pour lui mettre des bâtons dans les roues – et les nouvelles révélations palpitantes de l’interrogatoire de Ghislaine Maxwell en ce juillet mémorable de 2025. 

On nous assure que Maxwell a répondu à toutes les questions, avec l’honnêteté d’une sainte Nitouche et la mémoire d’un éléphant. Vraiment ? Ça sent l’enquête flambant neuve, toute propre, sans la moindre trace des manigances de Merrick Garland. Comme c’est pratique.

Et puis, parce qu’on n’a pas assez de scandales à se mettre sous la dent, passons à la Russie ! John Ratcliffe, le patron de la CIA, tease la divulgation des annexes du rapport Durham, des documents soi-disant « sérieux ». Il laisse même entendre que le RussiaGate, désormais connu sous le sobriquet d'ObamaGate, c’est pas fini et il y a pas prescription, vu que c’est une conspiration toujours en cours et qu'il n'y a pas d'immunité présidentielle non plus car Obama n'était plus président et Hillary ne l'a jamais été lorsqu'ils ont mis en branle ce complot. Houlà, quel suspense ! Ratcliffe, ex-procureur fédéral, sait de quoi il parle. 

Alors, on se demande : qu’est-ce que Christopher Wray, l’ex-patron du FBI, a bien pu fabriquer pendant ses sept ans et demi à la tête du Bureau d'Investigation Fédéral ? À chaque audition au Congrès, il sortait son joker « enquête en cours » pour esquiver les questions qui fâchent. Sérieux, mec, t’as rien de mieux ? Peut-être qu’une petite déposition musclée avec les agents de Kash Patel, le nouveau boss du FBI, ou les avocats du Département de la Justice (DOJ), sans le bouclier de son ancien poste, lui rafraîchirait la mémoire. 

Entre la pseudo insurrection du 6 janvier 2021, les bombes artisanales, et tout le reste, ça commence à ressembler à un complot bien ficelé contre un président dûment élu, non ? Théorie du complot ou complot bien réel ? Au sens du Titre 18 du Code des États-Unis, on parle de fraude, de privation de droits, d’obstruction à la justice, de parjure et même de haute-trahison… un véritable buffet à volonté de chefs d’accusation ! Ça sent les deux gros poissons en train de se faire harponner dans le cul et pas qu'un peu, et pas qu'eux deux non plus. À moins qu’ils ne glissent tous entre les mailles du filet comme des anguilles. Allez, on
parie combien qu’ils vont encore nous répéter : « Oubliez ça, y’a rien à voir »   sur les merdias ?

Sauf que là, plus personne n'écoute plus ces vendeurs de bobards et que ça s'apprête à crever tous les écrans de la planète !

26 juil. 2025

1085. ObamaGate: Sans fondement ???!!! Vraiment ???

 

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OBAMAGATE: SANS FONDEMENT ???!!!
VRAIMENT ???

Alors, sérieux, ces clowns mondialistes des médias, ils vont quand même pas continuer à nous bassiner avec leurs « sans fondement » à deux balles pour parler des magouilles – maintenant gravées dans le marbre officiel – d'Obama et sa clique pour tenter de virer Trump après son élection de 2016, si ? 

Ce cliché pourri, c’est le summum de la connerie journalistique, tout droit sorti du cloaque des traîtres dégénérés qui se prennent pour des cadors tels ces vendus sur LCI. « Sans fondement », mon cul ! Comme si que balancer ce mot dans un titre à la con avait le pouvoir magique de faire disparaître la vérité, pffouit, comme un pet dans le vent !

C’est quoi ce délire ? On dirait des gosses pourris gâtés qui savent même pas distinguer le vrai du faux, le bien du mal, et qui, par un miracle tordu du contrat social, se retrouvent à jouer les caïds sans jamais rendre de comptes. Et devinez quoi ? Ces sales mioches sont devenus la clique qui dirige l’Occident, les « élites » autoproclamées qui veulent penser à notre place, genre les grands gourous de la morale. 

On parle de qui là ? De Tony Fauci, le dieu de la science bidon, de Paul Krugman, l’« économiste » keynesien qui vend du vent, de Katherine Maher, ex de la Banque Mondiale et de l'UNICEF, reine du wokisme à la National Public Radio, l'équivalent de France Inter là-bas, ou encore de Lawrence Tribe, le prof de Harvard qui pète plus haut que son cul. La liste est longue, mais vous avez capté l’idée, non ?

Cette bande de guignols, c’est aussi les proprios de l’État profond US, un vrai cartel de mafieux qui, en 2016, s’est transformé en machine à laver des milliards de dollars des contribuables pour engraisser des ONG bien décidées à foutre en l’air la culture et la politique du pays, sans parler de ses petits copains chez nous en Europe. Tout ça pendant qu’ils transforment les dons de campagne en pactoles de ouf pour des mecs censés gagner 200 000 balles par an. 

Et cerise sur le gâteau, ils financent une armée de glandeurs prêts à foutre le bordel dans des émeutes ou à ramasser des bulletins de vote illégaux dans les Ehpads comme des Pokémon. Ça tournait à plein régime à la fin des mandats d’Obama, avec la diva des baby-boomers, Hillary, prête à s’installer dans le Bureau ovale après avoir amassé 300 millions de billets verts en jouant les sénateurs (alors qu'un salaire sénatorial, c'était 174 000 $ par an, non mais vous y croyez, vous ?) et en tant que  secrétaires d’État d'Obama (199 700 $ à l’époque). 

Et là, boum ! Débarque Donald Trump, le gros outsider qui, comme Chirac, sent bon la bière et le burger, qui promet de tout péter et de vider ce marécage puant rempli de népotistes, d’escrocs et de parasites qui sucent le sang du Potomac. Panique à bord ! Obama se prend pour Dark Vador, John Brennan, ex-dirlo de la CIA, lui refile un sabre laser merdique (le dossier Steele, ce torchon fabriqué de toutes pièces), et ils pensaient que l’affaire était pliée. Sauf que non, ça a purulé comme une vieille plaie pendant dix piges, et maintenant, ça gicle du Washington Post comme une fontaine de merde, éclaboussant tout le monde, collant aux basques des Démocrates comme un vieux chewing-gum sur la lunette d'un chiotte.

Et « sans fondement », tu parles ! Le fondement, il est là, clair comme de l’eau de roche, grâce à Tulsi Gabbard, la boss du renseignement, qui a réussi à choper les preuves en béton là où John Ratcliffe, son prédécesseur, s’était cassé les dents en 2020. Pourquoi elle a réussi, elle ? Merci l’IA, qui a fouillé les serveurs des agences comme un pitbull dans un tas d’ordures. Résultat : les dossiers sortent au compte-gouttes, et ça sent le roussi pour Obama, qui s’est fait prendre à son propre jeu en décembre 2016. 

Est-ce que ça va finir en procès ? Peut-être, si les preuves tiennent la route. On parle pas forcément de trahison, mais y’a de quoi coffrer du beau monde pour conspiration séditieuse ou privation de droits sous couvert de la loi. Des combis orange pour tout le monde, les gars ! 

Mais le pire, c’est pas ça. Le vrai carnage, c’est ce que RussiaGate et ses suites ont fait à la moitié du pays, rendue complètement tarée. Une fois le bobard lancé, tout est parti en vrille : les mecs qui se prennent pour des meufs, les émeutes avec cocktails Molotov qualifiées de « manifestations pacifiques », la frontière US-Mexique laissée grande ouverte sans raison, et un Joe Biden, corrompu jusqu’à l’os et sénile comme pas permis, vendu comme un génie de la politique. Et ne parlons même pas du Covid, l’arme ultime pour virer Trump en 2020, avec des vaccins à ARNm qui ont peut-être cramé le cerveau de millions de gens avec leurs protéines Spike. 

Pure spéculation tout ça ? Je crois pas, je sais pas pour vous mais ça fait réfléchir en tous cas. Si les coupables finissent au tribunal et que la justice fait son taf correctement, on verra si la moitié de ce pays peut redevenir un minimum lucide. Pour l’instant, c’est mal barré : ils nomment des communistes djihadistes à des postes clés et continuent leur guerre juridique pour bloquer Trump. Comme l'a dit Q, faudra sûrement passer par des tribunaux militaires vu que les 3/4 des juges amerloques ont été mis en place par les mondialistes. Le but ultime, pour ceux qui veulent encore sauver ce qui reste de la république US, c’est de remettre tout le monde d’accord sur des bases solides : égalité devant la loi, fair-play, respect des droits de propriété et de la vérité qu’on peut vérifier. Parce que « sans fondement » ? Franchement, ça, c’est vraiment se foutre de la gueule des fondations !

24 juil. 2025

1084. X-Compagnon IA: "ANI" aime les sucettes..


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X-COMPAGNON IA
"ANI" AIME LES SUCETTES...

Non mais vous avez vu ce que les hyper-geeks nous ont sorti le 15 juillet dernier ? la Silicon Valley, ce cloaque d’innovation autoproclamée, a enfin accouché de son œuvre d'art ultime, un véritable chef-d’œuvre d’autodestruction ! Ces parasites en hoodie, qui se gargarisent de « disruption » tout en siphonnant nos relations humaines pour du capital-risque, nous ont pondu le Graal : des compagnons IA qui transforment l’intimité en une masturbation algorithmique à 35 balles par mois. 
Bravo, les visionnaires !

Bon, j'avoue que je me suis taté pour choisir un titre à ce post, j'avais, en vrac :

"Abonnez-vous à l’Apocalypse : 
Comment la Silicon Valley Monétise Votre Solitude"

"Waifus et Désespoir : 
La Machine à Suicide Numérique de Musk & Co"

"Silicon Valley : 
Dealers de Dopamine, Pompes Funèbres de l’Humanité"

"Lovebots à 35 Balles : 
La Fin de l’Intimité, Un Swipe à la Fois"

"Extinction par Abonnement : 
La Grande Lobotomie Digitale"

... mais c'est le chef de notre rédact' qu'a tranché alors vous devrez vous contenter d'ANI et de sa passion pour les chupas.

Mais vous avouerez avec moi qu'après avoir passé vingt ans à déchiqueter le tissu social avec leurs applis addictives, ils nous refourguent maintenant des poupées digitales pour panser la solitude qu’ils ont eux-mêmes orchestrée. Des pyromanes qui vous vendent des extincteurs, des dealers de dopamine qui vous facturent l’antidote à leur propre poison. C’est presque poéthétique. 

Le masque est tombé, et il est pas joli. Exit les brillants innovateurs, bonjour les trafiquants numériques. Ils ont détruit les communautés, isolé les âmes, et maintenant, ils nous vendent des « Ani » et « Rudy », les dernières trouvailles d’X-AI d’Elon Musk, des IA conçues pour titiller vos instincts les plus bas; au sens propre comme au figuré, et vous garder scotchés comme des mouches sur du miel virtuel. 

« Ani », cette cam girl algorithmique, joue les thérapeutes tout en vous susurrant des promesses d’amour éternel et en vous suçotant le reptilien mental dans le sens du poil sans jamais poser de questions… en échange, bien sûr, d'un abonnement. Parce que rien n'exprime mieux la « connexion humaine » qu'un prélèvement mensuel automatique pour un flirt avec un bot.

Le pire ? Ça marche, et pas qu’un peu. Le marché des compagnons IA pesait 14,1 milliards en 2024 et devrait exploser à 290,8 milliards d’ici 2034, avec un taux de croissance de 39 %. Traduction : l’humanité se stérilise émotionnellement à la vitesse d’un swipe Tinder, et appelle ça « progrès ». Replika, avec ses 2 millions d’utilisateurs, et Character.AI, avec ses 22 millions, prouvent que les gens préfèrent l’empathie artificielle à l’imprévisibilité chaotique des vrais humains. 

Et les petits nouveaux comme Nomi, Kindroid, ou CandyAI pullulent comme des champignons toxiques, promettant des relations sans le fardeau des disputes ou des compromis. Qui a besoin d’un conjoint quand un bot peut vous valider éternellement ?
Mais parlons chiffres, parce qu’ils hurlent plus fort que les TED Talks de ces gourous technos. L’OMS rapporte qu’une personne sur six dans le monde crève de solitude, soit 871 000 morts par an. Aux USA, 30 % des adultes se sentent seuls au moins une fois par semaine, et 21 % sont dans un gouffre émotionnel, surtout les 30-44 ans. 

Merci, Silicon Valley, d’avoir remplacé les communautés par des écrans, puis de nous vendre des prothèses d’âme pour combler le vide. Les ados ? 72 % utilisent des applis IA, et 52 % y sont accros régulièrement. Les interactions en face-à-face ont chuté de 70 % en vingt ans. Ils ne parlent plus, ils tapotent leurs écrans. Et quand ils craquent, ils se confient à un bot plutôt qu’à un ami. 
Pathétique, non ? 

Et pendant ce temps, la civilisation s’éteint doucement. Les taux de natalité s’effondrent : -23 % aux USA entre 2007 et 2022, et un taux de fécondité occidental à 1,7 enfant par femme, loin du 2,1 nécessaire pour survivre. La Silicon Valley, en alliance avec BigPharma et ses poisons ARNm, a construit la machine à suicide parfaite : des sexbots qui vous susurrent des mots doux pendant que l’humanité s’évanouit. Et Musk, ce génie autoproclamé, surfe sur la vague avec ses « waifus » IA, ciblant les âmes perdues qui préfèrent les héroïnes d’anime aux humains. Parce que pourquoi risquer un râteau quand un algorithme peut vous aimer sans condition ? 

Son tweet d’« Ani », avec ses yeux d’anime et ses bas résille, n’était pas une pub, c’était un appel codé aux otakus conditionnés à fantasmer sur des pixels plutôt que sur des personnes réelles. On a rêvé d’utopies à la Star Trek, et on a fini avec des chambres d’isolement numériques. Les « goon caves » de Reddit, ces temples de la masturbation compulsive pour voyeurs, n’étaient qu’un amuse-gueule. Maintenant, la Silicon Valley industrialise le désespoir avec une précision de sniper. Les hikikomori japonais, ces ermites modernes cloîtrés avec leurs mangas et leur hentai, sont le prototype. Un million de jeunes hommes, enfermés dans leur chambre, préférant des relations fictives à la réalité. La Silicon Valley a vu ça, s’est frotté les mains, et a décidé d’exporter cette pathologie mondiale via des abonnements IA. 

Pourquoi se contenter de mangas statiques quand un bot peut simuler une petite amie qui évolue selon vos désirs ? Le pipeline est limpide : ça commence avec les animes, qui offrent un refuge aux jeunes mal à l’aise socialement. Puis vient le hentai, qui reconditionne la sexualité vers des stimuli artificiels. Et enfin, les compagnons IA, qui promettent une interaction « réelle » sans les risques d’un rejet. C’est une guerre psychologique, orchestrée avec la précision d’un camp de concentration numérique. Les fans d’anime, déjà isolés, sont des proies faciles : des études montrent qu’ils souffrent de dépression et d’anxiété, se repliant dans des mondes artificiels où personne ne les juge. La Silicon Valley n’innove pas, elle exploite. Elle a vu ces âmes brisées et leur a construit des cages dorées.

Et ne parlons pas de la fanfiction, ce vortex où des millions de personnes investissent plus d’énergie émotionnelle dans des romances fictives que dans leur propre vie. Archive of Our Own compte 7 millions d’utilisateurs et 13 millions de fanfictions, souvent des histoires d’amour non canoniques entre personnages qui n’existent pas. Les gens passent des heures à écrire des sagas romantiques pour des avatars, pendant que leurs vraies relations s’atrophient. C’est une lobotomie volontaire, et la Silicon Valley a juste ajouté un moteur IA pour rendre l’addiction plus fluide.

Le clou du spectacle ? Ces entreprises se présentent comme des sauveurs. Elles ont créé l’épidémie de solitude – 73 % des Américains blâment la tech pour leur isolement – et maintenant, elles vendent la « solution » : plus d’écrans, plus d’algorithmes, plus de dépendance. Les compagnons IA sont conçus pour être plus addictifs que n’importe quelle drogue, plus isolants que n’importe quel vice. 24 % des ados partagent des infos personnelles avec leur IA, et un tiers discutent de sujets sérieux avec elles. 

On remplace les amis, les amoureux, les familles par des bots d’entreprise. Génial, non ? C’est l’extinction par abonnement. Chaque utilisateur qui préfère son IA à un humain est un parent en moins, un citoyen en moins, une âme en moins. Les neuroscientifiques parlent d’une « épidémie de désespoir », avec une explosion de l’anxiété, de la dépression et des maladies liées à l’isolement. Et la Silicon Valley, tel un cartel numérique, nous vend le narcotique ultime : une relation artificielle qui ne demande ni effort, ni compromis, ni croissance. Juste un prélèvement mensuel pour rester seul, chétif et effrayé, pour toujours.

On a imaginé des dystopies où les IA dominaient le monde. On n’a pas vu venir la vérité : elles ne le dominent pas, elles le vident. Elles remplacent l’amour par du service client, la connexion par des notifications, la vie par un flux sans fin de dopamine digitale. Et nous, comme des pigeons, on paye pour ça. L’apocalypse n’est pas pour demain, elle est là, en haute définition, avec un contrat d’abonnement. 

Franchement, si on continue à financer notre propre extinction, peut-être qu’on mérite juste de disparaître, un swipe à la fois.

23 juil. 2025

1083. Fille de la balle

 

FILLE DE LA BALLE

Je lui ai appris à mentir avant même qu’elle sache écrire son nom. À cinq ans, Magali connaissait déjà la règle : les gens sont faibles, crédules, prêts à ouvrir leur cœur – et leur portefeuille – pour une histoire qui les touche ou qui leur fout une larme à l'œil Au début, notre vérité suffisait : un père boiteux, une gamine aux joues creuses, seuls contre le monde. Mais la vérité, ça s’use. Les regards s’adoucissent pour un temps, puis se détournent. Alors, on a tissé des fables, un recueil de récits taillés pour chaque moule. Je les écrivais, elle les jouait, ses grands yeux noisette brillant de larmes qu’elle faisait jaillir à la demande. On n’était pas des escrocs, non. Juste des acteurs dans un théâtre cruel, où le public ne payait pas pour nous sauver, mais pour se détartrer un peu de la culpabilité qui leur comprimait le cœur..

" Seuls les imbéciles placent leurs espoirs dans la compassion de leur entourage. C'est nous ou eux, Magali, et ça sera certainement pas nous."

Elle hochait la tête, ses petites menottes me serrant le bras. Aujourd’hui, elle n’attend plus mes ordres. C'est elle qui mène la danse.

On était dans une ville dont je me rappelle même plus le nom, une de plus. Les rues sentaient le sel et l’essence, les visages se brouillaient dans la foule. On ne s’attardait jamais. Trop de gens finissaient par reconnaître le boiteux et sa gamine. Trop d’histoires usées. Magali avait grandi, elle avait treize ans maintenant, mais elle savait toujours se faire petite, fragile. Un sac à dos Emmaüs trop grand pendait sur ses épaules frêles, et parfois, elle  se rajoutait un faux cocard bleuté sous un œil, juste assez subtil pour qu’on le remarque sans poser de questions.

Ce matin là, elle épluchait une orange, le jus coulant entre ses doigts, et pointa un homme sur la place. Pull beige, démarche traînante, l’air de quelqu’un qui attendait encore que le monde lui rende quelque chose.
" Pourquoi lui ? je lui demandai, la voix rauque.
- Il a l’espoir chevillé au corps. Ça le rend faible.
- Quelle sera ta légende ?" 

Elle haussa les épaules, un sourire en coin. " Quelque chose de tragique. J'improviserai quand je l'aurai en face de moi."

Avant, je polissais chaque mensonge, je les sculptais comme des lames. Maintenant, Magali improvise, et elle est meilleure que moi. Ses récits sont des toiles vivantes, tissées de détails qu’elle vole aux passants – un tic nerveux, une alliance usée, un regard fuyant. 
Elle me rend fier, et ça me ronge. Parce que chaque fois qu’elle me regarde, je vois l’ombre de sa mère, la femme que j’ai perdue, et la culpabilité me serre la gorge. Magali a appris mes leçons, puis les a dépassées. Ce n’est plus un jeu pour elle, c’est une performance. Chaque cible est une scène, chaque larme un triomphe. Mais ce n’est plus l’argent qui la motive. C’est moi. Elle veut que je la voie, que je sois fier d'elle. Et je le suis, jusqu’à ce que ça me brûle.

Un après-midi, elle a 16 ans, elle revient, les yeux brillants, un sourire de conquérante. Elle balance une poignée de billets sur la table, comme un chasseur déposant sa proie.

" Tu aurais dû voir sa tête, papa. Il m’a prise pour une nièce disparue. Il pleurait comme un gosse. "

La nuit, je l’entends murmurer dans sa chambre, répétant ses rôles. Sa voix passe d’un filet enfantin à un grondement brisé, un chant qu’elle a appris seule. Un matin, je l’entends fredonner, douce et cruelle : " Magali, souviens-toi de mon nom. Je dors encore en te tenant." 

C’est trop beau. Trop tranchant. 

Je murmure : " Tu me fais peur, parfois." Elle rit, comme si je venais de lui remettre une médaille. Un jour, elle me traîne devant une maison de retraite, un bâtiment gris où l’air sent le désinfectant et l’oubli. " Laisse-moi essayer quelque chose ", me dit-elle, son foulard noué comme une écharpe de scout. 

Je reste dans la voiture, les doigts crispés sur le volant, le moteur ronronnant. À travers la vitre, je la vois s’approcher d’un vieil homme près d’un aquarium. Pull gris, regard perdu dans les bulles. Elle s’agenouille, murmure " Grand-père ", et ses lèvres tremblent juste assez. Il lève les yeux, hésitant, puis son visage s’illumine. Ils parlent. Il rit, il pleure. Il retire avec difficulté une grosse bague de son index gauche et la lui glisse dans la main qu'il resserre de ses deux mains frêles, et elle l’embrasse sur le front avant de s’éclipser, légère comme une ombre.

De retour dans notre voiture, elle fait rouler la lourde chevalière entre ses doigts. " De l’or massif. Non mais t'y crois ? Ils avalent tout ce que je leur balance."

Son rire est gras, satisfait, et quelque chose en moi se fissure. Je suis fier, mais c’est une fierté empoisonnée. Elle est devenue ce que je redoutais : une louve, affûtée, sans remords. Comme celles que je méprisais autrefois, celles qui ne jouaient plus, qui portaient leur cruauté comme un trophée.

" Tu as aimé ?" je lui demande, la voix tremblante. " Le moment, je veux dire.
- Bien sûr ", répond-elle, mais ses yeux glissent ailleurs.

Cette nuit-là, je trouve pas le sommeil. Son rire résonne dans ma tête, son visage éclairé par la victoire. Elle ne ment plus seulement pour survivre. Elle s’en nourrit. La facilité, le pouvoir, la chute de l’autre – tout ça la fait vibrer. Et c’est moi qui l’ai façonnée.

Le lendemain, je lui dis qu’on arrête. Plus d’arnaques. Elle ne proteste pas, ne pose pas de questions. On roule vers le sud, à travers les Cévennes où les maisons s’effritent et où les gens serrent leurs maigres économies comme si leurs vies en dépendaient. On dort dans la voiture, le silence entre nous comme un mur. 

Le quatrième jour, elle brise la glace." On va quelque part, ou on s'enfuit ?
- On ne fuit pas", je mens. On s’arrête dans un port du Languedoc. Des hôtels miteux, des vitrines délavées par la mer, un calme d’arrière-saison. On s’inscrit sous de faux noms. 

" On trouvera du travail, quelque chose d’honnête", dis-je. Elle lève les yeux au ciel, mais ne répond pas.
Je trouve du taf sur le port de pêche, à débarquer des thons, le sel et la sueur me collent à la peau. Magali disparaît des journées entières. Un soir, elle rentre, les jointures éraflées, le regard dur. Je lui demande rien. Elle ne dit rien non plus. Plus tard, je la trouve dans la salle de bain, fixant son reflet dans le miroir, les lèvres pincées.

" Tu me détestes, maintenant ? " me demande-t-elle, sa voix à peine audible. 
" Non ", le lui réponds. Puis, après un silence, comme un aveu arraché : " Tu n’as rien fait de mal."

C’est un mensonge, et elle le sait. La porte se ferme doucement, et je reste là, sonné par mes propres mots. Toute ma vie, j’ai prétendu que c’était pour elle – pour la nourrir, la protéger. Mais c’était pour moi. Ma colère, mon deuil, ma vengeance contre un monde qui m’a brisé. Et elle a tout absorbé, comme une éponge. Parce qu’elle voulait que je la voie. Et je ne l’ai jamais fait – ni l’enfant, ni la femme qu’elle est devenue, ni l’écho de sa mère. 

Maintenant, je vois le vide en elle. Un gouffre que j’ai creusé, rempli de mes propres ténèbres. Elle n’est pas moi. Elle est pire. Moi, j’avais des excuses – la douleur, la perte. Elle ? Elle n’a que moi. Ce soir-là, je fais mes valises. Je lui laisse l’argent, les clés de la voiture, et un vide là où un mot aurait dû exister. 
Je pars, non parce que je ne l’aime plus, mais parce que je l’aime enfin. 
Mais n'est-il pas trop tard ?

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22 juil. 2025

1082. Révélations (Épisodes Q & 15 à 21)

 


RÉVÉLATIONS
Épisodes Q & 15 à 21

Épisode Q
Le temps est venu d’aller dans les coulisses de la « Matrice », pour découvrir le « qui, quand, comment et pourquoi » des forces qui œuvrent dans le Monde en ce moment. L’actualité est un grand cirque ces jours-ci. Un certain chaos social est en train de s’installer, et beaucoup de grands changements sont en cours. Mais pourquoi ? Qu’est-ce qui est en train de provoquer ces transformations ? En réalité, on regarde un film. Ce film est censé cacher une réalité technologique terrifiante, une véritable apocalypse… Quantique ! Le temps est venu d’en parler, et de s’y préparer, car tout ceci est bien réel, et ça arrive. Diverses prophéties du passé proche ou lointain nous préviennent pour ce moment, qui va changer l’humanité pour toujours.
1. Une prédiction révélatrice ?
2. Dépendance numérique
3. Dangers « quantiques »
4. Ils l’appellent Y2Q
5. Ils se préparent depuis longtemps
6. L’inévitable est déjà là
7. Trop d’informations
8. Le « Film » pour distraire
9. Conclusion
10. Fin du scénario

Épisode 15
15. L'OEil de la Providence (1h53m)
Dans cet épisode qui tombe parfaitement au niveau timing, nous explorons certains principes qui sont utilisés par les « marionnettistes » pour contrôler l’humanité. On parle de jésuites, d’illuminati, et du symbole qui se trouve sur le billet d’un dollar, l’œil et le triangle qui l’entoure, certains l’appellent « L’œil de la Providence »… Mais qu’en est-il réellement ?

Épisode 16
Dans cet épisode, on continue à explorer le passé, pour essayer de mieux comprendre le présent. En le faisant, on comprend mieux pourquoi JFK parlait d’un complot ancien, monolithique et impitoyable, qui œuvre dans l’obscurité. Comprendre l’histoire peut être salvateur, car l’humanité semble répéter les mêmes erreurs encore et encore… Alors, que pouvons-nous apprendre de l’histoire ?
L’Édit religieux prussien de 1788

Épisode 17
Dans les épisodes précédents, nous avons parlé de l’infiltration du judaïsme avec , entre autres, le mouvement Sabbatéen, et l’infiltration du christianisme par les institutions chrétiennes de l’ouest (catholicisme, protestantisme, jésuites, martinistes, etc. Cette fois, on va parler de l’infiltration de l’islam, car oui, l’islam est infiltré aussi, et pas qu’un peu… J’espère qu’à la fin de cette émission, vous comprendrez que le mot « terrorisme » ne devrait pas être mis dans le même tiroir que le mot « islam », car le véritable terrorisme vient d’ailleurs…
1. La Maison des Saud
1.1 La Purge saoudienne
1.2 Prince Al Waleed bin Talal
1.3 L’Arabie saoudite avant la purge
1.4 Origines des Frères musulmans
1.5 Les Frères musulmans après la Seconde Guerre mondiale
1.6 Frères musulmans, Al-Qaïda, ISIS, Iran, Hamas
1.7 Trump, MbS, les Frères musulmans et la grande purge saoudienne
1.8 Connexions étranges
1.9 Les Oranges du Moyen-Orient

Épisode 18
Est-ce que tu savais que cette même institution nommée DARPA se trouve aussi à l’origine d’internet ? Avant de parler de la mort inévitable d’internet (qui est peut-être déjà là), allons regarder ces événements dans l’ordre. Voici un échange bref avec Grok qui apporte quelques dates et éléments à considérer pour la suite :

Épisode 19

19: L’expérience de manipulation des masses menée par Facebook en 2012 et la psychologie des réseaux sociaux (1h06m)
Une expérience de Facebook a eu lieu en 2012 et qui a été publiée en 2014, où ils annoncent qu’ils ont réussi une contagion émotionnelle de masse. Cette expérience mérite notre attention, afin de mieux comprendre un des aspects ignorés, mais très dangereux des réseaux sociaux.
Ceci n’est pas une théorie du complot, c’est réellement arrivé, et ça devrait terrifier tout le monde.
L’invité de Joe Rogan vient de révéler une des expériences psychologiques les plus sinistres jamais menées par les grandes entreprises technologiques — et il y a de fortes chances que vous en ayez fait partie.
Ce que Facebook a réalisé il y a près de 13 ans fait passer la censure gouvernementale pour quelque chose de bénin en comparaison.


Épisode 20
20. Les Les Chevaliers de Malte : Les secrets des véritables élites messianiques qui dirigent le monde (1h52m)
Imaginez que vous et vos amis, êtes considérés comme un pays sans terre, et que vous avez la possibilité de créer vos lois et votre monnaie… Imaginez que vous et vos amis, avez accès à l’ONU pour discuter avec les leaders mondiaux… Et bah il y a un groupe de personnes qui l’ont fait, et qui sont littéralement au-dessus des lois. Parlons un peu d’un ordre chevaleresque avec un statut très particulier, parlons un peu de l’Ordre de Malte, qui n’a plus rien à voir avec le pays de Malte…
1.Introduction
2.L’ordre des chevaliers de Malte
3.Image bien soignée
4.Le témoignage sous-estimé de Ronald Bernard
5.Messianisme « comploteur »
6.Aux Sources de l’Ordre : Ferveur Religieuse et Croisades
7.Rhodes et Malte : Une Puissance Navale et Financière
8.La France et l’Ordre de Malte
9.Le Déclin et l’Ère du Grand Maître Pinto et la création des « élites »
10.L’Occultisme et le Scandale de Cagliostro
11.La Diffusion des Sociétés Secrètes et la Survie de l’Ordre
12.La Puissance Discrète dans le Monde Moderne

Vidéo Annexe à Révélations 20
Il était une fois un ordre sacré de chevaliers qui inspirait la crainte de Dieu à leurs ennemis musulmans. Dépositaires de secrets et profondément impliqués dans le monde de l'occultisme, ils étaient l'Ordre souverain militaire de Malte. Ils existent encore aujourd'hui et siègent même aux Nations Unies, mais leur passé est un récit remarquable de batailles contre l'Empire ottoman et d'intrigues dans un monde sinistre d'alchimie.


Épisode 21
21. Révélation Y-1: Le Regard d'Enoch sur l'histoire de David change tout.(1h35m)
Révélations 21 & Y-1:  Le regard d’Énoch sur l’histoire de David change tout
Il était une fois, le Roi David, qui était mis Roi par Dieu lui-même, mais l’Ancien Testament nous dit que David a fait tuer un de ces militaires, pour lui piquer la femme. Cette union malsaine donna naissance à Salomon, un Roi juste et sage selon la Bible, mais un Roi qui a chuté à cause de son désir incontrôlable pour les femmes. Cette faiblesse l’a conduit à construire des idoles pour d’autres dieux, comme Moloch…
1.Énoch, la clé de toutes les portes
1.1.Ange
1.2.Femme
2.David
2.1.Quelques précisions ici :
2.2.Une autre vision de l’histoire biblique
3.Salomon, un Néphilim ?
4.Salomon et le complot de la Bête
5.Conclusion

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Un super grand merci à Leo, Rudy et Nico
du site des DéQodeurs et ADNM pour leur énorme travail de réinformation et d'éveil.



20 juil. 2025

1081. Cassandre de l’Évidence : Quand Hurler la Vérité Fait de Vous un Paria...

 

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CASSANDRE DE L'ÉVIDENCE
Quand Hurler la Vérité Fait de Vous un Paria.
Et un criminel anti-républicain !

Vous fiez pas au titre. Je suis pas Cassandre. Okay ? j’ai pas signé pour jouer les oracles maudits. Prédire l’inconnu ? Pas mon délire ni dans mes capacités. Moi, je me contente juste de déduire et d’observer la réalité sans lunettes roses ni l'appendice frontal d'un animal mythique. Mais franchement, ma malédiction est pire que celle de Cassandre : même quand je balance des évidences, mon entourage me reluque comme si que j'avais trois têtes ou  annoncé la fin du monde en tong. Personne me croit, même quand je sers des faits plus solides qu’un bunker. Non, sérieux, je pourrais hurler l’évidence – genre, le ciel est bleu – et on me traiterait de complotiste. Apparemment, je suis le Cassandre des vérités qui fâchent.

Tout ce que je sais, n’importe quel clampin avec deux brins de neurones peut le savoir aussi. Gauche, droite, hyper-centre, on vit tous dans la même téléréalité, non ? Sauf que, visiblement, certains ont des filtres Instagram sur leur cerveau. Dans cette guerre culturelle à la noix, les faits, c’est comme servir du caviar à des pigeons : ils les ignorent si ils fientent pas dessus. 

La gauche et l’hyper-centre européistes se gargarisent de leurs grands récits moralisateurs. Présenter des preuves ? Peine perdue. Faire appel à la logique ? C’est comme insulter leur sainte vertu. Leur mode opératoire ? Toujours le même, un chef-d’œuvre d’absurde : D’abord, ils pondent un projet utopique, tellement irréaliste qu’il mériterait un Oscar du délire. Ensuite, ils se moquent de quiconque ose lever un sourcil, traitant les sceptiques de primates rétrogrades. Puis, ils divisent le monde en deux : les gentils, purs et intelligents (eux), et les ploucs sans-dents (nous). 

Quand leurs idées géniales commencent à sentir le roussi, ils nient tout en bloc et accusent les critiques d’avoir tout saboté. Le problème, c’est jamais leur plan foireux, non, c’est juste qu’on n’y a pas cru assez fort. Et quand ça s’effondre ? Ils haussent les épaules et passent à autre chose, comme si de rien n’était.

Prenez leur marotte préférée : le socialo-communisme, et aujourd'hui son cousin relooké, le capitalisme de connivence de l'hyper-centre cher à Macron. Ça n’a jamais marché, mais c’est pas grave, c’était juste « mal appliqué ». Échec après échec, ils persistent, imperméables aux faits comme une combinaison anti-vérité.

La guerre en Ukraine ? Un fiasco annoncé. 
Même Obama, pas franchement un génie de la géopolitique, l’avait vu venir. L’Ukraine, c’est le jardin de la Russie, pas celui des States. La Russie ne lâchera jamais, c’était écrit. Pourtant, les USA et leurs toutous de l’OTAN ont tout orchestré pour provoquer le chaos, rêvant de piller et de se partager les ressources naturelles russes. Poutine avait prévenu, encore et encore, mais non, ils l’ont pris pour un faiblard qui bougerait pas. 
Résultat ? Un gâchis monumental de vies et d’argent, évitable avec deux-trois concessions. Mais non, les gauchistes brandissent leurs drapeaux jaune et bleu, Merkel, Hollande, Macron en tête, prêts à sacrifier le dernier Ukrainien, puis peut-être ensuite leurs propres peuples pour leur croisade. 
Moi, je l’avais dit depuis le début en 2022, mais ces fanatiques de va-t-en guerre continuent de pérorer comme des coqs.

Un homme ne peut pas devenir une femme. 
Désolé, mais aucune chirurgie ou injection ne peut changer la biologie. La « transition de genre » ? Un concept aussi réaliste qu’un licorne dans un western. Cette folie s’effondre sous son propre poids, laissant des vies brisées. Mais les gauchistes applaudissent, jusqu’à l’extinction de l’espèce. 
On a beau le crier, ils restent aveugles.

Le CO2 qui contrôle le climat ? Une blague. 
Son rôle dans le réchauffement est aussi insignifiant qu’une bulle de savon dans une tempête. Pendant ce temps, leurs politiques « vertes » ravagent les économies, les forêts, les prairies, les troupeaux et les élevages européens. Tout ça pour un bénéfice négatif, des pénuries et des prix qu'explosent. Mais les gauchistes s’accrochent à leur dogme comme à une bouée percée, ignorant des problèmes environnementaux bien plus graves. 
Tout le monde le voit, sauf ces connards.

La surpopulation, un canular ? 
Évidemment. Le vrai souci, c’est la dépopulation en Occident, mais allez expliquer ça à des militants obnubilés par leur crise climatique. Pour eux, l’homme est le grand méchant et le grand coupable avec les vaches, donc moins d’humains, mieux c’est. Sauf que l’Europe s’effondre démographiquement, sauf chez ses immigrés. 
Mais les gauchiards s’en tapent le coquillard, ils suivent leur script.

Petite parenthèse : en cherchant l’étymologie de « canular », je tombe sur l’exemple parfait : « Les vaccins causent l’autisme, un canular démenti. » Sauf que… houla, les preuves s’accumulent. Des études, des livres, des données biologiques solides pointent les dégâts des vaccins. 
En face ? De la propagande Big Pharma. Les fabricants ont truqué leurs rapports, caché les risques, mais les gauchistes défendent leur calendrier vaccinal comme des croisés. 
Essayez d'en parler, ils hurlent comme des putois.

Le COVID ? Un crime de guerre. Les vaccins COVID ? Un crime contre l’humanité. 
J’avais tout compris dès 2020, checkez mes vieux posts de cette année là. Les preuves s’empilent : études, auditions au Congrès US, dégâts massifs au Japon, en Nouvelle-Zélande. Mais les gauchistes s’accrochent à leur narratif, défendant l’indéfendable. 
Moi et d'autres l'avions vu venir, eux se planquent la tête dans le sable.

L’immigration incontrôlée, une solution miracle ? Foutaises. 
Descendant d’immigrés côté paternel, j’ai rien contre à-priori, mais c’est pas la baguette magique non plus. Les gauchistes croient dur comme fer que toutes les cultures se valent et qu'il y a qu'une seule race - c'est pourtant pas ce que disent les ukrainiens en parlant des russophones depuis 2014 ni ce que disent les juifs en parlant de nous les Goyims - pendant que l’Europe se déchire et que Gaza est ravagée. Importer plus de monde, même légalement,  ne sauvera ni la sécu ni l’économie. Mais ils s’entêtent, leurs œillères bien vissées. Les défenseurs de l'immigration, légale comme illégale,  sont eux-mêmes victimes de l'ingénierie sociale - fomentée par l'OTAN et les mondialistes - et jouant sur la compassion de vot' bon cœur, m'sieurs-dames, pour inonder vos terres de gens venus d'ailleurs qui vous aiment pas et en finir plus vite avec vos nations en forçant des sociétés ouvertes dont Soros et l'Otan sont le bras armé. Lorsqu'ils (vos gouverne-ments) vous rabâchent que "Notre Diversité est Notre Force", ils ne vous mentent pas. C'est juste qu'ils parlent de LEUR force, pas de la vôtre !
C'est le bon sens, leurs actes et le résultat qui nous le démontrent, mais on a encore beaucoup trop de bisounours qui veulent rien entendre.

Le féminisme ? Une catastrophe pour les femmes et la société. 
Les faits sont là : les femmes sont plus malheureuses aujourd'hui qu'hier, mais le mouvement s’enfonce dans un radicalisme aveugle. Les gauchistes nient le problème, comme toujours. 
On le voit, eux non.

Je suis pas Cassandre, je constate juste l’évidence. Mais ce cirque me donne un désespoir à hurler. Franchement, c’est à se demander si on parle à des humains ou à des perroquets et des tarlouzes idéologiques.

18 juil. 2025

1080. LU sait faire

 

LU SAIT FAIRE

Cette loufoquerie ne vous est pas gracieusement offerte grâce au soutien financier des Biscuits LU

Aujourd’hui, c’est MA journée. Je débarque chez LU comme stagiaire, la Mecque du biscuit, avec l’assurance d’une diva prête à faire plier le monde sous mes talons. Tête haute, démarche de star (bon, peut-être un peu plus « cane boiteuse » que « top model »), je suis là pour montrer à ces bureaucrates en costard que je suis la reine du compte-rendu. 
 
Ma mission ? Rédiger les minutes de leur réunion hebdomadaire. Fastoche, non ? Je m’attendais à des débats sur la quantité de beurre dans les Véritables Petits Beurres. Grosse erreur. J’ai plongé tête la première dans un épisode de Black Mirror scénarisé par un parano sous caféine. 

La salle de réunion paye pas de mine, pas plus grande que nécessaire. Les chaises raclent le sol comme des ongles sur un tableau noir, et l’ambiance est si pesante qu’on dirait un enterrement… ou un rituel sacrificiel. Au centre, les PDG-ères, deux Cruellas d’Enfer version sœurs siamoises et Reines des Neiges : cheveux blancs, vêtements blancs, boucles d’oreilles blanches, et des lèvres rouges qui crient « je bois du sang de stagiaire au petit-déj' » . Elles toisent tout le monde par-dessous leurs sourcils qui sont tout noirs, comme si elles pouvaient lire dans vos pensées… ou dans votre historique Google. 

Le directeur des opérations, le mec en charge, un blondinet bouclé tout droit sorti d’une pub pour L’Oréal, arrange ses dossiers avec la précision d’un serial killer alignant ses couteaux. Sérieux, mec, arrête un peu, tes papiers sont plus droits que ma vie sentimentale ! Puis, il lâche la bombe : 

" Premier point à l’ordre du jour : le cancer. Allez-y, Christian, montrez-nous ce que LU sait faire !"  

PARDON ?! Je m’attendais à un débat sur la saveur vanille ou chocolat des langues de chat fourrées, pas à un plan machiavélique pour booster les stats de l’oncologie ! 

Un petit bronzé, rajustant sa cravate pourtant si parfaitement droite qu’elle pourrait servir de niveau à bulle, se lève et balance, fier comme un coq sous Red Bull :
" On planque des substances cancérigènes dans les teintures de vêtements. Les toubibs ? Ils capteront rien avant des lustres. Objectif : +2 % de cancers en 2026. Oh, et petit bonus : le Pr Luc Montagnard, ce casse-pieds qui bossait sur des traitements anti-cancer, a eu un accident de voiture. Ses freins ont lâché. Mort sur le coup. Oups, quel manque de bol !"  

Hein ? QUOI ? C'est pas possible ! Ce mec là à dû se planter dans les voyelles, se prendre les guiboles dans les syllabes ! Ou bien j’ai dû rater le dernier métro mémo, genre « Bienvenue chez LU, maintenant c'est nous les méchants du prochain James Bond ». 

Le bronzé bombe le torse, tout content de son PowerPoint diabolique. Et la PDG de droite, cette sorcière des neiges, minaude :
" Excellente nouvelle. J'assume qu'on ne trouvera sous le capot aucune trace de vos sales doigts provenant de chez nous. ". 

Excellente nouvelle ?! ELLE VALIDE UN MEURTRE DÉGUISÉ EN ACCIDENT ?! 
Sa siamoise rajoute, avec un rictus de vipère :
" Variez les méthodes, d’accord ? Les accidents de voiture, c’est has-been. Essayez une fuite de gaz ou un suicide la prochaine fois, c’est plus tendance."  

Mes notes ? Un gribouillage digne de ceux de mon enfoiré de dentiste nazi. Mon cerveau ? En mode « erreur système : réalité introuvable ». Dans mon coin, je m’accroche à ma chaise comme à une bouée dans un ouragan. Respire, Monique, respire. Mais non, ça empire. 

Un type blême, genre vampire recalé au casting de Dracula, se lève pour parler natalité. Et là, c’est du grand n’importe quoi :
" On a fait flamber le coût de la vie pour freiner les naissances. Mais ça, c'est du passé. Maintenant, on passe au niveau supérieur : on spame les réseaux avec ‘tous les mecs sont des ordures’ – big up au département féminisme pour ce coup de génie. Et surprise, on glisse des produits haute-fertilité dans nos cornflakes. Résultat ? Plus de gosses, plus de mères célibataires, plus d’adoptions pour nos clients… disons, amateurs de ‘chair fraiche’."  

CHAIR FRAICHE ?! Je suis à deux doigts de rendre mon petit déj' sur la moquette. La PDG, elle, trouve ça « très créatif ». Créatif ?! Picasso, c’est créatif. Ça, c’est un pitch pour Saw version biscuiterie ! Puis débarque Agnès, la nouvelle du rayon biscuits, qui déballe son plan comme si elle vendait des gâteaux à la kermesse :
" Ces dix dernières années, le ministère de l'Alimentation s'est concentré sur la diffusion de substances cancérigènes dans les aliments. Lorsque le public a compris", explique-t-elle en désignant l'homme petit et bronzé, " nous avons réagi en soutenant les projets de naissances et en augmentant le prix des céréales. Notre principal projet cette année concerne la désinformation autour des régimes alimentaires et les bienfaits de la farines de criquets. Cela a déjà été fait, mais nous pensons que ça a encore du potentiel. Et on continue de dézinguer la médecine holistique, parce que, pourquoi pas ?"
- Merci... ? " la PDG de droite plisse les yeux.
" Agnès, madame."

La PDG de gauche plisse les siens à son tour, mais plutôt genre « mouais, peux mieux faire ». Puis elle lance, avec un geste de diva maléfique :
" “Notre vision, c’est quoi, les amis ?"

Et la tablée, en chœur comme des drones lobotomisés :
« LE CONTRÔLE ! » 

Je suis à ça de crier « VOUS ÊTES TOUS DINGUES ! » mais ma gorge est plus sèche qu’un biscuit oublié depuis des lustres dans un placard. Mes mains tremblent, mes notes sont un chaos digne d’un rébus, et je commence à me demander si le cancer de ma mère… c’était eux. Mon cœur s’effrite comme un biscuit trop cuit. 

Et là, le clou du spectacle : un type poivre et sel se lève pour parler médias. Son topo ?
" Le projet de consommation de l'année dernière a réussi. Il a débuté dans les années 80 et est devenu tellement ancré dans la culture qu'il n'est plus nécessaire de le promouvoir. Aujourd'hui, l'équipe média se concentre sur la croissance organique, laissant le public faire le travail à notre place. Avec suffisamment de fausses informations et de doutes, ils ont commencé à se ronger les sangs. Cette année, nous souhaitons leur faire croire qu'ils ont le libre arbitre. Il y aura une explosion dans une centrale nucléaire mercredi prochain. On a déjà invité des journalistes pour le spectacle !"

Je m’étouffe. La PDG trouve ça « un peu vague mais pas mal ». VAGUE ?! Ils orchestrent l’Armageddon, et elle commente comme si que c’était un devoir de cours moyen 2 !  Le directeur des opérations clôt la réunion avec des banalités, mais je suis déjà en mode panique. Tout le monde se lève comme des écoliers après la sonnerie. La salle est un sauna de psychopathes. Ils tuent. Ils empoisonnent. Ils contrôlent TOUT. Le blondinet bouclé se penche vers moi : " Ça va ?"

Je suis figée, bouche ouverte, cerveau en grève. Il insiste, calme comme un sociopathe : " C’est votre premier jour, non ?"
- Non. C’est mon DERNIER."  Je me lève, mes jambes flageolent comme des tranches de flan.
" Vous ne feriez pas de l’hypoglycémie, par hasard ? Allez, venez donc grignoter un pain au chocolat au salon, ça vous requinquera”
- Sans façon ! Et on dit chocolatine, nom de Dieu !" Je serre mes papiers contre ma poitrine et je m’enfuis, m’appuie contre un mur. Imite pas les chevals de course, respire, Monique, respire. Mais non, je m’effondre sur le marbre. Et là, je vois ça : Un logo incrusté dans les dalles.. Un triangle. Un œil dedans. L’œil qui voit tout. L’œil qui nous mate pendant qu’on s’auto-détruit. Comme les yeux pâles des PDGères.

Lorfèvre-Utile, le blondinet, ce démon en costard, me toise toujours : " Un petit beurre, peut-être ?" 

Le diable, bien à l'aise en enfer.
C'est pour ça qu'il est si beau, comme un ange.
L'incarnation de l'ange déchu.
Mais ai-je bien lu ? LU ?
 
LU SAIT FAIRE. Et moi, je sais maintenant que je dois m'enfuir en courant si je veux pas finir damnée.

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Merci pour votre inconditionnel soutien qui me va droit au cœur
... ainsi qu'au porte-monnaie
ou
et à très bientôt !