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26 juil. 2025

1085. ObamaGate: Sans fondement ???!!! Vraiment ???

 

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OBAMAGATE: SANS FONDEMENT ???!!!
VRAIMENT ???

Alors, sérieux, ces clowns mondialistes des médias, ils vont quand même pas continuer à nous bassiner avec leurs « sans fondement » à deux balles pour parler des magouilles – maintenant gravées dans le marbre officiel – d'Obama et sa clique pour tenter de virer Trump après son élection de 2016, si ? 

Ce cliché pourri, c’est le summum de la connerie journalistique, tout droit sorti du cloaque des traîtres dégénérés qui se prennent pour des cadors tels ces vendus sur LCI. « Sans fondement », mon cul ! Comme si que balancer ce mot dans un titre à la con avait le pouvoir magique de faire disparaître la vérité, pffouit, comme un pet dans le vent !

C’est quoi ce délire ? On dirait des gosses pourris gâtés qui savent même pas distinguer le vrai du faux, le bien du mal, et qui, par un miracle tordu du contrat social, se retrouvent à jouer les caïds sans jamais rendre de comptes. Et devinez quoi ? Ces sales mioches sont devenus la clique qui dirige l’Occident, les « élites » autoproclamées qui veulent penser à notre place, genre les grands gourous de la morale. 

On parle de qui là ? De Tony Fauci, le dieu de la science bidon, de Paul Krugman, l’« économiste » keynesien qui vend du vent, de Katherine Maher, ex de la Banque Mondiale et de l'UNICEF, reine du wokisme à la National Public Radio, l'équivalent de France Inter là-bas, ou encore de Lawrence Tribe, le prof de Harvard qui pète plus haut que son cul. La liste est longue, mais vous avez capté l’idée, non ?

Cette bande de guignols, c’est aussi les proprios de l’État profond US, un vrai cartel de mafieux qui, en 2016, s’est transformé en machine à laver des milliards de dollars des contribuables pour engraisser des ONG bien décidées à foutre en l’air la culture et la politique du pays, sans parler de ses petits copains chez nous en Europe. Tout ça pendant qu’ils transforment les dons de campagne en pactoles de ouf pour des mecs censés gagner 200 000 balles par an. 

Et cerise sur le gâteau, ils financent une armée de glandeurs prêts à foutre le bordel dans des émeutes ou à ramasser des bulletins de vote illégaux dans les Ehpads comme des Pokémon. Ça tournait à plein régime à la fin des mandats d’Obama, avec la diva des baby-boomers, Hillary, prête à s’installer dans le Bureau ovale après avoir amassé 300 millions de billets verts en jouant les sénateurs (alors qu'un salaire sénatorial, c'était 174 000 $ par an, non mais vous y croyez, vous ?) et en tant que  secrétaires d’État d'Obama (199 700 $ à l’époque). 

Et là, boum ! Débarque Donald Trump, le gros outsider qui, comme Chirac, sent bon la bière et le burger, qui promet de tout péter et de vider ce marécage puant rempli de népotistes, d’escrocs et de parasites qui sucent le sang du Potomac. Panique à bord ! Obama se prend pour Dark Vador, John Brennan, ex-dirlo de la CIA, lui refile un sabre laser merdique (le dossier Steele, ce torchon fabriqué de toutes pièces), et ils pensaient que l’affaire était pliée. Sauf que non, ça a purulé comme une vieille plaie pendant dix piges, et maintenant, ça gicle du Washington Post comme une fontaine de merde, éclaboussant tout le monde, collant aux basques des Démocrates comme un vieux chewing-gum sur la lunette d'un chiotte.

Et « sans fondement », tu parles ! Le fondement, il est là, clair comme de l’eau de roche, grâce à Tulsi Gabbard, la boss du renseignement, qui a réussi à choper les preuves en béton là où John Ratcliffe, son prédécesseur, s’était cassé les dents en 2020. Pourquoi elle a réussi, elle ? Merci l’IA, qui a fouillé les serveurs des agences comme un pitbull dans un tas d’ordures. Résultat : les dossiers sortent au compte-gouttes, et ça sent le roussi pour Obama, qui s’est fait prendre à son propre jeu en décembre 2016. 

Est-ce que ça va finir en procès ? Peut-être, si les preuves tiennent la route. On parle pas forcément de trahison, mais y’a de quoi coffrer du beau monde pour conspiration séditieuse ou privation de droits sous couvert de la loi. Des combis orange pour tout le monde, les gars ! 

Mais le pire, c’est pas ça. Le vrai carnage, c’est ce que RussiaGate et ses suites ont fait à la moitié du pays, rendue complètement tarée. Une fois le bobard lancé, tout est parti en vrille : les mecs qui se prennent pour des meufs, les émeutes avec cocktails Molotov qualifiées de « manifestations pacifiques », la frontière US-Mexique laissée grande ouverte sans raison, et un Joe Biden, corrompu jusqu’à l’os et sénile comme pas permis, vendu comme un génie de la politique. Et ne parlons même pas du Covid, l’arme ultime pour virer Trump en 2020, avec des vaccins à ARNm qui ont peut-être cramé le cerveau de millions de gens avec leurs protéines Spike. 

Pure spéculation tout ça ? Je crois pas, je sais pas pour vous mais ça fait réfléchir en tous cas. Si les coupables finissent au tribunal et que la justice fait son taf correctement, on verra si la moitié de ce pays peut redevenir un minimum lucide. Pour l’instant, c’est mal barré : ils nomment des communistes djihadistes à des postes clés et continuent leur guerre juridique pour bloquer Trump. Comme l'a dit Q, faudra sûrement passer par des tribunaux militaires vu que les 3/4 des juges amerloques ont été mis en place par les mondialistes. Le but ultime, pour ceux qui veulent encore sauver ce qui reste de la république US, c’est de remettre tout le monde d’accord sur des bases solides : égalité devant la loi, fair-play, respect des droits de propriété et de la vérité qu’on peut vérifier. Parce que « sans fondement » ? Franchement, ça, c’est vraiment se foutre de la gueule des fondations !