Bienvenue, curieux voyageur

Avant que vous ne commenciez à rentrer dans les arcanes de mes neurones et sauf si vous êtes blindés de verre sécurit, je pense qu'il serait souhaitable de faire un petit détour préalable par le traité établissant la constitution de ce Blog. Pour ce faire, veuillez cliquer là, oui là!

27 nov. 2022

695. Regard dans la brume

 

REGARD DANS LA BRUME.

Ruissellent les carreaux de sa passerelle
Comme s'égrainent les jours perdus
Passés à contempler ce temps qui fuit
Et jamais plus ne reviendra.
Quand tout s’efface et puis se fond
Sur une mer et un ciel gris
Qui se mêlent puis qui s’unissent
En une robe au teint passé
Dont on aurait recouvert sa vie,
Les yeux perdus dans ce néant,
Il contemple, l’esprit ailleurs, la houle triste 
De  l'ennui.

Pas un oiseau, un cachalot,
Ni le plus petit des rafiots
Ne pourraient divertir ses yeux
De ces pupilles qui le contemplent
De l’autre bord de ses carreaux.
Et quand il les observe mieux,
Ces deux enfants du désarroi
Qui l’implorent, qui le supplient,
Flottant sur cet océan gris,
Il s’aperçoit, et c'est bien triste,
Qu’il se  regarde au fond des yeux.

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25 nov. 2022

694. Mensonge et cachotterie


 MENSONGE & CACHOTTERIE
(ou Crime & Châtiment ? )

Karine ne sait pas pourquoi elle pensait que la thérapie pourrait être une bonne idée. La première chose qu'elle remarque lorsqu'elle entre dans le bureau est qu'il est baigné de lumière même si y a pas de fenêtre à hauteur des yeux. Elle suppose que c'est pour garder le patient concentré sur le problème à résoudre. Sa psychologue est une femme qu'elle a trouvée en parcourant Internet. Elle porte un nom polonais difficile à prononcer. Peu importe ce que dit Karine, la psychologue ne juge pas et elle commente rarement. Elle laisse parler Karine. C'est peut-être ce dont j'ai besoin, pense cette dernière.
 "J'étais dévastée quand j'ai reçu l'appel.
- Eh bien, Karine, la plupart des gens le seraient.
- Stade 4. Nous savions ce que ça signifiait.
- Continuez.
- Quand Thomas est rentré à la maison, il m'a trouvée au lit en position fœtale, les yeux remplis de larmes.
- On dirait que vous l'avez mal pris.
- Il était si gentil. Il ne comprenait pas ce qui se passait, mais il est monté avec moi et m'a tenue pendant que je sanglotais. Il m'a fallu du temps pour me calmer, mais finalement, je lui ai expliqué.
- Et...
- Il m'a dit que nous le combattrions. Qu'il avait bien vaincu son propre cancer depuis plus de douze ans. Qu'un diagnostic n'était pas une condamnation définitive. Qu'il y avait beaucoup d'options que nous pouvions examiner.
- Thomas semble très optimiste
- Oui, et il est très attentionné, anticipant tous mes besoins. Les choses vont beaucoup mieux entre nous ces derniers temps.
- Comment ça ?
- Eh bien, j'avais en quelque sorte l'impression que nous nous étions éloignés avant…
- Avant quoi ?
- Avant mon diagnostic.
- Hmm.
- Thomas ne s'intéressait plus à moi comme avant. Nous avions commencé à coexister, vivant deux vies parallèles l'une à côté de l'autre, mais sans se croiser de manière significative.
- Ça arrive dans toutes les relations, même les bonnes. C'est important quand ça arrive de travailler à mieux communiquer.
- Nous ne nous battions pas ou quoi que ce soit – nous ne l'avons jamais fait. Mais il y avait un manque d'appréciation. C'est peut-être la meilleure façon de le dire. Donc, j'ai été heureuse-surprise de savoir à quel point il tenait à moi. Combien il était prêt à se sacrifier pour moi.
- Parfois, il faut une bonne crise pour réunir les gens.
- Oui, je suppose que j'ai puisé viscéralement là-dedans. J'ai vu le diagnostic et la réaction de Thomas. Ce fut comme une opportunité.
- Comment ça ?
- Bien avant même que mon oncologue ne m'annonce un plan de traitement - vous savez, chimio ou radiothérapie ou autre - j'ai demandé à ma coiffeuse de me raser la tête.
- Pourquoi pensez-vous que vous avez fait ça ?
- Je-je suppose que je voulais rappeler au monde que j'étais malade. Que j'avais un cancer. Pour que ça se sache publiquement.
- Vous ne semblez plus en être si sûre.
- En fait, je me fichais vraiment que quelqu'un le sache. Le seul qui comptait pour moi, c'était Thomas. Qu'il sache et qu'il prenne soin de moi pendant cette période difficile.
- Il n'y a rien de mal à ça.
- Non, je suppose que non.
- Avez-vous eu l'impression d'être une victime ?
- Non, pas une victime. J'étais presque reconnaissante que la maladie nous réunisse. Nous rapprochant à nouveau.

La psy commence une nouvelle page dans son cahier alors que Karine continue : " J'ai commencé à incarner mon rôle. Peut-être un peu trop. Vous savez, la personne malade, celle qui a besoin de soins. Les gens vous traitent différemment quand ils pensent que votre temps sur terre a été revu à la baisse.
- Et ?
- Mon traitement n'avait même pas commencé et j'étais déjà épuisée tout le temps.
- Parfois, même sans traitement invasif, votre corps peut se sentir anéanti.
- Je suppose, mais je pense que j'ai adoré à quel point Thomas est devenu attentionné. Il fait les courses, la lessive, il prépare le dîner. Mais c'est plus que ça... Il s'assoit avec moi le soir et on parle. Il tient mes mains et les frotte parce qu'elles sont toujours froides. C'est comme si nous avons retrouvé une intimité dans notre relation qui avait tiédi.
- C'est donc quelque chose de positif qui est ressorti de tout ça.
 - C'est très rassurant. Je ne pense pas qu'aucun de nous deux ait réalisé à quel point ça nous manquait. Ou du moins je ne l'ai pas réalisé moi-même. J'ai insisté pour qu'il m'emmène à mes rendez-vous. Il ne rentre jamais avec moi, mais il me dépose juste devant l'hôpital - les protocoles Covid stipulent que personne ne peut entrer à l'exception du personnel et des patients."

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Quelques semaines plus tard, Karine scanne la pièce sans savoir si elle va y entrer. La psychologue s'assoit, attendant avec impatience que Karine se cale dans son fauteuil. Les larmes lui montent aux yeux. La psy fait doucement glisser la boîte de Kleenex sur la table dans sa direction.
- Sommes-nous prêtes à commencer?" demande la thérapeute. 
Karine hoche la tête.
" Devrions-nous parler de ce qui vous dérange ?" Karine ne répond pas alors la psychologue reformule sa question. " Karine, de quoi aimeriez-vous parler aujourd'hui ? 
- De Thomas.
- Entendu Karine. Parlons de Thomas. A-t-il fait quelque chose qui  vous a bouleversée récemment ?

Karine hoche la tête, luttant pour formuler une réponse mais aucun son ne sort de ses lèvres.

- D'accord Karine. Qu'aimeriez-vous dire à Thomas s'il était là ?
- Je voudrais qu'il sache que je l'aime de tout mon cœur et que j'apprécie tout ce qu'il a fait pour moi.
- C'est un bon début. Qu'aimeriez-vous lui dire d'autre ?
- Qu'il me manque. Je lui dirais que j'aurais aimé savoir ce dont il souffrait. J'aurais peut-être pu l'aider.
- De quoi pensez-vous qu'il souffrait ?
 
La question de la thérapeute est accueillie par un silence.

" Karine, de quoi pensez-vous que souffrait Thomas ?
Karine secoue la tête avec incrédulité avant de répondre : " D'une reprise de cancer fulgurante accompagnée d'une myocardite aigüe. Son cœur a lâché".

Les yeux de la thérapeute s'écarquillent alors qu'elle note quelque chose sur son bloc-notes.

" Il luttait contre ses propres problèmes de santé quand il essayait de prendre soin de moi. Reprise fulgurante de son cancer du pancréas. Il l'a appris environ un mois après avoir appris mon propre diagnostic, quinze jours seulement après s'être fait vacciner contre le Covid. Sur conseil de son médecin, soi-disant pour me protéger en tant que personne fragile, mais il ne m'en a jamais rien dit. Je pensais qu'il avait l'air épuisé, mais je supposais que c'était parce qu'il prenait soin de moi et essayait de garder son travail et de faire tout ce qui se passait dans la maison. Il ne m'est jamais venu à l'esprit qu'il s'était fait vacciner pour moi. Je ne peux pas croire qu'il me l'ait caché.
- Je vois. Donc, s'il était là, que lui diriez-vous à ce sujet ?
- Thomas, du fond de mon cœur, je donnerais n'importe quoi pour que tu reviennes avec moi. À tes funérailles, je pouvais à peine parler. J'ai l'impression que je viens de te récupérer et maintenant tu es parti. Et je-et je...
- Continuez.
- Je n'ai jamais vraiment eu de cancer.

Les yeux de la psychologue arrêtent de regarder ce qu'elle est entrain d'écrire et se braquent sur Karine.

- Ils avaient mélangé les résultats des tests de ma mammographie, alors quand ils m'ont appelée, ils m'ont donné le diagnostic de quelqu'un d'autre. Mais j'ai adoré avoir l'attention de Thomas et à quel point nous étions à nouveau proches, alors je ne lui ai jamais avoué que je n'avais pas de cancer.
- Quand avez-vous appris que vous n'aviez pas de cancer ?
- Le lendemain même de leur erreur.
- Et vous ne lui avez jamais rien dit ?
- J'aurais dû, mais avec toute l'attention que Thomas déversait sur moi, j'ai pensé que ça ne ferait pas de mal de faire semblant juste un peu plus longtemps. Je pensais que nous pourrions peut-être revenir sur la bonne voie et ensuite je pourrais lui dire. Mais plus le temps passait, plus cette conversation aurait été gênante et je-je-je
- Continuez.
- Je n'étais pas prête à mettre en péril notre relation. Le cancer, c'est vraiment de la merde, mais le vaccin, c'est encore plus pire."

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23 nov. 2022

693. Esclaves des horloges


ESCLAVES DES HORLOGES

Telle une tortue, la vieille femme sortit la tête et boitilla sur son balcon. Appuyée à la rambarde, elle jeta un coup d'œil dans la rue. Personne ne passait. Rien ne se passait. Elle se tenait là tel un ficus trop arrosé en appui sur son tuteur dans un chemisier et un pantacourt noir ressemblant à ceux que portaient les Viêt-Congs. Pendant ce temps, il fumait sa clope à la fenêtre de l'appartement et soufflait la fumée dehors pour ne pas irriter Julie ; elle l'était déjà suffisamment avec les gosses.

La vieille femme tourna les talons, leva les yeux et examina la façade blanchâtre de son appartement avec une apparente inquiétude. C'était triste de la regarder. Épuisée par l'effort physique ou visuel, elle baissa bientôt la tête, les yeux fixés sur le sol du balcon.

Perdu dans ses pensées, il tira une dernière bouffée, aussi goulument que la première et comme que si c'était sa dernière, il écrasa le mégot, ramassa le cendrier sur le rebord de la fenêtre et  remarqua, en se retournant, que la vieille femme avait levé sa canne pour gratter le mur de sa façade avec le bout de cette dernière. D'un mouvement lent et qui devait lui coûter une blinde de calories, elle s'efforçait de gratter ce qui devait être une tache ou une minuscule toile d'araignée. En tout cas, la vieille parut satisfaite ou alors elle y renonça, car, avec une lenteur inquiétante, elle réintégra sa gigantesque coquille à la surface blanchie à la chaux.

Le lendemain, la même scène fut offerte à son regard blasé, et le surlendemain pareil. La vieille femme sortait, grattait le mur du bout de sa canne puis regagnait sa carapace de tortue. Cela le fit penser à ces horloges tyroliennes dont sort une figurine en faisant 'coucou', fait demi-tour sur elle même puis retourne dans son chalet alpin et répète le truc toutes les fois que sonne l'heure d'aller prendre l'air.

Avec le mouvement d'horlogerie à l'esprit, il attrapa le cendrier sur le rebord de la fenêtre et retourna à sa réalité quotidienne.
" T'as fini avec ta drogue ?" lui lança Julie, sa femme.
Il se  répétait une ou deux fois par semaine qu'il fallait qu'il envisage d'arrêter de fumer. Il ne lui répondit pas. Il savait comment esquiver une dispute.
" As-tu fait la vaisselle ?
- Oui, avant de fumer ma clope.
- Allons au parc; les enfants grimpent aux murs. Amenons les à l'aire de jeux."
Ils étaient en vacances, mais pris dans un train-train dans l'axe central duquel les enfants se nichaient : tout tournait autour d'eux.

Ils passèrent sous le balcon de la vieille dame, le solarium en carapace de tortue. Il imagina l'intérieur de la maison : une télévision allumée et les commérages, les foutaises et les mensonges sur la chaîne info ; sur la table, un pilulier à douze compartiments et un verre d'eau.

Quand l'horloge murale l'ordonnait, léthargique et silencieuse, la vieille femme sortait gratter la surface de sa folie. Elle était prisonnière d'un temps hors du temps :  Elle vivait hors d'elle-même. Et la vérité est qu'il en faisait autant. Il n'était pas propriétaire de sa vie, et Julie encore moins. Les jumeaux oui, mais seulement en partie, ils finiraient aussi enfermés dans des horloges murales. Le temps d'un temps immonde, qui vole et exaspère comme un moustique bourdonnant près de vos tympans.

" Traversez pas sans regarder !" cria Julie. " Jérôme, combien de fois je t'ai dit de regarder des deux côtés avant de traverser !"
Il ne supportait plus ces jeux de mots. Il s'alluma une clope.

" Allez, vous deux, marchez juste devant moi ! Cyrile, viens te moucher !"

Il pensait que ces vacances auraient été différentes. Sept ans plus tard  - le même nombre d'années que les jumeaux -, ils s'étaient éloignés de la plage de Sète, mais, à l'intérieur, à l'ombre des montagnes, il se sentait plus enfermé que jamais dans la répétition continue.

Tout le monde a une limite, à quelle distance était-il de la sienne ? Il pensait que dix heures au volant l'auraient éloigné de ses problèmes existentiels ; mais non : en dépit de la clarté des lacs alpins, l'abîme était plus noir de ce nouveau point de vue . Ses rêves : évanouis ; les jumeaux : conflit insoluble de sentiments contradictoires ; l'amour conjugal : brouillard dissipé à l'aube du désenchantement mutuel.

Il souffla une bouffée de fumée et repensa à la vieille bonne femme. Il visualisa comment elle lacérait le mur du bout de sa canne. Elle et ses déchirures étaient les mêmes que les siennes et ses cigarettes. La même poussière d'étoiles emprisonnée dans le temps. La même envie furtive de quitter à jamais leurs carapaces de tortues.

Il parait que l'auteur de "La conjuration des imbéciles", plongé dans la misère faute de trouver un éditeur de son vivant, avait laissé un mot à sa mère avant de se suicider. Lui n'avait pas eu ce genre de courage, alors il avait dû abandonner son rêve d'être un scribouillard professionnel. Il pressentait un combat sans merci, une existence instable et solitaire, un combat contre le rejet et la folie qui pouvait bien ou mal finir.

Maintenant il le regrettait; Il avait justifié sa peur de l'échec avec ses gosses, l'hypothèque, le besoin qui prévalait de gagner un salaire décent tous les mois. Comme c'est facile pour nous les lâches, la société de consommation nous attrape par les couilles et nous force à nous résigner, mais la vérité est que nos fardeaux sont auto-imposés, le prix que nous payons pour ce confort et ce supposé bien-être qui presque toujours entraîne un renoncement et une plaie purulente.

Julie s'approcha de lui et lui prit la main. Leurs doigts entrelacés dénotaient la complicité ; ils étaient un spectacle furtif qui certifiait leur union aux yeux du monde.
" C'est bien ici", lui fit-elle, comme dans la pub de vente et location de cette boîte immobilière. " Hein dis ?"

Il tenta de lui rendre la pareille, mais incapable de saisir son enthousiasme apparent, il lui sourit  d'un air mélancolique.
" Oui," lui dit-il  pour renforcer sa performance pathétique.

Elle était satisfaite et concentrée sur la surveillance des enfants, dont les impulsions innées les poussaient à se rebeller. Il ne put s'en empêcher, il se senti à nouveau gouverné par une force d'assujettissement; Il sentit que ses pieds n'étaient plus les siens, que ses pas étaient pris par quelqu'un d'autre, que ses pulsions de révolte s'éteignaient, des échos qui palpitaient désormais dans la poitrine de ses enfants.
Julie était la paysanne, il était le chien de berger et les jumeaux étaient leurs moutons, mais la vérité est qu'ils remplissaient tous la même fonction, ils étaient les mécanismes intégrés dans des horloges pressantes, des automates programmés pour se connecter aux différents systèmes dans lesquels tôt ou tard, ils avaient succombé.

Au moment où nous enterrons nos rêves, nous devenons des morts-vivants, les figurines animées des horloges du genre de celles qui grattent les façades ou fument des clopes sur leurs balcons.

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21 nov. 2022

692. Europa: La dernière bataille



EUROPA: LA DERNIÈRE BATAILLE
Le très acclamé documentaire de 7,7 étoiles classé sur IMDB a été diffusé dans le monde entier. Ce documentaire révèle une autre vérité sur ce qui s'est passé, et sur ce qui continue et continuera de se produire si personne ne s'éveille à la vérité. 
Je ne vous cache pas que ce documentaire en 13 parties (total = 13h08m) est très perturbant, remettant en question beaucoup des dogmes instillés en moi - mais aussi j'en suis sûr, dans la plupart d'entre vous -  depuis mon plus jeune âge sur le National-Socialisme allemand et la question juive. 
J'avoue ne plus trop savoir qu'en penser considérant que tout ce dont il est question dans ce documentaire est parfaitement sourcé et vérifié. Je trouve pourtant dommage que ce documentaire n'adresse pas certains aspects - réels ou inventés ? - comme par exemple la question gitane, celle concernant les handicapés - physiques ou mentaux - et, bien que je ne sois ni homophile ni homophobe mais ne supportant pas le lobbying de la LGBTQ et de  toutes les lettres qui y ont été ajoutées, j'aurais pourtant aimé que soit traitée dans ce documentaire la persécution de l'homosexualité que je ne soutiens pas, ou les expériences pharmaceutiques, médicales ou eugénistes telles que celles du Dr Mengele sur les juifs dans les camps.
Une autre question que l'on pourrait se poser après avoir vu ce documentaire est la suivante: Puisque le National-Socialisme est si Anti-mondialiste et si Anti-sioniste que ce documentaire le démontre, pourquoi les gouvernements mondialistes et leurs élites ont-ils refusé de signer l'interdiction de la promotion et de l'apologie du Nazisme quand la majorité des autres pays de la planète l'ont fait et pourquoi les UkroNazis d'Ukraine sont-ils soutenus par les lobbys juifs-sionistes et leurs merdias des deux côtés de l'Atlantique ?
Pourquoi les pères fondateurs de l'Europe sont-ils tous d'anciens Nazis et pourquoi le fondateur du Forum économique mondial Klaus Schwab, fils de dignitaire Nazi tout comme Ursula Van der Leyen , soutiennent-ils le mondialisme ? 
Le "Nazisme" et le "National-Socialisme" allemand sont-ils réellement la même chose ou nous aurait-on trompés depuis des décennies ?  

Lorsque les gens sont forcés à garder le silence lorsqu'on leur raconte les mensonges les plus évidents, ou pire, quand on les force à répéter eux-mêmes ces mêmes mensonges, ils perdent une fois pour toute tout sens de probité. Consentir à de tels mensonges, c'est en quelque sorte devenir soi-même le Mal. La capacité de résistance de chacun est ainsi érodée, voire détruite. Une société de menteurs émasculés est facile à contrôler. Je pense que si vous examinez le politiquement correct, vous trouverez qu'il a le même effet et que c'est sa raison d'être. 
Théodore Dalrymple


Sujets abordés dans cette vidéo : création de la FED ; la révolution bolchevique ; la terreur rouge ; le communisme.
Comment la Juiverie Sioniste a mis en place la Federal Reserve aux USA en 1913 pour la mise en esclavage de l'humanité par la Dette et la révolution soviétique bolchevique  en 1917 sous la direction des Rothschild/Warburg aux USA et celle de Karl Marx, Lénine, Trotski et Staline, tous juifs sionistes, en Russie. Reuters et l'Associated Press deviennent propriété des Rothschild pour le contrôle de l'information mondiale. Le terme antisémitisme est inventé par les juifs sionistes bolcheviques pour dénoncer tous ceux qui s'opposent à leur tyrannie et le rendent criminel. Comme il l'est encore de nos jours.


Sujets abordés dans cette 2è partie : La mauvaise guerre - Le traité de Versailles - Le marxisme culturel (féminisme, dégénérescence, destruction de l'homme blanc, etc.)
La déclaration Balfour obtenue du Ministre des Affaires étrangères britannique Balfour par les Rothschild promettant la Palestine aux Juifs au détriment des arabes palestiniens en échange du support des Juifs contre l'Allemagne pendant la 1ère guerre mondiale.
La Ligue des Nations, prémices d'un Gouvernement mondial. Le Traité de Versailles, rédigé afin de poser les jalons pour l'avènement d'une Seconde guerre mondiale tout en ruinant l'Allemagne. Pendant la République de Weimar, les revenus cumulés  des Juifs allemands étaient le triple des revenus du reste de toute la population allemande cumulée. Washington Post, New York Times, NBC et CBS passent aux mains des juifs sionistes. Il en est de même de la presse allemande comme le Berliner Tagerblatt. 90% de la production hollywoodienne passe également entre les mains des juifs sionistes. Processus d'aliénation des populations à conquérir sur une, deux ou trois générations au travers des écoles et universités. Briser les tissus familiaux afin de pousser les gens à se tourner vers l'état en cas de besoin. Buts du socialisme sioniste: Détruire la famille, détruire la religion, détruire la propriété privée, détruire la nation. Nous sommes en plein dedans !


Sujets abordés dans cette 3è partie : L'ARRIVÉE AU POUVOIR D'ADOLF HITLER - LA RENAISSANCE DE L'ALLEMAGNE.
Définition du Socialisme et du Nationalisme par Hitler. Son rejet des banques centrales basées sur la dette. Reprise en mains de la presse, du cinéma et de la culture des mains des Rothschild. National Socialisme = Nationalisme sans Capitalisme et Socialisme sans Internationalisme. Tout le contraire de ce que souhaitait l'internationale sioniste socialiste des Rothschild, communisme (guerre des pauvres contre les riches) et capitalisme (guerre des riches contre les pauvres) étant les deux mamelles de l'idéologie sioniste juive. La propagande sioniste mondiale n'allait pas tarder à tourner le National Socialisme allemand en une des guerres les plus meurtrières de l'histoire. 


Sujets abordés dans cette 4è partie : LA JUDEE DECLARE LA GUERRE A L'ALLEMAGNE - LA SOLUTION FINALE - L'ANSCHLUSS - LE COULOIR POLONAIS.
1932: Le congrés juif sioniste mondial déclare l'Allemagne comme son plus grand ennemi à combattre et qu'une guerre sans merci doit lui être livrée (C'est un an avant l'accès au pouvoir de Hitler en 1933 et avant qu'aucune mesure anti-juive ou anti-sioniste n'ait pris place en Allemagne). Jamais les appels aux boycotts et même aux meurtres contre les allemands par les juifs sionistes précédant la nuit de cristal n'ont été mentionnés depuis dans les livres d'histoire et d'école. La nuit de cristal ne fut qu'une réaction contre les plus de 20 000 allemands assassinés par des juifs sionistes communistes allemands avant cette fameuse nuit.
La solution finale n'a jamais été telle qu'on nous l'a enseignée. Il n'y a jamais été question d'une quelconque extermination de masse. L'appellation même "Solution finale de la question juive" ne fut pas créée par les allemands mais par Théoodore Herzl, le fondateur du mouvement sioniste lui-même, et ce, en 1899. "Il est essentiel que la souffrance des juifs empire, ceci participera à l'élaboration de notre plan---  je pousserai les antisémites à liquider les biens des juifs " dit-il la même année ; "les antisémites nous aideront ainsi en ce qu'ils renforceront l'oppression et la persécution des juifs. Les antisémites seront nos meilleurs alliés." Tous les plans de paix proposés par Hitler avant l'Anschluss ( rattachement de l'Autriche) et la 2ème guerre mondiale furent rejetés en bloc par la Ligue des Nations (USA, France, Grande Bretagne et URSS). L'Anschluss - décrite par les médias sionistes mondialistes comme une invasion de l'Autriche par l'Allemagne -  fut en fait le résultat d'un référendum voté à 99% par la population autrichienne pour s'unifier avec l'Allemagne. L'entrée des troupes allemandes en Autriche n'eut lieu qu'après ce référendum. Le rôle horrible (Oradour sur Glane fois dix ou plus) de la Pologne sur les populations allemandes de Prusse orientale, avec le soutien de la presse juive-sioniste polonaise et mondiale, dans l'avènement de la 2nde guerre mondiale.


Sujets abordés dans cette 5è partie : LA BATAILLE D'ANGLETERRE - LA CLIQUE INTERNATIONALE.
Après la débâcle de Dunkerque où Hitler ordonna à ses troupes de laisser les forces anglaises et françaises évacuer vers l'Angleterre en épargnant leurs vies donc sans leur tirer dessus et jusqu'à la mi-1940, Hitler ne cessa de faire des offres de paix à Churchill mais ce dernier les refusa toutes, les unes après les autres. Churchill confia même à Joe Kennedy, le père de JFK, qu'il souhaitait voir l'Allemagne bombarder Londres le plus vite possible  afin d'entraîner les USA dans le conflit pour crime de guerre. Pour cela, il ordonna à La RAF britannique de bombarder les villes allemandes et les populations civiles afin d'inciter l'Allemagne à en faire autant en réaction: encore quelque chose que l'on apprend pas dans nos écoles. Du 11 mai au 5 septembre 1940, donc pendant quatre mois, la RAF bombarda sans relâche des dizaines de grandes villes allemandes sans réaction d'Hitler . La première bombe allemande n'éclata sur l'Angleterre que le 6 septembre 1940.
L'alliance non-dite entre Roosevelt - Franc-Maçon 32ème degré et auteur de l'ordre exécutif du 5 avril 1933 confisquant et ordonnant aux américains de remettre tout l'or en leur possession - pièces, lingots, bijoux - à la FED (Rothschild) sous peine de fortes amendes et d'emprisonnement - et Staline. Churchill, de son côté, était entouré de juifs sionistes et de socialistes qui finançaient son train de vie en tant que député et son élection au poste de 1er ministre.


Sujets abordés dans cette 6ème partie : LA SOLUTION FINALE AU PROBLÈME EUROPÉEN - LE PLAN KALERGI - LE PLAN MORGENTHAU - LE PLAN HOOTON - LE RACISME DE HITLER ET LE RACISME JUIF.
Il n'existe aucune preuve écrite d'un plan allemand pour l'extermination des juifs, en revanche il existe une multitude de preuves écrites de plans juifs-sionistes pour l'extermination des Allemands et autres nations européennes.
Le manifeste Pan-Européen de Kalergi, précurseur de l'Union Européenne, visait à abolir les nations et à mixer des populations non-européennes avec les populations européennes sur le sol européen, afin d'obtenir une population "melting pot" incapable de percevoir un ennemi chez le juif-sioniste. Les plans Morgenthau et Wooton préconisaient l'éradication du peuple allemand par la stérilisation de masse. Nous y sommes, une stratégie des suprémacistes juifs-sionistes pour génocider les nations européennes ! Pourquoi l'Europe utilise-t-elle comme symbole l'enlèvement d'Europa par Seth déguisé en taureau blanc (statues devant la Commission et le Parlement européen) et le drapeau à 12 étoiles (12 tribus d'Israël) dessiné par un juif-sioniste ?
La propagande mensongère sur le National-Socialisme qu'ils nomment NAZIS (terme péjoratif inventé par les sionistes) effectue depuis toujours une inversion accusatoire. Il n'y a jamais eu de racisme en Allemagne durant le 3ème Reich. Hitler respectait toutes les races dans toutes leurs diversités, il n'a jamais considéré les allemands comme race supérieure ni n'a jamais souhaité imposer le National-Socialisme aux autres nations ni les conquérir. L'armée allemande comptait dans ses rangs des soldats volontaires de plus de cinquante nations, incluant des noirs, des arabes, des indous, des russes, des chinois et même des amérindiens et des citoyens d'autres nations européennes. 
Owens, afro-américain quadruple médaillé olympique aux jeux de Berlin en 1936 a écrit dans ses mémoires que jamais dans sa vie il n'avait été autant honoré, adulé et congratulé que par les officiels et la population allemande dont Hitler lui-même, alors qu'il ne fut jamais congratulé par le président des USA d'une Amérique ségrégationniste à son retour au pays. 
Hitler ne haïssait pas les juifs en soi, il haïssait les sionistes-communistes-mondialistes seulement. Et ces trois idéologies étaient des créations juives. Si tous les juifs n'étaient pas sionistes, tous les sionistes étaient juifs. Plus de 150 000 juifs servaient dans l'armée allemande à la fin de la guerre car Hitler faisait une distinction entre le juif ethnique et le juif sioniste. L'histoire n'est pas aussi noire et blanche qu'on veut bien nous le faire croire.


Sujets abordés dans cette 7ème partie : OPERATION BARBAROSSA - LA BATAILLE DES ARDENNES - LA FAMINE A CHURCHILL - LE GOULAG - JOUR J -LA MORT VENUE DU CIEL.
En 1939, l'URSS sous la houlette sioniste-communiste de Staline rompt l'accord germano-soviétique de non-agression et envahit la Pologne. La même année, Staline envahit aussi les pays Baltes, la Finlande, et bombarde le nord de la Suède en 1940 rompant différents autres accords bilatéraux avec ces pays. Plus de 500 000 habitants, soit 12% de la population chrétienne des pays baltes, furent soit massacrés soit déportés aux goulags par la police secrète sioniste-communiste. Aucun média occidental ne fit mention de ces faits à l'époque et Churchill signa même un accord avec Staline suite à ceux-ci. Aucune propagande anti-communiste ne parut jamais dans les médias occidentaux aux mains des juifs-sionistes.
Hitler fut contraint à une invasion préemptive de l'URSS pour sauver l'Europe d'une invasion soviétique massive qu'il exécuta en Juin 1941; l'opération Barbarossa. Près de 600 000 soldats soviétiques changèrent d'uniforme et endossèrent l'uniforme allemand à cette occasion pour lutter contre les sionistes-communistes de Staline.
94% des américains étaient apposés à l'entrée en guerre des USA en 1939. Comme l'Allemagne, le Japon avait également coupé tous liens avec le système des banques centrales des Rothschild. 
Roosevelt, sur la demande de Churchill et de ses mentors sionistes, imposa alors un embargo sur le pétrole et sur tous les échanges commerciaux extérieurs du Japon, réduisant son économie de 75%. Malgré le fait que Roosevelt savait que les Japonais allaient attaquer Pearl Harbour après avoir reçu leur déclaration de guerre quelques heures avant l'attaque, il n'en notifia jamais ni la population hawaïenne ni l'US Navy sur zone. Il fallait laisser les japonais détruire la flotte du pacifique "traitreusement et par surprise" afin de rallier l'opinion populaire patriotique américaine vers une entrée en guerre vengeresse et c'est ce qui se passa.
Les bombardements au phosphore incendiaire des villes allemandes, ordonnés par Churchill et destinés à terroriser le pays à partir de 1940, ravagèrent complètement 62 villes et tuèrent 3 millions de civils dans des enfers de tornades de flammes incandescentes dont plusieurs centaines de milliers d'enfants soit 10 fois plus qu'Hiroshima et Nagasaki réunis, plus de 10 millions de blessés gravement brûlés et 25 millions de sans-abris.


Sujets abordés dans cette 8ème partie : FLOTS DE SANG - LE VIOL DE L'EUROPE - LES DERNIERS JOURS DU TROISIÈME REICH - EINSTEIN PLAGIAIRE -TERREUR AU JAPON - LE GÉNOCIDE DE L'ALLEMAGNE.
En avril 1940, après leur entrée en Pologne orientale, la police secrète sioniste-soviétique massacra 10 000 hommes dans la forêt de Katyn, 8000 officiers et 2000 intellectuels polonais, afin d'ôter à la Pologne toute velléité de se lever dans le futur contre le communisme.  C'est le juif-sioniste Beria, chef de la police secrète soviétique, qui se chargea du sale boulot, le même qui envoya 20 millions de russes et de baltes dans les goulags. Quand ils découvrirent les charniers en avril 1943, les allemands firent appel à une commission internationale de la croix rouge composées de 12 médecins légistes et de leurs assistants pour venir inspecter et authentifier les massacres perpétrés par les sionistes-communistes ; cette commission internationale confirma les massacres perpétrés par les soviétiques et leur datation. 
Au tribunal de Nuremberg, les sionistes-communistes russes vainqueurs firent ce qu'ils savaient alors aussi bien faire qu'ils le savent aujourd'hui, de l'inversion accusatoire, et en accusèrent les allemands. Les juges anglais, français et américains les laissèrent faire sans poser de questions en dépit du rapport international des experts de la Croix Rouge. 12 000 autres polonais furent massacrés dans les prisons de Kharkov et autres. On estime à 22 000 le nombre total d'officiers et intellectuels polonais massacrés ainsi froidement par le NKVD de Beria. Les mêmes faux rapports signés par les soviétiques accusant les allemands de ces massacres furent signés par les mêmes exactes personnes qui signèrent les rapports sur Auschwitz et autres camps de concentration allemand, ce qui pourrait soulever des interrogations sur la validité de ces derniers signés par deux menteurs patentés. Il fallut attendre 1989 pour que l'URSS reconnaisse enfin la perpétration du massacre de Katyn et que les USA avaient participé au mensonge à Nuremberg.
Durant leur avancée de la Pologne jusqu'à Berlin, l'armée bolchevique viola toutes les femmes sur son passage, un véritable viol spirituel de la femme allemande. La plupart de ces viols furent perpétrés par l'arrière garde juive-sioniste du NKVD. Même les simples soldats russes de l'Armée Rouge considéraient cette arrière garde du NKVD comme des sans-pitié. Chaque compagnie militaire soviétique était accompagnée de Commissaires politiques juifs-sionistes du NKVD qui incitaient les troupes à la haine de tout ce qui était allemand et les poussaient à plus de violence.
La théorie de la relativité E=MC2 a été publiée par Henri Poincaré en France 1900, soit 5 ans avant Einstein qui n'était qu'un plagiaire. Ceci est cité dans divers documents d'époque se trouvant à la Sorbonne et dans toutes les grandes universités américaines. Pourquoi continue-t-on à nous dire que le juif-sioniste-communiste Einstein en est l'auteur ?
Einstein, accompagné d'Oppenheimer et d'un autre physicien, tous deux juifs-sionistes comme lui, fut celui qui incita Eisenhower à construire la 1ère bombe atomique: le Manhattan Project.
On estime entre 9 et 15 millions le nombre d'allemands qui sont mort dans les 8 années (1945-1953) qui ont suivi la fin de la guerre, soit plus que durant la guerre elle même.
Ces allemands prisonniers se virent refuser le statut de prisonniers de guerre mais attribuer celui d'ennemis désarmés, ce qui ne leur donnait aucun droit sinon celui de crever la gueule ouverte. Ceci sur ordre express d'Eisenhower et de ses amis juifs-sionistes.


Sujets abordés dans cette 9ème partie : MENSONGES JUIFS ET PROPAGANDE DE GUERRE. Le mythe de l'Holocauste
Le mot Holocauste est le terme utilisé pour répandre la croyance que 6 millions de juifs ont été mis à mort par les allemands durant la 2nde guerre mondiale. Parmi ces six millions, on nous dit qu'environ la moitié, soit 3 millions, furent tués dans des chambres à gaz déguisées en salles de douche. C'est le narratif qui nous est tout le temps répété par Hollywood, les grands médias et nos manuels scolaires (tous propriétés de juifs-sionistes). Mais de plus en plus d'historiens et de scientifiques renommés qui se sont profondément penchés sur le sujet en viennent à nier aujourd'hui ce narratif comme étant follement exagéré en ce qui concerne le nombre des victimes et même totalement faux en ce qui concerne les causes de leurs morts. Ces personnes courageuses sont aujourd'hui nommées "révisionnistes" ou "négationnistes" de l'holocauste. La même technique utilisée contre les scientifiques anti-vax covid19 pour couper l'accès aux vrais scientifiques à tout débat en dépit des chiffres. Ces révisionnistes ne nient pas que des juifs ont été persécutés, privés de leurs droits civiques, déportés dans des camps de travail ou rassemblés dans des ghettos etc ; pas plus qu'ils ne nient la mise à mort des juifs sionistes russes, commissaires politiques et bourreaux du NKVD, lorsque ces derniers étaient faits prisonniers. 
Nombre de juifs furent placés dans des ghettos et des camps de concentration afin d'éviter la subversion sioniste, tout comme plus de 120 000 américains d'origine japonaise de la côte ouest furent placés en camps de concentration pour les mêmes raisons par Roosevelt aux USA après Pearl Harbour. L'ordre exécutif n°9066 signé par Roosevelt stipulait que toute personne d'origine japonaise, italienne ou allemande devait être considérée et traitée comme ennemie. Elles ne devaient pas être considérées ni traitées comme des personnes normales. Leurs propriétés ou commerces furent saisis. Elles furent envoyées, hommes, femmes et enfants, dans des camps de concentration cerclés de fils barbelés avec miradors et mitrailleuses pointées sur elles durant tout le temps de leur internement. 
Les preuves d'experts scientifiques et les témoignages de milliers d'ex prisonniers des camps allemands en Allemagne et en Pologne parlent d'eux-mêmes. Il n'y a jamais eu de chambres à gaz dans ces camps. Le Zyklon-B servait à éradiquer les bactéries "Rickettsies" transmises à l'homme par les acariens, les poux, les tiques et les puces, et responsables du Typhus, une maladie mortelle et sans traitement connu qui était galopante en période de guerre en zones confinées telles que les navires, les prisons, les camps et les casernes, de la même manière qu'il était également utilisé sur les migrants à la frontière américano-mexicaine ou à Ellis Island à New York. Près de 500 personnes mourraient chaque jour du typhus dans chacun de des camps de concentration allemands avant leur libération, et ce chiffre ne fit qu'augmenter, et ceci pendant des mois, après leur libération par les alliés. 
Même chose pour les fours crématoires. Il y en avait autant à Ellis Island qu'à Auschwitz. Les corps des morts du typhus et leurs vêtements y étaient brûlés pour éviter toute propagation. Ce sont des prisonniers juifs survivants qui ont témoigné eux-mêmes de ces faits. Des études scientifiques démontrent que, si l'on additionne toutes les salles de douche et tous les fours crématoires présents dans tous les camps recensés, il aurait fallu 68 ans pour exterminer et brûler les corps de 6 millions d'êtres humains.
Le film hollywoodien de Spielberg, dont le visionnage est obligatoire dans les collèges américains, est une pure fiction écrite par une américain qui n'a jamais visité les camps dont il parle. Il a été prouvé par la police criminelle allemande que le journal d'Ann Frank était un faux écrit par un autre sioniste nommé Meyer Levin en 1951 et qui a reçu 50 000 dollars d'Otto Frank, le père d'Ann, pour son canular littéraire.


Sujets abordés dans cette 10ème partie : MENSONGES JUIFS ET PROPAGANDE DE GUERRE
Une autre vision de la vie dans les camps: témoignages d'ex-prisonniers. Les loisirs, cinéma, musique, sports, peinture et les services de santé, maternités, crèches, etc. La Croix-Rouge qui visitait les camps régulièrement fait état, dans un rapport de 1650 pages, d'un grand total situé entre 270 000 et 290 000 morts dans les camps de concentration allemands pendant la guerre, la moitié d'entre eux étant des juifs, durant toute l'existence de ces camps, le plus souvent du typhus ou autres maladies, la majorité dans les deux dernières années de la guerre, quand l'Allemagne entière souffrait elle-même de malnutrition du fait de la guerre et des bombardements incessants. Les juifs représentaient moins de 40% de la population incarcérée à Auschwitz, 30% à Dachau et 12% seulement à Buchenwald.
Des documents pris à Auschwitz par l'armée rouge en 45 et rendus publics en 1991 révèlent que 29 000 juifs sont morts à Auschwitz-Birkenau durant toute la durée de la guerre. Et non pas 4 millions comme ont souhaité nous le faire croire les sionistes-communistes de l'Armée rouge, et plus de catholiques y sont morts que de juifs.
Au procès de Nuremberg, les 3 procureurs étaient trois juifs sionistes et 75% du personnel des procureurs, assesseurs, greffiers, etc, l'étaient également. Les procès de Nuremberg eurent pour but de détourner les yeux des crimes de guerre de Churchill, Roosevelt et de Staline, autrement dit des sionistes et de leurs suppôts et de faire des Nationaux-Socialistes des boucs émissaires à haïr pour l'éternité afin que plus jamais ne soit remise en question le bien-fondé du Sionisme juif et les banques de réserve Rotschild. Les hommes jugés dans ce tribunal furent torturés par des juifs-sionistes russes et par des britanniques pour leur arracher de faux aveux.
La symbolique du chiffre 6 millions remonte au 19ème siècle dans le monde juif et même à la Torah. Ce chiffre a permis aux sionistes d'extorquer des milliards de dollars de l'Allemagne vaincue et du monde occidental, dont la plus grande partie servit à fonder l'état d'Israël.
L'escroquerie de l'holocauste ne sert qu'à démoniser toute idée s'approchant du National-Socialisme et de l'Anti-sionisme et son rejet du système des dettes Rothschild en emplissant l'homme blanc européen de culpabilité et d'horreur en visualisant ce faux crime et à faire apparaître la swastika comme un symbole haïssable alors que c'est un symbole d'unité et d'amour partout ailleurs dans le monde depuis des siècles.
Pourquoi le simple fait de faire des recherches sur la réalité de l'holocauste est-il un crime dans nos "démocraties" occidentales ?
Pourquoi Wikipedia, Youtube, Facebook et autres bannissent-ils tout ce qui approche une remise en question ou même une simple recherche sur l'holocauste ? Pourquoi des milliers de personnes sont-elles jugées et condamnées dans le monde chaque année pour le simple fait de s'être ouvertement questionnées sur la réalité de l'holocauste ?  


Sujets abordés dans cette 11ème partie : ORWELL - LE PARTI - RACE - GRAND REMPLACEMENT - NOUVEL ORDRE MONDIAL.
Les retombées de la 2nde guerre mondiale. Les guerres américaines au moyen orient pour l'établissement du grand Israël. La fin de la culture, de la famille, de l'appartenance à une communauté, une nation ou une religion. Le consumérisme. Le racisme anti-blanc. Le génocide blanc par l'immigration de masse, l'avortement sans contrôle, la promotion de l'homosexualité et du changement de genre. Car le juif-sioniste hait l'homme blanc chrétien et souhaite le détruire en sapant ses fondements. Seulement en détruisant la race blanche européenne pourront les juifs-sionistes devenir les maîtres du monde, et ils ne s'en cachent pas. Création de l'ONU et de l'UE afin de se superposer aux nations.


Sujets abordés dans cette 12ème partie : ORWELL - LE PARTI - RACE - GRAND REMPLACEMENT - NOUVEL ORDRE MONDIAL.
Le Plan Kalergi - pionnier pour l'intégration européenne -  pour l'UE affirmait qu'une immigration non-blanche était essentielle au complot. Pour ce faire, l'élite sioniste mondialiste, dans son but d'éradication de la race blanche, n'a jamais cessé de rebaptiser l'immigration afin de camoufler son projet, d'abord en tant que travailleurs invités temporaires, puis c'est devenu une expérimentation multiraciale, puis ce sont devenus des réfugiés, et puis l'asile tout simplement. Mais le vrai but demeure le même que dans le Plan, le plus grand génocide de l'histoire de l'humanité qui dépassera même celui des indiens d'Amérique. La solution finale des juifs-sionistes à l'occident chrétien par un génocide démographique. L'émergence du Nouvel Ordre Mondial et du contrôle total des terres, mers, ressources et des humains.


Sujets abordés dans cette 13ème et dernière partie : MOUVEMENTS DISSIDENTS NATIONALISTES - L'EVEIL - RACE - GRAND REMPLACEMENT - NOUVEL ORDRE MONDIAL. PLUS ANNONCE SORITE DU LIVRE "EUROPA LA DERNIERE BATAILLE"
Les médias, les systèmes éducatifs et les gouvernements dans leur ensemble sont sous occupation ennemie. Mais le monde commence à se réveiller.

17 nov. 2022

691. La moufle égarée



LA MOUFLE ÉGARÉE

Elle cherchait la moufle rouge depuis une heure et sans succès. Elle se souvenait parfaitement de l'avoir mise dans la machine à laver. Elle vérifiait toujours qu'elle lavait les deux moufles ensemble. Elle ne supportait pas l'idée de la solitude de l'une des deux si l'autre se perdait pendant le rinçage.

Elle savait que ce n'était qu'un autre symptôme de son TOC, qu'elle devait apprendre à le contrôler, mais elle n'avait pas encore surmonté cette phase de sa maladie. Mais peut-être, juste peut-être, que ça ne disparaîtrait jamais complètement. Il y avait une possibilité pas très éloignée de vivre pour toujours en partageant l'espace avec ses manies incontrôlables.

Les moufles reflétaient ce qu'elle était il y a quelques années : une partie d'un tout. La moitié d'une paire.

Or, elle était un être incomplet. Un demi-melon sans sans l'autre moitié. Le yin sans le yang. le recto sans le verso, une putain de jumelle sans son jumeau.

Elle savait que physiquement Bastien n'était plus dans le monde des vivants, mais il était avec elle. Chaque matin, quand elle se réveillait, c'était lui qui lui souhaitait le premier bonjour.

Elle avait essayé de partager ça avec sa mère et ça ne l'avait rendue que plus triste. Elle croyait avoir perdu ses deux enfants : l'un dans un malheureux accident de bagnole et l'autre dans le labyrinthe de sa tête malade.

Elle avait également fait semblant de consulter un psychiatre, mais quand, dès sa troisième phrase, elle avait remarqué que le médecin se raidissait dans sa chaise, elle avait décidé de remodeler le truc et de raconter ça comme si que c'était un rêve. Un beau rêve qui se répétait presque quotidiennement. Et cela coïncidait avec des événements importants de sa vie. La sienne et celle du Bastien disparu.

Elle parlait à son frangin. Aussi vrai que ses ongles cassants, que l'odeur de l'assouplissant sur ses vêtements fraîchement lavés, que la théorie des moufles égarées dans la machine à laver...

Et si c'était un autre signe que Bastien était là ?

Elle attira son attention de manière très différente, pourquoi ne pas utiliser une moufle ? Des lumières qui s'allumaient puis s'éteignaient lorsqu'elle essayait de revoir Mad Men, une série que Bastien détestait, un appel à 7h17 du matin et le prénom de son frère clignotant sur l'écran du mobile, le smiley de Kurt Cobain des Nirvana  tracé d'un doigt dans la buée que la chaleur de l’eau de la douche avait déposée sur le miroir de la salle de bain…

Son anniversaire approchait. Dans treize jours, elle serait majeure.

Tant de temps à rêver de ce moment et maintenant voilà que ça lui causait la plus grande indifférence ! Peu lui importait qu'elle ne puisse pas entrer dans les boîtes de nuit. Elle ne voulait pas sortir. Comme il était important de ne pas pouvoir acheter de tabac officiellement avant son anniversaire. De toutes manières, elle avait arrêté de fumer.

Pourquoi ressentirait-elle le besoin d'un permis de conduire si c'était une voiture qu'avait coûté la vie à l'autre moitié d'elle-même ?

Rien n'avait de sens sans Bastien. Rien, sauf le besoin impérieux de trouver cette maudite moufle. Les tétons au bout de sa poitrine commencèrent à lui faire mal. Sa respiration devint irrégulière, son pouls s'accéléra, une sueur froide se mit à perler sur son front... Elle allait avoir une autre crise de panique et personne ne pourrait la calmer ce coup-ci.

Peut-être qu'une promenade dans le parc rétablirait sa paix perdue. Marcher sur le tapis de feuilles sèches avec ses bottes en caoutchouc et sentir le craquement sous ses pieds. Remplir ses poumons du froid mordant de ce mois de novembre aux températures déjà hivernales. Marcher de manière erratique le long des sentiers cachés parmi les arbres. Épuiser son corps pour engourdir ses pensées obsédantes.

Elle décrocha son manteau, son écharpe et son bonnet à poils et sortit dans le froid du soir.

Elle marchait sans réfléchir, sans regarder, sans pleurer, et ses pas la menaient au cœur même du parc, l'espace balançoire où ils avaient passé tant d'après-midis à partager des secrets. Elle s'assit sur le banc habituel et l'humidité de la pierre la ramena au moment présent.

Puis les larmes commencèrent à couler sans demander la permission. Une traînée de sel traçant une traînée sur le grain duveteux de ses joues rosies par le froid. La chaleur du chagrin contre le froid de l'espoir.

Elle était emportée par la tristesse. Elle avait besoin de libérer une partie du lest qui la maintenait attachée au fond de la mare lorsqu'elle voulait flotter à nouveau et pouvoir respirer. Il n'y avait pas de regards indiscrets pour la juger. Aucun téméraire en vue qui aurait osé défier les basses températures et la menace de la pluie.

Il ne restait presque plus de lumière et un frisson secoua son corps. Il était temps de rentrer.

Elle s'essuya les yeux du revers de la main et entendit le bruissement de pas sur le tapis de feuilles. Elle était seule, il commençait à faire nuit et il y avait quelqu'un d'autre. Quelqu'un qu'elle ne voyait pas.
Elle essaya de focaliser sa vision floue, ses yeux myopes dans la direction d'où elle pensait que le bruit venait. C'était imprudent, mais la curiosité était plus forte que la peur.

Une tache brune et rouge commença à bouger. Elle venait vers elle. Pour la première fois depuis des mois, elle était curieuse. Il lui fallut un certain temps pour effectuer la mise au point sur l'objet en mouvement. L'obscurité, la tristesse et la myopie n'aidaient pas beaucoup dans la tâche.

Et si la chose sensée à faire était de s'enfuir ? Pourquoi demeurait-t-elle immobile alors que la raison lui criait de fuir ? Ses parents n'en revenaient pas qu'elle se fasse toujours du mal. Elle devrait écouter son moi intérieur et rentrer chez elle.

Le son se rapprochait, il était rythmé, chronométré, persistant...

Elle commença à marcher quand elle entendit un cri d'enfant. Un enfant perdu au milieu de nulle part à cette heure ?

Impossible !

Elle retourna sur ses pas, elle ne se le pardonnerait jamais si c'était vraiment ce qu'elle entendait.

Un chien se trouvait devant elle, la toisant avec le calme de celui qui voit arriver la personne qu'il attend depuis longtemps.

Son pelage était couleur cannelle et ses yeux reflétaient encore plus de tristesse que les siens. Il avait des cicatrices tout autour de son petit corps. Il la regardait avec une étrange fixité, comme s'il la reconnaissait, et dans sa gueule se trouvait la moufle rouge qu'elle cherchait depuis des heures.

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