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DE LA SHOAH HOLOCAUSTIQUE À LA NAQBA AU 07 OCTOBRE
LE MANUEL DES PARFAITS MYTHOMANES
Non mais dîtes-moi pas que c'est pas vrai ! Vous vous rendez compte des énormes mensonges qu’on nous a servis sur le 7 octobre 2023 et les prétendues horreurs du Hamas contre les Juifs ! Franchement, c’est presque touchant de voir à quel point que certains gobent encore ces fables, comme si qu'ils avaient pas appris la leçon avec les contes à dormir debout sur ce que les Allemands auraient soi-disant fait aux Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale. Allez, sortez les violons amigos, on va disséquer cette comédie tragique avec un sourire en coin.
1 « 40 bébés décapités », ou la farce qu’a pas tenu 24 heures
Ce qu’ils ont osé nous vendre :
Le jour même, i24 News et le bureau de Bibi Netanyahou – ces champions de la vérité, bien sûr – ont claironné que les « méchants terroristes » du Hamas avaient décapité 40 bébés. Oui, 40 comme les 40 voleurs ! Parce que, visiblement, le Hamas avait rien de mieux à foutre en pleine opération que de jouer les bouchers de contes d’horreur. (Petite parenthèse : appeler le Hamas « terroriste » parce qu’il est islamique, c’est un peu comme dire que tout résistant armé est un psychopathe. Subtil, n’est-ce pas ?)
Démystification, ou comment ruiner un bon scénario :
Oups, même le gouvernement israélien a fini par admettre, la queue entre les jambes, qu’il n’y avait zéro preuve de ces décapitations. La Maison Blanche a gentiment rembobiné les délires de Biden aussi. Pas besoin d’enquête approfondie : les caméras étaient partout, mais curieusement, pas une seule image de ces prétendus bébés décapités. Les tabloïds et les mastodontes comme LCI et BFM ont juste oublié de vérifier avant de hurler. Classique.
2. Viols de masse, ou le fantasme Hollywoodien version Moyen-Orient
Ce qu’ils ont osé nous vendre :
Tout le gratin israélien s’est ligué pour jurer que le Hamas s’était livré à des « viols systématiques » et des « mutilations sexuelles » le 7 octobre. Parce que, évidemment, en plein raid éclair de trois à cinq heures, sous les balles et les frappes aériennes, ces gars auraient pris une pause café pour s’adonner à des orgies barbares et des tournantes. Logique. Ajoutez à ça l’idée absurde que des combattants islamiques stricts, qui risquent l’exécution pour un regard de travers, se mettraient à violer en bande organisée. C’est tellement grotesque qu’on dirait un pitch de série Z. Oh, et n’oublions pas : le Coran interdit le viol, même en temps de guerre. Hadith clair comme de l’eau de roche (Sunan Abu Dawud 2158, Sahih Muslim 3371) : pas de viol, pas de trahison, pas de massacre d’innocents. Même Isis ou Daech, ces marionnettes de la CIA, du Mossad, du MI6 et de la DGSE, l’avaient compris.
Mais bon, les merdias de masse comptaient sur votre ignorance de l’islam pour vendre leur salade.
Démystification, ou comment l’ONU a gâché la fête :
L’ONU, avec son efficacité légendaire, a pondu une enquête en mars 2024 – oui, cinq mois pour vérifier une rumeur ! – et, surprise, aucune preuve de viols généralisés. Les experts médico-légaux et les journalistes indépendants de The Grayzone et Mondoweiss (ironiquement, souvent juifs eux-mêmes) ont fouillé et… rien. Nadazéro. Oh, et ce soi-disant « manuel du viol du Hamas » ? Une pure invention, digne d’un roman de gare. Bravo pour l’imagination.
3. Brûler des familles vivantes, ou quand Tsahal joue les pyromanes
Ce qu’ils ont osé nous pondre :
Tous les médias ont juré que le Hamas avait cramé vives des familles entières dans leurs maisons. Sans preuve, bien sûr, mais pourquoi s’embarrasser de détails quand on peut faire pleurer dans les chaumières ?
Démystification, ou la vérité qui brûle :
Les journaux israéliens +972 Magazine et Local Call ont révélé le pot aux roses : la plupart des morts dans ces maisons ? Merci aux hélicoptères israéliens (des Apaches américains, techniquement, mais passons). Oui, Tsahal a appliqué sa charmante « Directive Hannibal », qui autorise à canarder tout le monde, otages compris, pour éviter les captures. Résultat : des civils et des otages abattus par leurs propres sauveurs. Poétique, non ?
4. Le festival Nova, ou la rave transformée en cible imaginaire
Ce qu’ils ont osé nous vendre :
Le Hamas aurait « ciblé » le festival Nova pour un massacre ciblé, exécutant les fêtards comme dans un film d’horreur. Glaçant, non ?Démystification, ou comment ruiner un bon climax :
Démystification: Oups, encore raté.
Yedioth Ahronoth et Haaretz, des médias israéliens, ont confirmé que le festival était juste au mauvais endroit au mauvais moment. Les morts ? Majoritairement dus à des tirs croisés avec Tsahal et, tiens donc, des frappes d’hélicoptères israéliens. Exécutions de masse ? Plutôt un chaos mal géré.
5. Boucliers humains, ou la vieille excuse poussiéreuse
Ce qu’ils ont osé nous vendre :
Le Hamas se serait planqué derrière des familles dans les kibboutzim, tirant comme des lâches depuis les salons. Classique.
Démystification, ou comment les survivants racontent une autre histoire :
The Electronic Intifada et Middle East Eye ont recueilli des témoignages de survivants : les combattants du Hamas étaient en première ligne, échangeant des tirs avec Tsahal, pas en train de jouer à cache-cache dans les cuisines ou les salles de bain. Désolé, pas de méchants caricaturaux cette fois.
6. Un génocide planifié, ou l’hyperbole du siècle
Ce qu’ils ont osé nous vendre :
Dans un élan d’hystérie, on nous a dit sur toutes les chaînes du PAF que cette petite opération du 7 octobre était un génocide, un complot pour exterminer tous les Juifs. Oui, rien que ça. Une bande de résistants avec des motos et des kalachnikovs, planifiant un génocide. Ridley Scott, tu devrais prends des notes !
Démystification, ou comment que les sionistes Israéliens se sont trahis eux-mêmes :
Des fuites de +972 Magazine montrent que les services de renseignement israéliens savaient que le but du Hamas visait à un échange de prisonniers, pas un bain de sang. Avec plus de 5 000 Palestiniens otages en Israël avant le 7 octobre (et le double depuis), c’est presque comme si que le Hamas avait une stratégie rationnelle. Qui l’eût cru ? Mais d’où vient cette manie de mentir comme des arracheurs de dents ?
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Les Juifs, apparemment, ont un doctorat en victimisation autoproclamée. Oui, il y a eu des victimes innocentes le 7 octobre – la guerre, c’est moche, on sait ça, y a toujours des victimes collatérales. Mais soyons sérieux : la plupart des morts civils sont sur le compte de Tsahal, pas du Hamas. Cette opération ? Une manœuvre militaire légitime, pas un remake de Massacre à la tronçonneuse. Ce qui est sidérant, c’est que les mêmes qui rient aujourd'hui des bobards du 7 octobre avalent encore les contes de fées sur l’Holocauste de 1939-45 sans sourciller du cul. Réveillez-vous, les amis, les Juifs ne sont pas des novices en matière de storytelling.
Un petit détour par la Nakba, juste pour le fun
Prenons l’histoire de la famille de la mannequin palestino-américaine Gigi Hadid, de son vrai nom Jelena Houra Hadid, parce que c’est tellement croustillant. Son père, gamin à l’époque, voit sa famille accueillir, en bons musulmans, des réfugiés juifs sans domicile et démunis en Palestine après la guerre. Gentil, non ? Sauf que ces charmants invités ont changé les serrures et menacé de les faire tuer s’ils ne déguerpissaient pas de leur propre maison. Bienvenue dans la Nakba, où des millions de Palestiniens ont été virés de chez eux par des Juifs jouant les victimes éternelles. Et après, on s’étonne qu’Israël soit bâti sur du sable moral.
L’Holocauste, ou le mensonge qui tient pas debout mais qui maintient tout l’édifice debout
Remontons plus loin. Les Juifs en Europe pendant la Seconde Guerre mondiale ? Oui, beaucoup sont morts, comme 70 millions d’autres dans ce carnage mondial. Dans les camps ? Famine, maladies, merci les bombardements alliés qui ont coupé les vivres et les routes d'approvisionnement. La Croix-Rouge parlait de 280 000 morts, pas de six millions. Et ces histoires de chambres à gaz ? Pure fiction, digne d’un cartoon de Bugs Bunny. Mais chut, ne touchez pas au mythe sacré, sinon l’Occident libéral s’effondrerait comme un château de cartes.
Conclusion, ou le grand final sarcastique
Franchement, j’espère que vous commencez à voir clair dans cette mascarade. Les mensonges sur le 7 octobre ne sont que la pointe de l’iceberg. Israël, cet État fondé sur le nettoyage ethnique et les larmes de crocodile, repose sur une pile de bobards, avec l’Holocauste en cerise sur le gâteau, tout comme l'Ukraine nous a balancé un tas de mensonges relayés fissa par nos merdias sur les soi-disants massacres de Butcha commis par l'armée russe en Ukraine.
Depuis 15 ans que c'est hurlé de plus en plus haut dans le désert, il faut le redire et le répéter : pour que l’Occident retrouve un semblant de dignité, il faut faire tomber ce mythe. Les chambres à gaz ? Dans mille ans, on en rira comme d’une blague de mauvais goût. La vraie question, c’est combien de morts et de souffrances il faudra encore avant que la vérité ne sorte de ce putain de placard.
Spoiler : elle finira par éclater, et ce jour-là, les scénaristes d’Israël et leurs porte-voix des médias de masse devront chercher un nouveau script. (Et rien d'antisémite là-dedans, c'est pas le peuple juif qu'a exigé d'Hérode et de Ponce-Pilate la crucifixion du Christ, c'est leurs Grands Prêtres du Temple Maçonnique de Jerusalem ; exactement de la même manière que c'est pas les peuples de France, d'Angleterre ou d'Allemagne qui cherchent la baston avec Moscou mais bien les Francs Macs Rothschildiens suppôts du Sionisme qui dirigent ces trois nations).