LA GRANDE CHASSE AU LOUP-GAROU
du Ministère de l'Injustice américain (DOJ)
"Chaque fois que Biden dit" je ne plaisante pas ", il ment. Chaque fois qu'il dit: "Je plaisante", il dit la vérité.
Enfin, vous savez désormais ce que ces cris retentissants de " Russie ! Russie! Russie!" hurlés à travers toutes les cordes vocales des Clinton-Obamaniaques et tous les médias de masse américains et occidentaux signifient: Pour le reste de la planète, l'Amérique s'est transformée en URSS, du type vintage Stalinien, et ceci depuis 2016, de la même manière que toute une palanquée d'acteurs hollywoodiens s'est transformée en loup-garous entre aujourd'hui et les années vingt du siècle passé.
L'altération de Trump s'avère être une présentation extrême du trouble de l'identité des espèces de masse, un état altéré national qui, selon Wikipedia: "... implique généralement des délires et des hallucinations, la transformation semblant ne se produire que dans l'esprit et le comportement de la personne affectée."
La lycanthropie clinique est une affection très rare et est largement considérée comme l'expression allergique d'un épisode psychotique ou dissociatif causé par une autre affection telle que le trouble dissociatif de l'identité, la schizophrénie, le trouble bipolaire ou la dépression clinique.
Elle a également été associée à l'intoxication médicamenteuse et au sevrage, aux maladies cérébro-vasculaires, aux lésions cérébrales traumatiques, à la démence, au délire et aux convulsions… et peut-être même, allez savoir, jusqu'aux "vaccins" Covid.
Cependant, il y a des suggestions que certaines conditions neurologiques et influences culturelles peuvent entraîner l'expression du thème de la transformation homme-animal qui définit la condition .
Donc, maintenant, on va avoir un grand procès-spectacle, dans le mode stalinien, du candidat présidentiel (et loup-garou) Donald Trump sur de fausses accusations montées de toutes pièces ou tirées du chapeau de Majax et concoctées hors site dans le laboratoire d'utilisation stratégique du droit du commissaire aux activités des loups-garous Andrew Weissmann et de son acolyte, membre du Brookings Institute Norm Eisen, ancien avocat du Comité du Congrès qui avait tenté de destituer le "loup-garou" avec des résultats décevants lors d'un appel téléphonique en Ukraine en 2019.
Et ouais, ce serait le même Andrew Weissmann qui dirigeait auparavant - mais en loucedé - l'équipe d'intrépides exorcistes de loups-garous du Labo d'utilsation militarisée et stratégique du droit mené par la célèbre victime de démence Robert Mueller.
La précédente chasse au loup-garou de Mr. Weissmann, qui avait duré deux ans, avait également été un échec, bien sûr. Le loup-garou s'est glissé dans la nuit lunaire pour ronger à nouveau les reins des Démoncrates !
Ce coup-ci, le leader de Mr. Weissmann est le Procureur Fédéral Jack Smith, nouveau Van Helsing sur la scène de la chasse aux loups-garous, préparant un acte d'accusation en trente sept coups de balles en argent, dans le but de montrer à l'Amérique comment qu'y faut faire.
Et juste au cas où qu'il raterait ces tirs avec les 37 balles de son chargeur, il a un autre flingue, un Derringer à un coup, scotché à la cheville contenant aussi une balle d'argent gravée avec la date du "6 Janvier" sur la douille.
Si vous pensez que notre monde est devenu intéressant, ceinture-de-sécurisez-vous mieux que ça dans vos chaises longues, les copains, car ce nouveau film de loup-garou va vous emporter en des endroits comme aucun autre.
Vous avez peut-être remarqué que le moment de cette nouvelle chasse au loup-garou a une synchronicité presque magique avec des circonstances étrangement identiques qui miroitent autour de l'occupant actuel du sous-sol de la Maison Blanche – un autre cas de papiers officiels égarés.
Contrairement à la chasse au loup-garou de Donald Trump, l'affaire des documents classifiés planqués dans son garage par "Joe Biden" se déplace à la vitesse d'un TGV avec des caténaires hors-service coincé sur une voie de garage à l'extérieur de Trouduc en Corse du sud, ou dans une tempête de neige à la veille de Noël. Mais ces documents classifiés volés sont peut-être la moindre des préoccupations de "Joe Biden".
Tenez, l'autre jour, un seul document de "lanceur d'alerte" est apparu dans les dossiers sensitifs et compartimentés du Comité de Surveillance du Congrès - une salle spéciale pour l'exécution de rituels secrets - suggérant que "Joe Bidono" avait reçu 5 millions de dollars gratuits d'une âme généreuse connectée à la société gazière ukrainienne Burisma. Ce chèque de paie, pour des services restés flous, alors que "JB" se trouvait être le vice-président de Barack Obama, est arrivé à peu près à la même période où d'autres paquets-cadeaux de plusieurs millions de dollars en provenance de Chine, de Russie et de Roumanie s'envolaient vers une longue liste d'entreprises de façade exploitées par le fils de "JB", Hunter, sans autre activité connue que de recevoir de grosses sommes d'argent, de se faire tripoter les couilles par des gamines en age d'être à école primaire puis d'écrire des chèques à divers membres de la famille Biden.
"Eh ben, fils de pute… !” comme le président du sous-sol lui-même l'a dit un jour à propos des agissements "légaux" et la participation dans les Bio-Labs Metabiota de son bougre de fils de pute en Ukraine.
Vous comprenez, le ministère américain de la Justice – l'équipe qui emploie le chasseur de loup-garou Jack Smith – a mis la main sur ce reçu de "lanceur d'alerte" ukrainien sur Joe Biden» il y a trois ans, et d'une manière ou d'une autre le Procureur Général Merrick Garland n'a pas jugé bon d'agir dessus depuis lors. Putain, on lui demande pourtant pas de changer l'eau en vin. (Même si on cracherait pas sur un petit canon.)
Ce proc devrait avoir honte de sa gueule. Si j'étais lui, la peau de la mienne aurait déjà pris la couleur d'une tomate frappée par la scarlatine.
Ce reçu a moisi dans un dossier planqué du FBI, jusqu'à ce que le représentant James Comer (Républicain du Kentucky) l'assigne à comparaître. Apparemment, sans aboutir sur aucune enquête, pas même la plus préliminaire.
Cassez-vous, y a rien à voir.
Il y a peut-être une pénurie de procureurs fédéraux à cause de l'odieux incident " d'insurrection" du 6 janvier qui a si terriblement "mis en danger" la Démoncratie américaine de l'état profond. Non d'une pipe, ils sont toujours en train de rassembler des suspects d'un océan à l'autre pour cette mascarade de trahison, tellement profonde, large et sombre était la "conspiration" !
Lancer le piège du loup-garou sur Donald Trump devant le Tribunal du District Fédéral de Miami est sûr d'intoxiquer, disons, trente pour cent du public en proie à des hallucinations lycanthropiques.
On peut déjà entendre aujourd'hui des acclamations de joie résonner dans les fiefs Démoncrates de Santa Monica à Manhattan ainsi que dans les médias financés par Soros et Pfizer tandis que la population "bleue et jaune woke" se prépare à assister à la glorieuse épreuve de la vivisection légale de Donald Trump à ciel cœur ouvert.
Ils oublient cependant une chose : les loups-garous ont des pouvoirs inconnus des Wokofascistes simplets qui les chassent. Piéger un loup-garou est une chose, mais le tenir en laisse en est une autre. Il y a dix-sept pleines lunes d'ici la prochaine élection. Beaucoup de choses peuvent se passer, en particulier parmi les euh, disons, parmi les soixante-dix pour cent du public qui désapprouvent toute cette folie collective de lycanthropie.
Les chasseurs pourraient même se retrouver chassés, inexorablement chassés comme des putois, et de bonnes cordes de chanvre ou des balles de plomb feront amplement l'affaire !