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ON SE DÉTEND, KAMALA !
« Nous sommes confrontés à un effondrement catastrophique de la gouvernance. La démocratie est réduite à une tragédie ou à une farce (probablement les deux). » — Ugo Bardi
Alors que les États-Unis ressemblent de plus en plus à la Rome antique, être président est de plus en plus dangereux. Environ 35 empereurs romains ont connu une mort violente, la plupart aux mains de personnes appartenant à leur cour ou à leurs proches. En d’autres termes, des membres de l’État Profond romain. Une situation déplorable et similaire se prépare à Washington DC et dans ses environs.
Mais vous y trompez pas : Kamala Mala Harris ne veut pas être présidente des États-Unis. Elle veut même pas des cérémonies, des allers-retours incessants d’une séance photo à l’autre, des fastidieuses douzaines d’œufs de Pâques, des réunions de prière, des pardons pour les dindes, des banquets d’État insipides pour des hommes portant des coiffures étranges qui ne sont pas habitués à se servir de fourchettes et de couteaux, et à qui il est interdit de siroter du chardonnay…
Il est évident qu'elle a été prise pour une conne, qu'elle a été forcée de jouer le rôle de « bouffonne » par une étrange coalition de personnes désemparées et désespérées – c'est-à-dire les nombreux salopards des agences qui craignent la prison et les politiciens perfides tels que Pelosi, Schumer, Mitch la tortue, les Clinton et les Obama, payés pour couvrir cette dinde, souvent maladroitement, qui craignent le jugement de l'histoire, ainsi que la perte de leur fortune. Les personnages désemparés et désespérés prennent toujours des décisions insensées.
Une trentaine de secondes après que « Joe Biden » a juré de rester dans la course pour 2024, une délégation de ces hommes politiques paniqués lui a téléphoné et l'ont effacé au stabylo , sachant qu’il ne pouvait plus se faire passer pour une façade crédible de la fraude électorale massive en cours. Il avait à peine réussi à passer pour la précédente en 2020, lorsque tous les leviers du pouvoir avaient été actionnés au maximum pour dissimuler la vérité sur le vol de l'élection et pour punir sévèrement ceux qui osaient murmurer des doutes sur la liberté et l’équité de l’élection.
Comment ont-ils pu décider que Kamala ferait mieux ? Je suis quasiment sûr d'être certain qu'on saura tout après la pub, lorsque le parti explosera de récriminations quelque jours après le 5 novembre. Ça ressemblera probablement au film de 2017, La Mort de Staline, un vaudeville frénétique de bouffons comploteurs indifférents aux agissements mondains de la nation souffrante qu’ils prétendent servir. Contrairement à Nikita Khrouchtchev en 1953, Kamala n’a pas prévalu parmi cette bande de clowns querelleurs par la force de sa personnalité ou par la ruse. Elle n’était qu’un paramètre par défaut en tant que vice-présidente, arrivée pour donner l’illusion d’une continuité et d’une solidarité là où qu'il n’y en avait pas. Elle a même pas été impliquée dans les coulisses. Pas facile de croire que quiconque lui ait demandé si elle voulait cette mission – elle en a été prévenue qu’après coup. D’où toute cette beuverie.
La question qui se pose est la suivante : le Parti démocrate va-t-il réellement tenter de voler les élections malgré les preuves de plus en plus nombreuses d’une victoire écrasante de Trump qui pourrait l’empêcher ? Les travaux sont déjà en cours. Les bulletins de vote par correspondance ont été envoyés depuis longtemps et les votes anticipés sont exprimés de jour en jour. Les bulletins de vote étrangers qui ne nécessitent aucune vérification d’adresse aux États-Unis, des nouveaux électeurs qui affluent par millions après quatre ans d’ouverture des frontières ont permis de disperser 10 millions d’immigrants illégaux (au minimum) à travers le pays, dont une grande partie est implantée dans les États clés, les fameux swing states, traitée par le Département des Permis de conduire (DMV) et les services sociaux – avec l’inscription automatique requise sur les listes électorales – leurs bulletins de vote étant déjà pré-emballés pour la récolte.
Ça pourrait se passer de plusieurs façons. L'une d'elles serait de se laisser aller, de récolter tous ces faux votes, de remplir les boîtes de dépôt, d'inonder la zone et de le faire sous le nez de l'Amérique comme pour dire : nous pouvons faire qu'est-ce que nous voulons... pour obtenir ce que nous voulons... et vous pouvez pas nous arrêter. C'est probablement à ce moment-là que l'Amérique bleue découvrira exactement à quoi sert le deuxième amendement concernant le port d'armes aux USA. On pourrait également s'attendre à une résistance organisée par les États, en particulier dans les États rouges très peuplés, comme le Texas, la Floride, de véritables procès pour fraude cette fois, des certifications contestées.
Ou bien, les élections pourraient se terminer par un bourbier sans issue. Il n'existe aucun précédent à ce sujet et aucune disposition de la Constitution ne le prévoit, mais on peut imaginer que la Cour suprême doive décider d'une reprise nécessaire, sans tous les gadgets récents, des bulletins de vote papier uniquement, les électeurs munis d'une preuve de citoyenneté uniquement, tous votant lors d'une unique journée électorale reprogrammée avant le 1er janvier. Cette nouveauté serait différente de la lourde machinerie du Congrès mise en place pour régler les conflits au sein du collège électoral, puisqu'elle repose sur l'incapacité de divers États à déterminer leur vote au collège électoral en premier lieu, en raison d'irrégularités et de fraudes patentes.
On pourrait aussi imaginer une période de désordre si profonde et si grave que le régime derrière « Joe Biden » déclare la loi martiale… ou, alternativement, l’armée – l’ institution martiale – pourrait prendre les choses en main, écartant même « Joe Biden » et sa suite d'enculés de première. C’est effroyable à envisager, c'est sûr, mais ces choses-là arrivent dans l’histoire, et le Parti du Chaos a mis en branle suffisamment de saloperies pour ruiner l’élection et ruiner le pays. Appelez ça une catastrophe, si ça vous chante. C’est comme ça et puis c'est tout.
Mais pour sortir de cet abîme, il semble que l’élan de Donald Trump s’accélère de jour en jour, qu’il est en train de devenir, enfin, un mastodonte implacable et irrésistible qui, par la force des choses, surmontera tous les pièges, toutes les fraudes déployés contre lui. Kamala semble le penser.
Avez-vous déjà vu une telle résignation, une telle défaite en action que sa récente prestation dans 60-Minutes sur CBS, ou son pitoyable aveu dans The View sur ABC qu’elle ne pouvait penser à rien d’autre qu’à l’excellente gestion des affaires nationales sous « Joe Biden » (et elle-même en tant que vice-présidente). Voilà qui dit sûrement tout. Elle n’a rien, elle apporte rien. Elle est juste assoiffée de sang.
Il y a bien longtemps, elle était une jolie fille diplômée en droit dotée d'un rire contagieux à la con, se trémoussant le fessier en marge de la politique locale à San Francisco. Les vents de la fortune l'ont poussée dans tous les sens jusqu'à ce qu'elle finisse par être dépassée, utilisée par les renégats autour d'elle comme un simple stratagème pour éviter la prison. Elle finit comme une farce historique contre son propre pays. Ça doit être profondément démoralisant d'être utilisée de la sorte devant le monde entier.