... ça va secouer
Le Pow Wow victorieux de Joe Bidono en Caroline du Sud – sur la vieille plantation du Parti démocrate où qu’on récolte des voix – n’a pas duré longtemps. Hier, un radical libre, un satellite malveillant nommé Tucker Carlson a été repéré en orbite au-dessus de la Russie, de la Russie, de la Russie, un pays dont il faut répéter trois fois le nom pour que les gens comprennent à quel point que c'est dangereux.
Carlson s'est assis hier soir dans la même pièce que Poutine, Poutine, Poutine – l'antithèse de la fiotte Macron ou de Joe l'endormi, puisque Poutine agit lui réellement et pour de vrai en tant que chef d'État – et de transmettre les pensées et les opinions de Vladimir Vladimirovitch aux citoyens occidentaux, au grand dam du clown Brunet et de sa Broussouloux, et via la plate-forme de médias sociaux coquine appelée « X ».
Réalisez-vous le danger d’exposer les occidentaux à ce que Poutine pourrait dire ? L’entendre exprimer tranquillement ses réflexions sur la situation mondiale – ce que Poutine fait régulièrement dans son pays (on l'a vu le faire !) – est susceptible d’informer les pauvres occidentaux que nous sommes que leurs propres élites politiques sont tous membres de partis de la maladie mentale, y-compris le Rassemblement National - y a qu'à voir comment le Bardella a roulé une pelle à Meyer Habib le facho-sioniste hier à la cérémonie des Invalides - et les Fratelli d'Italia de la petite pisseuse et traitresse Meloni.
Même sans cette nouvelle provoc d’un colloque Carlson/Poutine, la majorité des habitants du pays des lumières artificielles ont commencé à se rendre compte à quel point que les choses sont devenues insensées sous le despotisme de la pédale macronienne qu'a signé des deux mains pour refiler 50 milliards à Zelensky et à peine 0,8 pour nos angryculteurs. Et cette foutue conversation arrive de façon tout à fait incongrue au moment où que le Sénat US a tenté d’élaborer un projet de loi liant un cadeau des contribuables de 60 milliards de dollars à l’Ukraine à une loi sur la « sécurité des frontières » qui interdirait à plus de 8 500 étrangers d’entrer chaque jour. illégalement aux États-Unis. Bonne affaire, hein ? Euh. . . peut être pas. Du côté de la Chambre des représentants, le président Mike Johnson a déclaré : « Va-te faire foutre, Joe ».
Alors, voulez-vous vraiment avoir la chance que ce type Poutine explique calmement et clairement aux gens de chez nous comment que le propre Département d’État US et ses larbins européens de l'Otan ont concocté cette guerre en Ukraine et la poursuivent mois après mois ?
Des personnalités telles que l'ex-conservateur Bill Kristol (aujourd'hui pom-pom girl de Joe Bidono) veulent empêcher le satellite Tucker Carlson de rentrer aux États-Unis après sa visite à Moscou, appuyé en cela par tous les plateaux de BFmerde et de LCI au travers de la verve emplie de fiel du pisseux Général Richoux, de la putasse de la CIA, McGyver Gallagher Fenwick ou un nom dans ces eaux-là et par ce lécheur de botte des otano-mondialistes nommé Renaud Pila.
Les uns comme les autres ont apparemment l’illusion - ou sont payés pour nous le faire croire - que nous sommes en guerre contre la Russie. Quelqu'un, s'il vous plaît, informez-les que c'est tout simplement pas du tout le cas et qu'ils ne sont qu'une bande de langues de putes.
À proprement parler, la Russie n’est rien d'autre qu’un autre pays européen que les occidentaux peuvent visiter moyennant un visa. C'est un fait, les mecs. Et si vous êtes là, que vous êtes journaliste et que Poutine, Poutine, Poutine accepte une interview, eh bien. . . vous vous asseyez avec lui et vous parlez au gars. . . et enregistrez-le. . . et laissez les gens du monde entier décider quoi en penser.
Je sais pas pour vous, mais tout ça me semble un peu. . . Je sais pas. . . limite fasciste à mon avis. C’est le sale secret des Partis de la Maladie Mentale que les Occidentaux commencent à comprendre. Tous leurs bavardages sur « notre démocratie » ne sont qu’un écran de fumée pour cacher la volonté de mettre fin à la liberté d’expression à tout prix et de bousculer tout le monde. Il sera intéressant de voir qui se présentera en bas de la passerelle de l'avion lorsque M. Carlson retournera en Amérique. Le FBI, peut-être ? Avec une paire de menottes pour lui entraver les jambes (comme ils l'ont fait avec Peter Navarro) ?
Vladi Poutine pourrait également expliquer comment fonctionne l'immigration en Russie, en Russie, en Russie, où vous devez remplir une demande, expliquer qui vous êtes et être jugé digne d'entrer ou pas. Tout le monde n’obtient pas le sésame. Mais, surprise, surprise, surprise, tout le monde ne cherche pas à entrer dans un pays avec de bonnes intentions. Pouvez-vous imaginer ça ? Le Parti de la maladie mentale en Occident ne croit pas que quiconque puisse avoir de mauvaises intentions. C'est du moins ce qu'ils prétendent (parce qu'ils sont malades mentaux). Ainsi, n’importe qui peut traverser la frontière mexicaine, espagnole, grecque ou italienne pour rejoindre les États-Unis d'Europe et d'Amérique. Ils appellent ça « diversité et inclusion ». C'est un problème de pensée.
Nous laissons entrer dans nos pays beaucoup de gens probablement pas trop bien intentionnés. Les autochtones en sont un peu énervés. Les gens du pays ne tombent certainement pas dans le piège des conneries de LFI ou de Bardella. Bardella qui, comme déjà dit plus haut, a tenté de surpasser Macron en roulant une pelle à Meyer Habib. Quant à Nikki Halley, la concurente à Donald Trump pour le ticket Républicain, elle est apparue l'autre soir en tant que star invitée de l'émission humoristique du blob, Saturday Night Live, donnant son imitation d'un candidat présidentiel malade mental. Nikki excelle dans ce domaine. Elle est représentée par l'agence artistique CIA du blob. La même agence qui gère les machines de compilation truandeuses de votes aux États-Unis, alors voyons comment que Nikki se comportera lors de la primaire républicaine de Caroline du Sud le 24 février. « Joe Biden » y a obtenu 97 % des 6% de voix démoncrates exprimées - lol - la semaine dernière. Incroyab', superbe et génial ! Nikki peut-elle battre ça ?
Les Zéphyrs du printemps sont à peine naissants mais même dans les profondeurs cruelles de l'hiver, nous avons déjà commencé à voir un soulèvement dans toute la civilisation occidentale. Les gens ne veulent plus de la LGBTQ+ qui veut enseigner à nos marmots comment se servir d'un sextoy pour se dilater le fion en vue de futures utilisations pédophiles et sodomites.
Les agriculteurs en ont assez d’être bousculés, surtaxés et fanfaronnés et ont pris l’initiative de contrecarrer les mauvaises intentions de l’Euroblob.
Les convois de camions américains se dirigent vers le Texas pour aider les Texans à contrôler la frontière que l'USAblob refuse de contrôler. Les procès contre Donald Trump vacillent comme des gyroscopes à deux balles. Et qui n'a pas été horrifié par l'acte qu'E. Jean Carroll a joué avec Rachel Maddow sur MSNBC ou sur ceux de François Hollande affirmant que la vie des sionistes isréliens valait plus que celles des palestiniens gazaouites ? Voilà votre maladie mentale politique dans un instantané soigné. Voulons-nous vraiment que l'occident disparaisse comme ça ?
Ce 07 Février 2024, Tucker Carlson va interviewer Vladimir Poutine en dépit des entraves qui lui ont été faites par l'administration démoncratique de Joe Biden, par l'état profond US et par la censure occidentale en général. Tucker Carlson explique les raisons de cette entrevue qui sera mise en ligne sur Twitter X et sur tuckercarlson.com.
Sous-titres M56
Tous les médias occidentaux ce matin traitent Tucker Carlson « d’extrémiste de droite », de « complotiste » de « propagandiste du Kremlin » parce qu’il a osé faire son boulot de journaliste : interviewer Poutine ! Il a d’ailleurs proposé la même interview à Zelensky !
L’UE demande même une « interdiction de voyager dans l’UE » contre lui ! 🤦
Délire hystérique qui montre le vrai visage du Système : il ne tolère qu’un seul narratif, celui de l’OTAN, celui de la guerre, celui du grand mensonge mondialiste !
Emission présentation Interview Carlson-Poutine
ET POUR FINIR, LA GRANDE INTERVIEW
TUCKER CARLSON-VLADIMIR POUTINE 06/02/2024
Poutine est revenu sur l’histoire de l’Ukraine, faisant remarquer notamment que l’«ukrainisation» des terres du sud de la Russie avait été activement promue par l'état-major autrichien avant la Première Guerre mondiale, pour «affaiblir un ennemi potentiel», et que le nom «Ukraine» avait été inventé par les Polonais, voyant les terres du sud de la Russie comme une «frontière» et non «comme appartenant à un groupe ethnique». Poutine a ensuite souligné la communauté de culture de la Russie et de l’Ukraine, puis le choc de la chute de l’URSS, incompris en Occident. Poutine : Nous n'étions jamais d'accord que l'Ukraine fasse partie de l'OTAN, qu'il y ait des bases de l'OTAN, sans aucune discussion avec nous «Vous nous avez trompés», a déclaré Poutine à Carlson : «les Etats-Unis ont promis qu’il n’y aurait pas d’extension de l’OTAN, elle a eu lieu à cinq reprises». Le président russe a ensuite rapporté avoir même demandé un jour à Bill Clinton si la Russie pourrait joindre l’OTAN. Le président américain lui a répondu que l’idée était intéressante, avant de revenir à lui le soir même pour lui faire savoir que c’était «impossible». Poutine : On nous avait dit que l’OTAN ne progresserait pas d'un pouce vers l'Est Ukraine : le choc du coup d'Etat en 2014 Evoquant le coup d’Etat du Maïdan en 2014 en Ukraine, Poutine a dénoncé la complicité de la CIA. Un coup intervenu après que l'entrée de l'Ukraine dans l'OTAN ait été évoquée en 2008, et débouchant sur le bombardement de civils dans le Donbass. Une escalade dont Poutine juge les Etats-Unis responsables, et une escalade que l'Occident a échoué à rompre, en ne respectant pas les accords de Minsk. «Ce sont les Ukrainiens qui ont commencé la guerre en 2014, nous essayons de la finir», a déclaré Poutine avant que Carlson ne le relance pour savoir si les objectifs de la Russie étaient atteints. Ce à quoi le dirigeant russe a répondu par la négative, rappelant vouloir atteindre la «dénazification». «La cause de Hitler vit toujours», a poursuivi Poutine, évoquant l'ovation d'un vétéran SS au Parlement canadien. Poutine : Notre objectif est de cesser cette guerre Pourtant, Vladimir Poutine a répété que la Russie «n’avait jamais refusé les négociations», rappelant qu’un accord avait presque été obtenu en avril 2022. L’Ukraine a décidé d'abandonner les négociations avec la Russie sur ordre de l'Occident, une erreur que les États-Unis doivent maintenant corriger selon lui. La Russie est devenue, l'année dernière, la première économie d’Europe, malgré les sanctions et les restrictions. Les outils américains ne fonctionnent pas, pense Poutine. La Russie et l'Ukraine parviendront tôt ou tard à un accord «Les outils américains ne fonctionnent pas» «Certainement pas», a aussi insisté le président russe à la question de savoir si la Russie menaçait les Etats baltes ou la Pologne, expliquant que cela serait une guerre nucléaire. Regrettant que les Etats-Unis souhaitent se battre en Ukraine contre la Russie, Vladimir Poutine a aussi déclaré que Washington était responsable de l'explosion du Nord Stream. En imprimant autant de dollars, les dirigeants américains ont utilisé leur monnaie comme outil de puissance, a aussi relevé le chef de l'Etat russe, qualifiant cela d'«erreur». La Russie est devenue, l'année dernière, la première économie d’Europe, a fait valoir Poutine, en dépit des contraintes occidentales : «les outils américains ne fonctionnent pas», a-t-il lancé. Désormais, le poids des BRICS a dépassé celui des pays du G7 : une avancée inexorable selon Poutine, mais à laquelle les Etats-Unis tentent de s'opposer par la force. «Pour assurer l'avenir, il faut changer d'attitude face aux évolutions», a-t-il ajouté. Poutine : la part des pays des BRICS dépasse désormais celle du G7 Revenant sur l'issue du conflit, Vladimir Poutine a soutenu qu’il était impossible de vaincre la Russie sur le champ de bataille. «Je vois que [les Occidentaux] veulent des négociations, mais ils ne savent pas comment faire», a observé le Président russe, avant d'ajouter : «ce serait ridicule si ce n'était pas si triste». «Il y a des éléments de guerre civile dans ce conflit», a-t-il par ailleurs regretté, rapportant des exemples de combats entre soldats russes et ukrainiens parlant la même langue.
>>> Lien vers interview originale en anglais: https://tuckercarlson.com/the-vladimir-putin-interview/