ILS SONT OÙ, LES EXORCISTES ???
En tant que juif épagneul-breton chrétien et connaisseur du folklore d'une branche de mes ancêtres, j'attire votre attention sur la figure gênante du Dibbouk, un démon désincarné qui, à cause de ses péchés, erre sans relâche parmi nous et peut entrer dans la chair d'une personne vivante, qui affligera et tourmentera ensuite la communauté jusqu'à ce qu'elle soit correctement exorcisée par un Minyan de rabbins vêtus de linceuls blancs ou par une escouade d'exorcistes cathos vêtus de soutanes noires et brandissant des serments d'eau bénite et de crucifix sacrés.
Ainsi, amis lecteurs, je vous donne Andrew Weissmann, avocat, le chef Dibbouk américain , sur la scène depuis des décennies maintenant, semant le mal et le malheur, conduisant une foule impie de camarades Dibboukim se faisant appeler soldats de la Loi pour infester les tribunaux et se mêler des élections. Pensez : Michael Sussmann, un diablotin du Russia-Gate ; Michael Bromwich, ancien inspecteur général du Département de la Justice, le DOJ (!) puis conseiller d'une certaine Christine Blasey Ford (vous vous souvenez d'elle ?); David Laufman, ancien gobelin du contre-renseignement du DOJ et garçon de courses "ami de bronzette" de Blasey Ford ; Marc Elias, ingénieur extraordinaire des opérations de récolte des bulletins de vote lors des élections de 2020 et auteur de nombreuses farces connexes ; Dan Goldman, avocat principal pour la destitution du Comité Judiciaire du Congrès contre Donald J. Trump… Tous des Dibbouks!
Le Dibbouk Weissmann est surtout connu, bien sûr, pour avoir dirigé la campagne "Collusion russe" du Conseil spécial (2017-2019) en l'absence mentale de son chef nominal, Robert Mueller, une entreprise qui, finalement, n'a pu trouver aucune preuve ou exemple d'une collusion du président Trump de l'époque avec lesdits Russes – mais a réussi, via une pompe d'incendie de fuites médiatiques, à lancer un sort de déstabilisation de Trump sur la moitié de la population américaine. Le Dibbouk Weissmann hante depuis lors la chaîne d'information câblée MSNBC en tant qu'"analyste juridique".
Et pourtant, ce démon qui change sans cesse de forme réapparaît aujourd'hui dans l'affaire de corruption mondiale de la famille Biden. Voyons si vous êtes capable de suivre l'histoire alambiquée du Dibbouk Central sur l'Ukraine et le FBI.
Vous savez peut-être déjà qu'en mai 2014, Hunter Biden, fils du vice-président de l'époque Joe Biden, fut nommé au conseil d'administration de la société ukrainienne de production gazière Burisma, où il fut payé 80 000 dollars par mois pour son expertise dont il était totalement dénué dans l'industrie mondiale du gaz.
En fait, exactement au même moment, Le Vice-Prez Joe Biden fut nommé "l'homme de confiance" du président de l'époque Barack Obama en Ukraine après le coup d'État de Maïdan de 2014, organisé par la secrétaire d'État adjointe Victoria Nuland et la CIA, qui renversa le président démocratiquement élu Viktor Ianoukovitch. .
Peu de temps après, l'Ukraine a élu un nouveau président ami des États-Unis, Petro Porochenko. Burisma appartenait à un oligarque du nom de Mykola Zlochevsky. Apparemment, les 80 000 dollars mensuels d'Hunter Biden n'étaient pas suffisants. Le sympathique Vice-Prez américain, Joe Biden, a pressé Zlochevsky (Prez de Burisma) de raquer un paiement additionnel de 5 millions de dollars chacun pour Hunter et pour lui-même pour les services rendus par la famille Biden en Ukraine.
Le président Petro Porochenko avait un confident politique et réparateur (résolveur de problèmes) nommé Oleksandr Onyshchenko, alors membre du parlement ukrainien. Au cours de la période 2015-2016, Onyshchenko a transmis un message à Zlochevsky (Patron de Burisma) selon lequel payer de grosses sommes d'argent aux Bidens pourrait ne pas être une si bonne idée que ça après tout.
D'une manière ou d'une autre, les plaintes d'Onyshchenko concernant l'opération d'escroquerie des Biden firent la Une du principal journal de Kiev. Comme nous le savons tous, en novembre 2016, Donald Trump a été élu président des États-Unis. Catastrophe ! Trouille bleue paniquante à l'ambassade des États-Unis à Kiev !
En décembre 2016, l'ambassadrice américaine en Ukraine, Marie Yovanovitch, a envoyé des courriels paniqués aux gens de sa maison mère (le Département d'état) au sujet des allégations d'Onyshschenko sur la corruption de Joe Biden. L'un des destinataires en copie était un agent de la CIA implanté au sein du Conseil de sécurité nationale du nom d'Eric Ciaramella, plus tard identifié comme le dénonciateur des appels téléphoniques ukrainiens .
Maintenant, vous vous souviendrez peut-être qu'à l'été 2019, le propriétaire d'un atelier de réparation d'ordinateurs du Delaware, un certain John Paul Mac Isaac, entra en possession d'un ordinateur portable apporté puis abandonné par Hunter Biden – en vertu de la loi, passé 90 jours sans signe de vie de son propriétaire après la fin des réparations, l'ordi devient propriété du réparateur. - et ayant pris connaissance de son contenu surprenant et sidérant, a essayé de le donner au FBI, mais ce dernier refusa de le prendre.
À ce moment-là, l'agent de la CIA Eric Ciaramella avait dénoncé un appel téléphonique que Mr. Trump avait passé au nouveau président ukrainien Volodymyr Zelensky pour s'enquérir des agissements des Bidens là-bas. Plus tard cet automne là, avec l'ouverture d'une procédure de destitution contre le président Trump, des agents du FBI sont revenus chez Mr. Mac Isaac et ont pris possession de l'ordinateur au nom de leur agence.
Considérez que le directeur du FBI, Christopher Wray, devait être au courant de l'arrivée de l'ordinateur portable dans son QG et de son contenu - et était au courant de tout cela tout au long de la procédure de destitution et de procès au Sénat de Mr. Trump, et, bien sûr, Mr. Wray n'a jamais proposé ces preuves sur les Bidens aux avocats de la défense de Donald Trump. Le procureur général de l'époque, William Barr, supérieur de Mr. Wray non plus. C'est pas un tout petit peu bizarre ?
Remontons encore quelques années en arrière : il s'avère qu'en décembre 2016, Oleksandr Onyshchenko (le résolveur de problèmes et confident politique de Porochenko, le Prez ukrainien pro-occidental) s'était rendu au FBI avec tout un tas de bandes audio enregistrées par le président de Burisma Zlochevsky, des appels téléphoniques entre le Vice-Président Joe Biden et le président ukrainien pro-occidental Porochenko.
Zlochevsky, prez de Burisma, la société gazière ukrainienne, était maintenant paniqué que le président fraîchement élu Donald Trump puisse avoir une attitude totalement différente envers l'Ukraine que celle de l'administration Obama-Biden.
Le président de Burisma avait mis la main sur les bandes comme, disons, une police d'assurance au cas où que son gouvernement ukrainien sommaire et ses marionnettistes gestionnaires encore plus sommaires du Département d'État américain et de la CIA lui chercheraient des noises sur ses opérations.
À ce moment-là, Mr. Onyshchenko, le solutionneur de problèmes du Président ukrainien Porochenko, avait été officiellement désigné comme source humaine confidentielle du FBI. Il s'avère donc qu'il jouait sur les deux tableaux, informant la communauté américaine du renseignement sur de sombres activités dans les échelons supérieurs de l'Ukraine depuis un certain temps, et avait été jugé digne de confiance et payé des centaines de milliers de dollars par les États-Unis et le FBI pour sa coopération et ses efforts.
Maintenant, devinez qui c'est qui est entré en scène au moment même (le 16 décembre 2016) où la source humaine confidentielle, Mr. Onyshchenko le solutionneur, a présenté les bandes audio Porochenko-Biden de Zlochevsky : le Dibbouk va-t-en guerre légal américain Andrew Weissmann - de tous les Dibbouks !
À quoi pensait donc le pauvre solutionneur naïf Onyshchenko lorsqu'il a remis la preuve de la corruption financière du gros bonnet du Parti démocrate et Vice Président US Joe Biden au ministère de la Justice de Barack Obama ?
Et devinez qu'est-ce qui est arrivé à la preuve enregistrée sur bande sonore des cadeaux extravagants à Hunter et Joe Biden : pfffffouiiittttttt… ! Tout s'est évaporé. Le Dibbouk Weissmann, alors chef de la division des fraudes au Département de la Justice (DOJ), a tout fait disparaître. Juste. Comme. Ça. Le Dibbouk Weissmann s'est assuré que le DOJ et le FBI cessaient officiellement de s'intéresser à tout ce que la famille Biden aurait pu faire en Ukraine.
Et devinez qu'est-ce qui s'est passé du côté de Mr. Onyshchenko, le solutionneur : il est désormais accusé de mensonge et de corruption par son propre gouvernement (ukrainien) et est devenu un fugitif international lorsque la communauté Intel américaine a refusé de le laisser se réfugier aux États-Unis. Et devinez qui a maintenant peur pour sa vie !
Et, soit dit en passant, des enregistrements d'appels téléphoniques ultérieurs datant du 19 décembre 2016 circulent désormais librement aux États-Unis, des audios du président ukrainien de l'époque, Porochenko, remerciant le Vice-Président Joe Biden pour avoir retiré le Département de la Justice (DOJ) américain de l'affaire.
Comme l'a rapporté Stephen McIntyre sur Twitter (@ClimateAudit) : Biden a rassuré Porochenko que le FBI s'était "arrêté" et qu'il n'y avait "aucune raison [pour le FBI] de lui parler à nouveau". Biden s'est engagé à "vérifier ça [avec le FBI] et à le confirmer avec vous".
Avançons donc rapidement jusqu'au moment présent. Le sénateur Chuck Grassley a prononcé un discours au Sénat, révélant l'existence de tous ces enregistrements sur bande qui détaillent 5 millions de dollars plus 5 millions d'autres dollars de pots-de-vin de Mr Zlochevsky, président de Burisma, à la famille Biden. Le podcasteur Dan Bongino les a joués plusieurs fois dans ses émissions ( épisodes 2030, 2031 et 2032 ). Allez-y et écoutez par vous-même si vous me croyez pas.
Notez également que le Dibbouk Andrew Weissmann est toujours en liberté aux USA, en train de dibbouker une nouvelle tempête avec un nouvel article dans The Atlantic intitulé Jack Smith's Backup Operation suggérant que si l'affaire des papiers "classifiés" de Mar-a-Lago de l'avocat spécial Jack Smith contre Donald Trump arrive à faire mouche, une énième affaire pourra être ouverte contre l'ancien président devant le tribunal de district fédéral du New Jersey. Ne serait-il pas temps de faire appel aux exorcistes, - rabbiniques, cathos ou navajos, on s'en tape - afin d'extirper et d'expulser le Dibbouk Weissmann du corps politique américain ?