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15 déc. 2024

986. Pas de paix sans justice


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PAS DE PAIX SANS JUSTICE

On peut être soulagés de voir Donald Trump élu 47e président des États-Unis. Si l’Amérique voulait avoir une chance de retrouver son honneur et sa grandeur, ou même de traverser les temps turbulents des années à venir, elle avait besoin d’un dirigeant audacieux qui n’a pas peur d’opérer des changements radicaux. En regardant son équipe, surtout avec Kash Patel aux manettes du FBI, on peut être prudemment optimiste.

Surprise chez les Obama ? 😅😅😅

La plus grande moitié des Américains est exaltée, positive, pleine d’espoir et jubile, tandis que la plus petite souffre d’une dépression nerveuse, de dépression tout court, de désespoir et d’un profond ressentiment. La plus grande moitié pense que la raison a prévalu, la minorité woke pense que la démocratie a été perdue. Comment peuvent-ils se réconcilier ?
Au cours des trois dernières administrations, on a promis aux Américains que le fossé serait comblé, mais il s’est constamment aggravé. La droite a gagné, mais il serait illusoire de penser que la guerre culturelle est terminée. La paix a une condition préalable : la JUSTICE. La guérison ne peut avoir lieu tant que les plaies purulentes ne sont pas débarrassées de la gangrène corrompue mondialo-gauchiste.

La photo et la citation en titre sont celles de Benjamin Ferencz, le dernier procureur survivant des procès de Nuremberg.
Les procès étaient un élément essentiel de la paix à l’époque, et ils le sont toujours aujourd’hui. La société américaine ne peut pas guérir sans une bonne administration de la justice. Pas plus que ne le pourront les sociétés occidentales européennes une fois libérées de la tyrannie.
Il ne devrait pas s’agir de vengeance, de représailles, de guerre juridique ; il DOIT s’agir de justice.

La plus grande erreur de la première présidence Trump a été de ne pas faire ce qui aurait dû être fait. Hillary aurait dû être emprisonnée, envoyée à Guantanamo. Obama aurait dû être destitué pour avoir espionné la campagne de Trump et tenté de le faire destituer avec son Russiagate. Les médias auraient dû être poursuivis pour avoir diffamé le président élu.
Le problème de la première présidence Trump était le simple fait que Trump est en fait un type très gentil, une personne très décente, un gros nounours  sans aucune rancune. Il voulait être aimé, il voulait faire le bien et il était farouchement loyal au peuple américain. Make America Great Again (MAGA) n’est pas un slogan mais son désir est et était sincère. Vous pouvez ne pas aimer son style, vous pouvez être en désaccord avec certaines de ses politiques et décisions, mais il est fondamentalement malhonnête de projeter de mauvaises intentions ou des velléités fascisantes sur lui.

L’essence de cette projection est dans ce mème :


Nous sommes dans une guerre culturelle de visions pour l’avenir de l’humanité et la gauche mondialo-covido-woki-dépopulationniste se bat de manière déloyale. Elle fait tout ce dont elle accuse à tort ses adversaires. l'inversion accusatoire est son arme de prédilection. Mensonges flagrants, propagande, calomnie, désinformation, censure et guerre juridique, sans compter les empoisonnements chimiques par vaccination de masse, chemtrails, malbouffe et le subventionnement de groupes terroristes tels qu'Al-Qaïda, Daesh, Isis ou Al Nosra.
Tout ça doit faire l’objet d’une enquête, de poursuites et de sanctions appropriées. 

Et rentrez-vous ça dans le crâne:
Non pas comme des actes de vengeance, mais pour nettoyer le poison de la guerre culturelle, pour préparer le terrain à la paix et au désaccord respectueux.

Ceux qui ont été lésés et pourchassés doivent être indemnisés. Edward Snowden et Julian Assange; Luc Montagnier, Didier Raoult et bien d'autres ne devraient pas être simplement graciés, réhabilités, indemnisés et décorés des plus hautes distinctions, mais toutes les personnes qui ont contribué à leur calvaire devraient être jugées, dépossédées de leurs biens et emprisonnées. Les personnes qui ont attaqué Donald Trump devraient être poursuivies non pas pour l’avoir poignardé dans le dos et calomnié, mais pour faire comprendre que les fausses accusations ne sont pas seulement une attaque contre le président, mais contre la fonction de la présidence elle-même.

Intégrité des élections
Il suffit pas de remettre les choses en ordre. Les réformes électorales pourraient garantir l’intégrité des prochaines élections, mais elles doivent être menées en révélant pleinement les méfaits de l’élection de 2020. Ce qu’il faut, c’est une équipe d’enquêteurs criminels appropriée. Dans son documentaire, 2000 mules, Dinesh DiSouza a soulevé des questions très importantes sur l’intégrité de l’élection présidentielle de 2020. Chacune de ces mules peut être identifiée et interrogée.

Plusieurs affaires mettant en cause la fraude électorale évidente ont été rejetées par l'ensemble tribunaux des états démocrates où avaient eu lieu les fraudes sans que personne (juges ou procureurs) ne se penche même une petite minute sur la multitude de preuves qu'étaient prêtes à leur être présentées.
On peut dire, sur le mode Hillary Clinton, et je suis sûr que ce sera le cas : « Quelle différence est-ce que ça fait, à ce stade ? »
Ça changera rien aux résultats maintenant que la présidence volée de l'escroc Biden touche à sa fin, mais ça peut faire toute la différence par ailleurs: Prouver de manière concluante les allégations de fraude devrait être le fondement du type de réformes – comme l’identification des électeurs, le vote le jour même et sur papier – qui pourraient rétablir la confiance dans le système.

Une équipe d'enquêteurs et de procureurs pourrait remonter la chaîne de commandement en proposant des accords de plaidoyer aux joueurs de bas niveau pour qu'ils fournissent des preuves et des témoignages contre les véritables décideurs ; ceux-ci devraient alors être poursuivis TRÈS PUBLIQUEMENT.

Les merdias
Toute personnalité médiatique qui a menti à l’antenne sur les élections et sur la plandémie Covid devrait être poursuivie en justice, à titre personnel et en tant que représentant de son organisation de presse.

On aimerait voir une action de masse pro Donald Trump intenter des poursuites civiles contre les calomniateurs pour les ruiner, puis utiliser les bénéfices pour créer une fondation pour promouvoir la responsabilité dans le journalisme, en distribuant des prix et des subventions. Je pense pas que ça serait difficile de trouver des avocats qui le feraient pour lui. Il aura même pas besoin d’une grande participation personnelle. Ce pourrait être son cadeau à Joe Scarborough et aux dames de The View (si on peut les appeler ainsi). Laissez-moi le répéter : les médias grand public devraient être ruinés par des poursuites civiles pour leurs mensonges.

Médias sociaux
Les médias sociaux - Facebook, Youtube, Twitter (avant son rachat par Elon Musk) et d'autres, ont joué un rôle central dans les trois dernières élections et dans la plandémie. Ce qu’ils ont fait était clairement de l'ingérence. Ils devraient faire l’objet d’une enquête et d’un procès.
Depuis plusieurs années, on vit dans un monde où une vingtaine de personnes sans aucune autorité légale peuvent censurer, vérifier les faits et même annuler des scientifiques accrédités si leur point de vue ne correspond pas aux récits approuvés. La porte doit être ouverte pour permettre aux personnes qui ont été lésées par les sociétés de médias sociaux de poursuivre en justice leurs propriétaires pour dommages et intérêts.
S’ils sont une plateforme, s’ils sont la place publique, ils ne devraient pas avoir le droit d’interférer avec la liberté d’expression. S’ils sont des espaces privés, s’ils sont des éditeurs, alors ils doivent assumer la responsabilité de chacune de leurs décisions et actions. Les sociétés de médias sociaux ont causé un préjudice très réel à de nombreuses personnes. Elles doivent être tenues responsables et passer au tiroir-caisse. 

Les ONG
George Soros, par le biais de sa fondation Open Society, finance des centaines d’organisations dites « populaires ». Au printemps, je suis sûr qu’elles sortiront à nouveau de leurs trous à rats. Les émeutes de Black Lives Matter et d’Antifa ont causé des milliards de dollars de dommages. Dans certains cas, elles ont été organisées avec l’aide d’ONG, qui ont fourni un soutien matériel comme des pancartes, des bus et, selon certaines affirmations, même des briques et de des cocktails molotov.

Tout ça devrait faire l’objet d’une enquête et si la culpabilité est établie, les ONG qui les ont financées devraient être obligées de payer les dommages. C’est pas comme si qu’elles pouvaient pas se le permettre avec tout ce que Soros leur refile.

Dans de nombreuses villes démocrates, la police a reçu l’ordre de se retirer, de NE PAS interférer avec les émeutiers. Dans tous les cas, les décideurs devraient être tenus responsables.

L’État profond
Les « émeutes » du 6 janvier ont été la plus grande opération de piégeage de l’histoire des forces de l’ordre. Les acteurs peuvent être facilement identifiés. Il s’agissait des « co-conspirateurs non inculpés ». Il semble que toutes les agences fédérales de maintien de l’ordre étaient représentées par des agents infiltrés pour jouer les meneurs autour du Capitole ce jour là, essentiellement du FBI. 26 d'entre eux identifiés à ce jour. Chacune d’entre ces agences devrait faire l’objet d’une enquête.
Chacune des agences de l’État profond devrait faire l’objet d’une enquête approfondie et nettoyée de fond en comble.
Comme par hasard, on vient d'apprendre que Chris Wray, directeur du FBI, vient de démissionner et que Nancy Pelosi, présidente de la chambre des Représentants et commandante de la Garde Nationale de Washington DC lors des évènements du 06 Janvier, vient de se faire porter malade et hospitalisée au Luxembourg. Et non pas chez elle où elle réside, en Californie... On dirait qu'y en a qui sentent venir la tempête qui va s'abattre sur eux !

Politique
Le niveau sans précédent d’immigration illégale pendant l’administration Biden n’était pas un accident. Il fallait la planifier. Des milliards de dollars de l’argent des contribuables ont été dépensés pour financer des activités criminelles en étroite collaboration avec de véritables gangs criminels.

Les ONG ont été grassement payées par l’administration Biden pour leur coopération dans la violation de la loi.

Le Free Press a examiné trois des ONG les plus importantes qui en ont bénéficié : Global Refuge, Southwest Key Programs et Endeavors, Inc. Ces organisations ont vu leurs revenus combinés passer de 597 millions de dollars en 2019 à un montant étonnant de 2 milliards de dollars en 2022, dernière année pour laquelle des documents de divulgation fédéraux sont disponibles. Et les PDG de ces trois organisations à but non lucratif récoltent plus de 500 000 dollars chacun en rémunération annuelle, l’un d’entre eux – le directeur général de Southwest Key – gagnant plus d’un million de dollars par an.

Certaines « communautés » ont été soudoyées pour les accepter. Beaucoup d’argent a été gaspillé ou volé.
Tout ce fiasco devrait faire l’objet d’une enquête et beaucoup de gens devraient aller en prison.

Oui, ils ont été payés par le gouvernement Biden, mais non, cela ne rend toujours pas la chose légale. Ni démocratique d’ailleurs. Kamala Mala Harris en est officiellement responsable. Sa responsabilité est criminelle. Elle ne devrait pas être autorisée à s’en sortir sans être accablée par son passé.

Pensez-y : non seulement les USA - mais aussi nos pays de l'UE - ont été envahis, créant une pénurie qui a fait monter les prix de tout, mais vous avez également payé pour toute cette merde avec de l’argent emprunté que vous devrez finalement rembourser avec des intérêts.
Si vous lisez ce blog, vous devez savoir à quel point sa rédaction est préoccupée par les questions de responsabilité. 

N'avez-vous jamais remarqué que : « Aucun crime n’a jamais été puni s’il a été perpétré sous le manteau protecteur de l’État. »

Faut que ça change si on veut trouver la paix et la justice. L’excuse du « je ne faisais qu’obéir aux ordres » ne fonctionne plus pour les crimes de guerre et de génocide. L’excuse « je ne travaillais que pour le compte du gouvernement » devrait être traitée de la même manière.

Rétrospectivement, l’administration Biden n’a été qu’une série de crimes contre la constitution, contre l’ordre international, contre l’humanité et contre le peuple américain. On peut en dire autant pour la quasi-totalité des dirigeant "Davossiens" des pays de l'UE, du Royaume Uni, du Canada, d'Australie et de Nouvelle-Zélande.


Tout a commencé avec l’élection truquée ;
suivie par l’opération de piégeage du 6 janvier ;
la mauvaise gestion et la corruption colossales dans la réponse au COVID ;
le remplacement de la population criminelle des frontières ouvertes ;
l’opération de blanchiment d’argent Sam Bankman-Fried ;
la provocation et le soutien à la guerre par procuration en Ukraine

… et ce ne sont là que quelques-uns des éléments manifestement criminels ;
… et je suis sûr que j’en ai oublié tout plein.

Considérons le retrait d’Afghanistan. Sept milliards de dollars de matériel militaire ont été laissés sur place et doivent être remplacés.
Supposons maintenant que des preuves apparaissent pour montrer que le fait d’avoir laissé tout ce matériel derrière soi n’était pas un accident. Même si aucune preuve de ce type n’est trouvée, où se situe la frontière entre la négligence criminelle et la corruption pure et simple ?
On a appris il y quelques jours que Biden avait gracié son fils. Non seulement il l’a gracié, mais il lui a accordé une immunité totale contre toute poursuite pour les crimes qu’il a « commis ou aurait pu commettre » « du 1er janvier 2014 au 1er décembre 2024 ».

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Ce qui nous amène au dernier point.

« La Loi et l’Ordre » sont un excellent concept, mais seulement s’ils sont appliqués de manière cohérente et sans préjugés, mais je pense aussi que la punition n’est pas aussi importante que la preuve de la culpabilité au-delà de tout doute raisonnable.
Si je liste ces affronts à la justice, c’est simplement parce que je peux tout simplement pas en être absolument sur d'être certain. Aucun d’entre nous ne peut l’être à moins que les faits ne soient prouvés preuves à l'appui devant un tribunal. Hunter Biden ou Emmanuel Macron, Anthony Fauci ou Olivier Véran, Hillary Clinton, Nancy Pelosi ou Elisabeth Buzyn,  pour ne citer qu'eux, n’ont pas besoin de rester en prison pendus par les burnes ou les nibards pour que le monde entier connaisse tous les détails de chacun de leurs crimes.

Hunter Biden et toute sa famille devront faire l’objet d’une enquête judiciaire et, si c'est justifié, son père devrait être destitué rétroactivement.

Ce qui compte, c’est pas la punition, c'est l’héritage qui en restera dans l'histoire.

Le monde a besoin de guérir et la justice est la seule chose qui puisse y parvenir.