Bienvenue, curieux voyageur

Avant que vous ne commenciez à rentrer dans les arcanes de mes neurones et sauf si vous êtes blindés de verre sécurit, je pense qu'il serait souhaitable de faire un petit détour préalable par le traité établissant la constitution de ce Blog. Pour ce faire, veuillez cliquer là, oui là!

20 déc. 2024

989. Arrêtons d'appeler les Socialos des "Libéraux" !


 (On Web version, use BlogTranslator dropdown menu on top-right of this post to read it in your language)

ARRÊTONS D'APPELER LES SOCIALOS DES "LIBÉRAUX"

Faut arrêter d’appeler les socialistes des « libéraux » ; c’est faux, c’est stupide et y en a ras-le-cul 

La plus grande menace pour l’Occident n’est pas le tyran étranger despotique, mais la volonté de l’homme libre de concéder la loi naturelle et d’assumer les chaînes de l’esclavage.

L’utilisation abusive du terme « libéral » pour décrire les socialistes a atteint un point critique. Cette appellation complètement fausse dure depuis bien trop longtemps et il est temps d’y mettre un terme. Le socialisme et le libéralisme sont deux idéologies distinctes qui ont des valeurs, des principes et des objectifs fondamentalement différents.

L’amalgame entre ces deux idéologies est non seulement faux, mais aussi préjudiciable. Il a conduit à une situation où les socialistes peuvent se faire passer pour des libéraux et où le terme « libéral » est devenu synonyme de socialisme.

La distinction entre libéralisme et socialisme n’est pas seulement une question de sémantique, mais aussi de substance. Faut être clairs sur ce en quoi nous croyons et sur ce pour quoi on se bat. Il faut cesser d’appeler les socialistes des « libéraux » et commencer à les appeler ce qu’ils sont : des putains de socialistes.

La notion farfelue de socialisme continue d'être propagée par l'élite mondialiste autoproclamée qui, dans son infini manque de sagesse, croit pouvoir créer une société utopique en confisquant de force les moyens de production. Flash info : cette idée a été essayée et s'est révélée à chaque fois un échec catastrophique.

La vérité dérangeante est que le socialisme est un parasite qui se nourrit de l’hôte de la civilisation industrielle, pour finalement le consumer et le détruire. Le XXe siècle regorge d’exemples d’expériences socialistes qui ont terriblement mal tourné, mais les vrais croyants continuent de faire du prosélytisme, sans se laisser décourager par les montagnes de preuves contre leur idéologie.

La réalité est que le socialisme est un système d'esclavage, présenté comme une panacée aux maux de l'humanité. C'est une recette pour le désastre, un cocktail toxique de coercition, de planification centralisée et de faillite morale.

Les défenseurs du socialisme voudraient nous faire croire qu'il s'agit d'une alternative viable au capitalisme, mais la vérité est que le socialisme est un concept fondamentalement erroné qui ne peut être mis en œuvre que par la force et la coercition. C'est un système politique qui cherche à étouffer la liberté individuelle, la créativité et l'innovation, en les remplaçant par la main froide et mortelle du contrôle bureaucratique.

Le contraste entre socialisme et capitalisme est souvent mal compris. Alors que le capitalisme est un ordre organique et spontané qui émerge de l’interaction humaine, le socialisme est une construction artificielle qui doit être imposée d’en haut.

Le capitalisme est un système économique qui permet aux individus de poursuivre librement leurs passions et leurs intérêts, tandis que le socialisme est un système politique qui cherche à dicter tous les aspects de la vie humaine. L’antithèse appropriée au socialisme n’est pas le capitalisme, mais plutôt le gouvernement libéral, qui protège les droits et les libertés individuelles tout en permettant au marché de fonctionner librement.

Les conséquences catastrophiques du socialisme sont bien connues, des goulags de l'Union soviétique à l'effondrement économique du Venezuela. Pourtant, malgré les preuves accablantes, le socialisme continue d'être présenté comme une alternative viable au capitalisme.

Ceci est dû en partie à la corruption de notre langage, qui a été détourné par les croyants socialistes pour obscurcir la vérité et semer la confusion dans l'esprit des masses. Mais c'est aussi parce que le socialisme est une foi, un dogme, une idéologie perverse qui ne tolère aucune dissidence et aucune critique.

Pour vaincre le socialisme, il faut affronter son monstre à trois têtes : sa logique tordue, son langage frauduleux et sa morale obscure. Toute autre attitude serait un manquement à notre devoir de défendre la liberté et l’individualité.

La lutte contre le socialisme dure depuis plus d’un siècle. Des hommes libres ont développé un arsenal solide d’arguments, de procédés rhétoriques et d’exemples historiques pour contrer son influence pernicieuse. Mais nos défenses ont été brisées par un ennemi plus insidieux : la corruption du langage.

La trame même de notre discours a été déformée, permettant au socialisme de se faire passer pour une force bienveillante, tandis que le capitalisme est vilipendé comme un système corrompu et oppressif. Inversion accusatoire comme à leur habitude. Les termes du débat ont été truqués, rendant inefficaces même les arguments les mieux intentionnés en faveur de la liberté.

Dans ce paysage orwellien, la définition du socialisme a été détournée pour désigner une forme de capitalisme, tandis que la corruption est rebaptisée capitalisme et que la liberté est confondue avec le chaos. La notion de démocratie a été réduite à un simple synonyme de liberté, la privant ainsi de son sens originel.

Ce tour de passe-passe linguistique a créé une situation dans laquelle même les arguments en faveur de la liberté ne peuvent que conduire à son érosion. Les règles du langage dans la culture populaire ont été tellement déformées que la structure même de nos arguments est devenue un handicap.

Pour défendre de manière crédible l’État libéral, il faut commencer par reprendre les termes du débat. L’État, dans sa forme la plus élémentaire, est un compromis entre les hommes, où la liberté individuelle est échangée contre la sécurité.

Ce compromis se compose de diverses politiques, qui peuvent être classées en deux grandes catégories : libérales et illibérales. Les politiques libérales sont celles qui servent à protéger les libertés individuelles, tandis que les politiques illibérales sont celles qui privilégient d’autres objectifs, quelles que soient leurs intentions ou leurs conséquences.

Le socialisme, qui met l’accent sur la propriété et le contrôle collectifs, est un système de politiques illibérales qui cherche à imposer une proposition morale : Que la liberté individuelle soit sacrifiée au nom d’un « bien social commun » abstrait.

Au cœur de ce « bien social » se trouve la notion d’égalité, mais pas l’idéal libéral d’égalité des chances. Le socialisme cherche plutôt à imposer une égalité matérielle totale des résultats, où chacun est réduit au même niveau de statut économique et social.

Pour réfuter les mérites du socialisme, il est pas nécessaire d’attribuer des intentions malveillantes à ses partisans. En supposant que les socialistes croient sincèrement à la valeur morale de l’égalité des résultats (ce qui n'a rien à voir avec l'égalité des chances ni avec le mérite), on peut se concentrer sur les politiques elles-mêmes, qui sont auto-négatives. La recherche de l’égalité des résultats est logiquement impossible dans un État socialiste, car elle nécessiterait un niveau de contrôle et de coercition incompatible avec la nature humaine.

La quête socialiste de l’égalité des résultats est une tâche sisyphienne, vouée à l’échec dès le départ. C’est une politique intrinsèquement contradictoire, car elle cherche à imposer une uniformité contraire à la diversité et à la créativité humaines.

La notion même d’égalité des résultats est une chimère, une créature mythique qui a été inventée pour justifier l’imposition d’un régime totalitaire. En examinant les politiques qui sous-tendent le socialisme, on peut exposer les failles de sa logique et démontrer qu’il s’agit d’un système fondamentalement en contradiction avec la liberté et la dignité humaines.

Les contradictions inhérentes au socialisme sont mises à nu dans son traitement de la propriété individuelle et du commerce. Dès sa création, le socialisme cherche à supprimer le droit de l’individu à la propriété privée et au commerce, suppression qui est essentielle à l’existence même de ce système. La propriété collective des moyens de production, de distribution et d’échange est un principe fondamental du socialisme, et c’est cette propriété collective qui nécessite la suppression de la liberté individuelle.

La proposition morale d’égalité totale qui sous-tend le socialisme exige que toute décision concernant la production soit prise collectivement, par tous. Cependant, comme les humains sont de nature individuelle et non orientés vers l'esprit de ruche avec une Reine, une véritable prise de décision collective dépasse nos capacités biologiques.

Le compromis est démocratique, mais même la démocratie est incapable de réconcilier les contradictions inhérentes au socialisme. Le résultat d’un vote démocratique est immédiatement inégal, car certains individus sont satisfaits et d’autres insatisfaits de l’utilisation de la propriété collective.

Mais cette argutie philosophique n’est rien en comparaison de la réalité dystopique dans laquelle le socialisme évolue nécessairement. L’expression « socialisme démocratique » est redondante, car tout socialisme est démocratique. Cependant, il est également despotique, un paradoxe qui existe parce que le socialisme est un système logiquement fallacieux.

Toute incarnation de la propriété collective à grande échelle dans l'histoire s’est effondrée, et la raison en est simple : en dehors du contexte motivant d’une menace existentielle, la productivité diminue et les gens meurent de faim.

Le problème fatal qui afflige tout État socialiste est l’érosion de l’incitation individuelle à produire. Sans la force motrice de la propriété et les incitations d’une économie de marché, les individus sont contraints de produire, plutôt que de choisir de le faire volontairement. Mais le travail obligatoire pour une majorité d’hommes dans un État démocratique est impossible, car les individus votent naturellement contre une telle contrainte. Le peuple fait grève et la production s’arrête.

À partir de là, la seule façon de perpétuer l’État socialiste est d’abandonner la démocratie au nom du bien démocratique. Un despote s’élève, incroyablement, au nom de la démocratie, et l’inégalité du pouvoir se métastase. La proximité du chef d’État despotique offre naturellement des avantages, qui forment une monnaie sociale, un moyen d’échange politique abstrait qui peut être échangé contre n’importe quoi, des faveurs légales aux biens physiques.

L’État socialiste, qui fonctionne toujours sous le langage de l’égalité, est désormais clairement et matériellement inégal. Le despote, qui est arrivé au pouvoir au nom de la démocratie, est l’arbitre ultime de qui reçoit ces avantages et qui n’en reçoit pas. Le système est truqué, ceux qui sont les plus proches du despote détenant le plus de pouvoir et d’influence. Le langage de l’égalité est utilisé à des fins de propagande, mais la réalité est celle d’une inégalité flagrante, où l’élite dirigeante domine les masses.

De cette façon, le socialisme se transforme nécessairement en un système de despotisme, où l’individu est soumis aux caprices de l’État. La promesse d’égalité se révèle être une promesse creuse, car l’élite dirigeante exploite son pouvoir pour accumuler richesses et influence. Le peuple, à qui on avait autrefois promis une utopie d’égalité et de liberté, est au contraire contraint de vivre dans un cauchemar dystopique d’oppression et d’inégalité.

Le socialiste convaincu, confronté aux conclusions logiques de son système favori, recourt souvent à une tentative désespérée de redéfinir le socialisme comme une forme de libéralisme qui modère le capitalisme pour le bien social. C’est un mensonge flagrant, une tentative cynique d’occulter la véritable nature du socialisme et ses contradictions inhérentes. Si une nation protège la liberté individuelle, la propriété privée et les droits de posséder et de produire des biens, de faire du commerce et de faire de l’industrie, c’est une nation libérale, pas socialiste.

La tentative du socialiste de rebaptiser les États européens prospères en socialistes est une tactique rhétorique destinée à rendre plus acceptable la redéfinition de la liberté comme antisociale. C’est une croyance qui doit précéder toute prise de pouvoir industriel par un État, ce qui est le but ultime du socialisme. Le refus du socialiste de se distancier du mot « socialisme » malgré son histoire meurtrière est une indication révélatrice de ses véritables intentions.

On demande souvent aux partisans du libéralisme pourquoi ils sont si rigides dans leur engagement envers le langage politique. Pourquoi ne pas accepter la redéfinition socialiste du socialisme comme « libéralisme avec une fiscalité élevée » ? Mais cette question peut être retournée contre le socialiste, et la réponse révèle la véritable nature de ses intentions.

Pourquoi, étant donné l’échec retentissant du socialisme, le socialiste ne serait-il pas désenchanté par ce mot ? La vérité est qu’il croit, malgré les preuves accablantes, que la moralité du socialisme est toujours irréprochable.

Imaginez un défenseur du « vrai nazisme » luttant pour redéfinir le mot comme une voie médiane entre la liberté et le despotisme raciste et militariste. Aucune personne raisonnable n’accepterait une telle redéfinition, car la motivation d’un « vrai nazi » serait claire. La seule personne qui pourrait se soucier suffisamment du nazisme pour le rendre plus acceptable pour un public libéral et désapprobateur serait un nazi.

De même, les désirs du socialisme sont constants, malgré le changement de langage. L’égalité matérielle totale est un principe moral de la foi socialiste, et la moralité doit être confrontée à la moralité.

La tentative du socialiste de redéfinir le socialisme comme une forme de libéralisme est une tentative désespérée de dissimuler la véritable nature de son idéologie. C’est une tentative de rendre le socialisme plus acceptable pour un public libéral, mais c’est en fin de compte une tentative ratée.

La vérité est que le socialisme est une idéologie fondamentalement erronée, incompatible avec la liberté individuelle. C’est une idéologie qui a été responsable de certaines des plus grandes atrocités du XXe siècle et qui continue de constituer une menace pour la liberté et la démocratie aujourd’hui.

Le véritable libéral doit être vigilant dans la défense du langage politique, car la tentative du socialiste de redéfinir le socialisme n’est pas seulement une question de sémantique. C’est une tentative de redéfinir le sens même de la liberté et de dissimuler la véritable nature du socialisme. Le libéral doit être clair et sans équivoque dans son rejet du socialisme et il doit être prêt à confronter la morale du socialiste à la sienne. L’avenir de la liberté et de la démocratie en dépend.

Les sociétés d’hommes libres ont en effet produit une étonnante gamme d’idées, de technologies et de découvertes nouvelles, dépassant de loin les réalisations de toute société socialiste. Cependant, aussi impressionnantes que soient ces réalisations matérielles, elles ne constituent pas en elles-mêmes une définition convaincante de la bonté.

L’argument en faveur de la liberté est souvent présenté en termes de bénéfices matériels : les médicaments, l’accès à la nourriture, le revenu disponible et l’allongement de la durée de vie. Mais ces réalisations, bien qu’importantes, ne répondent pas au désir humain profond de trouver un but et un sens à la vie. La capacité créatrice humaine n’est pas une fin en soi, mais plutôt un moyen pour parvenir à une fin. C’est un outil que nous utilisons pour atteindre notre objectif, réaliser notre potentiel et créer un monde meilleur.

Le socialiste contemporain, en revanche, ne vend pas des voitures ou des biens matériels. Il vend une vision de la moralité, une vision d’un monde meilleur et la promesse d’un avenir meilleur. C’est pourquoi, malgré la réfutation claire et puissante du socialisme, celui-ci persiste. C’est une religion, un système de croyances qui répond à nos désirs et aspirations les plus profonds.

En ce sens, le socialisme n’est pas seulement un système économique, mais aussi un système moral et philosophique. C’est un système qui promet de nous délivrer des imperfections du monde, de créer une société parfaite et d’ouvrir une nouvelle ère de l’histoire humaine. C’est une promesse profondément séduisante, qui a captivé l’imagination de beaucoup.

Mais, comme on vient de le voir, cette promesse est en fin de compte une fausse promesse. Le socialisme n’est pas un système capable de tenir ses promesses, et c’est pas un système compatible avec la nature humaine. C’est un système qui repose sur une compréhension erronée des êtres humains et qui ignore les principes fondamentaux de l’économie et de la morale.

Au contraire, le monde d’aujourd’hui a besoin d’une vision profondément différente de ce monde. C’est une vision qui repose sur l’idée de perfection, non pas en tant qu’état statique, mais en tant que processus dynamique de croissance et d’amélioration. C’est une vision qui considère les êtres humains comme imparfaits, mais capables de s’améliorer, et qui nous appelle à rechercher la perfection dans tous les aspects de notre vie.

Cette vision n’est pas seulement morale ou philosophique, mais aussi profondément pratique. C’est une vision qui a inspiré d’innombrables individus et sociétés à travers l’histoire, et qui continue de nous inspirer aujourd’hui. C’est une vision qui voit le monde comme un lieu de beauté et d’émerveillement, un lieu de possibilités et de potentiel infinis, et un lieu où les êtres humains peuvent se rassembler pour créer un monde meilleur.

En ce sens, la prière chrétienne pour le paradis sur terre n’est pas seulement un appel moral, mais aussi pratique. C’est un appel à l’action, un appel à rechercher la perfection dans tous les aspects de notre vie, et un appel à créer un monde meilleur...

L’œuvre de Robert Heinlein et d’Arthur C. Clarke, deux des écrivains de science-fiction les plus influents du XXe siècle, témoigne de la puissance de cette vision. Leurs histoires de vie éternelle, de vaisseaux spatiaux propulsés par la fusion et de villes parfaites ne sont pas seulement des fantasmes, mais des appels moraux à l’action. Ce sont des appels à la recherche de la perfection, à la création d’un monde meilleur et à l’avènement d’une nouvelle ère de l’histoire humaine.

En ce sens, la métaphore chrétienne n’est pas seulement une relique du passé, mais une partie vivante et respirante de notre présent et de notre avenir. C’est une métaphore qui continue de nous inspirer, de nous motiver et de nous guider dans nos efforts pour créer un monde meilleur. C’est une métaphore qui nous rappelle notre potentiel, notre capacité de croissance et d’amélioration, et notre responsabilité de rechercher la perfection dans tous les aspects de notre vie.

Les objectifs d’abondance matérielle, d’immortalité biologique et de marche à travers la galaxie sont une vision convaincante et puissante qui peut inspirer et motiver les individus à rechercher la grandeur.

Le concept d’une civilisation à haute énergie est un élément clé de cette vision, car il représente un avenir dans lequel l’humanité aura exploité le pouvoir de l’énergie pour créer un monde de prospérité et d’abondance sans précédent. Cette vision n’est pas seulement un fantasme utopique, mais un objectif réaliste qui peut être atteint grâce à l’application de la science, de la technologie et de l’ingénierie.

En revanche, la vision socialiste de la stagnation et de l’égalité est une alternative pâle et peu attrayante. C’est une vision qui repose sur une compréhension erronée de la nature humaine et de l’économie, et c’est une vision qui s’est avérée impraticable dans la pratique. La tentative socialiste de redéfinir la stagnation comme une morale est une tentative désespérée de sauver une idéologie qui a échoué, mais c’est une vision qui ne peut réussir qu’en l’absence de concurrence.

L’histoire de l’Occident témoigne de la puissance de l’ingéniosité et de la créativité humaines. De la bataille de Marathon à nos jours, l’Occident a constamment démontré sa capacité à faire face et à surmonter les menaces existentielles. Cependant, la plus grande menace pour l’Occident n’est pas le tyran étranger despotique, mais la volonté de l’homme libre de concéder la loi naturelle et d’assumer les chaînes de l’esclavage.

La protection de notre droit à nous-mêmes et au monde physique est essentielle, mais ce n’est pas notre destin. Notre destin est de lutter pour la perfection personnelle, l’immortalité et les étoiles. C’est une vision qui est digne de nos plus hautes aspirations, et c’est une vision qui peut nous inspirer et nous motiver à atteindre la grandeur.

L’illustration des conséquences de l’esclavage et de l’importance de protéger nos droits est une tâche cruciale qui doit être entreprise. C’est une tâche qui exige du courage, de la conviction et un engagement envers les principes de la liberté et du capitalisme réel. Cependant, c’est une tâche essentielle à la préservation de notre mode de vie et à l’accomplissement de notre destin.

En fin de compte, le choix est clair. On peut choisir de poursuivre une vision de stagnation et d’égalité, ou on peut choisir de lutter pour la grandeur. On peut choisir d’être liés par les chaînes du socialisme, ou on peut choisir d’être libres. La décision nous appartient et elle déterminera le cours de l’histoire humaine.

La vision d’une civilisation à haute énergie, de la perfection de soi, de l’immortalité et des étoiles est une vision puissante et convaincante. C’est une vision qui peut nous inspirer et nous motiver à atteindre la grandeur, et c’est une vision qui est digne de nos plus hautes aspirations. Choisissons de poursuivre cette vision et choisissons d’être libres.