Les critères de
référence des tests des vaccins anti-Covid sont truqués et les effets
secondaires sont désastreux
Même pour ceux qui croient passionnément aux vaccins, ces effets
secondaires désastreux sont inquiétants, d'autant plus que le programme du
Nouvel Ordre Mondial impose le déploiement d'un vaccin anti-Covid dans le monde
entier sur une base contraignante ou totalement obligatoire.
Des effets secondaires graves et généralisés dans tous les tests
des vaccins anti-Covid
Dans un autre cas, un participant au test du vaccin développé par Moderna a développé une fièvre de plus de 39,4º C et s'est évanoui chez lui. Lors de la phase 1 du test Moderna chez l'homme, 100 pour cent des volontaires du groupe ayant reçu la dose élevée ont souffert d'effets secondaires systémiques — fatigue, frissons, maux de tête et myalgie (douleurs musculaires). En fait, le vaccin Moderna a montré un taux de blessures « graves » de 20 pour cent dans le groupe à forte dose ; un participant au test a déclaré qu'après avoir pris le vaccin, il n'avait « jamais de sa vie été aussi malade ».
Dans cette interview avec Bill
Gates, le présentateur de CBS révèle qu'après la deuxième
dose, 80 pour cent des participants au test ont
présenté une réaction systémique. La corruption est encore plus profonde,
car la FDA
vient d'autoriser une autre grande entreprise pharmaceutique, Pfizer, à tester son vaccin expérimental anti-Covid sur des enfants
américains ! Un autre test Covid a été interrompu, bien
qu'il n'était pas mené pour le vaccin Covid : le NIH [Institut national de la
Santé aux États-Unis - NdT] a stoppé le test d'anticorps du
Covid de la société pharmaceutique Eli Lilly pour des raisons de
sécurité. La
quantité douteuse d'effets secondaires ne constitue apparemment pas un problème
pour AstraZeneca, qui, selon Reuters, a pu conclure des accords avec de nombreux pays lui
permettant de se protéger contre de futures actions en responsabilité liées au
vaccin.
Des test de vaccins truqués par la mise en place de critères de
performance très bas
Les effets secondaires désastreux sont déjà assez inquiétants en
soi, mais cela ne s'arrête pas là. Il faut aussi mentionner que les tests sont
conçus sur une supercherie. En plaçant la barre de performance des vaccins très
bas, ces derniers peuvent apparaître comme des produits efficaces, même s'ils
ne le sont pas particulièrement — sans même parler de leur innocuité. Joseph Mercola écrit :
« Que la prévention de l'infection par le Sras-CoV-2 ne soit pas un critère de
performance dans ces tests vaccinaux est choquant. Le seul
critère de réussite des vaccins anti-Covid qui compte pour eux, c'est la
réduction des symptômes communs au Covid-19 et au rhume. Dans le cas
d'AstraZeneca, l'analyse intermédiaire porte sur 50 personnes vaccinées. Le
vaccin sera considéré comme performant si 12 personnes ou moins développent des
symptômes après l'exposition au Sras-CoV-2, contre 19 dans le
groupe de contrôle de 25 personnes. »
Dans l'article largement repris « Les protocoles relatifs au vaccin Covid-19 révèlent que les tests sont conçus pour être couronnés de succès », William Haseltine a écrit :
« La prévention de l'infection devrait constituer le but
primordial... Mais la
prévention de l'infection n'est un critère de succès pour aucun de ces vaccins. En
fait, leurs buts à tous requièrent des infections préalablement confirmées...
puisque leurs vaccins ne sont pas censés prévenir l'infection, mais seulement modifier les symptômes
des personnes infectées.
En cas d'infection, nous attendons tous d'un vaccin efficace
qu'il protège d'une maladie grave. Trois des protocoles de vaccination —
Moderna, Pfizer et AstraZeneca — n'exigent pas de leur vaccin qu'il protège
d'une maladie grave, mais seulement qu'il empêche des symptômes modérés pouvant être
aussi bénins que la toux ou les maux de tête... Un vaccin
doit réduire de manière significative ou totale les décès dus au Covid-19...
Pourtant, aucun
ne mentionne la mortalité comme critère d'évaluation critique.
La deuxième surprise de ces protocoles est la légèreté des
conditions requises pour contracter les symptômes du Covid-19. Une lecture
attentive révèle que la
qualification minimale pour un cas de Covid-19 est un test PCR positif et un ou
deux symptômes bénins. Ceux-ci comprennent des maux de tête, de
la fièvre, de la toux ou de légères nausées. Ces critères sont loin d'être
suffisants. Ces
tests de vaccination visent à éviter les symptômes du rhume commun.
»
Vous avez compris ? Les vaccins ne sont pas conçus pour prévenir
l'infection, mais seulement pour réduire les éventuels symptômes. Cela tient
finalement au fait qu'il
n'existe pas de virus Sras-CoV-2 isolé et purifié [voir la
NdT ci-dessous]. Quiconque est considéré comme « infecté » — selon le test PCR très imparfait —
pourrait tout simplement l'être parce que le test a détecté son propre ADN ou
d'autres séquences d'ARN/virus.
Note du traducteur : David Crowe pense
qu'il n'y a même pas suffisamment de preuves pour justifier la qualification de
ce virus comme nouveau, et encore moins qu'il soit considéré comme
pandémique. Dans son article fouillé, très détaillé et sourcé de juin
dernier intitulé « Les failles de la théorie de la pandémie de
coronavirus », il écrit :
« Le monde souffre d'un délire massif basé sur la croyance qu'un
test pour l'ARN équivaut à un test pour un nouveau virus mortel... Si le virus
existe, alors il devrait être possible de purifier les particules virales. De
l'ARN peut être extrait de ces particules, et il devrait correspondre à l'ARN
utilisé dans ce test. En attendant, il est possible que l'ARN provienne d'une
source différente, qui pourrait comprendre les propres cellules du patient, des
bactéries, des champignons, etc. Une association entre des niveaux élevés de
cet ARN et la maladie pourrait exister, mais cela ne prouve pas que l'ARN est
issu d'un virus. Sans
purification et caractérisation des particules virales, on ne peut pas accepter
qu'un test ARN soit une preuve de la présence d'un virus.
Les définitions des maladies importantes sont étonnamment
vagues, peut-être même embarrassantes. Quelques symptômes, peut-être un contact
avec un patient précédent, et un test d'une précision inconnue, suffisent
souvent. Alors que la définition du Sras, qui constitue un épisode antérieur de
panique dû là aussi à un coronavirus, était limitée, la définition de la nouvelle
maladie à coronavirus est elle illimitée, ce qui permet à l'épidémie imaginaire
de prendre de l'ampleur. Si l'on met de côté l'existence
du virus, si le test de dépistage du coronavirus a un problème de faux positifs
— comme tous les tests biologiques — alors le fait de tester une population non infectée ne
produira que des tests faussement positifs, et la définition de la maladie
permettra à l'épidémie de se poursuivre indéfiniment.
Cette nouvelle maladie étrange, officiellement appelée Covid-19, ne présente aucun symptôme qui lui
soit propre. La fièvre et la toux, auparavant imputées à
d'innombrables virus et bactéries, ainsi qu'à des contaminants
environnementaux, sont les plus fréquents, de même que des images pulmonaires
anormales, bien qu'on les trouve chez des personnes en bonne santé. »
Il conclut son article par ce qui suit :
« La panique du coronavirus n'est que cela, une panique
irrationnelle, basée sur un test ARN qui ne prouve rien et qui n'a jamais été
relié à un virus. Et qui ne sera pas connecté à un virus à moins que celui-ci
ne soit purifié. En outre, même
si le test peut détecter un nouveau virus, la présence d'un virus n'est pas la
preuve qu'il est à l'origine des symptômes graves que
connaissent certaines personnes dont le test est positif — mais pas toutes.
Enfin, même si le test peut détecter un virus, et qu'il est dangereux, nous ne
savons pas quel est le taux de faux positifs. Et même un taux de faux positifs
de 1 pour cent pourrait produire 100 000 résultats faux positifs rien que dans
une ville de la taille de Wuhan et pourrait signifier qu'une fraction
significative des résultats positifs trouvés sont des faux positifs.
L'administration de substances médicamenteuses puissantes,
surtout chez les personnes âgées souffrant de problèmes de santé
préexistants, au
prétexte que les médecins sont convaincus qu'ils ont affaire à un virus
particulièrement virulent, risque d'entraîner de nombreux décès. Comme pour le
Sras.
Il y a très peu de progrès scientifiques. On s'empresse d'expliquer tout ce
qui se passe d'une manière qui ne remet pas en cause le paradigme viral, qui ne
remet pas en cause la signification des résultats des tests et qui encourage
l'utilisation de médicaments antiviraux non testés. »
Dans l'article publié par Forbes en
septembre dernier « Les protocoles relatifs au vaccin anti-Covid révèlent que
les tests sont conçus pour être couronnés de succès », l'auteur écrit :
« Il
s'avère que toutes les entreprises pharmaceutiques partent du principe que le
vaccin n'empêchera jamais l'infection. Leur critère d'approbation est la différence
de symptômes entre un groupe contrôle [ou témoin -
NdT] infecté et
un groupe infecté qui reçoit le vaccin. Leur motivation
principale n'est pas de mesurer la différence entre l'infection et la
non-infection... Une fois de plus, nous constatons que dans ces tests, la
maladie grave et la mort ne sont que des objectifs secondaires. Aucun d'entre eux ne mentionne la
prévention des décès et des hospitalisations comme un obstacle d'une importance
capitale. »
Création d'une nouvelle Cour fédérale pour traiter les plaintes
relatives au vaccin anti-Covid
En attendant, tout comme la NCVIA (National Childhood Vaccine
Injury Act) a été adoptée aux États-Unis en 1986 pour protéger les grandes
entreprises pharmaceutiques de la responsabilité liée aux vaccins, il y aura
maintenant un nouveau tribunal pour les réclamations concernant le vaccin
Covid. Jon Rappoport relate ce
qui suit :
« La vérité est simple : le gouvernement américain prévoit que
de nombreuses personnes déposeront des demandes d'indemnisation lorsque des
membres de leur famille seront blessés ou tués par un nouveau vaccin
anti-Covid... Ce
nouveau tribunal fédéral dédié au vaccin anti-Covid fonctionnera
exactement comme le système actuel de paiement pour les demandes
d'indemnisation relatives aux blessures causées aux enfants par les vaccins.
Les citoyens doivent franchir de nombreux obstacles absurdes et se soumettre à
toutes sortes de formalités administratives pour tenter de soutirer de l'argent
au gouvernement fédéral. Le système est conçu de cette manière. C'est votre
cauchemar bureaucratique de base.
Les termes qui établissent le nouveau tribunal du vaccin anti-Covid se trouvent dans le registre fédéral du 17 mars 2020, et sont enfouis dans la section 14 d'un document intitulé « Déclaration en vertu de la loi sur la préparation du public et la protection civile pour les contre-mesures médicales anti-Covid-19 ». Voici le passage pertinent de ce document :
Programme de contre-mesures d'indemnisation des victimes... La
section 319F-4 de la PHS Act, 42 U.S.C. 247d-6e, autorise le Programme de
contre-mesures d'indemnisation des victimes (CICP) à fournir des prestations
aux personnes admissibles qui subissent une blessure physique grave ou meurent
en conséquence directe de l'administration ou de l'utilisation d'une
contre-mesure couverte [par exemple, un vaccin].
L'indemnisation au titre du CICP pour un préjudice directement
causé par une contre-mesure couverte est basée sur les exigences énoncées dans
la présente déclaration, les règles administratives du programme et la loi.
Pour démontrer la causalité directe entre une contre-mesure couverte et un
dommage physique grave, la
loi exige des « preuves médicales et scientifiques convaincantes, fiables et
valides ». Les règles administratives du Programme expliquent
plus en détail les conditions nécessaires pour être éligible au CICP...
Dernières réflexions
Même les vaccins normaux,
qui sont soumis à des tests de sécurité approfondis et dont la mise sur le marché
prend en moyenne 7 à 20 ans, sont intrinsèquement toxiques et dangereux.
Cela est d'autant plus vrai pour les prochains vaccins anti-Covid, qui
pourraient être mis sur le marché rapidement en vertu de l'EUA (Emergency Use
Authorization) de la FDA. Nous savons que les militaires seront fortement
impliqués à la fois aux États-Unis (opération Warp Speed) et au Royaume-Uni
dans le déploiement du vaccin anti-Covid.
Nous sommes au bord d'une catastrophe mondiale en termes d'effets secondaires désastreux —
et vous pouvez être sûrs que les grandes entreprises pharmaceutiques nieront,
distrairont et obscurciront ces faits en déclarant : « Il n'est pas malade à
cause du vaccin anti-Covid, il est malade à cause du Covid ».
Nous devons nous préparer au lancement du vaccin anti-Covid — et
à toutes les nanotechnologies qui
l'accompagnent — car il ne reste littéralement que quelques
semaines ou quelques mois. Tenez-vous informés et restez vigilants.
Sources :
·
https://www.bbc.com/news/world-latin-america-54634518
·
https://childrenshealthdefense.org/news/johnson-johnson-pauses-covid-vaccine-trials/
·
https://www.statnews.com/2020/05/26/moderna-vaccine-candidate-trial-participant-severe-reaction/
·
https://childrenshealthdefense.org/defender/fda-pfizer-experimental-covid-vaccine-children/
·
https://www.youtube.com/watch?v=pF752acTijY
·
https://articles.mercola.com/sites/articles/archive/2020/10/27/covid-vaccine-trials.aspx
·
https://thefreedomarticles.com/covid-19-umbrella-term-fake-pandemic-not-1-disease-cause/
·
https://thefreedomarticles.com/busted-11-covid-assumptions-based-on-fear-not-fact/
·
https://thefreedomarticles.com/never-take-a-vaccine-top-10/
·
https://www.statnews.com/2020/09/28/operation-warp-speed-vast-military-involvement/
·
https://www.rt.com/uk/502538-matt-hancock-uk-military-vaccine/
·
https://thefreedomarticles.com/operation-coronavirus-hand-in-hand-with-nanotech-agenda/
À propos de l'auteur : Makia Freeman
est la rédactrice en chef du site de médias alternatifs/information
indépendante The
Freedom Articles et chercheuse principale à
ToolsForFreedom.com. Makia est sur Steemit et FB.
Note du traducteur : Dans son article
sus-mentionné, Jon Rappoport ajoute :
« Bref
aperçu sur un sujet d'importance historique. Au milieu des
années 80, les fabricants de vaccins étaient confrontés à une avalanche de
procès intentés par des parents d'enfants vaccinés. Les fabricants, très nerveux,
ont déclaré au gouvernement qu'ils allaient se retirer du secteur des vaccins.
L'impact financier d'une telle décision risquait de devenir majeur.
Le gouvernement a répondu : ATTENDEZ. Des réunions ont eu lieu.
Un plan a été élaboré. Une loi a été votée pour exempter les fabricants de
vaccins de toute responsabilité financière. En revanche, et pour tous les
vaccins recommandés pour les enfants, les parents devaient s'adresser à un
tribunal gouvernemental pour déposer une indemnisation, après que leurs enfants
aient été blessés ou tués par un vaccin. Et le gouvernement a fait en sorte qu'il soit TRÈS
difficile d'obtenir de ce tribunal une indemnisation.
Cette nouvelle Cour fédérale dédiée aux vaccins
anti-Covid en est le modèle exact. Et elle se base sur le même aveu tacite qui prévalait
déjà dans les années 1980 : les vaccins entraînent de nombreuses complications. »
Créer une Cour fédérale pour le seul Covid-19 en dit long sur
les aspects cachés de cette soi-disant pandémie et sur le verrouillage des
potentielles tentatives de recours en
masse. Dans
un article précédent, Makia Freeman énonce ce
qui suit :
« Une citation largement attribuée à James Shannon, ancien
directeur du NIH, est que "le
seul vaccin sûr est celui qui n'est jamais pris". Le Mahatma
Gandhi a déclaré que "la
vaccination est une pratique barbare et l'une des plus fatales de toutes les
illusions actuelles". Bien que Big Pharma et ses porte-parole
médicaux aiment répéter le mantra selon lequel les vaccins sont "sûrs et efficaces", les faits montrent qu'ils ne sont
ni l'un ni l'autre, mais plutôt des outils expérimentaux dont les effets
peuvent être dévastateurs : acquisition de la maladie
elle-même — contre laquelle on est censé être vacciné — stérilisation, troubles
du spectre autistique, paralysie, cancer et mort. »
La connaissance protège et l'ignorance met en danger.
Par ailleurs,la Commission européenne a
annoncé mercredi 11 novembre avoir commandé
à Pfizer 300 millions de doses de vaccin anti-Covid, deux jours
après que le groupe américain Pfizer et le laboratoire allemand BioNTech ont
affirmé que leur vaccin, encore
expérimental, était efficace « à 90 pour cent » contre le
Covid-19. Trois autres contrats identiques ont déjà été signés par l'Union
européenne : avec AstraZeneca, Johnson & Johnson (400 millions de doses
chacun) et Sanofi-GSK (300 millions). Si l'on additionne, ces commandes
représentent pour l'heure un total de 1 400 millions de doses de
vaccins... pour une population estimée au 1er janvier 2020 à 447,7 millions
d'habitants. C'est la même Commission européenne qui se
chargera ensuite de répartir les doses entre chaque État membre.
Bruxelles est par ailleurs en contacts étroits avec d'autres
laboratoires américains.
Les discussions sont engagées avec Moderna, CureVac et Novavax pour s'assurer
de recevoir des doses de leur vaccin s'il s'avérait probant. Le nombre total de
doses de vaccins va donc augmenter...
Rappelons que jusqu'à 60 pour cent des personnes pourraient être
partiellement résistantes au Sras-Cov-2 sans jamais y avoir été exposées.
En d'autres termes, un grand nombre de personnes peuvent être immunisées
ou résistantes à ce virus parce qu'elles ont déjà été infectées par d'autres
coronavirus.
Cela n'est peut-être pas surprenant, étant donné la relation
étroite entre la plupart des coronavirus, mais c'est un indicateur
supplémentaire que ce virus, connu pour être inoffensif dans la grande majorité
des cas, n'est
ni particulièrement unique ni particulièrement dangereux. Les
preuves continuent de s'accumuler quant à l'exagération massive des estimations
initiales du danger que représente ce virus.
N'oublions pas non plus que
les personnes infectées par le Covid-19 qui sont asymptomatiques (c'est-à-dire
la plupart d'entre elles) ne propagent PAS le Covid-19, pas plus qu'il n'existe
de propagation du virus dans les espaces collectifs (magasins, restaurants,
coiffeurs, etc.), ni non plus dans les espaces extérieurs. Ajoutons que les
masques sont inutiles — voire dangereux —
et qu'aucune donnée scientifique ne vient étayer ces mesures.
Quant au confinement, c'est une telle aberration que
nous en subirons les effets délétères pendant des dizaines d'années et ces
effets causeront plus de morts et de destruction que le Covid-19 lui-même.
Mais c'est le Grand Plan voulu par les élites mondialistes.
Voir aussi :
·
Les preuves irréfutables de
l'origine humaine du Sras-Cov-2
Source de l'article initialement publié en anglais le 29 octobre
2020 : The Freedom Articles Traduction : Sott.net