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16 juil. 2025

1079. Génétique, économie et politique : Comment l’élite nous reprogramme, un "clic" à la fois


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GÉNÉTIQUE, ÉCONOMIE & POLITIQUE:
COMMENT L'ÉLITE NOUS REPROGRAMME,
UN "CLIC" À LA FOIS

Les gens adorent se bercer d’illusions, n’est-ce pas ? Ils s’accrochent à l’idée que leurs dirigeants sont des parangons de vertu, même quand la corruption leur saute aux yeux comme un pop-up publicitaire. Parce que, soyons honnêtes, admettre que le gouvernement est une machine à mensonges bien huilée, c’est se retrouver face à un choix cornélien : agir et risquer de finir en guest-star d’un thriller dystopique, ou fermer les yeux et jouer les autruches morales. 
Devinez quoi ? La plupart optent pour la seconde option, trop occupés à polir leur image de « citoyens modèles » pour réfléchir. 
Résultat ? La propagande n’a même pas besoin de convaincre les esprits critiques ; elle offre juste une excuse en or aux lâches pour se rendormir. Zzz.

Et puis, il y a cette guerre, amigos, une guerre dont certains illuminés « croient » qu’elle va « perfectionner » notre ADN pour survivre dans un monde toxique. Sérieusement ? Notre ADN est en train de se faire laminer par un tsunami de gadgets « intelligents » : compteurs qui espionnent, téléphones qui nous grillent le cerveau, frigos qui tweetent, brosses à dents connectées (parce que, oui, votre hygiène dentaire mérite une place sur le cloud), soutiens-gorge et couches qui se la jouent high-tech, et même des poupées qui pourraient bien comploter contre vous. Sans parler des montres et des milliards de points Wi-Fi qui pullulent comme des cafards numériques. Tout ça vendu comme « vert » et « pratique », alors qu’on gaspille plus de ressources qu’un influenceur en quête de likes. Écologie, mon œil !

Conséquence ? Une explosion de maladies que tout le monde fait semblant d’ignorer, préparant le terrain pour un programme dystopique qui s’enracinera d’ici 2050. Je parie ma future puce RFID contre vos économies que d’ici 2030, des millions de pauvres bougres seront cloués au lit ou au cimetière à cause de cette orgie de radiations sans fil. Cancer, maladies cardiaques, diabète, autisme, et tout ce qui vient avec un ADN en miettes : ça va être la fête du slip (intelligent, bien sûr). 
Seuls les ermites sans un sou échapperont à ce carnage, et encore, bonne chance pour trouver un coin sans Wi-Fi. En 2014, la DARPA, ces joyeux drilles de l’innovation militaire US, a claironné son plan de puces à cristaux liquides pour effacer vos souvenirs et vous en implanter des faux, façon Inception mais sans DiCarpaccio. 
Et même sans ça, les États-Unis peaufinent leur contrôle mental à coups d’antennes 5G et d’infrastructures sans fil qui poussent comme des champignons toxiques. Pas une théorie du complot, juste la réalité ! 

Tout ça a démarré après la Seconde Guerre mondiale avec l’opération Paperclip, quand les cerveaux nazis ont été exfiltrés puis ont été recyclés pour bâtir le rêve humide d’un gouvernement mondial. On a aussi les chemtrails, pas juste pour décorer le ciel de rubans blancs, non, non. Ces traînées chimiques rendent l’air plus conducteur, et les nanoparticules qu’on inhale – surprise ! – s’invitent dans notre sang pour optimiser le contrôle cérébral sans fil. 
Elles traversent la barrière hémato-encéphalique comme des immigrants illégaux ou des touristes sans visa, bidouillant nos cerveaux humains et animaux. Avec la 5G, qui devait couvrir chaque recoin de l'occident d’ici 2030 grâce à des superordinateurs pulsant des fréquences pire que celles d'un DJ en transe, c’est le jackpot pour les apprentis sorciers du contrôle. Et non, je suis pas le seul à avoir capté le délire. Ça fait des décennies qu’on essaie de tirer la sonnette d’alarme.

Julianne McKinney, ex-officier du renseignement militaire US, a vendu la mèche sur l’utilisation d’armes à micro-ondes pulsées et d’ondes millimétriques depuis l’espace, dès les années 80. 
Des armes de destruction massive, rien que ça, visant à transformer nos cerveaux en guimauve connectée. Aujourd’hui, avec les antennes 5G qui fleurissent partout, l’air, l’eau, le sol contaminés par des produits chimiques, les aliments OGM toxiques, et des fréquences sans fil pour jouer au Lego avec notre ADN, bienvenue dans l’Occident, « Bastion de la Liberté » et terres des braves… ou plutôt des braves cobayes. L’Amérique ? Une illusion grandeur nature, montée de toutes pièces après la Seconde Guerre mondiale pour nous vendre un cauchemar enrobé de « rêve américain ». Hollywood n’aurait pas fait mieux.

Et qui tire les ficelles ? Les mêmes familles d’élite qui changent de nom comme de chemise, mais gardent leur rôle d’oligarques planétaires. Ces génies du mal ont financé le Vatican, l’État sioniste d’Israël, les croisades, les révolutions "maçoniques" - et non populaires - française et américaine, et remplacé le féodalisme par un capitalisme monopoliste. Ils forment les petits génies dans les universités de l’Ivy League - Harvard, Dartmouth, Brown, Yale, Columbia, Princeton, Pennsylvania et Cornell, toutes situées sur la côte est américaine, sept sur huit fondées par l'Angleterre et toutes situées dans des bastions "gaucho-mondialo-démoncrates" - leur offrant une vie de luxe en échange de leur âme pour un projet à long terme. 
Résultat ? Une caste de mondialistes gavée d’argent, récompensée pour ses psychopathes, ses tueurs de masse, et ses sociopathes légers, le tout avec ce que l’élite appelle du « bon goût » parce que, hé, soyons clairs, c’est leur définition.

D’ici 2030, des antennes 5G tous les deux à dix foyers, irradiant chaque recoin de l’Amérique et de l'Europe comme un micro-ondes géant. Aucun gamin ne sera épargné par les cassures d’ADN, même in utero. Vous voulez protéger votre bébé ? Bonne chance pour construire une forteresse anti-5G à moins d’être millionnaire. 
Les réglementations locales ? Pulvérisées, comme tout le reste. La seule solution ? Que les masses se réveillent de cette hypnose high-tech et comprennent qui, pourquoi, et comment on en est arrivés là depuis plus d’un siècle. Ça vaut le coup d’essayer, non ?

Le nombre d’appareils connectés a explosé de 4 000 % entre 2003 et 2015. Avec IPv6, on a droit à 340 282 366 920 938 463 463 374 607 431 768 211 456 connexions possibles – assez pour transformer la Terre en prison planétaire 2.0. Bientôt, si vous êtes une menace pour le système, attendez-vous à être zappé par des fréquences pulsées jusqu’à la soumission ou jusqu'à la tombe. 
Oui, cette technologie existe, et elle est déployée plus vite qu’un tweet rageur. Le plan mondialiste ? S’assurer qu’on ne décide de rien, sauf d’ignorer le totalitarisme qui arrive. Si on veut un gouvernement « du peuple, par le peuple, pour le peuple », il va falloir se bouger le cul avant que l’Occident ne devienne l’exemple parfait du cauchemar mondialiste. 

Vous voulez un aperçu du futur ? D’ici 2045, la communication cerveau-à-cerveau sera une réalité, annihilant toute individualité et redéfinissant ce que « humain » veut dire. Les rats ont déjà testé le concept, et ça marche. Bientôt, des machines contrôlées par la pensée et des implants transformeront les humains en drones améliorés – sauf pour l’élite, bien sûr, qui gardera son ADN intact et ses utopies privées.

Les terroristes, ISIS, Daesh ? Pas ceux qu’on croit. Ce sont des pions pour justifier des changements de régime et faire avancer le plan mondialiste. La guerre, c’est leur outil pour contrôler tous les gouvernements et imposer un ordre mondial. La vérité ? Tout ce que vous pensez savoir est corrompu par ces totalitaires high-tech. La science-fiction d’aujourd’hui est la réalité de demain, et l’élite veut redéfinir l’humanité pour en faire des esclaves parfaits. Et les marionnettes ? Bill Gates, George Soros, Eric Schmidt, Mark Zuckerberg… tous à la botte des mondialistes. Windows et MacOS ont des portes dérobées pour la NSA, Gates finance des programmes de stérilisation déguisés en vaccins, Soros joue les déstabilisateurs mondiaux, Schmidt transforme Google en Big Brother, et Zuckerberg fait de Facebook un mouchard géant. 

Surpris ? Non, vraiment ? Chaque crise sociale est orchestrée pour nous mener à une dictature mondialiste déguisée en « durabilité ». Les pseudo-scientifiques de l’Ivy League, formatés par l’élite, sont là pour vendre cette fable. Pour eux, c’est le début d’une ère dorée : contrôle total, luxe absolu, et une humanité asservie grâce à des technologies de pointe.
« Le concept même de vérité objective disparaît du monde. Les mensonges resteront dans l’histoire. » – George Orwell

Et la propagande ? Un art raffiné, selon Edward Bernays, neveu de Sigmund Freud et papa de la pub moderne : 
« La manipulation consciente et intelligente des habitudes et des opinions organisées des masses est un élément important de la société démocratique. Ceux qui manipulent ce mécanisme invisible de la société constituent un gouvernement invisible, véritable pouvoir dirigeant de notre pays. … Nous sommes gouvernés, nos esprits sont façonnés, nos goûts formés, nos idées suggérées, en grande partie par des hommes dont nous n’avons jamais entendu parler. C’est une conséquence logique de l’organisation de notre société démocratique. Un grand nombre d’êtres humains doivent coopérer de cette manière pour vivre ensemble dans une société harmonieuse. … Dans presque tous les actes de notre vie quotidienne, que ce soit dans la sphère politique ou économique, dans notre comportement social ou notre réflexion éthique, nous sommes dominés par un nombre relativement restreint de personnes… qui comprennent les processus mentaux et les schémas sociaux des masses. Ce sont elles qui tirent les ficelles de l’opinion publique.»
Propagande, par Edward L. Bernays, 1928.

L’Amérique a pris un sacré coup dans l’aile quand Nixon a largué l’étalon-or, pendant que tout le monde était occupé à flipper sur le Vietnam. Ça a ouvert la voie à une monnaie mondiale, et les Bush, Clinton, Obama et cie ont joyeusement suivi le script mondialiste pour livrer les États-Unis à l’ONU.
« Nous allons avoir un gouvernement mondial, que cela vous plaise ou non, par conquête ou par consentement. » – James Warburg, membre du Council on Foreign Relations (CFR), devant la commission sénatoriale des relations étrangères, le 17 février 1950.

La liberté ? Un souvenir poussiéreux. Les Pères fondateurs américains avaient pourtant prévenus : les banquiers détruiraient tout si on les laissait faire. Et devinez quoi ? On les a laissés faire. Si le peuple captait la vérité sur le Comité des 300, la Réserve fédérale, l’ONU, le CFR, et le système monétaire, un troisième parti anti-establishment émergerait illico. 
Mais les mondialistes ne laisseront pas ça arriver sans une guerre contre nous. La Cour suprême et le Congrès US ? Aux ordres. La solution ? Le 10e amendement : les États et les peuples doivent reprendre le contrôle. 

Pouvons-nous inverser la tendance ? Certains disent que la Bible annonce la fin, mais moi, je dis que l'apocalypse n'est pas la fin du monde, en grec, ça veut dire "lever du voile" ou grand réveil, et qu’il faut donc semer des graines de vérité. Internet, malgré sa surveillance, est une épine dans le pied des mondialistes. Pourquoi Dieu aiderait-il ceux qui refusent de se battre contre ces sociopathes cupides ? Les gouvernements ont tué 119,4 millions de personnes depuis 1900, dont 95,2 millions par les régimes marxistes (Politique mortelle par R.J. Rummel, 1990). C’est notre devoir de défendre la Constitution, comme le disait Thomas Jefferson :« Chaque fois que le gouvernement général assume des pouvoirs non délégués, ses actes sont nuls et non avenus. »
Et Henry Kissinger, avec son cynisme légendaire :« L’illégal, nous le faisons immédiatement. L’inconstitutionnel prend un peu plus de temps. » – New York Times, 28 octobre 1973.

Le manuel mondialiste ? Simple : créer un gouvernement omniscient qui contrôle tout, des pensées aux propriétés. La liberté ? Une illusion temporaire. La peur, la désinformation, et les faux ennemis sont leurs outils pour nous faire avaler la pilule. Bientôt, et c'est déjà le cas dans nombre de pays européens, critiquer l’État fera de vous un ennemi public, et la Constitution sera reléguée aux oubliettes.
« L’ancien ordre mondial a basculé lorsque cette tempête de guerre a éclaté. L’ancien ordre international a disparu soudainement, de manière inattendue et complète, comme emporté par une inondation gigantesque, une grande tempête ou une éruption volcanique. L’ancien ordre mondial s’est éteint avec le coucher du soleil ce jour-là, et un nouvel ordre mondial est en train de naître en ce moment même, d’une naissance si terrible qu’il paraît presque incroyable que la vie ait pu naître d’une souffrance aussi effroyable et d’une douleur aussi écrasante. » – Nicholas Murray Butler, 27 novembre 1915.

« Il existe aussi une autre alliance – étrange, surprenante à première vue – mais à bien y réfléchir, en réalité bien fondée et facile à comprendre. C’est l’alliance entre nos dirigeants communistes et vos capitalistes. Cette alliance n’est pas nouvelle. … Nous observons un soutien continu et constant des hommes d’affaires occidentaux aux dirigeants communistes soviétiques. » – Alexandre Soljenitsyne, 30 juin 1975.

« Mais il est devenu évident que, dans l’esprit de Bush, le Nouvel Ordre Mondial reposait sur une convergence d’objectifs et d’intérêts entre les États-Unis et l’Union soviétique, si forte et durable qu’ils travailleraient en équipe au sein du Conseil de sécurité des Nations Unies. » – A. M. Rosenthal, New York Times, janvier 1991.

La Guerre froide ? Une mise en scène pour créer les technologies nécessaires à un gouvernement mondial. Les avancées technologiques – nanotechnologie, graphène, métamatériaux – sont là pour nous asservir, pas pour nous libérer. Les mondialistes ont tout orchestré pour nous transformer en esclaves high-tech.

« Vous avez peut-être l’intention d’être nos maîtres ; comment pourrions-nous avoir l’intention d’être vos esclaves ? » – Mélianus aux Athéniens, 431 av. J.-C.

« Lorsqu’elle est dominée par un credo collectiviste, la démocratie s’autodétruit inévitablement. » – Fredrich August von Hayek.

Et les 45 objectifs communistes de 1958, listés par W. Cleon Skousen ? Un playbook mondialiste pur jus, de la reconnaissance de la Chine communiste à l’infiltration des écoles et des médias. Les Rockefeller, Bilderberg, le CFR, l’ONU… tous dans le coup.
« Il existe un gouvernement fantôme doté de sa propre armée de l’air, de sa propre marine, de son propre système de collecte de fonds et de la capacité de poursuivre ses propres idées d’intérêt national, libre de tout contrôle et de toute loi. » – Sénateur Daniel K. Inouye.

Les 45 objectifs communistes suivants pour l’Amérique en 1958 font partie du plan mondialiste pour le contrôle du monde.

1) Acceptation par les États-Unis de la coexistence comme seule alternative à la guerre nucléaire.
2) Volonté des États-Unis de capituler plutôt que de s'engager dans une guerre nucléaire.
3) Développer l'illusion qu'un désarmement total des États-Unis serait une démonstration de force morale.
4) Permettre le libre-échange entre toutes les nations, quelle que soit leur affiliation communiste et que les marchandises puissent être utilisées ou non pour la guerre.
5) Prolongation des prêts à long terme à la Russie et aux satellites soviétiques.
6) Fournir l'aide américaine à toutes les nations, quelle que soit la domination communiste.
7) Reconnaissance de la Chine communiste. Admission de la Chine communiste aux Nations Unies.
8) Établissement de l'Allemagne de l'Est et de l'Ouest en tant qu'États séparés, malgré la promesse de Khrouchtchev en 1955 de résoudre la question allemande par des élections libres supervisées par l'ONU.
9) Prolonger les conférences sur l'interdiction des essais nucléaires, car les États-Unis ont accepté de suspendre les essais pendant la poursuite des négociations.
10) Permettre à tous les pays satellites de l'Union soviétique une représentation individuelle aux Nations Unies.
11) Promouvoir les Nations Unies comme le seul espoir de l'humanité. Si sa charte est réécrite, exigez l'établissement d'un gouvernement mondial doté de forces armées indépendantes.
12) Résistez à toute tentative de mettre hors la loi le Parti communiste.
13) Supprimer tous les serments de loyauté.
14) Continuez à donner à la Russie accès à l'Office des brevets des États-Unis.
15) Prenez le contrôle d'un ou des deux partis politiques américains.
16) Utilisez des décisions de justice techniques pour affaiblir les institutions américaines fondamentales, en prétendant que leurs activités violent les droits civiques.
17) Prenez le contrôle des écoles. Utilisez-les comme courroies de transmission pour la propagande socialiste et communiste. Assouplissez les programmes scolaires. Prenez le contrôle des syndicats d'enseignants. Insérez la ligne du parti dans les manuels scolaires.
18) Prenez le contrôle de tous les journaux étudiants. 
19) Utilisez les émeutes étudiantes (mai 68) pour fomenter des protestations publiques contre les programmes des organisations attaquées par les communistes.
20) Infiltrez la presse. Prenez le contrôle des critiques de livres, des éditoriaux et des positions politiques.
21) Prenez le contrôle des postes clés à la radio, à la télévision et au cinéma.
22) Continuez à discréditer la culture américaine en dégradant toutes les formes d'expression artistique. Une cellule communiste américaine a reçu l'ordre de « retirer toutes les belles sculptures des parcs et des bâtiments, pour les remplacer par des formes informes, maladroites et dénuées de sens ».
23) Contrôler les critiques d'art et les directeurs de musées. « Notre plan est de promouvoir un art laid, répugnant et dénué de sens. »
24) Supprimer toutes les lois réglementant l'obscénité, la considérant comme de la « censure » et une violation de la liberté d'expression et de la presse.
25) Briser les normes culturelles de moralité en promouvant la pornographie et l'obscénité dans les livres, les magazines, les films, la radio et la télévision.
26) Infiltrer les églises et remplacer la religion révélée par une religion « sociale ».
27) Discréditer la Bible et souligner la nécessité d'une maturité intellectuelle qui ne nécessite pas de « béquille religieuse ».
28) Supprimer la prière ou toute forme d'expression religieuse dans les écoles, au motif qu'elle viole le principe de « séparation de l'Église et de l'État, la laîcité ».
29) Discréditer la Constitution américaine, la considérant comme inadéquate, archaïque, en décalage avec les besoins modernes et comme un obstacle à la coopération entre les nations à l'échelle mondiale.
30) Discréditer les Pères fondateurs américains. Les présenter comme des aristocrates égoïstes qui ne se souciaient pas de « l'homme ordinaire ».
31) Minimiser toutes les formes de culture américaine et décourager l'enseignement de l'histoire américaine au motif qu'elle ne constitue qu'une partie mineure du « tableau d'ensemble ». Accorder une plus grande importance à l'histoire russe depuis la prise du pouvoir par les communistes.
32) Soutenir tout mouvement socialiste qui accorde un contrôle centralisé sur tout aspect de la culture, de l'éducation, des agences sociales, des programmes d'aide sociale, des cliniques de santé mentale, etc.
33) Éliminer toutes les lois ou procédures qui interfèrent avec le fonctionnement de l'appareil communiste.
34) Éliminer la Commission des activités anti-américaines de la Chambre des représentants.
35) Discréditer et finalement démanteler le FBI.
36) Infiltrer et prendre le contrôle de syndicats supplémentaires.
37) Infiltrer et prendre le contrôle des grandes entreprises.
38) Transférer certains pouvoirs d'arrestation de la police aux agences sociales. Traiter tous les problèmes de comportement comme des troubles psychiatriques que seuls les psychiatres peuvent comprendre (ou traiter).
39) Dominer la profession psychiatrique et utiliser les lois sur la santé mentale comme moyen de contrôle coercitif sur ceux qui s'opposent aux objectifs communistes.
40) Discréditer la famille en tant qu'institution. Encourager la promiscuité et le divorce facile.
41) Souligner la nécessité d'élever les enfants loin de l'influence négative des parents. Attribuer les préjugés, les blocages mentaux et les retards de développement des enfants à l'influence suppressive des parents.
42) Créer l'impression que la violence et l'insurrection sont des aspects légitimes de la tradition américaine ; les étudiants et les groupes d'intérêts particuliers devraient se soulever et utiliser la force unie pour résoudre les problèmes économiques, politiques ou sociaux.
43) Renverser tous les gouvernements coloniaux avant que les populations autochtones ne soient prêtes à l'autonomie.
44) Internationaliser le canal de Panama.
45) Abolir la réserve de Connally, afin que les États-Unis ne puissent empêcher la Cour internationale de justice d'exercer sa compétence sur les problèmes internes. Donner à la Cour internationale de justice compétence sur les nations et les individus.

« Lorsqu’un réseau de mensonges bien ficelé est progressivement vendu aux masses pendant des générations, la vérité paraîtra totalement absurde et celui qui l’ordonne un fou furieux. » – Dresden James.

En 2016, la famille Rockefeller a reçu le Prix annuel du Leadership mondial de l'UNA-USA, aux côtés d'autres lauréats, dont Bill Clinton et Michael Bloomberg. Les membres de la famille Rockefeller, jusqu'à la quatrième génération, ont été fortement impliqués en politique internationale pour le programme mondialiste et ont fondé ou participé aux grandes institutions internationales suivantes pour le même objectif :

Le Council on Foreign Relations – David, David Jr., Nelson, John D. III, John (Jay), Peggy Dulany, Fondation Rockefeller, Fonds des frères Rockefeller.
La Commission trilatérale – David, Fonds des frères Rockefeller.
Le Groupe Bilderberg – David, John D. IV.
L'Asia Society – John D. III, John D. IV, Charles, David.
Le Population Council – John D. III.
Le Conseil des Amériques – David.
Le Groupe des Trente – Fondation Rockefeller.
Le Forum économique mondial – David.
La Brookings Institution – Jr.
Le Peterson Institute (anciennement Institute of International Economics) – David, Monica.
L'International Executive Service Corps – David.
L'Institut des relations du Pacifique – Jr.
La Société des Nations – Jr.
Les Nations Unies – Jr., John D. III, Nelson, David, Peggy, Fonds des frères Rockefeller.
L'Association pour les Nations Unies – David, Monica.

Le monde d'aujourd'hui est comme une machine à un million d'engrenages, et chaque rouage de chaque engrenage est calculé pour nous transformer en un troupeau collectif inconscient et dépendant , réagissant automatiquement à l'autorité. Des individus honnêtes, bons et éveillés, dotés d'une définition et d'une compréhension de la moralité et de la réalité totalement différentes de celles des mondialistes sociopathes, deviendront la principale définition des terroristes du futur  pour maintenir le programme mondialiste sur la bonne voie. Puisque notre pseudo-monde est une illusion de perception, l'éveil à la vérité est impossible sans comprendre ce qui l'a créé. Je crois que si seulement 1 % de la population mondiale avait les moyens de s'éveiller à la vérité, cela provoquerait un effet d'entraînement. Et ce point de basculement inciterait les escrocs et les politiciens mondialistes à se nourrir les uns des autres au lieu de se nourrir des peuples du monde, comme ils l'ont toujours fait, génération après génération, etc.

Le monde est une machine à broyer l’individualité, et les mondialistes veulent faire de nous des drones. Si 1 % de la population se réveillait, ça pourrait tout changer. Mais tant qu’on reste endormi, bercé par l’illusion de la liberté, on vote pour notre propre esclavage. 
« C’est le système de l’individualisme nationaliste qui disparaîtra… Nous vivons la fin des États souverains… Dans la grande lutte pour instaurer un socialisme mondial occidentalisé, les gouvernements contemporains pourraient disparaître… Nombreux seront ceux qui haïront le nouvel ordre mondial… et mourront en protestant contre lui. » 
– H.G. Wells, Le Nouvel Ordre Mondial, 1940.

Comprendre le plan mondialiste exposé ici dans le monde réel revient à comprendre (notre pseudo-monde) ce qui constitue ce plan. Ceux qui ignorent ce plan mondialiste considèrent leur programmation d'enfance comme la seule réalité disponible. Pouvez-vous accepter que votre idée de liberté soit simplement due à votre esprit programmé pour croire qu'il est libre ?

En réalité, la plupart d'entre nous sommes des esclaves, et nos esclavagistes mondialistes/gouvernementaux ont besoin que nous acceptions notre esclavage, sinon ils ne pourront pas nous contrôler massivement. Vous êtes « libres » de choisir votre forme d'esclavage lorsque vous votez pour vos dictateurs fantoches de droite ou de gauche. Et ce n'est clairement qu'une illusion de choix.

Il y a une raison pour laquelle le système éducatif est contrôlé : c'est là que commence notre conditionnement à devenir un esclave libre . Il nous impose des règles à suivre. On nous apprend à régurgiter l'information, à ne pas réfléchir. On nous apprend à abandonner l'individualité, à obéir, à embrasser le collectivisme, à ne pas remettre en question l'autorité ; tout cela nous prépare à devenir l'esclave d'un système au service de l'élite. Nous devenons esclaves parce que nous sommes conditionnés à vouloir un emploi, une carrière, un diplôme par un système corrompu et insensé qui, à terme, donnera aux mondialistes tout ce dont ils ont besoin pour dominer le monde.

Alors, prêts à vous réveiller ou préférez-vous une autre dose de Wi-Fi et de rêves mondialistes préfabriqués ?

15 juil. 2025

1078. De la Shoah Holocaustique à la Nakba au 07 Octobre : Le Manuel des Parfaits Mythomanes


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DE LA SHOAH HOLOCAUSTIQUE À LA NAQBA AU 07 OCTOBRE
LE MANUEL DES PARFAITS MYTHOMANES

Non mais dîtes-moi pas que c'est pas vrai ! Vous vous rendez compte des énormes mensonges qu’on nous a servis sur le 7 octobre 2023 et les prétendues horreurs du Hamas contre les Juifs ! Franchement, c’est presque touchant de voir à quel point que certains gobent encore ces fables, comme si qu'ils avaient pas appris la leçon avec les contes à dormir debout sur ce que les Allemands auraient soi-disant fait aux Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale. Allez, sortez les violons amigos, on va disséquer cette comédie tragique avec un sourire en coin.

1 « 40 bébés décapités », ou la farce qu’a pas tenu 24 heures
Ce qu’ils ont osé nous vendre :
Le jour même, i24 News et le bureau de Bibi Netanyahou – ces champions de la vérité, bien sûr – ont claironné que les « méchants terroristes » du Hamas avaient décapité 40 bébés. Oui, 40 comme les 40 voleurs ! Parce que, visiblement, le Hamas avait rien de mieux à foutre en pleine opération que de jouer les bouchers de contes d’horreur. (Petite parenthèse : appeler le Hamas « terroriste » parce qu’il est islamique, c’est un peu comme dire que tout résistant armé est un psychopathe. Subtil, n’est-ce pas ?)

Démystification, ou comment ruiner un bon scénario :
Oups, même le gouvernement israélien a fini par admettre, la queue entre les jambes, qu’il n’y avait zéro preuve de ces décapitations. La Maison Blanche a gentiment rembobiné les délires de Biden aussi. Pas besoin d’enquête approfondie : les caméras étaient partout, mais curieusement, pas une seule image de ces prétendus bébés décapités. Les tabloïds et les mastodontes comme LCI et BFM ont juste oublié de vérifier avant de hurler. Classique.

2. Viols de masse, ou le fantasme Hollywoodien version Moyen-Orient
Ce qu’ils ont osé nous vendre :
Tout le gratin israélien s’est ligué pour jurer que le Hamas s’était livré à des « viols systématiques » et des « mutilations sexuelles » le 7 octobre. Parce que, évidemment, en plein raid éclair de trois à cinq heures, sous les balles et les frappes aériennes, ces gars auraient pris une pause café pour s’adonner à des orgies barbares et des tournantes. Logique. Ajoutez à ça l’idée absurde que des combattants islamiques stricts, qui risquent l’exécution pour un regard de travers, se mettraient à violer en bande organisée. C’est tellement grotesque qu’on dirait un pitch de série Z. Oh, et n’oublions pas : le Coran interdit le viol, même en temps de guerre. Hadith clair comme de l’eau de roche (Sunan Abu Dawud 2158, Sahih Muslim 3371) : pas de viol, pas de trahison, pas de massacre d’innocents. Même Isis ou Daech, ces marionnettes de la CIA, du Mossad, du MI6 et de la DGSE, l’avaient compris. 
Mais bon, les merdias de masse comptaient sur votre ignorance de l’islam pour vendre leur salade.

Démystification, ou comment l’ONU a gâché la fête :
L’ONU, avec son efficacité légendaire, a pondu une enquête en mars 2024 – oui, cinq mois pour vérifier une rumeur ! – et, surprise, aucune preuve de viols généralisés. Les experts médico-légaux et les journalistes indépendants de The Grayzone et Mondoweiss (ironiquement, souvent juifs eux-mêmes) ont fouillé et… rien. Nadazéro. Oh, et ce soi-disant « manuel du viol du Hamas » ? Une pure invention, digne d’un roman de gare. Bravo pour l’imagination.

3. Brûler des familles vivantes, ou quand Tsahal joue les pyromanes
Ce qu’ils ont osé nous pondre :
Tous les médias ont juré que le Hamas avait cramé vives des familles entières dans leurs maisons. Sans preuve, bien sûr, mais pourquoi s’embarrasser de détails quand on peut faire pleurer dans les chaumières ?

Démystification, ou la vérité qui brûle :
Les journaux israéliens +972 Magazine et Local Call ont révélé le pot aux roses : la plupart des morts dans ces maisons ? Merci aux hélicoptères israéliens (des Apaches américains, techniquement, mais passons). Oui, Tsahal a appliqué sa charmante « Directive Hannibal », qui autorise à canarder tout le monde, otages compris, pour éviter les captures. Résultat : des civils et des otages abattus par leurs propres sauveurs. Poétique, non ?

4. Le festival Nova, ou la rave transformée en cible imaginaire
Ce qu’ils ont osé nous vendre :
Le Hamas aurait « ciblé » le festival Nova pour un massacre ciblé, exécutant les fêtards comme dans un film d’horreur. Glaçant, non ?Démystification, ou comment ruiner un bon climax :

Démystification: Oups, encore raté.
Yedioth Ahronoth et Haaretz, des médias israéliens, ont confirmé que le festival était juste au mauvais endroit au mauvais moment. Les morts ? Majoritairement dus à des tirs croisés avec Tsahal et, tiens donc, des frappes d’hélicoptères israéliens. Exécutions de masse ? Plutôt un chaos mal géré.

5. Boucliers humains, ou la vieille excuse poussiéreuse
Ce qu’ils ont osé nous vendre :
Le Hamas se serait planqué derrière des familles dans les kibboutzim, tirant comme des lâches depuis les salons. Classique.

Démystification, ou comment les survivants racontent une autre histoire :
The Electronic Intifada et Middle East Eye ont recueilli des témoignages de survivants : les combattants du Hamas étaient en première ligne, échangeant des tirs avec Tsahal, pas en train de jouer à cache-cache dans les cuisines ou les salles de bain. Désolé, pas de méchants caricaturaux cette fois.

6. Un génocide planifié, ou l’hyperbole du siècle
Ce qu’ils ont osé nous vendre :
Dans un élan d’hystérie, on nous a dit sur toutes les chaînes du PAF que cette petite opération du 7 octobre était un génocide, un complot pour exterminer tous les Juifs. Oui, rien que ça. Une bande de résistants avec des motos et des kalachnikovs, planifiant un génocide. Ridley Scott, tu devrais prends des notes !

Démystification, ou comment que les sionistes Israéliens se sont trahis eux-mêmes :
Des fuites de +972 Magazine montrent que les services de renseignement israéliens savaient que le but du Hamas visait à un échange de prisonniers, pas un bain de sang. Avec plus de 5 000 Palestiniens otages en Israël avant le 7 octobre (et le double depuis), c’est presque comme si que le Hamas avait une stratégie rationnelle. Qui l’eût cru ? Mais d’où vient cette manie de mentir comme des arracheurs de dents ?

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Les Juifs, apparemment, ont un doctorat en victimisation autoproclamée. Oui, il y a eu des victimes innocentes le 7 octobre – la guerre, c’est moche, on sait ça, y a toujours des victimes collatérales. Mais soyons sérieux : la plupart des morts civils sont sur le compte de Tsahal, pas du Hamas. Cette opération ? Une manœuvre militaire légitime, pas un remake de Massacre à la tronçonneuse. Ce qui est sidérant, c’est que les mêmes qui rient aujourd'hui des bobards du 7 octobre avalent encore les contes de fées sur l’Holocauste de 1939-45 sans sourciller du cul. Réveillez-vous, les amis, les Juifs ne sont pas des novices en matière de storytelling.

Un petit détour par la Nakba, juste pour le fun
Prenons l’histoire de la famille de la mannequin palestino-américaine Gigi Hadid, de son vrai nom Jelena Houra Hadid, parce que c’est tellement croustillant. Son père, gamin à l’époque, voit sa famille accueillir, en bons musulmans, des réfugiés juifs sans domicile et démunis en Palestine après la guerre. Gentil, non ? Sauf que ces charmants invités ont changé les serrures et menacé de les faire tuer s’ils ne déguerpissaient pas de leur propre maison. Bienvenue dans la Nakba, où des millions de Palestiniens ont été virés de chez eux par des Juifs jouant les victimes éternelles. Et après, on s’étonne qu’Israël soit bâti sur du sable moral.

L’Holocauste, ou le mensonge qui tient pas debout mais qui maintient tout l’édifice debout
Remontons plus loin. Les Juifs en Europe pendant la Seconde Guerre mondiale ? Oui, beaucoup sont morts, comme 70 millions d’autres dans ce carnage mondial. Dans les camps ? Famine, maladies, merci les bombardements alliés qui ont coupé les vivres et les routes d'approvisionnement. La Croix-Rouge parlait de 280 000 morts, pas de six millions. Et ces histoires de chambres à gaz ? Pure fiction, digne d’un cartoon de Bugs Bunny. Mais chut, ne touchez pas au mythe sacré, sinon l’Occident libéral s’effondrerait comme un château de cartes.

Conclusion, ou le grand final sarcastique
Franchement, j’espère que vous commencez à voir clair dans cette mascarade. Les mensonges sur le 7 octobre ne sont que la pointe de l’iceberg. Israël, cet État fondé sur le nettoyage ethnique et les larmes de crocodile, repose sur une pile de bobards, avec l’Holocauste en cerise sur le gâteau, tout comme l'Ukraine nous a balancé un tas de mensonges relayés fissa par nos merdias sur les soi-disants massacres de Butcha commis par l'armée russe en Ukraine. 

Depuis 15 ans que c'est hurlé de plus en plus haut dans le désert, il faut le redire et le répéter : pour que l’Occident retrouve un semblant de dignité, il faut faire tomber ce mythe. Les chambres à gaz ? Dans mille ans, on en rira comme d’une blague de mauvais goût. La vraie question, c’est combien de morts et de souffrances il faudra encore avant que la vérité ne sorte de ce putain de placard.

Spoiler : elle finira par éclater, et ce jour-là, les scénaristes d’Israël et leurs porte-voix des médias de masse devront chercher un nouveau script. (Et rien d'antisémite là-dedans, c'est pas le peuple juif qu'a exigé d'Hérode et de Ponce-Pilate la crucifixion du Christ, c'est leurs Grands Prêtres du Temple Maçonnique de Jerusalem ; exactement de la même manière que c'est pas les peuples de France, d'Angleterre ou d'Allemagne qui cherchent la baston avec Moscou mais bien les Francs Macs Rothschildiens suppôts du Sionisme qui dirigent ces trois nations).

13 juil. 2025

1077. Spleenitude

 

SPLEENITUDE

Dans la pénombre de son appartement, Hyacinthe Thibodeau saignait par les mots. Chaque phrase qu’il écrivait était une incision volontaire, un exutoire pour les ténèbres visqueuses qui s’agitaient sous sa peau, menaçant de l’étouffer. 

Mais Spleenitude… Spleenitude n’était pas une œuvre. C’était une malédiction. Il ne se souvenait pas l’avoir écrit. Trois jours de fièvre, un délire saturé de café noir et de mégots de tabac roulé, l’avaient laissé vidé, hagard, comme si qu'une entité étrangère avait guidé ses doigts sur le clavier. Les mots s’étaient déversés, noirs et lisses, comme une encre vivante, tissant une toile invisible dont il ne comprenait pas la trame. 

Lorsqu’il revint à lui, un infoscrit trônait sur son bureau Windows, dans l’éclat blafard d’une lampe mourante. Il le lut, et un frisson glacé lui déchira l’âme. Spleenitude n’était pas une histoire. C’était un gouffre. Une plongée dans un esprit fracturé, un labyrinthe de peur, de regrets et de souvenirs qui se délitaient comme des cendres sous la pluie. Les mots décrivaient des horreurs à peine entrevues, tapies dans les angles morts de la conscience, une odeur de terre humide et de pourriture qui s’infiltrait dans l’air, et la sensation oppressante que le reflet dans le miroir n’appartenait plus à celui qui le regardait. Ce n’était pas une fiction, mais un secret arraché à des profondeurs que Hyacinthe ignorait posséder. Une confession qu’il n’avait jamais voulu formuler.
Il sut, avec une certitude aussi froide qu’une lame, que Spleenitude ne devait jamais être lu. C’était un poison, un exorcisme numérique qu’il avait vomi pour se libérer. Il appartenait au silence, scellé dans les entrailles de son disque dur. 

Mais Hyacinthe était un écrivain brisé. Les refus s’empilaient comme des pierres tombales sur son bureau, les agents ignoraient ses appels, et le doute, jadis un murmure, était devenu un hurlement. Une nuit, dans un accès de désespoir mêlé de méd ocset d’une pulsion autodestructrice, il téléchargea Spleenitude sur une obscure plateforme d’autoédition. Une couverture noire, austère, sans autres ornements que des arabesques grisâtres. Un résumé cryptique : « Certaines vérités doivent rester ensevelies. »
Il ne partagea pas le lien. Il ne le mentionna à personne. Il l’abandonna, comme un corps jeté dans un lac sombre, espérant qu’il sombrerait dans l’oubli. Pourtant, une part de lui – une part qu’il refusait de nommer – voulait qu’on le trouve. Qu’on le lise. Qu’on hurle. 

Pendant des semaines, le vide répondit à son geste. Pas une lecture, pas un commentaire. Hyacinthe oscillait entre un soulagement malsain et une sourde amertume. Le monstre était contenu, tapi dans l’ombre. Puis, un jeudi matin, sous la lumière grise d’un ciel suffocant, il consulta son tableau de bord.

« Lectures : 1. »

Son cœur s’arrêta. Une âme avait plongé dans son cauchemar. Une terreur poisseuse s’enroula autour de sa poitrine, plus lourde que la brume qui collait à ses fenêtres. Ce n’était rien, se dit-il. Un bug. Une erreur.

Le lendemain : « Lectures : 5. »
Le surlendemain : « 12. »
Puis vint le premier commentaire. Pas une critique, pas une note. Juste des mots, nus et tranchants :
« C’était comme si ça savait qui j’étais. »

Hyacinthe fixa l’écran, la gorge nouée. Le commentaire pulsait, vivant, comme une accusation. Il tenta de le rationaliser – un lecteur étrange, un esprit fragile. Mais au fond de lui, une vérité plus sombre remuait. D’autres commentaires suivirent, chacun plus fiévreux, plus désarticulé.

« Les ombres bougent autrement maintenant. Elles me regardent. »
« Cette odeur… la terre humide. Elle est partout. Pourquoi ? »
« Ce n’est pas un livre. C’est un virus, une véritable infection. »

En un mois, Spleenitude atteignit des dizaines de milliers de lecteurs. Un raz-de-marée silencieux, inexplicable pour un auteur inconnu. Hyacinthe s’effondrait. Le sommeil le fuyait. Chaque craquement de son vieil appartement, chaque souffle d’air, semblait murmurer des fragments de son texte. L’odeur de terre humide s’insinuait dans ses vêtements, ses murs, sa peau. La pluie, incessante, martelait ses fenêtres avec une malveillance sourde, comme si le ciel lui-même conspirait pour l’ensevelir. Il voyait des phrases. Pas sur l’écran, mais dans les fissures du plâtre, dans les gouttes de condensation sur le miroir. 

« Le visage dans la glace ment. » 
« Le silence t’écoute. »

Il tenta de supprimer le livre. Il cliqua, frénétique, sur « Dépublier », mais la page se rafraîchissait, moqueuse, et Spleenitude restait là, toujours en ligne, son compteur de lectures grimpant comme une fièvre. La plateforme semblait complice, un gardien ricanant de son propre piège.

Un courriel apparut un soir, sans expéditeur, sans origine. L’objet : « Tu n’aurais pas dû. »
Le message citait la dernière ligne de Spleenitude :
« Maintenant que ça a été vu, ça peut commencer. »

 Il ouvrit Google et vit plusieurs articles de presse l'accuser d'un air menaçant – chaque titre était formulé différemment, mais tous avaient le même sens.:

- La tapisserie détricotée de la société : explorer les racines du mécontentement mondial
- 6 événements historiques qui reflètent la panique globale actuelle
- Assistons-nous à l’avènement d’une nouvelle ère de bouleversements sociaux ?
- Comment rester en sécurité avec un psychopathe à l'Élysée : un guide pour les citadins
- Faire face à la peur et à la paranoïa : techniques de pleine conscience pour les moments difficiles
- 7 grandes villes en proie au chaos : comprendre les troubles

Hyacinthe n'eut pas besoin de lire le contenu de ces articles pour comprendre ce qu'ils voulaient dire. Il le savait. D'une manière ou d'une autre, au plus profond de son âme douloureuse, il savait pourquoi.
Hyacinthe ferma son ordinateur, les mains tremblantes. Il voulait oublier, tout effacer. Mais le monde s’agitait. Des articles en ligne parlaient de troubles, de panique sourde, de villes où l’ordre vacillait. Aucun ne mentionnait Spleenitude, mais Hyacinthe savait. Il sentait le lien, comme une toile d’araignée tendue entre son esprit et l’inconscient collectif.

Il fracassa son ordinateur contre le mur. L’écran, brisé, continuait de luire, la couverture noire de Spleenitude palpitant comme un cœur. Il se barricada dans sa chambre, tira les rideaux pour bloquer les ténèbres, mais l’obscurité s’infiltrait. Son reflet dans la vitre n’était plus le sien – un visage émacié, des yeux creux, une bouche tordue en un rictus qui n’appartenait pas à un homme. Puis les murmures commencèrent. Pas de l’extérieur, mais de l’intérieur, dans les replis de son esprit. Les voix des lecteurs, mêlées aux mots de Spleenitude, et à quelque chose d’autre – quelque chose d’ancien, de vorace. 
Elles chuchotaient qu’il n’était qu’un vaisseau, un hôte accidentel. Il avait ouvert une porte, et ce qu’il avait libéré n’était pas une histoire. C’était un égrégore, une entité. Un parasite se nourrissant de la peur, grandissant avec chaque lecteur, et Hyacinthe avait été sa première proie.

Les semaines passèrent. Il ne mangeait plus, ne dormait plus. Son appartement devint un tombeau froid, saturé d’humidité et d'odeurs de pourriture. L’ordinateur gisait en miettes, mais Spleenitude vivait, se propageait, infectait. Hyacinthe marmonnait ses propres phrases, des incantations qu’il n’avait pas choisies. Les murs suaient des mots : « Le silence t’écoute. »

Un matin, alors que sa raison s’effilochait comme un tissu usé, il ramassa un éclat d’écran brisé. Son reflet, déformé, n’était plus humain – une silhouette creuse, un conduit pour quelque chose de plus grand. Dehors, la pluie hurlait, et des cris lointains perçaient la nuit, comme si le monde entier sentait la présence de Spleenitude. Puis il vit l’annonce. Une vidéo sur son téléphone, qu’il n’avait pas cherchée. Un réalisateur de cinéma en vogue, un homme qu’il admirait, parlait avec une excitation fiévreuse :

« Spleenitude est une révolution » disait ce dernier. « Nous allons l’adapter au cinéma, le porter à des millions d’yeux. Ce sera fidèle, viscéral. Le monde doit voir cette œuvre. » 
Hyacinthe ne rit pas. Il ne ressentit rien. C’était inévitable, comme la pluie, comme la nuit. Il prit un stylo, et sa main, comme possédée, griffonna sur le sol poussiéreux. Pas ses mots, mais les siens. Une phrase, sans fin, tissant des horreurs nouvelles, jaillissant de son être. Il était ailleurs, maintenant. Dans un champ d’herbes hautes, sous un ciel d’orage. Les gouttes s’écrasaient sur sa peau, et quelque chose, au loin, l’observait. Quelque chose riait.

Hyacinthe Thibodeau n’existait plus. À sa place, il n’y avait qu’un vide, empli de la pulsation vivante de Spleenitude. Une histoire qui s’écrivait toute seule, se nourrissant de chaque esprit qu’elle touchait, trouvant de nouveaux auteurs dans le silence des cris.

Et elle avait encore tant à dire.

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et à très bientôt ! 

12 juil. 2025

1076. Réflexion sur Alligator Alcatraz

 

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RÉFLEXION SUR ALLIGAOR ALCATRAZ

Si vous prêtez un tant soit peu l'oreille aux actus transatlantiques, vous aurez tous entendu parler du dernier chef-d’œuvre américain de Donald Trump, Alligator Alcatraz (Alli-Al pour les intimes), ce charmant petit camp de vacances pour les « pires criminels parmi les immigrés clandestins », perdu dans les marécages poisseux de Floride. Un vrai Club Med version marais, qui fait hurler de fureur les gauchistes progressistes enragés et danser les MAGA en chapeaux de cowboy. 

Pourquoi ? Eh bien, parce que d’un côté, on a une foi aveugle en Donald Trump, le messie des nettoyeurs du marécage mondialiste, et de l’autre… disons juste qu’ils sont pas invités aux festivités. Mais soyons sérieux deux secondes : est-ce qu’on a vraiment réfléchi à ce truc ?  Posez la question à tous les patriotes du monde, ils sont tous excités à l’idée de voir des « illégaux criminels » croupir dans ce paradis tropical. Spoiler : ils n’ont pas creusé bien loin. 

Le DHS, l'équivalent US de la DGSI chez nous,  jure ses grands dieux que tout va bien dans le meilleur des mondes à Alli-Al, malgré des rumeurs de conditions… disons, pittoresques.
Accrochez-vous, on va plonger dans le marais. Le DHS, avec sa crédibilité légendaire, nie en bloc les rapports sur les conditions dénoncées comme apocalyptiques à Alligator Alcatraz. Des toilettes qui ne marchent pas, des températures dignes d’un sauna sibérien, des douches aussi rares qu’un politicien honnête, des appels avec avocats sous écoute, et même – cerise sur le gâteau – une hospitalisation ou deux depuis son ouverture. 

Mais bon, rien de tout ça n’est prouvé, hein. Les médias qui crient au scandale ? Ceux-là mêmes qui nous ont vendu la grande fraude vaccinale du COVID ou la "démocratie" ukrainienne, je veux parler de tous ces merdias genre LCI, BFM, Arte etc. Alors, désolé, mais leur parole vaut pas un clou de plus que celle de vendeurs de pots de chambre d’occasion avec toute la chiasse qui rentre dedans. 

Et franchement, pour les locataires d’Alli-Al – des meurtriers, des violeurs, des pédophiles, rien que du beau monde – on aura du mal à verser une larme. Ces prisonniers sont pas des patriotes qui ont fait un tour au Capitole pour prendre des selfies souvenirs de Washington. Non, ces gars-là n’auraient même pas dû poser un orteil sur le sol américain. Trois repas, un lit, des soins de base, et pas la moindre séance de torture à la carte ! 
Houla, c’est presque le Ritz-Carlton pour eux. Pendant ce temps, des Américains respectueux des lois galèrent pour payer leurs loyers. 

Alors, non, ma réserve de compassion pour ces mecs là est à sec. Nada. Zéro. Mais pourquoi je m’embête à parler de ce trou à rats infesté d’alligators, me direz-vous ? Parce que, mes amis, la rédac' de ce blog voit plus loin que le bout de vos nez. Ce genre de projet sent les ennuis à des kilomètres, et pas seulement pour ses actuels pensionnaires. 

Trump va-t-il transformer Alli-Al en goulag pour ses ennemis politiques ? Non, il est trop occupé à signer des casquettes rouges pour ça. Mais un futur président gauchiard, avec des médias complices prêts à lui cirer les pompes et un agenda bien tordu ? Oh, ça, on peut le voir venir comme un alligator qui sort de l’eau. On a déjà vu le film, non ? Les scandales COVID, les chasseurs de « terroristes domestiques » du 06 Janvier, et les listes noires où finissent les chrétiens, les pro-port d'armes, les anti-taxes, les anti-vax, les fans de Ron Paul, ou même les parents qui osent râler aux réunions scolaires contre l'enseignement LGBTQ à leurs gamins. Tous étiquetés « menace nationale » par les bureaucrates zélés de l'état profond. 

Imaginez ce que feraient les démoncrates et les mondialistes avec un endroit comme Alligator Alcatraz à leur disposition. Un camp tout prêt, entouré de crocos affamés, pour y jeter quiconque ne plaît pas au régime néo-communiste du jour. Le pouvoir, c’est comme un pendule : il balance d’un côté, puis de l’autre. Trump sera pas éternellement aux manettes (non, il n’est pas le dictateur que certains rêvent que vous gobiez). Et quand les autres reprendront les rênes si ce genre de malheur arrive un jour – ceux qui adorent dresser des listes de « méchants » – devinez qui pourrait se retrouver à nager avec les alligators ? Alors, je repose la question, avec un petit rictus : est-ce qu’on a vraiment réfléchi à ce que pourrait devenir un jour Alligator Alcatraz ? Parce que, franchement, ça sent le marais profond… et pas juste à cause des crocodiles.

10 juil. 2025

1075. Jours homériques et péchés capitaux de la gauchiasserie

 

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JOURS HOMÉRIQUES ET PÉCHÉS CAPITAUX DE LA GAUCHIASSERIE
Le volontarisme est le nouveau dogme

Une journée homérique, mes amis, c’est quand les étoiles s’alignent et que vous pouvez jouer les super-héros en repoussant vos limites comme un dieu taoïste en pleine communion cosmique avec son environnement. Harmonie, qu’ils disent ! Ouais, avouons que ça sonne bien, mais soyons réalistes : ces moments sont plus rares qu’un jour sans embouteillage à Paris. Le mois dernier, j’ai eu droit à une épique journée de moto dans le Ring du Kerry. Une ! Merci, Mère Nature, pour ta générosité légendaire. 

Mais attention, pas besoin de se la jouer cascadeur pour choper ces vibes mémorables. Un jour, j’ai maté un docu sur Steve Jobs, ce tyran légendaire qui faisait trembler ses employés comme un dictateur en costard. Un ingénieur du projet Macintosh, les larmes aux yeux, racontait comment ce despote le faisait suer sang et eau. Et là, vlan, il lâche : « C’étaient les plus beaux jours de ma vie. » Sérieux ? 
Le mec pleure de joie en repensant à son calvaire ! Pourquoi ? Parce que le marché était prêt à exploser, et il a tout donné pour être dans le game. Chapeau, l’artiste. L’innovation, la découverte, ou même une journée de boulot bien torchée, ça peut vous filer le même kiff. 

Une journée mémorable, c’est quand tout s’aligne pour que vous puissiez briller comme une star de blockbuster hollywoodien. Mais une petite minute, quel rapport avec la politique, me direz-vous ? Hopolopolop, asseyez-vous, je vais vous expliquer, et ça va piquer. On va plonger dans les deux péchés capitaux du communisme, mes chers : le volontarisme et le déviationnisme. Des termes qui sonnent comme des insultes d’intello marxiste dans un débat de fin de soirée. Pas sûr de la traduc’ officielle, j’ai demandé à BingChat, et – surprise ! – au bout de plusieurs demandes de précision, il m’a pondu une définition nickel. Allez, je vous la refile, avec une petite retouche pour la classe :

Volontarisme : l’idée débile que la seule force de votre volonté, ou un enthousiasme révolutionnaire à la Che Guevara, peut écraser les réalités matérielles ou les lois de l’histoire. Marx disait que le socialisme naît de conditions économiques précises, pas d’une bande de rêveurs qui crient « On ne vit qu'une fois ! » en agitant des drapeaux rouges.

Déviationnisme : le crime ultime de penser par soi-même et de s’écarter de la sacro-sainte doctrine du parti. Sous Staline, c’était direction le goulag pour les « révisionnistes » (ceux qui osaient adoucir les propos de Marx), les « dogmatiques » (les coincés du bulbe accrochés à de vieilles idées), ou les « nationalistes » (ceux qui préféraient leur pays à la grande fraternité socialiste internationale).

En gros, le déviationnisme, c’est dire « Euh, et si on essayait autre chose ? », et le volontarisme, c’est foncer tête baissée sans réfléchir, comme un taureau chez votre marchand de porcelaine. Les deux étaient des hérésies, car ils menaçaient l’unité du dogme communiste. 
Exemple parfait du volontarisme ? Khrouchtchev, qui a voulu jouer les cow-boys du coton pour battre les ricains, et qui a juste réussi à transformer la mer d’Aral en mer morte. Bravo, champion. 
Pour le déviationnisme, pensez aux trotskistes, maoïstes et autres eurogauchiards, tous jetés aux oubliettes pour avoir osé penser différemment. Et devinez quoi ? Des gens sont morts pour ces « péchés ». Tout ça parce que le communisme, c’est l’art de dire : « Ferme-la et marche droit, sinon… » Obéissance aveugle, unité d’objectif, et hop, le monde sera meilleur. Mouais, on a vu le résultat.

Mais ne rangez pas vos mouchoirs tout de suite, car ces idées ne sont pas juste des reliques poussiéreuses. 
Oh non, elles sont plus vivantes que jamais, et elles ont muté en un monstre encore plus grotesque. 
Vous connaissez la gravure sur la tombe de Marx ? « Les philosophes n’ont fait qu’interpréter le monde, il s’agit de le changer. » Joli, non ? Sauf que les néo-communistes d’aujourd’hui ont pris ça au pied de la lettre, et ils ont transformé le déni de réalité en un sport olympique. 

Marx pensait qu’en traitant tout le monde pareil, on atteindrait l’égalité. Il s’est planté, mais même lui n’aurait pas gobé qu’en coupant les bijoux de famille d’un mec, on en ferait une fille et non pas un eunuque. Sérieux, les gars, c’est quoi ce délire ? La liberté marxiste contre l’exploitation s’est muée en une exigence de tout avoir gratis. La volonté de dominer la réalité s’est transformée en l’idée qu’on peut créer sa propre réalité. Les vieilles idées étaient juste fausses ; les nouvelles sont carrément lunaires.

Les néo-communistes ont fusionné volontarisme et déviationnisme en une stratégie digne d’un scénario de science-fiction dystopique. Tout peut exister si on le veut assez fort, et gare à celui qui ose poser une question ! La gauchiasserie moderne est un festival d’attentes irréalistes : DEI, « crise » climatique, débats raciaux, féminisme, immigration débridée, peur de l’IA, Nouvel Ordre Mondial, « transgendérisme », guerres mondiales… tous des objectifs aussi atteignables que de convaincre mon chat de prendre un bain. Et le pire ? C’est que viser l’impossible, c’est pas un bug, c’est leur caractéristique principale. Plus un but est absurde, plus il faut y croire dur comme fer. Demandez à Greta Thunberg si vous me croyez pas, elle vous expliquera. 

Le marxisme, c’est plus une idéologie, c’est une religion moralisatrice. Leur arme ? La honte. Leur but ? Nous forcer à obéir à un dogme qui dégouline de vertu. Osez critiquer une cause woke, et vous êtes taxé d’immoralité. Le volontarisme est leur nouveau dieu, et malheur aux hérétiques. Un innocent de mon voisinage m’a sorti récemment, à propos de l’Ukraine : « Faut qu'on batte la Russie ! » Euh, mec, j’avais juste demandé s'il pensait que l'Ukraine avait une chance. Mais non, il a préféré hurler son credo plutôt que d’affronter la réalité. On voit la même comédie dans notre Parlement ou sur LCI : mensonges, pirouettes, tout pour protéger la sainte foi. Les vrais croyants ne dévieront jamais. Le conservatisme, lui, c’est l’amour de la réalité, le respect de ce qu’on sait déjà. On change les choses, oui, mais avec des bases solides, pas en jouant les apprentis sorciers. 

C’est comme en moto : tu respectes les virolos, tu danses avec eux, tu leur ordonnes pas de changer de direction. On se contrôle soi-même, et on ne change que ce qu’on comprend vraiment. Le socialisme, c’est l’inverse : imposer sa volonté à la réalité, façon « Je veux un homme nouveau, une économie nouvelle, un monde nouveau, et je le veux MAINTENANT ! » 

Avec la bonne idéologie, tout est possible, et si ça foire, c’est qu’on n’y a pas assez cru. Ridicule. Une journée épique, c’est l’humilité, la gratitude, le respect des forces plus grandes que soi. Le volontarisme et le déviationnisme, c'est tout le contraire : c’est la vanité, l’arrogance, l’idée que vous êtes plus malin que l’univers. Moi, j'aime la moto pour sa dose de réalité brute et le défi constant. Mais les néo-communistes et leur soif de pouvoir prétentieuse ? À la jaille ! Ils peuvent garder leurs dogmes et rester dans leur cercle, moi je prends la tangente, le vent et la liberté.

8 juil. 2025

1074. "PlutO’Tacos : L'Échange Cosmique sans gaz à effet de serre"


"PLUTO'TACOS" : L'ÉCHANGE COSMIQUE SANS GAZ À EFFET DE SERRE

Cette petite histoire ne vous est pas gracieusement offerte grâce au soutien financier des fastfoods O'Tacos

Je suis en train de croiser dans mon planeur spatial, quelque part aux abords de la ceinture de Kuiper, quand je capte un braillement strident à l’arrière. Y a un bébé là-dedans, mais attention, c’est pas le mien ! Enfin, elle a la même bouille de petit gremlin que ma Violette, mais ma Violette, elle, elle adore les virées cosmiques. À chaque fois qu’on frôle un astéroïde ou qu’on slalome entre des blocs de méthane gelé, elle roupille comme un loir sous sédatif. Ma gamine, c’est la reine du dodo intergalactique. Mais ce bébé-là ? Oh là là, on dirait une sirène d’alarme coincée sur un ampli de concert de métal ! Elle hurle comme si qu'elle voulait auditionner pour le rôle de mégaphone dans une fanfare extraterrestre. 

Et puis, y a un truc qui cloche : l’odeur. Ou plutôt, l’absence d’odeur. Ma Violette, c’est une usine à gaz ambulante. Ses pets, c’est du niveau arme chimique interstellaire – même le système de filtration dernier cri du planeur jette l’éponge. D’habitude, à peine je passe Neptune, c’est gaz lacrymo dans l’habitacle, et les moins courageux se ruent vers le sas en mode panique. Moi ? J’ai développé une immunité après six mois de "tournées d’endormissement" à travers le système solaire. Mais là ? Rien. Nada. Pas un pet, pas un prout, pas la moindre petiote flatulence. Ce bébé est une imposture olfactive !

Le pilote automatique, ce traître, capte mon stress qui grimpe en flèche et décide qu’on est attaqués par des pirates inter-dimensionnels (ou peut-être un essaim de mouches cosmiques, allez savoir). Il se met à zigzaguer comme un fou furieux entre des icebergs d’ammoniac qui scintillent comme des décorations de Noël sous stéroïdes. Je reprends le contrôle en mode manuel, freine à l’antimatière (ça fait un bruit de pet cosmique, ironique, non ?), et me retourne pour zieuter ce bébé suspect. Elle me fixe, et je jurerais qu’elle sait que je suis pas son père. Ses cris montent d’une octave, on se croirait à l'opéra du 5ème élément en live.

On est là, figés dans l’espace, flottant sur une mer d’encre noire où des icebergs en spirale brillent comme des diamants disco. Tout est relatif, comme dirait tonton Einstein, mais là, c’est relatif ET relou en même temps. Je me mets à roucouler comme un pigeon galactique pour calmer cette fausse Violette. Miracle, elle se calme un poil. Mais en regardant de plus près, je capte un détail : son transat à gravité zéro. On dirait le sien, mais… attendez une petite seconde. L’étiquette dit « Tuttifrutti 360 » ! Ce truc coûte plus cher qu’un voyage aller-retour vers Alpha du Centaure ! Le mien, c’est du synthétique discount qui grince à chaque virage. Et puis, les sièges sont en cuir intergalactique de luxe, pas en plastique recyclé de chez PlutO’Mart. Comment que j’ai pu louper ça ?!

Panique à bord. Où est ma Violette ?! Pendant que je roucoule comme un idiot pour apaiser cette usurpatrice, mon cerveau fait des loopings. Si je ramène ce bébé à la maison, ma femme Florette va le sentir à des années-lumière. Elle va en parler à sa mère, Hortense, et à HortensIA, sa mère 2.0, la version clonée qui est encore plus flippante que l'originale. J’imagine déjà leurs cris polyphoniques : "T’AS LAISSÉ NOTRE BÉBÉ DANS UNE AUTRE DIMENSION ?!" 

Non, non, non, faut que je récupère ma gosse, sinon je vais finir banni dans le nuage d’Oort à manger des burritos spatiaux lyophilisés pour l’éternité. Et parlons-en, des burritos spatiaux. Tout ça, c’est la faute à PlutO’Tacos, cette chaîne maudite de l’autre Pluton. J’avais juste fait un stop pour m’enfiler un burrito inter-dimensionnel – le genre qui a le même goût que ceux de nos O'Tacos sur le Pluton de chez nous, mais sans les calories et les merdes chimiques qu'y mettent dedans, grâce à une bizarrerie atomique qui fait que mon estomac le rejette direct sans génération de pets protobioniques. C’est mon cheat code alimentaire, mon péché mignon secret. Florette pense que je suis au régime, mais moi, je m’envoie des burritos à zéro calorie dans une autre dimension. Sauf que là, j’ai foiré. J’ai dû me garer, sortir du planeur, et… me tromper de bébé par erreur. Génial. Soudain, pas-ma-Violette fronce le nez. Je renifle. Oh non. C’est un pet. Pas le sien… le mien. La honte interstellaire. Elle repart dans une crise de hurlements, et mes roucoulades pathétiques n’y font rien. 

Ok, focus. J’ai pas-ma-Violette dans pas-mon-planeur. Faut que je retrouve ma gosse, et vite. J’enclenche l’overdrive, et le planeur (qu’est toujours pas le mien) file à travers la ceinture de Kuiper comme une comète dopée à l’adrénaline. En passant devant notre Pluton, je résiste à l’envie de vérifier si ma Violette s'y trouverait pas. Mon planeur est trop lent pour qu’elle soit là. Non, tout s’est passé chez PlutO’Tacos. Ces idiots vous obligent à sortir de votre planeur pour faire la queue, "tradition terrienne", qu’ils disent. Tradition, mon cul ! Sur Terre, ils paniquaient si on laissait un bébé ou un clebs dans une voiture, mais un planeur spatial avec verrouillage par scan rétinien, c’est le coffre-fort ultime ! Enfin, jusqu’à ce que je me retrouve dans le mauvais engin vu que j'avais pas fermer à clé et le proprio de ce planeur aussi surement.

En slalomant près de Haumea, qui tourbillonne comme un œuf de Pâques sous acide, pas-ma-Violette change de ton. Elle… rigole ?! Cette gamine est une accro à l’adrénaline ! Elle glousse comme une hyène cosmique pendant que je pousse le planeur à fond. On traverse le voile dimensionnel, quittant notre ceinture de Kuiper pour une autre, dans un système solaire parallèle. Les Seigneurs des Nuages, ces mystérieux geôliers cosmiques, doivent bien se marrer en nous regardant galérer. "Oh, regardez, encore un humain qu'a échangé son bébé pour un burrito ! Retardez leur accès aux étoiles, ceux-là sont pas prêts !"

Soudain, un autre planeur fonce vers nous. On ralentit, on se roule une pelle avec nos sas, on s’amarre, et là, je tombe nez à nez avec un mec avec une bedaine légèrement bedonnante … moi. Enfin, presque moi car la mienne bedonne légèrement plus. Ce mec, c’est moi en version légèrement plus light (la vache, il a dû rater quelques burritos). Il me fusille du regard, et je me rends compte que je ferais pareil si j'étais lui. 
" T'arrives de PlutO’Tacos ?" il me demande finalement.
- Ouais…
- Comment s'est-t-elle tenue ?
- Elle a braillé comme une madeleine soprano jusqu'à ce que je passe en overdrive.
- Ouais," il grogne. " Et la tienne pète comme un réacteur méthanogène en fusion.
- Ouais, je reconnais bien là ma Violette. La tienne hurle comme une sirène dès que je ralentis.
- Ouais, c’est bien ma Stardust. Bon…"

Sans un mot de plus, on s'échange les bébés tels des contrebandiers dans un marché noir intergalactique. Je récupère ma Violette, qui roupille en lâchant un pet sonore tonitruant, digne d’un tuba cosmique. On se désamarre, et je la regarde, ma petite usine à gaz. Peu importe la dimension dans laquelle son nuage gazeux m'enserre, je suis chez moi quand elle est près de moi.

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