Bienvenue, curieux voyageur

Avant que vous ne commenciez à rentrer dans les arcanes de mes neurones et sauf si vous êtes blindés de verre sécurit, je pense qu'il serait souhaitable de faire un petit détour préalable par le traité établissant la constitution de ce Blog. Pour ce faire, veuillez cliquer là, oui là!

14 déc. 2023

843. Le Diable se cache dans les détails

 

LE DIABLE SE CACHE DANS LES DÉTAILS

J'avais seize ans lorsqu'ils ont trouvé les six corps sous le sol de notre salon. Je suis pas du genre à partager des détails personnels – surtout parce que j'ai tendance à parler et à en dire trop – mais je pense souvent à cette nuit. Habituellement, je suis juste en train de ramper dans mon lit, dans cette période entre éveil brumeux et repos profond. Et pour être franc, j'ai jamais été le plus grand dormeur de toute façon. C'est la nuit que je suis le plus productif. Par conséquent, je passe beaucoup de temps à regarder le plafond, à me demander si ce sera le soir où je dévoilerai tous les détails désordonnés à un journaliste qui essaie de faire les choses en grand. Mais ensuite je pense : les médias se sont déjà amusés avec ma famille. Et leurs reportages exubérants, à tort ou à raison, ont valu ma réputation dans les livres d’histoire lorsque j’ai eu dix-sept ans. 

Si je devais remettre les pendules à l’heure, ça ressemblerait à quelque chose près un peu à ça : je peux pas oublier ce son. C'est l'une des choses les plus obsédantes de cette nuit là, la chose dont j'arrive pas vraiment à me débarrasser. Et ça m'a suivi toute ma vie. 

Bang. Bang. Bang bang bang...
C'était un poing à notre porte d'entrée, qui cognait sans cesse. 

Cela a envoyé des ondes de choc du haut de ma tête jusqu’au bout de mes orteils. J'ai eu des sueurs froides, réalisant que le tourbillon de lumières bleues devant ma fenêtre, associé aux coups frappés sur la porte ne pouvait signifier qu'une chose : les bourres, les cognes, la police. 

Ma mère, notoirement connue pour pouvoir dormir même dans le vacarme le plus assourdissant, se précipita dans le couloir. Et à travers l'entrebâillement de ma porte, je pouvais la voir debout en haut des escaliers, la main contre la poitrine. Elle portait sa chemise de nuit rose soyeuse préférée, celle qui effleurait le sol lorsqu'elle marchait. Elle avait toujours l'air de flotter quand elle la portait. Mais à ce moment-là, elle trainait derrière elle telle une furie. 

Bang. Bang. Bang bang bang...

Ma panique ne réussit pas à tenir ma curiosité à distance ; Je sautai hors de mon paddock et me dirigeai vers la porte. Je regardai dehors, attendant la suite. 

La voix de ma mère fut la première à briser le silence pesant. " Qu'est-ce que c'est que ce tapage ? Qu'est-ce que vous voulez ?", dit-elle. Puis vint une série de phrases qui se fondirent – parlant de mon père, d'où qu'il se trouvait, ma mère se demandant s'il avait eu un accident, puis une voix ferme demandant qui était à la maison. La détresse de ma mère s'éleva d'une octave supplémentaire. Elle exigea qu'ils appellent leur supérieur pour qu'elle puisse lui parler directement. Je l'avais jamais vue aussi en pétard qu'à ce moment là. 

Je regardai par-dessus la rampe et je vis deux gendarmes – encadrant ma mère – dans l'entrée. "Vous n'avez pas le droit", criait ma mère. L'un des flics lui marmonna quelque chose. Ensuite, elle m'appela, moi et mon petit frère, Jonas. 

Je voulais pas descendre les escaliers ; lorsque la police se pointe, c'est toujours mauvais signe. Et j'étais pas prêt pour une mauvaise nouvelle.

"Tout va bien", me fit l'un des deux pandores en levant la main vers nous et en nous faisant signe de descendre au rez-de-chausée. Avec mon frère sous le bras, je descendis les marches. 

Et j'entrai direct en enfer sans passer par la case départ. 

Ils tendirent une embuscade à mon père quand il rentra à la maison et lui mirent le grappin sur le paletot dès qu'il eut franchi la porte. Mon pauvre padre n'avait même pas remarqué les deux voitures de gendarmerie garées dehors parce qu'il avait passé les dernières heures à s'imbiber le gésier de pastaga.

Pendant que Jonas regardait la téloche dans le salon, je me faufilai hors de la pièce, je descendis le couloir et je me positionnai devant la porte de la cuisine. Pour une raison qui m'échappe, les flics avaient pensé que le meilleur endroit pour interroger mon paternel était l'endroit où nous prenions nos repas. 

" Dites-nous où sont les corps, Rémy", dit l'un des pandores. 
- Je sais pas", répondit mon père. Mais sa voix le trahissait – il ne pouvait cacher ses tremblements.

Un grognement de mots incohérents, puis une voix plus claire : " Avez-vous au moins un mandat pour être ici ?" La voix de ma mère. Elle avait regardé un peu trop de séries télé à la con au fil des ans. " C'est une visite et un interrogatoire raisonnable, faisceau d'indices conséquent", lui répondit l'autre flic d'une voix beaucoup plus grave. " On n'en a pas besoin lorsque quelqu'un représente une menace imminente pour la société. 
- Putain, mais vous me connaissez. On se voit souvent au PMU. Puis vous connaissez ma famille ", déclara mon père, sa voix hésitant sur le mot « famille ». 

" Pour l'amour de Dieu", cria ma mère. " Ne dis plus un mot, Rémy, appelons un avocat tout de suite." 

" Rémy. Nous connaissons tous le genre de boulot que vous faites. Et compte tenu des circonstances, nous ne pouvons pas regarder ailleurs simplement sous prétexte que nous nous connaissons." 

Mon père était un scientifique – c'est ce que je disais aux gens qui ne comprenaient pas le jargon de l'industrie. Mais pour ceux qui le connaissaient vraiment et connaissaient son travail à la fac, il était un expert en sciences médico-légales et humaines. La médecine légale, pour être précis. Il passait ses journées à enseigner aux gens les composés chimiques, le nettoyage et l'évaluation des cadavres, ainsi que les techniques appropriées pour préserver les preuves. C'était un homme brillant et un professeur extraordinaire. Je peux le dire ; je suis son gosse. Et il m'a tout appris.  

Et si quelqu’un savait comment se débarrasser d’un corps, c’était bien lui. 

Au cours des 12 derniers mois, sept étudiants de l'école de police avaient disparu. Dont quatre avaient été directement inscrits à son séminaire médico-légal chez nous à domicile. Les mêmes visages qui apparaissaient aux informations du soir s'étaient trouvés chez nous. Ils avaient passé du temps sur notre porche. Ils s'étaient envoyés des cannettes de bière ou du vin tout en discutant de scènes de crime locales. Ils avaient mangé à notre table. J'en avais même vus étudiant dans le hamac suspendu entre deux saules dans notre jardin. Mon père avait même été vu en train de trinquer avec ses étudiants au bar des Gaulois en face du terrain de rugby. Si ce n'était pas déjà clair : mon père aimait ses élèves. Les adorait, en fait. Au point qu'il les traitait comme ses propres gosses. Même si que c'était pas le cas. 

" Pensais-tu vraiment que les gens ne le remarqueraient pas, Rémy ?" lui demanda un des deux flics.

Tout le monde l’avait remarqué, pensai-je. Comment aurait-il pu en être autrement ? 

" Dis-le-nous" , plaidèrent-ils. " Il est temps , où sont-ils ? Nous devons les ramener à leurs familles. Tu n'as plus besoin de garder ce secret, Rémy." 

Je dois admettre que même si 20 ans se sont écoulés depuis cette nuit, leur certitude à ce moment-là me fait encore bouillir le sang. Ils avaient tellement confiance dans leur accusation et si peu de preuves à apporter. Parce que, soyons honnêtes, une relation étroite avec un étudiant est un fil assez lâche lorsqu'il s'agit de lier ça à un meurtre. Qui plus est avec sept meurtres. 

Malheureusement, mon père était à la limite pour garder des secrets. 

" Ils sont sous le sol du salon", finit-il par lâcher. 

À ce moment-là, je suis tombé en avant et je me suis étalé sur le sol de la cuisine. J'avais oublié à quel point le loquet de cette porte était faible. Et je paierais cher ma curiosité. Parce que même si je regardais les carreaux noirs et blancs – en espérant être invisible – je pouvais sentir le poids de son regard sur moi. Et quand j'ai levé les yeux, nos regards se sont croisés. 

Je ne pouvais plus respirer, je ne pouvais plus forcer mes poumons à se dilater. C'était ça. C’était ce moment-là, la fin dont je savais qu’elle allait arriver. Ses yeux me disaient la seule chose que j'avais besoin de savoir. 

Les détails de cette soirée ont été déformés et redéformés par les médias. Tant d'histoires, si peu de précision. Ce qui est ironique étant donné que les nouvelles sont censées se conformer au plus haut niveau de vérité. Mais je suppose que je devrais leur accorder un peu de grâce. Ils ne sont que des humains, et les humains se trompent. 

Mais je m'éloigne du sujet. 

Mon père n'a jamais prononcé un autre mot. Ni au commissariat. Ni durant le procès. Et certainement pas pour moi. Mes derniers moments avec mon père se sont déroulés en observation, pendant que la police démontait la maison de mon enfance. Pendant qu'ils extrayaient six corps des profondeurs de nos fondations.

Vous savez ce qui est drôle ? La culpabilité dans ses yeux se transforma en choc. Et cela me fit réfléchir : n’avait-il pas prédit que les choses se passeraient ainsi ? N'est-ce pas la fin qu'il imaginait – ma mère le quittant, notre maison détruite, la présence de son fils alors que tout s'écroulait ? S'inquiétait-il de l'homme que je deviendrais s'il était reconnu coupable ? 

J'ai eu tant de questions. Une question très importante – mais je ne pourrais pas la poser ce soir-là. Il n'a pas fallu longtemps au jury pour le condamner – seulement trois semaines. Les empreintes digitales, les fibres des vêtements et les permis de conduire cachés dans notre sous-sol suffisaient à le mettre en prison à vie, sans libération conditionnelle. 

Et les journaux se plaignirent que ça avait été trop facile – que mon père était le tueur le plus négligent, mais aussi le plus intelligent, que notre pays ait jamais connu. C'était comme s'il avait voulu se faire prendre. Un journaliste déclara qu’il était, et je cite, " le seul scientifique instruit et expérimenté doté d’un talent pour le meurtre et les erreurs enfantines. Il aurait été incapable de nettoyer de son museau les traces poudreuses, accablantes et marron d'une cuillérée piochée dans le pot de Banania et avalée à la sauvette dans le dos de ses parents." 

Soyons clairs, mon père n'était pas idiot. Il n’était ni enfantin ni impulsif. Il était gentil, chaleureux et exigeant. Il a été présent tout au long de ma vie, se présentant à chaque conférence parents-enseignants, match de rugby et concert de chorale. Il a toujours fait preuve d'un grand respect pour mes intérêts, m'encourageant à essayer tout et n'importe quoi, même si c'était un peu étrange. Comme quand je lui avais dit que je voulais un kit de taxidermie et qu'il m'en avait acheté un dès le lendemain. C'était un bon père. Pas un monstre. La seule chose dont il était coupable était de passer trop de temps avec ses élèves. Au point où il avait commencé à manquer les dîners familiaux. Et les événements scolaires. Puis les anniversaires. 

Mais les tabloïds ne veulent pas entendre parler de cette joyeuse merde. Ils veulent découvrir les aspects les plus sombres d’une tragédie familiale. Ils implorent d’entendre parler des signes avant-coureurs, des nuits tardives. Comment il protégeait les secrets de son travail, conservant les détails de son ouvrage quotidien comme un précieux morceau de verre soufflé. Ils voulaient en savoir plus sur ces nuits où mon père m'avait surpris dans son laboratoire, en train de fouiner et de jouer avec ses produits chimiques et ses outils. Ou la panique dans ses yeux quand il me voyait jouer dans son espace sacré. Un endroit que je n’ai jamais eu le droit d’explorer seul.

Ou alors ils auraient pu être plus intéressés par la façon dont il détestait quand je passais trop de temps avec ses élèves. Comment je posais tant de questions, comment je m'étais rapproché de plus en plus de jeunes hommes qui avaient deux fois mon âge. Ce détail aurait certainement fait la une des journaux à sensation. 

Mais je n'ai jamais accordé d'interview à la presse. En fait, je n'ai jamais parlé à personne de mon enfance, ni de ce qu'il en restait après que ma mère soit tombée dans un état de dépression catatonique et que mon frère soit parti vivre avec mon oncle. Considérant la rapidité avec laquelle les gens se sont retournés contre mon père et à quel point ma vie avait implosé, j'ai pensé que la meilleure façon de rester sous le radar était de garder les lèvres serrées. Et une fois que j’ai eu 18 ans, j’ai déménagé de l'autre côté du pays tout près de la Suisse. J'ai changé de nom - et de sexe aussi dans une clinique helvétique. J'ai teint mes cheveux. Organisé une nouvelle vie. 

Mais une nouvelle identité n’efface pas la vérité. Cela ne peut pas tuer la biologie ni effacer le garçon que j'étais. Que je suis . On ne peut échapper à l’histoire dans des cas comme celui-ci. Et mon histoire m'a interpellé. Encore et encore. Même après m'être uni avec Yannick mon mari, avoir adopté deux enfants et avoir commencé un nouvel emploi d'assistant(e) médical(e), je pensais toujours à mon autre vie. Avant de devenir cette trans nommée Jennifer. Après vingt ans, j’ai senti cette petite question me tarauder. 

Un vol et 73 minutes d'Uber plus tard, je me trouvai juste à l'extérieur de la prison qui détenait l'homme que j'appelais autrefois mon père. Toutes ces années sans échanger un seul mot – je ne pouvais même pas être sûr qu'il accepterait même de me voir. Mais ensuite je me suis souvenu de l'homme qu'il était, à quel point il m'aimait et adorait être père. 

Je me suis forcé à bouger et j'ai ouvert la porte. Je me suis inscrit au bureau des visiteurs et j'ai attendu. J'ai attendu que le garde sorte et me dise qu'il me verrait. Les heures passaient sans un mot, ce qui érodait ma confiance. Mais juste au moment où que j’étais sur le point de me lever et de sortir, la porte s’est ouverte et j’ai été introduit. 

La pièce était petite, chaude à cause d'une mauvaise circulation de l'air. Cela sentait la sueur et le métal, avec une touche d'eau de Javel et de soude caustique. Je suis sûr que mon père détestait le tourbillon de produits chimiques incompatibles. Je ne pouvais certainement pas le supporter, mais j'ai ravalé ma fierté et je me suis assis sur la seule chaise en métal disponible. Quelques instants plus tard, de l'autre côté de la paroi de plexi, il entra d'un pas nonchalant.

Son regard était fixé sur le sol, mais je pouvais distinguer les signes de vieillissement sur son visage, sans doute dus au stress et au temps passé près des murs moisis. 

Je me suis penché en avant, j'ai décroché le combiné de l'interphone. J'ai attendu qu'il en fasse de même. Et quand il l’a fait, il m’a finalement regardé. 

Tellement d'années. Tant de souvenirs entre nous. Et une seule question. 

"Alors papa," commençai-je, " tu t'es jamais demandé où ce que j'avais caché le septième corps ?"

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10 déc. 2023

842. Pourquoi les occidentaux incitent-ils aux génocides ?

 

POURQUOI LES OCCIDENTAUX INCITENT-ILS AU GÉNOCIDES ?
Les Israéliens et les Ukrainiens sont les seuls « nazis d'extrême droite ». Mais l'établissement libéral les aime. Pourquoi ?
(Article de Kevin Barett)

Au cas où vous ne l'auriez pas remarqué, les médias libéraux, et l'establishment mondio-libéral derrière eux, détestent les « extrémistes de droite ». Depuis 2016, lorsque Trump a été élu sur la base d'un programme de contrôle des frontières, « l'extrémisme de droite » a remplacé le « terrorisme islamique » comme nouveau croque-mitaine. 
Vous n'aimez pas les vaccins obligatoires et les confinements liés au COVID ? Vous êtes un « extrémiste de droite » et méritez d'être censuré. Vous n'aimez pas la censure ? Vous défendez les « extrémistes de droite », vous devez donc en être un vous-même. 
Vous n'aimez pas la guerre contre la Russie ? Vous devez être un « extrémiste de droite » comme Poutine, qui est le nouvel Hitler parce qu'il n'aime pas l'endoctrinement LGBTQ et l'opération obligatoire de changement de sexe pour les tout-petits.

Dans le passé, être opposant à la guerre, pour la liberté d'expression, pour les libertés civiles et/ou pour les médecines alternatives vous plaçait sur le côté gauche du spectre. Ce sont tous des signes d'« extrémisme de droite » aujourd'hui.
Qu'y a-t-il de si terrible dans tout cet « extrémisme de droite » ? En fin de compte, tout tourne autour des Nazis. Si vous êtes favorable à la liberté d'expression, vous donnez une tribune aux Nazis. Si vous soutenez les dissidents du COVID, vous devez aimer ce type avec le tatouage à croix gammée lors du rassemblement où RFK Jr. a pris la parole. Et si vous ne soutenez pas la guerre contre la Russie et refusez de claquer des talons et de saluer Zelensky, c'est sûrement parce que vous êtes un partisan du nouvel Hitler: Vladimir Poutine.

La logique ressemble à ceci : les extrémistes de droite sont des Nazis. Les Nazis, comme nous le savons tous, commettent un génocide. Par conséquent, si nous permettons aux extrémistes de soutenir le contrôle des frontières, de s'opposer à la guerre contre la Russie, de s'exprimer sans censure et de pratiquer la médecine alternative au lieu de se masquer et de se piquer, une chose en entraînera une autre et très bientôt, ils commettront un génocide.

On pourrait dire que c’est la nouvelle théorie des dominos.

Ce qui rend le tout encore plus fou, c'est qu'il n'y a en réalité que deux endroits sur Terre où des « Nazis d'extrême droite » commettent un génocide : Israël sous le fuhrer Netanyahu, et l'Ukraine sous le Führer Zelenksy. 
Mais les médias libéraux, malgré leur haine apparente envers les Nazis d'extrême droite, soutiennent les deux génocides ! Les efforts de Zelensky pour assassiner et expulser le peuple russophone de l'est de l'Ukraine, et anéantir la culture de tous ceux qui restent, sont un cas d'école de génocide et un descendant direct du projet lebensraum d'Hitler avec son plan d'assassinat et d'expulsion de millions d'esclaves. 
Et la tentative encore plus sanglante de Netanyahu d’assassiner et d’expulser les Palestiniens est bien pire – probablement pire que tout ce qu’Hitler a jamais fait.

L'Ukraine de Zelensky et l'Israël de Netanyahu sont des régimes ultra-nationalistes fanatiques de droite, construits sur l'exaltation d'une « race maîtresse » (Ukrainiens Bandéristes/Juifs Khazars dans un cas, et tout simplement Juifs Khazars dans l'autre) et sur la diabolisation génocidaire des untermenschen (Russes chrétiens parlant russe en Ukraine, Sémites Palestiniens musulmans ou chrétiens en Palestine). Ces deux régimes sont l'apothéose de tout ce que les libéraux pro-tolérance, antiraciste et pro-multiculturalisme prétendent détester. Et pourtant, l'établissement libéral les aime et mène même une propagande pro-génocide sans arrêt en leur faveur. Que peuvent penser ces libéraux ?
 
L'empire cosmopolite

Lorsque nous enlevons le vernis d'un libéralisme de plus en plus élimé, nous constatons que le soi-disant établissement libéral n'est pas du tout libéral du tout. Ses véritables racines se trouvent dans le Trotskisme et l'Illuminisme, et non dans le libéralisme classique des Lumières, et son objectif final est une dictature mondiale totalitaire. C'est du moins l'argument du nouveau livre de Peter Myers, The Cosmopolitan Empire .

Selon Myers, depuis que le siècle des Lumières a explosé en Révolution française et obscurci ce pays, les forces non conservatrices ont été fondamentalement divisées en deux camps. Le premier camp, celui des réformistes, comprend les libéraux classiques, les socialistes démocrates, les libertaires modérés et d'autres qui recherchent un changement progressif et pacifique. Le deuxième camp est constitué de Nihilistes, c'est-à-dire de ceux qui cherchent une rupture nette avec l'ordre actuel par la destruction créatrice afin de pouvoir construire une dictature mondiale sur les ruines. 
Myers retrace ce groupe depuis les Illuminati d'Adam Weishaupt en passant par le communisme marxiste et enfin jusqu'au néo-trotskysme qu'il considère comme la véritable force animatrice derrière l'establishment pseudo-libéral d'aujourd'hui.

Il faut reconnaître que Myers n'a pas peur d'indiquer l'éléphant dans la pièce : le lien entre les Juifs et le camp nihiliste. Si les Juifs ont traditionnellement méprisé les sociétés goyim qui les abritaient et ont parfois cherché à les affaiblir, il semble naturel que certains participent, voire dirigent, des mouvements modernes qui cherchent à détruire les sociétés traditionnelles au service d'une vision utopique qui n'est pas sans rappeler celle de la société juive. celle qui a longtemps inspiré les nombreuses saveurs du millénarisme messianique juif. Cette vision utopique postule un Messie qui conquiert le monde et soumet les goyim aux Juifs, faisant du monde un paradis pour les Juifs, dont chacun possèdera.2 800 esclaves goyim.

Des radicaux nihilistes ostensiblement laïcs, de Weishaupt à Lénine et Trotsky en passant par HG Wells et George Soros, ont conduit des mouvements juifs laïques de manière disproportionnée à détruire les religions et les cultures traditionnelles afin de créer un État mondial, c'est-à-dire une dictature technocratique mondiale dirigée par une élite privilégiée. Ce projet d'un monde unique, et non le libéralisme classique, semble être la force motrice de l'établissement actuel. Et c'est pourquoi l'establishment « libéral » soutient les ultra-nationalistes génocidaires en Ukraine et en Palestine occupée. Les Nazis ukrainiens (financés par des oligarques juifs) ont été utilisés comme armes contre la renaissance de la Russie, avec son patriotisme, sa religion orthodoxe et ses valeurs familiales ; tandis que les Sio-Nazis ont été utilisés comme armes contre la civilisation musulmane traditionnelle.

L'établissement faussement libéral fait de la propagande en faveur de tels génocides et bains de sang, non pas parce que sa valeur la plus élevée est la liberté et la dignité individuelle, comme le voudrait le libéralisme classique, mais parce que ses bromures libérales ne sont qu'un écran de fumée pour un projet totalitaire de domination mondiale. 
En d'autres termes, ce n'est pas la « liberté » des enfants de deux ans de changer de sexe qui les motive. Au lieu de cela, les faux libéraux mènent une guerre contre la famille traditionnelle, base de la vie sociale traditionnelle et organique, parce qu'elle fait obstacle à leur État mondial totalitaire. De même, ils détestent Poutine, non pas parce qu'il désapprouve les drapeaux arc-en-ciel, mais parce qu'il rallie la Russie à se dresser en tant que nation chrétienne-musulmane souveraine contre une dictature mondiale imminente.

Le schéma de Myers aide à expliquer pourquoi tant de Juifs athées sont passés du Trotskisme au Néoconservatisme. Max Shpaka écrit :
"L'émergence d'un État israélien indépendant est peut-être un facteur encore plus important dans les origines du Néoconservatisme. Alors que de nombreux marxistes juifs soutenaient avec enthousiasme l'État sioniste, la gauche, plus cohérente intellectuellement, s'opposait au sionisme au motif que tous les nationalismes, y compris les nationalismes juifs, sont les ennemis de la révolution prolétarienne mondiale. 
Ainsi, les juifs de gauche qui prônaient autrefois l'internationalisme pour les nations gentilles ont été contraints d'accepter les implications de cette idéologie sur leurs propres sentiments nationalistes. Ainsi, ils avaient besoin d'une idéologie qui leur permettrait d'avoir le gâteau (en s'opposant au nationalisme gentil) et de le manger aussi (en soutenant Israël), et c'est exactement ce qu'ils ont trouvé avec le Néoconservatisme."

Les Néoconservateurs ont hérité du projet de Trotsky de détruire les nations, les religions et les familles sur lesquelles elles sont fondées, dans l’espoir que l’utopie émerge des décombres. En se faisant passer pour des libéraux – comme dans l’appel voilé de Kagan à l’assassinat de Trump sous prétexte que Trump menace la démocratie libérale – les néoconservateurs ont réussi à refaire à leur image ce qui passe pour du libéralisme.

Il n'est pas étonnant que le « Libéralisme » d'aujourd'hui soit totalitaire et génocidaire.

7 déc. 2023

841. La Maison de Dieu

 


LA MAISON DE DIEU
 
Les silhouettes des trois touristes se fondirent dans l'ombre de la hautaine obélisque avant de réapparaître au pied de l'immense et majestueux édifice puis de disparaître à nouveau entre les battants de l'imposant portique.

" Sortez ! Hors d'ici, espèces d'abominations !"
Les mots du prêtre se réverbérèrent sur les arches vertigineuses de la Basilique St Pierre, leur écho renvoyé par des centaines de mètres carrés de marbre et de porphyre. Le murmure des touristes et le cliquetis de leurs appareils photos stoppèrent net. Les têtes se tournèrent.
Le prêtre se tenait devant la Piété de Michel Ange, les cheveux couleurs de cirrus et la soutane aussi sombre que l'enclume giganto-cumulesque d'une tempête tropicale. Un trio de Trembleurs venait juste de pénétrer dans le saint des saints et se tenait debout, cliquetant, leurs nombreux mandibules remuant nerveusement.

C'étaient les premiers jours, si bien que la vue d'extra-terrestres déambulant en public était encore rare. L'un d'entre eux inclina sa tête luisante. "Nous sommes venus admirer les trésors de ce palace." dit-il.
Les yeux du prêtre s'allumèrent d'un éclair sombre. "La maison de Dieu n'est pas ouverte aux démons," répondit-il. "Ce lieu est destiné aux baptisés. À la rigueur aux porteurs de Kippas "
Les Trembleurs se concertèrent en cliquetant de plus belle. Finalement, ils firent tous trois face au prêtre en s'inclinant, leurs pattes avant s'étalant sur le sol marbré. "Alors veuillez nous baptiser, mon père !" dit celui qui semblait être le leader.
Le prêtre faillit s'étrangler. "Vous..., vous souhaitez recevoir le baptême ?" réussit-il à articuler.
Le leader des Trembleurs hocha la tête.

Le regard du prêtre vagabonda sur les créatures: multi-pattes remuant sans cesse sous leurs carapaces luisantes. Il se souvint des immenses vaisseaux montrés sur toutes les chaines de télévision, ne pouvant se poser car plus grands que des nuages et obscurcissant les villes, des nuées de petites navettes aplaties utilisées par les visiteurs afin de mettre pied à terre. 
Il expira doucement. "Donc vous souhaitez être baptisés," dit-il. "Sa Sainteté  voudra en être informée. Veuillez me suivre, mes enfants"
Les Trembleurs lui filèrent le train. "Hamdulillah, qu'Allah soit loué !" s'exclamèrent-ils.
Le prêtre bondit en se retournant "QUOI ?" hurla-t-il, les yeux ex-urbi et orbités.
- Ben quoi, c'est pas un de ses pseudos dans ce monde ?"

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4 déc. 2023

840. Le canular de l"Antisémitisme" 'est mort !

 


LE CANULAR DE L'ANTISEMITISME EST MORT !
Article d'Andrew Anglin - (Traduit et republié à partir de The Daily Stormer avec la permission de l'auteur ou de son représentant)

Le canular de l’antisémitisme a pris fin. Les Juifs ne le savent pas encore, mais c'est fini.

La transformation s'est produite si vite que je pense que les gens ne l'ont pas encore comprise :

La définition officielle de « l'antisémitisme » avant le 7 octobre 2023 était « haïr les Juifs sans raison ».
La définition de « l'antisémitisme » post-7/10 consiste à « dire que les Juifs devraient arrêter de tuer des bébés ».
C'est une transformation vraiment massive, un changement radical.

Je sais que la plupart des non-juifs ne le comprennent pas, mais ce qui est encore plus fou, c'est que la plupart des juifs ne semblent pas le comprendre non plus.

Les Juifs souffrent d'une psychose dans laquelle ils considèrent toute critique de leur comportement comme de la « haine ». Je suis censé être le plus grand antisémite du monde, mais tout ce que j'ai fait, c'est critiquer leur comportement. Cependant, les Juifs avaient un certain degré de déni plausible en ce qui concerne leur programme visant à imposer l'homosexualité aux enfants, ou leur programme visant à inonder les pays blancs d'immigrants non blancs pauvres et analphabètes. Ils pouvaient aussi prétendre que ces choses étaient bonnes.

Aujourd'hui, ils adoptent la même approche (« si vous critiquez notre comportement, cela signifie que vous nous détestez, et donc vous êtes mauvais »), mais ils adoptent cette position dans le contexte de « nous massacrons des enfants ».
Fondamentalement, ils ont détruit de façon permanente tout le racket antisémite.

C'est vraiment irresponsable de leur part. Cela leur a donné tellement, tellement de pouvoir, et ils l'ont simplement gâché.
Echouer si près du but, mon Dieu...

« Les gens nous détestent sans raison parce que nous tuons des enfants » n'est tout simplement pas une stratégie de relations publiques viable, bande de connards.

Article du New York Times
Des étudiants juifs ont déposé une plainte fédérale en matière de droits civiques accusant l'Université de Californie d'avoir permis « la propagation incontrôlée et de longue date de l'antisémitisme » sur son campus de Berkeley .
Le procès affirme que la haine des Juifs a « débordé » suite à l'attaque sournoise du groupe terroriste Hamas contre Israël le 7 octobre – citant même les déclarations contenues dans la plainte du doyen de la faculté de droit de Cal-Berkeley, Erwin Chemerinsky , même si nous savons aujourd'hui que les gens du Hamas n'ont tué aucun bébé, éventré aucune femme et que la plupart des supposés 1200 tués israéliens l'ont été par les hélicoptères et les chars Merkava israëliens conformément à la doctrine Hannibal israëlienne. Même si l'on sait aujourd'hui que l'unique but du Hamas était de prendre des otages à échanger contre les quelques 6000 palestiniens emprisonnés sans jugement et donc eux-mêmes otages des sionistes israëliens.
Dans la plainte déposée mardi devant le tribunal du district de Californie du Nord à San Francisco, les plaignants représentant les étudiants juifs – le Centre Louis D. Brandeis pour les droits de l'homme sous la loi et les Juifs américains pour l'équité dans l'éducation – ont noté qu'une vingtaine de groupes d'étudiants interdisaient les orateurs sionistes.
Cette interdiction constitue une discrimination flagrante dans la mesure où presque tous les Juifs s'identifient comme sionistes ou croyants en l'État juif d'Israël, indique la plainte.

Ouais, c'est… c'est très déroutant. La croyance au sionisme n'est pas un trait inspiré, comme le fait d'avoir la peau noire ou les yeux bridés. C'est un choix, et soutenir le sionisme est un comportement. Par conséquent, si être contre le sionisme est de l'« antisémitisme », alors, par définition, « l'antisémitisme » ne signifie pas « haïr les Juifs sans raison ».

Ils ont pu s'en tirer sans problème alors qu'ils pouvaient se cacher derrière l'Holocauste. Cela n'avait pas besoin d'avoir de sens, car ils pouvaient montrer simplement la photo d'un homme tatoué et dire « mon oncle a été transformé en abat-jour ». Ils ont pu utiliser l'exploitation émotionnelle pour intimider les gens et les faire taire.

Tout est en train de se dévoiler.

Depuis le 7 octobre, l'antisémitisme sévit dans l'école, indique la plainte, citant de nombreux incidents d'intimidation, de harcèlement et de violence physique contre des étudiants juifs.
Par exemple, lors d'un des nombreux rassemblements organisés à l'Université de Berkeley pour célébrer le Hamas , un étudiant juif drapé dans un drapeau israélien a été attaqué par deux manifestants qui l'ont frappé à la tête avec une bouteille d'eau. en métal.

Mais il a été attaqué parce qu'il était drapé dans un drapeau israélien, un drapeau qui équivaut désormais à un massacre d'enfants. Il n'a pas été attaqué parce que « les gens le détestent sans raison ».

Les étudiants et professeurs juifs reçoivent également des courriers haineux appelant à leur gazage et à leur meurtre . De nombreux étudiants juifs déclarent avoir peur d'aller en cours, indique la plainte.
Des manifestants pro-palestiniens – qui scandent fréquemment « Intifada, Intifada » et « Du fleuve à la mer, la Palestine sera libre » – ont perturbé un rassemblement de prière d'étudiants juifs, selon la plainte.

Oui.
Les gens pensent que les Juifs devraient restituer les terres volées. C'est une position politique. Cela n'a rien à voir avec la « haine ».

Le terme « antisémitisme » n’a jamais eu de sens. Cela n'a toujours été qu'un moyen de protéger les Juifs des critiques en disant que quiconque critiquait les Juifs les détestait sans raison.

Encore une fois, j'ai été qualifié par l'ADL de « l'antisémite américain le plus éminent ». Je n'ai pas détesté les Juifs sans raison. En fait, je suis en désaccord avec le mot « haine », car j'espère que les Juifs trouveront Jésus et se repentiront du mal qu'ils commettent. J'ai gagné cette étiquette « antisémite » parce que j'ai évoqué les Juifs.

Voici quelques exemples de comportements juifs que j’ai contestés :

Travailler à saper et à détruire la religion chrétienne
Contrôler les médias et les utiliser pour affaiblir les États-Unis
Contrôler les médias de divertissement et les utiliser pour saper les valeurs familiales et la morale fondamentale
Infiltrer le gouvernement américain et utiliser notre politique étrangère pour faire avancer le programme des Juifs, notamment en envoyant des Américains dans de nombreuses guerres au Moyen-Orient.
Production et diffusion de pornographie
Promouvoir le féminisme comme moyen de saper la famille
Promouvoir et normaliser l'homosexualité
Faire avancer l'agenda des transsexuel/les et des transsexuelles enfants
Utiliser le « mouvement des droits civiques » pour promouvoir les conflits raciaux
Pousser la censure de masse, non seulement de la critique directe des Juifs, mais de tous les agendas juifs
Promouvoir l'avortement
Faire pression pour le contrôle des armes à feu
S'engager dans des escroqueries financières axées sur l'usure à travers le système de la Réserve fédérale et Wall Street
S'engager dans une corruption politique généralisée, notamment par le biais de l'AIPAC (CRIF US), qui soudoie les politiciens qui prêtent allégeance à Israël et détruit ceux qui ne le font pas.
La liste est évidemment longue.

Et bien sûr, nous pourrions parler de ces questions. Je suis disposé à discuter de ces questions avec les Juifs et à entendre leurs explications sur les raisons pour lesquelles ils adoptent ces comportements.

Cependant, les Juifs n’ont aucun intérêt à parler de ces questions. Au lieu de cela, ils veulent simplement faire taire quiconque leur demande pourquoi ils adoptent ces comportements, c’est pourquoi ils les qualifient d’« antisémites ». Cela fonctionne parce qu’ils évoquent l’Holocauste et prétendent que quiconque n’est pas d’accord avec leur comportement envisage de les exterminer. Après tout, Hitler n’était pas d’accord avec leur comportement.

Je veux dire, regardez ce que ce méchant vieux Hitler a fait à ce pauvre vieux Magnus Hirschfeld, un juif gay qui était le pionnier des opérations de mutilation génitale !

Ce vieux méchant Hitler détestait Hirschfeld sans raison parce qu'il promouvait la pédérastie et les mutilations génitales. Point barre.

Tout le monde voit maintenant le canular de l'antisémitisme

Je dis depuis plus d'une décennie que « l'antisémitisme » est un canular. Les gens critiquent les Juifs pour leur comportement, et les Juifs prétendent alors que toute critique est de la « haine » et existe sans raison.

Mais ce que font les Juifs à Gaza est trop extrême. C'est la chose la plus extrême qu'on ait jamais faite. Peut-être que ce genre de massacre d'enfants s'est produit dans l'histoire (même si j'en doute sérieusement), mais cela ne s'est certainement jamais produit à la télévision comme celui-ci.

Si les Juifs n'étaient pas complètement déséquilibrés, ils tenteraient d'atténuer cette situation. Tous les Juifs américains s'exprimeraient dans l'espace public en disant : « Les Juifs américains ne soutiennent pas Israël et son massacre barbare ». Même s'ils sont d'accord avec cela, ils devraient dire qu'ils ne le sont pas.

Au lieu de cela, les Juifs tournent autour des chars et jurent de détruire quiconque remet en question le droit des Juifs à massacrer des enfants. Ils disent que quiconque soutient les enfants palestiniens est mauvais.

Le problème ici est le suivant : les Juifs ne peuvent pas entrer en guerre contre le monde entier. Il n'y en a pas assez.

Les seuls non-juifs qui soutiennent les juifs sont les baby-boomers, les cloportes des médias et les politiques occidentaux et ils disparaissent rapidement.

Les sondages indiquent que plus de 40 % des Américains soutiennent toujours les Juifs. Mais chez les jeunes, ce chiffre est inférieur à 20 %.

Le problème est que, avec plus de la moitié d'entre eux qui ne soutiennent pas les Juifs, nous sommes désormais dans une situation où nous pouvons parler des Juifs. On peut les critiquer sans pour autant se fermer totalement. Les partisans des Juifs sont des attardés « conservateurs » qui pensent que ces Juifs ont quelque chose à voir avec le christianisme (au-delà du meurtre de Notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ). Maintenant que nous pouvons parler des Juifs, ces « chrétiens sionistes » vont être obligés d'affronter le fait que les Juifs sont derrière les enfants transsexuels, l'immigration de masse, les droits des homosexuels, le Black Live Matter et tout ce que j'ai énuméré ci-dessus.

Une bonne partie des chrétiens sionistes sont simplement sataniques et se délectent du massacre d'innocents. Mais une autre partie d'entre eux est légitimement confuse, parce qu'ils sont stupides, et lorsqu'ils découvriront ce que ces Juifs ont fait, ils n'en seront pas très contents.

Ensuite, bien sûr, il y a le reste du monde, où toute cette histoire de « chrétien sioniste » n’existe pas.

Les Juifs ont vraiment creusé leur propre tombe.

Andrew Anglin - (Traduit et republié à partir de The Daily Stormer avec la permission de l'auteur ou de son représentant)

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Pour les Juifs, les mots ont souvent deux définitions. Il existe une définition énoncée et une définition pratique. Par exemple, la définition déclarée de « l'antisémitisme » est la haine irrationnelle des Juifs. La définition pratique est toute parole ou tout acte qui ne correspond pas aux intérêts juifs. C'est pourquoi les gens qui flattent les Juifs ne sont pas épargnés par l'accusation d'« antisémitisme » s'ils prennent le parti des Palestiniens ou s'ils font simplement la neutralité au Moyen-Orient.
De même, la définition déclarée de la « démocratie » sera quelque chose comme « gouverner par le vote majoritaire des citoyens ». La définition pratique de la démocratie est « tout ce qui est conforme aux intérêts juifs ». C'est pourquoi nous entendons constamment dire que telle ou telle chose constitue une « menace pour la démocratie », même si elle est populaire.
Il est remarquable que la vanité juive soit si totale qu'elle s'arroge le droit de définir les mots. Par exemple, le CRIF ne cesse de nous donner de nouvelles définitions formelles du « racisme ». Si la définition existante ne répond pas à leurs objectifs, ils nous donnent une mise à jour. Nous, les Gentils, devons être sûrs que nous utilisons la définition la plus récente.

Les Ashkénazes et les Séfarades haineux sont avant tout des usurpateurs. Il suffit de lire le Livre de la Genèse, la partie sur les descendants de Sem, pour savoir que cet Irakien qui se rendit en Canaan, à savoir Abraham, n'était qu'un parmi des millions de Sémites. Oui, ils étaient partout en Irak à l’époque. Et l'arabe est une langue sémitique. Le fait que l’hébreu, langue morte depuis longtemps, était également une langue sémitique et qu’elle ait été relancée par les sionistes Ashkénazes ou Séfarades ne fait pas d’eux des Sémites. Mensonges, mensonges, mensonges, haine, haine, haine.
La population juive ashkénaze est un hybride d'européens et d'asiatiques convertis au judaïsme au Moyen Âge. Les Khazars ont lancé des raids d'esclaves contre les peuples slaves blancs dont les terres bordaient leur royaume, y compris la Russie kiévienne. De la même manière que des Juifs comme Zelensky trafiquent aujourd’hui des femmes slaves blanches vers Israël pour devenir des esclaves sexuelles dans des bordels israéliens. Ce qui est vieux (ou ancien) est à nouveau nouveau.

1 déc. 2023

839. Le Héron

 


LE HÉRON
(Témoin passif…)


Flots patients et glissants d’une rivière lente
Défilent à l’ombre du reflet de l’échassier cendré,
Juché sur une patte, l’autre inerte et dressée
Semble prendre le pouls de ses émanations.
Est-il tel cet ibis, oiseau sacré de Ramsès,
Vaillant passif que rien ne distrayait ?
Une risée soudaine affole son plumage ?
Soit ! Il s’ébroue les ailes puis il change d’appui.
À coups de bec millimétrés, il se nettoie le corps
D’impures retombées qu’un vent malsain
A laissées sur ses plumes.

Immuable !

Il a vu le bleu des rivières s’empourprer d
u sang de guerres fratricides,
Vu s’affadir au fil du temps les couleurs jadis flamboyantes
D’aurores aujourd’hui voilées de pesticides,
Ressenti sur son pied les brûlures cinglantes de flots acidulés
Observé dériver en mousseuse surface les rebuts de la ville…
Mais il n’a pas de rêves, ne connaît point d’utopies,
Il est là simplement : intégré dans l’image, 
Il fait partie d’un tout.
Du haut de son échasse, il attend patiemment le pénitent docile
Qui bien innocemment viendra en sacrifice à son pied
Pérenniser sa stance.

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Merci pour votre inconditionnel soutien qui me va droit au cœur
... ainsi qu'au porte-monnaie
ou
et à très bientôt !
😍 

29 nov. 2023

838. Y.Files 43 à 49


Les Y.FILES 43 à 49



Épisode 43
(Note: La vidéo  sur Youtube ne comporte ni liens, ni sources ni vidéos annexes)

Est-ce l'humain qui a créé les maths ? Ou est-ce l'inverse ? Dans cet épisode, nous allons parler des mathématiques de l'Univers, et explorer différents phénomènes et point de vues liés aux nombres, proportions, et différents calculs.


Épisode 44
(Note: La vidéo sur Youtube ne comporte ni liens, ni sources ni vidéos annexes)

Dans Apocalypse, l'Agneau qui ouvre les 7 sceaux de l'Apocalypse a 7 yeux et 7 cornes. Que veut dire cette étrange métaphore ? C'est ce que nous allons essayer de comprendre, avec des arguments rationnels, simples et universels. La compréhension de cette partie est centrale pour mieux comprendre les temps que nous traversons, et être à la hauteur des événements.


Épisode 45
(Note: La vidéo sur Youtube ne comporte ni liens, ni sources ni vidéos annexes)

L'actualité met en avant des événements littéralement bibliques, certains diraient même, apocalyptiques. Le peuple d'Israël a une histoire mal connue, que chacun va raconter à sa façon, et le sujet polarise. Dans cette émission, on essaye d'analyser certains aspects des écritures qui peuvent apporter de la lumière sur ce que Moïse cherchait en quittant l'Égypte lors de l'Exode. Ces enseignements sont importants et apportent beaucoup de lumière sur ce qui se passe aujourd'hui.


Épisode 46
(Note: La vidéo sur Youtube ne comporte ni liens, ni sources ni vidéos annexes)

Le temps est venu d'entrer dans le vif du sujet. Pendant que le monde se divise à cause de croyances incohérentes et contradictoires, une vérité universelle nous appelle à elle, une vérité visible et audible pour ceux qui voient et entendent avec leurs yeux et leurs oreilles, et pas avec leurs cerveaux et leurs croyances... La fin des temps et proche, et celui qui va l'apporter marche déjà sur cette Terre, mais qu'est-ce que tout cela veut dire en réalité ?


Épisode 47
(Note: La vidéo sur Youtube ne comporte ni liens, ni sources ni vidéos annexes)

Les choses sont en train de changer, mais quelle direction sont-elles en train de prendre ? Jean-Pierre Petit tient à nous rappeler que 2 + 2 n'est pas égal à 5. Dans cette émission, nous parlons de BD, de science noire et du modèle Janus, et un tas d'autres sujets, avec Jean-Pierre Petit. Comme d'habitude, on essayera de voir les sujets depuis différents niveaux de hauteurs. 


Épisode 48
(Note: La vidéo sur Youtube ne comporte ni liens, ni sources ni vidéos annexes)

C'est le plus vieux débat de l'humanité, et les malentendus ou incompréhensions à ce sujet, sont à l'origine de la chute de l'humanité, et du contexte désastreux que nous traversons aujourd'hui. La question "Qui est Melchisédek" semble la question du bien et du mal. Est-il possible d'apporter de la lumière sur une des plus grandes questions de l'histoire de l'humanité ? C'est ce qu'on essaiera de faire dans ce dernier épisode du format actuel, dernier de la "Saison 1" qui aura duré 48 épisodes.


Épisode 49
(Note: La vidéo  sur Youtube ne comporte ni liens, ni sources ni vidéos annexes)

Le Soleil entre dans la fin d'un cycle, comme il le fait tous les 8 à 15 ans, mais celui-là, sera très différent pour des nombreuses raisons. Les conséquences seront géologiques (tremblements de terre, volcans...), météorologiques (ouragans, vagues de froid, tempêtes...), humaines (résonances de Schumann), et évidement, sociales et technologiques. Le monde ne sera plus le même après cette période, que la Bible appelle Apocalypse... Venez découvrir pourquoi.

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Un super grand merci à Leo, Rudy et Niko
du site des DéQodeurs et des Ambassadeurs du Nouveau Monde ADNM pour leur énorme travail de réinformation et d'éveil.


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