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30 sept. 2024

954. Sarah Jane Iffra - Parodies"illicites"

 



SARAH JANE IFFRA
PARODIES "ILLICITES"

Sarah Jane Iffra s'écarte des sentiers battus de la scène musicale française, souvent occupée par des artistes subventionnés qui évitent de susciter la polémique. Elle choisit, au contraire, d'employer sa musique comme un vecteur d'engagement. En réécrivant les paroles de chansons françaises emblématiques, elle exprime son mécontentement et son point de vue sur les enjeux politiques et sociaux actuels. Refusant de bénéficier de subventions artistiques ou de se taire face aux injustices, elle se démarque clairement dans l’univers musical.
Cette approche se reflète particulièrement lorsqu'elle aborde des sujets tels que les mesures sanitaires imposées lors de la pandémie. Sarah Jane s'élève contre la conformité dans le monde artistique, dénonçant les chanteurs qui, selon elle, se rangent du côté des autorités en imposant des restrictions comme le Pass sanitaire. Avec des textes teintés d'ironie et une voix puissante, elle incite son public à remettre en question les normes établies, refusant de s'enfermer dans une pensée dominante.
Au cœur de sa démarche, la revisite des standards de la chanson française occupe une place de choix. Des morceaux comme "La Vie en Rose" ou "La Bohème" sont revisités par l'artiste pour y insérer ses propres messages politiques et sociaux. Dans sa version de *Emmenez-moi*, renommée "Délivrez-nous", elle évoque avec intensité la quête de liberté face aux restrictions jugées excessives. Les textes, réinterprétés avec audace, capturent l'essence des chansons d'origine tout en y intégrant un souffle de révolte contemporaine. Et dans “Mon malaise à moi" est un clien d'oeil à l’affaire Trogneux.
Le parcours de Sarah Jane Iffra est celui d'une artiste qui refuse de sacrifier sa liberté de parole pour se conformer. Pour elle, l'art est une forme de combat, une manière de secouer les consciences et de susciter la réflexion. Sans compromis, elle choisit de mettre en avant ses convictions, même si cela signifie faire face à des défis. Sa musique, loin d'être simplement un divertissement, devient un appel à la réflexion et un cri de résistance contre un système qu'elle juge injuste.

Vous trouverez ci-dessous 6 vidéos des parodies engagées de Sarah Jane, les cinq premières vidéo regroupant chacune 4 pépites et la dernière regroupant les 20 titres en une seule vidéo.
Puis à suivre, l'interview accordée par Srah à Mike Borowsky de géopolitique profonde ce 28 Sptembre 2024. Bonne écoute !
 
Liberté d'expression - Chemtrails - Vaccins - Décadence - LGBTQIA et plus...

1. Jean Michel (Gabrielle de Johnny Halliday)
2. Pauvre France (Douce France de Charles Trenet)
3. Oublie-moi, forever (Magnolias forever de Claude François)
4. Les JO de Paris (Sous le ciel de Paris d'Edith Piaf)


5. Ton avis ne m'apprend rien (La vie ne m'apprend rien de Balavoine)
6. Mon malaise à moi (Mon manège à moi d'Edith Piaf)
7. Encore 1 Vac Sain (Encore 1 matin de JJ Goldman)
8. Yo tant pis (Oh, Gaby d'Alain Bashung)


Vidéo 9 à 12 (0h12m)
9. La liberté de s'exprimer (Les p'tits papiers de Serge Gainsbourg & Régine)
10. Est-il mort le soleil ? (Il est mort, le soleil de Nicoletta)
11. Y'a pas moyen, poulet ! (Sarah vs Aya Nakamura)
12 . Un homme qu'on méprise (Comme ils disent de Charles Aznavour) 


Video 13 à 16 (0h19m)
13. Machistador / Con qui s'adore (Conquistador de M)
14. Bla Bla Bla (C'est comme ça des Rita Mitsouko)
15. Top Model (Gitane de Félix Gray)
16 . La Complainte de l'artiste (Le Blues du businessman de Starmania/Balavoine)


17. Paname Paname - Paris poubelle (Padam padam d'Edith Piaf)
18. Encore pas d'accord (Encore et encore de Francis Cabrel)
19. La lev'rett (La boulette de Diam's)
20 . Soirées parisiennes (Nuits parisiennes de Louise Attaque)


La Compil des 5 vidéos ci-dessus en une seule
Compil des 20 titres (1h16m)
1. Jean Michel (Gabrielle de Johnny Halliday)
2. Pauvre France (Douce France de Charles Trenet)
3. Oublie-moi, forever (Magnolias forever de Claude François)
4. Les JO de Paris (Sous le ciel de Paris d'Edith Piaf)
5. Ton avis ne m'apprend rien (La vie ne m'apprend rien de Balavoine)
6. Mon malaise à moi (Mon manège à moi d'Edith Piaf)
7. Encore 1 Vac Sain (Encore 1 matin de JJ Goldman)
8. Yo tant pis (Oh Gaby d'Alain Bashung)
9. La liberté de s'exprimer (Les p'tits papiers de Serge Gainsbourg & Régine)
10. Est-il mort le soleil ? (Il est mort, le soleil de Nicoletta)
11. Y'a pas moyen, poulet ! (Sarah vs Aya Nakamura)
12 . Un homme qu'on méprise (Comme ils disent de Charles Aznavour) 
13. Machistador / Con qui s'adore (Conquistador de M)
14. Bla Bla Bla (C'est comme ça des Rita Mitsouko)
15. Top Model (Gitane de Félix Gray)
16 . La Complainte de l'artiste (Le Blues du businessman de Starmania/Balavoine)
17. Paname Paname - Paris poubelle (Padam padam d'Edith Piaf)
18. Encore pas d'accord (Encore et encore de Francis Cabrel)
19. La lev'rett (La boulette de Diam's)
20 . Soirées parisiennes (Nuits parisiennes de Louise Attaque)

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Interview de Sarah sur GPTV
AFFAIRE TROGNEUX : SARAH JANE IFFRA SORT DU SILENCE | GÉOPOLITIQUE PROFONDE - 28/09/2024 (1h27m)

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Contacter Sarah Jane ou réserver un concert:  ifrasoleil@gmail.com

Albums et participation aux projets: https://bit.ly/3ubNCVN

Sarah Jane sur Telegram:  https://t.me/sarahjaneiffra

Sarah Jane sur X/Twitter: https://x.com/SarahJaneIffra

16 janv. 2024

854. Crock of Gold - Tribute to Shane MacGowan

 

CROCK OF GOLD
A FEW PINTS WITH SHANE MacGOWAN (1957-2023)

Le chanteur des Pogues, décédé à l’âge de 65 ans, aura marqué l’après-punk avec sa verve alcoolique et une certaine idée de la grandeur dans la décadence.

C’est au milieu des années 1980, alors que dans les cendres du punk ne résistaient que quelques braises, et que nouveaux romantiques et gothiques rivalisaient en falbalas en se crêpant mutuellement le chignon, que les Pogues ont débarqué d’une zone de la musique jamais encore explorée. Et pour tout dire peu ragoûtante au regard de l’esthétique aseptisée de l’époque. Avec, au beau milieu de la photo, la bouille hilare et édentée de Shane MacGowan, leur chanteur, à l’allure digne d’un personnage jailli des bas-fonds londoniens de l’ère victorienne, de ceux plus prompts à s’essuyer la morve du nez sur un revers de manche qu’à sortir un mouchoir en titubant vers la prochaine taverne une goualante aux lèvres.  (Les Inrockuptibles)

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Shane MacGowan, chanteur de The Pogues et des âmes enivrées, est mort en Novembre dernier.
Shane MacGowan, chanteur du groupe de punk celtique The Pogues, décédé à l’âge de 65 ans, usait de sa voix de barde ivre pour interpréter des ballades provocantes sur les opprimés et marginaux.
Trainant son allure échevelée, son sourire largement édenté, Shane MacGowan, qui disait n’avoir jamais été sobre depuis ses 14 ans, titubait régulièrement sur scène, comme en écho aux personnages dont il chantait les déboires.
Ses paroles, marquées par les légendes celtiques, racontaient la vie des Irlandais et de leur diaspora, sur une musique mélangeant rythmes irlandais et énergie punk.
Avec The Pogues — dont le nom vient de l’expression en gaélique irlandais « póg mo thóin » (« bise mon cul / kiss my ass») — qu’il a formé en 1982 avec le joueur de « tin whistle » (une flûte traditionnelle des îles britanniques) Spider Stacy, il connaît le succès dans les années 1980.
Le plus grand succès commercial des Pogues est Fairytale of New York, un duo de 1987 entre Shane MacGowan et Kirsty MacColl, qui raconte une romance entre deux marginaux. Cette chanson est devenue un classique de Noël en Irlande et au Royaume-Uni.
Mais les dépendances à l’alcool et à la drogue du chanteur ont rongé toute sa vie.
En 1988, le groupe est invité à faire la première partie de Bob Dylan en tournée aux États-Unis, mais Shane MacGowan, trop saoul n’arrivera jamais à prendre l’avion.
« De sa voix […] tour à tour incohérente et lyrique, à son style de vie insouciant, en passant par la rude tendresse de sa vision du monde, il est un véritable anti-héros insouciant », disait de lui le critique musical Liam Fay.
Punk en devenir
 Shane Patrick Lysaght MacGowan est né en Angleterre de parents irlandais le 25 décembre 1957, qui, avait-il affirmé, lui donnaient deux bouteilles de Guinness le soir dès ses cinq ans.
Adolescent, il obtient une bourse pour rejoindre la très élitiste Westminster school de Londres, mais en est expulsé pour possession de drogues.
À 17 ans, il est envoyé en cure de désintoxication pour une dépendance au valium.
Il se fait ensuite connaître sur la scène punk londonienne sous le nom de Shane O’Hooligan, imitant la mode des pseudonymes en vogue à l’époque chez les chanteurs, comme Johnny Rotten, Sid Vicious ou Billy Idol.
Il crée un premier groupe, The Nipple Erectors (Les érecteurs de têtons), avant de fonder en 1982 The Pogues.
Leur premier album, Red Roses for Me, sort en 1984 et le groupe fait la première partie des Clash, suivi en 1985 par Rum, Sodomy and the Lash, décrit par Spin Magazine comme contenant « une des poésies les plus pures de l’histoire du punk rock ».
Censure, gloire et déchéance
 Le groupe se fait aussi la voix politique des jeunes immigrés irlandais à Londres, anti-Thatcher et anti-censure.
En pleine période des Troubles en Irlande du Nord en 1988, leur chanson Streets of Sorrow / Birmingham Six raconte le drame de six Nord-irlandais condamnés à tort en 1975 pour un attentat à la bombe dans un pub de cette ville de l’Angleterre. Ils seront innocentés en 1991 dans ce qui est considéré comme l’une des plus grandes erreurs judiciaires du pays.
La chanson avait été interdite par le gouvernement britannique.
En 1988, le groupe sort l’album If I Should Fall from Grace with God, puis Peace and Love l’année suivante. Il est alors à l’apogée de son succès avec deux albums dans le top 5 des meilleures ventes de Grande-Bretagne.
Mais le groupe pâtit du comportement erratique et alcoolique de Shane MacGowan et il en est exclu en 1991.
« Je suis heureux de m’en être sorti vivant », confie-t-il en 2004 au journal The Guardian, alors que le groupe s’est reformé pour des concerts.
Dans l’intervalle, Shane MacGowan avait continué de chanter avec un nouveau groupe, Shane MacGowan and The Popes.
En 2016, son épouse Victoria Clarke annonce qu’il est enfin sobre même s’il n’est plus que l’ombre de lui-même, et qu’il a même fait refaire ses dents. Il avait depuis multiplié les hospitalisations. 
« Shane […] qui sera toujours la plus belle âme et le plus bel ange, et le soleil et la lune, et le début et la fin de tout, est parti pour être avec Jésus et Marie », a-t-elle écrit jeudi sur Instagram pour annoncer sa mort. (Le Soir de Belgique)


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Pour célébrer la mémoire de Shane MacGowan, décédé le 30 novembre 2023, retour sur l'itinéraire chahuté du leader des Pogues, qui insuffla l'énergie punk dans la tradition musicale irlandaise avant de sombrer dans les excès. Un portrait sans complaisance signé Julien Temple ("La grande escroquerie du rock’n’roll").
Né en 1957 de parents irlandais installés en Angleterre, Shane Patrick Lysaght MacGowan est encore enfant lorsqu'éclate à la fin des années 1960 le conflit nord-irlandais. Décidé à devenir musicien après avoir assisté à un concert des Sex Pistols en 1976, il fonde six ans plus tard The Pogues, qui s’impose vite comme l'un des groupes majeurs de la scène rock européenne grâce à un euphorisant cocktail de folklore irlandais mâtiné de punk festif. Auteur, compositeur et interprète, Shane MacGowan devient une figure du rock très populaire... et souvent titubante, entre cuites proverbiales et insouciance lunaire. L'homme au physique de pirate édenté n’hésite pas à chanter les combats de ses compatriotes dans un contexte brûlant d’agitation politique. Au début des années 1990, ses multiples addictions (alcool, amphétamines, acides) font imploser The Pogues. Il forme aussitôt un nouveau groupe, Shane MacGowan and The Popes.
Insaisissable
Ces dernières années, le punk celtique se déplaçait en fauteuil roulant suite à une chute en 2015. Il avait perdu ses dents, mais pas son rire digne d’un personnage de Tex Avery, ni son irascible personnalité. Le réalisateur Julien Temple, réputé pour ses films musicaux (La grande escroquerie du rock’n’roll, The Filth and the Fury, Joe Strummer…) éclaire les multiples facettes d’un artiste insaisissable en réunissant images d’archives et entretiens. Considéré souvent comme peu coopératif avec les journalistes, Shane MacGowan avait néanmoins accepté de répondre à quelques questions – peut-être parce que certaines d'entre elles sont posées par Nick Cave et Johnny Depp. Le portrait d’un survivant, voire d’un miraculé, parmi les plus attachants de l’histoire du rock. (Arte TV)


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22 mars 2023

739. Celtic Sounds


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