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11 août 2025

1094. Le Mystère des Poupées Russes : Ou comment transformer la réalité en cirque de haut vol


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LE MYSTÈRE DES POUPÉES RUSSES : OU COMMENT TRANSFORMER LA RÉALITÉ EN CIRQUE DE HAUT VOL.
« C'était un coup d'État, et j'utilise ce terme au sens littéral… Un crime odieux après l'autre. » — Stephen Miller (Haut Conseiller présidentiel à la Maison Blanche)

Pauvre Amérique, cette grande nation qu'en a ras-le-cul d’être prise pour un asile de fous, gavée d’absurdités jusqu’à l’écœurement ! La réalité, ce concept désuet où qu’on s’accorde sur ce qui se passe vraiment, exige – tenez-vous bien – une vérité qui tient la route. Sans ça, c’est la dégringolade dans le chaos, un fiasco monumental où tout part en vrille. Et devinez quoi ? On y est. Accrochez-vous pour le feuilleton RussiaGate, un chef-d’œuvre de mensonges tellement grossiers qu’ils mériterait un Pinocchio d'Or à la Mostra de Venise. 

Tout commence avec cette salope satanique d'Hillary Clinton, dans un élan pathétique pour sauver sa campagne bancale de 2016. Ses petits courriels compromettants se retrouvent dans les pattes de Julien Assange qui les balance aussi sec sur Wikileaks – ces empêcheurs de tourner en rond qui adorent faire fuiter les vilains et sales petits secrets des grands puissants. 

Bien sûr, c’était tellement plus pratique d’accuser les « méchants Russes d’un piratage imaginaire », plutôt que d’admettre qu’un insider du parti démocrate – peut-être ce pauvre Seth Rich, retrouvé trucidé d'une balle dans le dos sur un trottoir de Washington, quelle coïncidence ! – avait probablement copié le tout sur une clé USB. Un audit judiciaire l’a depuis confirmé, mais bon, pourquoi s’embarrasser des faits ? Chaque mensonge a fait germer un scepticisme délicieux, attisant scandales et polémiques comme certain feu de forêt broussailleuse dans les Corbières. 

Hillary, tel un chef d’orchestre machiavélique, a embarqué Obama et ses agences dans son cirque, sans oublier le parti démocrate, dont elle tenait les cordons de la bourse grâce à son « Clinton Victory Fund ». Résultat ? Un échafaudage de bobards si branlant qu’il menaçait de s’écrouler à la moindre pichenette. Les médias, ces toutous serviles, ont relayé l’histoire sans broncher, convaincus qu’Hillary allait rafler la mise en 2016. Les « sondages » le disaient, voyons ! Tout allait rentrer dans l’ordre : les agences reprendraient le contrôle, les carriéristes continueraient à s’en mettre plein les poches, et le spectacle continuerait, grandiose et intouchable.

Sauf que, oups, ils se sont plantés. Échec cuisant. Mais au lieu de faire profil bas, ils ont doublé la mise, empilant mensonges sur mensonges pour protéger leur château de cartes. Cet échafaudage, c’était leur maison, leur précieux parti gauchiasso-mondialiste ! Et gare à ceux qui osaient menacer ce nid douillet : ils seraient jetés dehors, laissés pour compte comme des junkies titubant sur Hollywood Boulevard, ou sur n'importe quelle autre avenue de ces villes démocrates si charmantes et si pourries à la fois.

Alors, ils ont tout fait pour torpiller Trump, le gagnant de l’élection, orchestrant une chasse aux sorcières, déclenchant une pandémie par pur opportunisme, truquant et volant l’élection de 2020, et passant quatre ans à transformer la sphère publique en un cirque grotesque, un spectacle de drag-queens non-stop, de l’Atlantique au Pacifique. Tout ça pour éviter qu’un semblant de réalité – comme l’idée révolutionnaire qu’il y a des hommes, des femmes, et que c'est leur union qui fait des bébés – ne revienne hanter leur petit monde.

Ce barnum de crimes en série, c’est l’insulte suprême à la République, la res publica, la chose publique, rien de moins. Mais, surprise, le château de cartes s’effondre. Les citoyens américains, même démocrates, commencent à ouvrir les yeux. Le mensonge, c’est fragile et malléable ; la vérité, c’est du béton armé au titane trempé, quoi qu’en dise leur nouvelle loi européenne sur la liberté des médias prétendant protéger la (leur) presse, mais permet en réalité de censurer et de réprimer les journalistes et les voix dissidentes. Loi votée par une phalange  de fachos-gauchiasseux tels que Marion Aubry, Raphaël Glucksmann ou Valérie Hayer pour le plus grand plaisir de Van Der La Hyène et de la Macronerie pestilencielle. 

Mais la vérité, elle finit toujours par gagner, même après une baston acharnée. Les médias mainstream ? Ces chaînes de télé et journaux en faillite ? Ils font l’autruche face aux révélations des ex-patrons de la CIA, du FBI et du renseignement national. Quoi, il faudra des menottes et des mises à pied pour qu’ils daignent réagir ? Vont-ils jouer les vierges effarouchées, pleurnichant, comme pour les vax Covid ou les coups d'état du Maïdan, de Roumanie ou de Moldavie, qu’ils « ne savaient rien »

Pendant ce temps, leurs empires s’écroulent, et ils jettent leurs « artistes » par-dessus bord comme du lest inutile. Pathétique. On l’avait vu venir, non, depuis combien de temps qu'on vous le disait ? Et boum, l’heure des comptes a sonné. L’échafaudage de mensonges n’est plus qu’un tas de cendres fumantes, et rajouter des brindilles n'y changera rien. Les institutions, sous une nouvelle direction, semblent enfin prêtes à faire leur job : rendre des comptes honnêtes et distribuer des claques cinglantes et conséquentes amplement méritées. Ils pourront alors rebâtir un consensus sur ce qui est vraiment réel, sur qui ils sont, et sur où ils vont. En espérant que le retour de marée ne mette pas trop de temps pour traverser l'Atlantique et atteindre nos côtes.
Mais franchement, quel cirque pour en arriver là !