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4 août 2025

1090. "RussiaGate révélé : Quand la vérité sort des poubelles du FBI"


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RUSSIAGATE RÉVÉLÉ : QUAND LA VÉRITÉ SORT DES POUBELLES DU FBI

Avec toutes mes excuses pour ma franchise, les merdias mainstream ont balancé un sacré tas de conneries, et maintenant elles le découvrent.

Voyez vous-mêmes, le grand cirque du RussiaGate, rebaptisé ObamaGate pour faire plus chic ! Parce que, bien sûr, faire tomber Trump ne suffisait pas, non, non. Il fallait aussi transformer la Russie en grand méchant loup pour que l’OTAN, cette machine rutilante de l’État profond occidental, puisse se payer une petite guerre juteuse. 

Et devinez quoi ? Ça a marché comme sur des roulettes ! Des centaines de milliers de vies russes et ukrainiennes pulvérisées, des milliards de dollars engloutis dans les poches des copains contractants du complexe militaro-industriel. Chapeau bas, quel chef-d’œuvre de stratégie !

Et puis, il y a Poutine, ce pauvre diable que les génies d’Hillary Clinton et de Macron/Starmer ont déguisé en Satan lui-même, juste pour le plaisir de saboter une décennie de relations internationales et de nous faire frôler la troisième guerre mondiale. Un grand bravo au Parti démocrate et aux démons de l'UE, qui méritent une médaille en or 24 carats pour ce fiasco planétaire ! Vraiment, quelle prouesse.

Accrochez-vous, parce que voici la vérité qui pique : le meilleur scénario pour l’Ukraine ? Que la Russie gagne, vite fait, bien fait, démantèle ce nid de « nazis » ( parce qu’évidemment, c’est exactement comme ça qu’il faut décrire ce pays), change son gouvernement « illégitime » et le ramène à l’âge de pierre, quand il était juste un petit voisin sage qui ne dérangeait personne. Trop mignon, non ?
Poutine, ce saint homme, a enduré les délires psychotiques des USA et de l’UE avec la patience d’un moine bouddhiste. L’idée qu’il rêve de conquérir l’Europe ? Un pur fantasme sorti tout droit des cerveaux en surchauffe des néoconservateurs, ces brillants stratèges qui ne jurent que par l’OTAN pour piller les ressources russes. Parce que, bien sûr, quand James Baker a promis à Gorbatchev en 1990 que l’OTAN ne s’étendrait « pas d’un pouce » vers l’est, il voulait évidemment dire : « Allez, on va coller des bases militaires et des missiles sous le nez de la Russie avec seize nouveaux copains dans l’OTAN. » Génial, non ? Un plan sans faille.

Et puis, l’Ukraine, ce pion parfait. En 2014, les USA l’ont secouée comme un prunier, ont installé des marionnettes à leur solde, l’ont gavée de fric américain, saupoudrée de laboratoires d’armes biologiques (parce que pourquoi pas ?), de centrales d'achat de gosses destinés aux pedophiles et de blanchiment d’argent. Zelensky, ce grand visionnaire, a reçu le feu vert pour bombarder les ukrainiens russophones du Donbass, et Poutine, après des années à ronger son frein, a dit « stop » en 2022. 

Résultat ? Une guerre prolongée par des drones et des satellites américains, mais, oups, les Russes aussi ont appris à jouer avec des jouets high-tech. Et maintenant, l’Ukraine manque de soldats et d’armes, mais bon, elle a toujours ses drones, c’est déjà ça.

Trump, ce grand pacificateur, avait promis de régler la guerre en trois minutes. Apparemment, il a confondu avec le temps de cuisson d’un hamburger. Aujourd’hui, il tape du poing sur la table, donne des ultimatums ridicules (douze jours, sérieux ?), et menace Poutine de sanctions, comme si que la Russie n’avait pas déjà prouvé qu’elle s’en tapait royalement le coquillard. 

Poutine, lui, doit bien se marrer en sirotant le truc qui sort de son samovar. Et pendant ce temps, on nous vend l’idée que Trump et Poutine ne veulent pas d’une guerre plus large que ce qu'elle est maintenant. Parce que, surprise, la Russie, malgré tous les efforts pour la diaboliser, fait toujours partie de la civilisation occidentale ! 

Qui l’eût cru ? Après l’échec de l’URSS, elle voulait juste rejoindre la grande foutaise économique européenne, mais non, les néocons et leurs putes mondialistes, probablement inspirés par les délires impériaux britanniques, ont dit : « Plutôt détruire la Russie ! » Résultat : l’Allemagne et la France se sont tiré une balle dans le pied économiquement. Bien joué, tout le monde.

Oh, et cerise sur le gâteau : le RussiaGate s’effondre comme un château de cartes. Grâce à Kash Patel, le nouveau shérif du FBI, et Tulsi Gabbard, qui déterrent des preuves juteuses dans les poubelles du renseignement, on découvre que tout ça n’était qu’une farce montée par cette salope de Clinton. Une farce qui a muté en monstre, avec des mensonges en cascade : Covid-19, les élections de 2020, le 6 janvier…

Les principaux organes de presse mainstream, complices du RussiaGate, refusent de publier ou de diffuser les récentes découvertes sur la manière dont le canular s'est transformé en un gros tas de mensonges qui a pris le contrôle de la moitié du pays et a conduit à une série d'autres canulars malveillants, dont l'opération Covid-19, le vol des élections de 2020 et les poursuites judiciaires du 06 Janvier au Capitole. 

Aux USA, ils peuvent pas faire grand chose contre les perfides journaux New York Times et Washington Post, car le Premier Amendement les autorise à publier des mensonges dans les limites des lois sur la diffamation. Mais les chaînes de télévision, CBS, CNN, ABC, ont des obligations supplémentaires envers l'intérêt public en vertu de la réglementation sur la radiodiffusion et pourraient perdre leurs licences. Et franchement, ce serait le moindre des châtiments. 

Bref, on est dans un sacré bourbier. Arrestations, poursuites, et Trump qui joue les gros bras avec Poutine tout en soutenant Zelensky. Les révélations du RussiaGate pourraient lui donner une porte de sortie. En fait, les preuves incriminantes du Russia/Obama Gate sortent tellement vite que Trump n'a plus besoin de 50 jours pour son ultimatum, 10 à 12 jours d'atomes ultimes devraient suffire pour faire tomber le château de cartes et faire basculer l'opinion des peuples américains comme européens en faveur de la Russie. 

Mais soyons honnêtes : avec ce cirque, la seule chose garantie, c’est qu’on n’a pas fini de s’arracher les cheveux.