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18 mars 2021

482. Après l'Hydroxychloroquine, voici la mise à mort de l'Ivermectine !


Big Pharma est en train d’enterrer l'Ivermectine !
Comment Big Pharma est en train d’enterrer méthodiquement la très efficace Ivermectine !
Cher(e) ami(e) de la vie, si vous pensez encore qu’il n’y a pas de "complot", lisez qu'est-ce qui est là dessous:

Il y a quelques jours, Emmanuel Macron a fait autoriser la prescription d’un médicament "innovant" à plus de 1.000 euros le traitement.
Ce médicament, appelé "Bamlanivimab", est très controversé :
Il n’a même pas passé la phase 2 des expérimentations (normalement un médicament doit avoir passé la phase 3 pour être autorisé) ;
Les tests préliminaires ne montrent pas d’efficacité probante… et on sait déjà que ce médicament sera inefficace contre les nouveaux variants ; Il doit être prescrit à l’hôpital, donc bien après le début des symptômes, alors qu’il n’a de chances d’être efficace qu’au début de l’infection ;
Et pour couronner le tout, c’est le genre de médicament qui favorise l’apparition de nouveaux variants[1](Les liens vers les sources [numérotées] se trouvent également tout en bas de ce post si vous voulez les copier. Je vous recommande d'ouvrir ces [liens] au fur et à mesure de la progression de votre maladie incompréhension lecture si vous voulez tout bien tout comprendre)

Bref, il n’y a vraiment aucune bonne raison d’accorder une "autorisation temporaire d’utilisation" ou ATU à ce médicament. 
Mais c’est pourtant ce que vient de faire l’Agence du Médicament.
"Une autorisation temporaire d’utilisation délivrée sur un niveau de preuve aussi faible, c’est probablement du jamais-vu"[2], a déclaré le Pr Mathieu Molimard, chef de service de pharmacologie clinique au CHU de Bordeaux.

Alors pourquoi avoir fait une chose pareille ?
Pour une seule raison : il y a derrière ce médicament un Big Pharma au lobbying puissant, le laboratoire Eli Lilly.
Les grands laboratoires comme Eli Lilly ont des relais chez les "grands pontes" de la médecine, les politiques et les hauts fonctionnaires bien placés.
Généralement, on ne sait pas trop qui a corrompu qui ni qui a influencé qui.
Mais ici, on en a appris de belles ! 
Figurez-vous que parmi les grands directeurs du laboratoire Eli Lilly, on trouve une certaine Béatrice Cazeneuve
Or, tenez-vous bien[3] :
Son mari, Jean-René Cazeneuve, est député LREM, le parti d’Emmanuel Macron ;
Son fils, Pierre Cazeneuve, est conseiller technique à l’Élysée ;
Sa fille, Marguerite Cazeneuve, était cheffe du pôle santé, solidarités et protection sociale auprès du Premier ministre Jean Castex.
Comme cela a été résumé sur twitter :
"Donc le médicament miracle identifié par Macron qui ne marche pas (1) est commercialisé par Eli Lilly, dont la directrice des nouveaux produits France (2) est l’épouse d’un député LREM (3), la mère de l’adjoint au chef de cabinet de l’Élysée (4) et de sa conseillère santé (5)." [4]
Et comme si cela ne suffisait pas, le mari de la fille, Marguerite Cazeneuve, est le très influent Aurélien Rousseau, patron de l’Agence Régionale de Santé (ARS) d’Ile-de-France !!
Et voilà comment un médicament à 1.000 euros, inefficace et risqué, a été approuvé rapide sur le gaz par nos autorités. 
C’est honteux !

Mais ce qui est beaucoup plus grave, c’est que ce sont les mêmes autorités qui bloquent un traitement pas cher, qui sauve des vies.
Et "en même temps", le gouvernement refuse l’efficace Ivermectine à 8 euros !
Croyez-le ou non, mais l’Ivermectine n’a toujours pas reçu de "recommandation temporaire d’utilisation" (RTU).
Elle ne peut donc toujours pas être prescrite largement par les médecins contre la Covid-19. 
Comme des milliers de médecins et de scientifiques le disent depuis des mois, c’est pourtant un remède à l’efficacité extraordinaire contre la Covid-19. 
Plus de 40 études scientifiques ont prouvé son efficacité au-delà de tout soupçon, à tous les stades de la maladie : en prévention, dès le début de l’infection, et même à l’hôpital.
Des grands médecins du monde entier se sont élevés pour recommander ce traitement salvateur :
L’Alliance FLCCC aux États-Unis, menée par le Dr Kory, qui a témoigné en décembre dernier de l’efficacité hors norme de l’Ivermectine devant le Sénat américain[5]
Le groupe BIRD en Grande-Bretagne, emmené par la Dr Tess Lawrie, qui vient de publier un rapport d’expert de 105 pages en faveur de l’Ivermectine[6]
Le Dr Andrew Hill, consultant pour l’Organisation Mondiale de la Santé, qui a réalisé une revue d’études concluant à une probable réduction de la mortalité de 75 %[7]
Au Japon, l’association médicale de Tokyo a recommandé publiquement ce médicament[8]
En France, c’est le courageux Dr Gérard Maudrux qui a rédigé une synthèse implacable de toutes les preuves de l’efficacité de l’Ivermectine[9]



Plusieurs États dans le monde ont déjà autorisé massivement ce traitement, avec d’excellents résultats :
L’État indien Uttar Pradesh, qui a distribué un "kit" anti-Covid-19 à base d’Ivermectine et de zinc ;
Au Mexique, l’État du Chiapas et la ville de Mexico ont fait reculer l’épidémie et la mortalité de façon magistrale avec l’Ivermectine ;
Tout récemment, dans l’Union européenne, la Slovaquie et la République tchèque ont approuvé ce traitement. 
Mais dans la plupart de pays occidentaux, sous influence de Big Pharma, RIEN.

Il y a quelques semaines, à l’Assemblée nationale, le ministre Olivier Véran s’est même cru permis de ridiculiser la députée Martine Wonner à ce sujet. 
La député Wonner avait courageusement interpellé le Ministre sur l’Ivermectine… et Olivier Véran lui a répondu par la moquerie, en invoquant des remèdes à l’eau de javel, en référence à Trump ! 
Il a fallu que des associations traînent l’Agence du Médicament devant les tribunaux pour qu’elle daigne accepter d’examiner le dossier de l’Ivermectine[10]
Et le pire, c’est que je pense déjà connaître la réponse de l’Agence, prévue pour fin mars : malgré l’avalanche de preuves scientifiques en faveur de l’Ivermectine, il est à craindre que l’Agence du Médicament lui oppose un refus – comme elle a opposé un refus injustifié pour l’Hydroxychloroquine. 
Car les mêmes manipulations sont à l’œuvre : corruption au plus haut niveau et manipulation de la science. 

Lisez-bien ce qui suit : ce qui s’est passé sur l’Hydroxychloroquine est en train de se reproduire, sous nos yeux !!! 
Je suis sincèrement sidéré, en plus d’être révolté, car l’Ivermectine était une cible beaucoup plus difficile à balayer que l’Hydroxychloroquine. 
Je vais vous expliquer pourquoi.
Il était pourtant beaucoup plus difficile de nier l’intérêt de l’Ivermectine !
Mais commençons par les points communs entre l’Hydroxychloroquine et l’Ivermectine :
Les deux sont des vieux médicaments connus de longue date, figurant sur la liste des médicaments essentiels de l’OMS et déjà utilisés par des centaines de millions de personnes à travers le monde ;
Ils font partie des médicaments les plus sûrs qui existent, raison pour laquelle ils sont donnés en prévention (pas seulement en traitement), y compris à des enfants et personnes âgées – dans certains pays, ils sont même en vente libre, sans ordonnance ;
Ils coûtent moins de 10 euros la boîte, parce que ce sont des médicaments génériques : aucun laboratoire pharmaceutique ne peut donc faire de profits avec ces molécules ;

Contrairement aux médicaments haut de gamme mais inefficaces et dangereux à 2 000 euros comme le Remdésivir ou son petit frère le Bamlanivimab , tout aussi inefficace que le premier mais soldé (sic) à  1000 euros, qui sont des médicaments expérimentaux devant être prescrits à l’hôpital, donc une fois que l’état du patient s’est détérioré, l’Hydroxychloroquine et l’Ivermectine peuvent être données par des médecins généralistes dès les premiers symptômes ;
Et, contrairement aux vaccins et autres médicaments « innovants » et hors de prix, ces deux médicaments peuvent être facilement fabriqués en masse et distribués à toute la planète très vite, sans retard ni discrimination. 

Bref, l’Hydroxychloroquine et l’Ivermectine sont, sur le papier, des remèdes parfaits pour faire face à une plandémie mondiale comme la Covid-19. 
Mais l’Ivermectine présente aussi des qualités assez nettement supérieures à l’Hydroxychloroquine :
L’Ivermectine est encore plus sûre que l’Hydroxychloroquine ! 
L’Hydroxychloroquine est très sûre à doses normales, mais peut être dangereuse en cas de surdosage… ce qui n’est pas le cas de l’Ivermectine : avec ce médicament, on n’a même pas décelé d’effet indésirable à 10 fois la dose habituelle[11]
Par ailleurs, dans de très rares cas (1/10.000), l’Hydroxychloroquine peut provoquer un trouble du rythme cardiaque – on ne connaît pas de problème de ce type pour l’Ivermectine ! 
Il n’y a donc strictement rien à perdre et tout à gagner (des hospitalisations à éviter et des vies à sauver !) à prescrire massivement l’Ivermectine en cas d’infection au coronavirus.
L’Ivermectine est nettement plus efficace que l’Hydroxychloroquine !

Quoi qu’en disent BFM TV ou l’AP-HP, il est clair que l’Hydroxychloroquine est efficace contre la Covid-19, surtout quand elle est donnée précocement. C’est la conclusion qui ressort de plus de 200 études scientifiques réalisées dans le monde[12], sans même parler des excellents résultats du Pr Raoult à Marseille. 
Mais cette efficacité n’est pas parfaite : elle est peut-être de 50 % en prévention, et entre 10 et 50 % en traitement précoce et à l’hôpital. 
C’est déjà beaucoup mieux que rien, évidemment, et il était criminel d’interdire ce médicament.

Mais avec l’Ivermectine, les résultats sont beaucoup plus spectaculaires :
En prévention, l’Ivermectine marche mieux que le meilleur des vaccins (et sur n’importe quel variant du virus), avec une réduction de plus de 90 % du risque d’infection ;
En traitement, l’Ivermectine permet une réduction de la mortalité qui peut aller jusqu’à 75 % !
C’est la conclusion des méta-analyses qui ont été réalisées sur la question, celle du Dr Andrew Hill[13] comme celle du Dr Pierre Kory[14].

(Un médicament qui traite les poux et la gale pourrait réduire la mortalité du Covid jusqu’à 75 %, selon une étude)
Il y a même eu quelques articles de presse sur cet effet spectaculaire sur la mortalité, dans le Financial Times[15] :
Ou dans le Daily Mail[16] :


Et l’Ivermectine a un dernier atout dans sa manche qui est déja longue :
L’Ivermectine montre, sans doute possible, une réduction de la charge virale ! 
Cerise sur le gâteau, contrairement à l’Hydroxychloroquine qui agit de façon différente sur la Covid-19, l’Ivermectine a un effet direct et évident sur la "charge virale".
Or la charge virale est un indicateur d’efficacité que les biologistes aiment bien, car on peut facilement le mesurer : cela permet de savoir si, grâce au médicament, vous avez moins de virus dans votre corps – et si c’est le cas, c’est la preuve qu’il a une action bénéfique ! 
Or sur ce sujet, TOUTES LES ÉTUDES montrent un effet majeur et sans équivoque de l’ivermectine.
J’invite les spécialistes à jeter un œil au tableau ci-dessous :



Résultats exceptionnels d'études en double aveugle pour l'Ivermectine[17]

C’est fou, mais les méthodes qui ont permis d’écarter l’Hydroxychloroquine sont méthodiquement appliquées contre l’Ivermectine :

Méthode 1 : censurer les études favorables ! 
Le complot – j’ose le mot – est évident avec ce qui est arrivé au Dr Kory. 
Le Dr Kory et plusieurs de ses collègues ont rédigé un article de synthèse sur l’Ivermectine, concluant bien sûr à sa très forte efficacité contre la Covid-19. 
Ils ont transmis leur article pour publication à un journal médical de premier rang, Frontiers of Pharmacology
Leur article a été évalué de façon très stricte, par trois grands experts mondiaux, dont deux membres de l’autorité de santé américaine (FDA)
Ces évaluateurs ont examiné l’article et donné leur feu vert à sa publication, car sa rigueur scientifique était incontestable. 
En janvier, la revue Frontiers of Pharmacology a donc annoncé la publication prochaine de l’article, et affiché le résumé de cet article sur son site Internet
Normalement, à partir du moment où les experts commandités par la revue ont validé l’article, plus rien ne peut s’opposer à sa publication. 
Plus rien… sauf des pressions et du lobbying au plus haut niveau
De façon hallucinante, la revue Frontiers of Pharmacology a annoncé il y a quelques jours qu’elle ne publierait pas cet article ! 
C’est du jamais vu. 
Le Dr Kory est sous le choc. 
Lui qui refusait depuis le début d’accorder du crédit aux "théories du complot" impliquant Big Pharma, il a été forcé de se rendre à l’évidence !
"J’ai essayé jusque-là d’être juste et généreux (NDLR : c’est-à-dire de ne pas voir de "complot" contre l’Ivermectine), mais là, c’est clairement de la censure, il n’y a pas d’autre explication possible. 
Il est indéfendable en science de rejeter un article revu par les pairs et accepté pour publication après trois cycles d’examen par des experts du sujet.
C’est inadmissible. Inadmissible !"[18] 
J’aimerais que vous mesuriez l’importance et l’ignominie de ce qui est en train de se passer. 
Un traitement ultra-efficace contre la Covid-19 est en train d’être censuré, à nouveau
Il faut bien comprendre les conséquences de la censure de cet article. 
Le processus "normal" est de publier des essais dans des revues médicales de premier plan – et c’est généralement sur ces articles que se basent les autorités pour trancher. 
Donc si les grands journaux médicaux, sous influence de Big Pharma, refusent de publier les articles favorables à un médicament, cela a énormément de poids dans la décision finale des autorités. 
Et c’est exactement ce qui se passe avec l’Ivermectine.

Méthode 2 : éviter de publier les études favorables ! 
Comme l’a expliqué la Dr Tess Lawrie, chercheuse indépendante et sans conflit d’intérêts:
"Il y a tout un tas d’étude sur des sites de pré-publication et les chercheurs ont toutes les peines du monde à faire publier leurs études sur l’Ivermectine. Ce qui est arrivé avec l’étude du Dr Kory est sans précédent. Il se passe donc quelque chose de très très louche. Des personnes ou des organisations très puissantes empêchent la diffusion des informations sur l’Ivermectine."[19] 
Dans le cas du journal Frontiers of Pharmacology, il leur a fallu censurer en catastrophe un article favorable à l’Ivermectine, déjà approuvé pour publication. 
Mais habituellement, la manipulation est plus facile et moins visible : il suffit de ne pas approuver une étude pour publication ! 
Comme ça, les auteurs peuvent difficilement crier à la censure : il y a toujours des raisons valables d’accepter ou refuser une étude. 
C’est ce qui s’était passé avec le Pr Raoult. Il a réalisé une étude montrant l’intérêt de son protocole sur près de 7.000 patients et a essayé de la publier dans The Lancet, journal très prestigieux (mais corrompu)…. lequel a non seulement refusé de le publier, mais choisi à la place de publier le fameux article frauduleux concluant faussement à l’inefficacité et même à la dangerosité de l’Hydroxychloroquine. 
Dans le cas le Pr Raoult, grâce à sa réputation internationale, il a fini par pouvoir publier ses études dans un autre journal médical. 
Mais dans le cas des études sur l’Ivermectine, dont beaucoup ont été réalisées par des pays en développement (Egypte, Iran, Pakistan, etc.), il est très facile aux journaux médicaux de refuser leur publication, sous des prétextes plus ou moins fallacieux. 
Et c’est ainsi que vous avez des idiots utiles, journalistes ou médecins, qui vous disent que l’Ivermectine ne marche pas, simplement parce que les essais cliniques favorables n’ont pas tous été publiés dans des revues médicales de premier plan. 
C’est ce qu’a fait "AFP factuel"[20], par exemple, dans un article d’une incroyable mauvaise foi, qui cite la Société française de pharmacologie et de thérapeutique : parmi les arguments évoqués contre l’Ivermectine, il est indiqué que les essais cliniques sont « dans la grande majorité des prépublications non validées par leurs pairs »[21]
Je répète que c’est un argument fallacieux : n’importe quel expert digne de ce nom est capable d’analyser une étude tout seul, sans avoir besoin qu’elle soit publiée dans une revue. 

Et ce n’est pas fini. 
Pour enterrer définitivement l’Ivermectine, il faut aussi publier très vite, dans de grands journaux, des études qui lui sont défavorables, du moins en apparence !

Méthode 3 : vite publier des études "défavorables" dans des journaux prestigieux ! 
Faire le Buzz sur cet avis défavorable et faux, quitte à se démentir plus tard du bout des lèvres et à heures de faible écoute une fois que le mal aura été fait.
Rappelez-vous qu’il s’est passé la même chose avec l’Hydroxychloroquine. Toutes les études en traitement précoce aboutissaient à des résultats favorables à l’Hydroxychloroquine. 
Mais faute de patients en nombre suffisant, ces résultats n’étaient pas statistiquement significatifs – ce qui veut dire qu’on ne pouvait pas conclure avec certitude à leur efficacité. 
Mais plutôt que de dire cela – "le signal est positif mais on ne peut pas conclure avec certitude" – les auteurs en conflit d’intérêts concluaient à l’inefficacité du traitement ! 
Et ces articles-là étaient immédiatement publiés, dans les revues les plus prestigieuses, et cités comme la preuve que l’Hydroxychloroquine ne marchait pas. 
Avec l’Ivermectine, cela recommence. 
Il faut dire qu’il est très facile d’obtenir un résultat "négatif" en apparence. 
Il existe une recette simple, déjà éprouvée avec l’Hydroxychloroquine : il suffit de tester un remède sur des patients jeunes et en bonne santé. 
Comme tous, ou presque, vont guérir de la Covid-19 sans problème, il est impossible d’avoir un résultat probant. 
Et c’est ce qui vient de se passer avec un essai clinique colombien publié dans le JAMA, journal prestigieux mais corrompu par Big Pharma. 
Les auteurs de l’article eux-même sont en conflit d’intérêts majeurs, avec de l’argent reçu par plusieurs grands laboratoires. 
Dans leur étude, ces chercheurs ont donné de l’Ivermectine a des patients positifs à la Covid-19 âgés de 37 ans en moyenne – donc très jeunes, et peu à risque. 
Puis, ils ont regardé l’état des patients au bout de 21 jours et… sans la moindre surprise, ils n’ont pas trouvé de différence majeure entre ceux qui ont reçu le médicament et les autres. 
Forcément, la plupart ont guéri sans problème ! 
Et les auteurs concluent faussement à l’inefficacité de l’Ivermectine ! 
Immédiatement, cette fausse étude a été bien relayée : le New York Times a publié un article sur "l’échec" de l’ivermectine, et sera sans doute suivi par les journaux français… ainsi qu’Olivier Véran pourra lui aussi brandir cette étude, comme il le faisait avec les études contre l’Hydroxychloroquine !
Mais une fois de plus, cette "étude" est une énorme manipulation. 
Sans même parler de ses défauts méthodologiques énormes, cet essai clinique est en réalité favorable à l’Ivermectine car les patients sous Ivermectine :
Ont été moitié moins nombreux à connaître une "détérioration" de leur état, selon 8 indicateurs ;
Et ont été moitié moins nombreux à recevoir de l’oxygène (à domicile). 
Comme toujours, ces résultats ne sont pas "significatifs statistiquement", faute de patients en nombre suffisant. 
Mais ils sont positifs et parfaitement cohérents avec les autres études sur l’Ivermectine ! 

Problème : une fois de plus, on monte en épingle comme "négative" une étude peu concluante statistiquement, mais globalement positive ! 
Et tous les corrompus et idiots utiles du système vont pouvoir vous dire en chœur, "vous voyez, il n’y a pas de complot, l’Ivermectine ne marche pas !"  
Alors qu’il ne fait aucun doute que l’Ivermectine est très efficace contre la Covid-19 !
Plus de 20 études randomisées le prouvent ! 
Des médecins du monde entier observent de leurs yeux son efficacité, avec des patients qui s’améliorent en quelques heures, après la prise du traitement ! 
La mortalité a chuté dans les États et les régions qui ont massivement utilisé ce médicament. 

Cette omerta, cette censure et ce sabotage, c’est CRIMINEL, HONTEUX, INSUPPORTABLE !!!! 
Transmettez ce message autour de vous. 
On ne peut pas accepter, une nouvelle fois, la censure d’un traitement qui marche. 

PS : DERNIÈRE MINUTE 
Les médecins courageux commencent à se multiplier, c’est heureux !
Tout récemment, le Pr Pierre-Jean Guillausseau, ancien chef de service à l’hôpital Lariboisière et professeur émérite à l’université Paris 7, a examiné les études en présence et conclu[22] :
"Je termine une revue sur Ivermectine et COVID-19 à paraître dans Horizons&Thérapies. Les résultats des trois méta-analyses sont tous concordants et mon analyse critique de 3 essais randomisés et contrôlés de prévention et de 20 essais randomisés et contrôlés de traitement permet de conclure sans discussion à une diminution de 92% du risque de transmission en prophylaxie par l’Ivermectine et à une diminution de la mortalité de 75%, ainsi qu’à une diminution significative de la durée d’hospitalisation et du délai de guérison grâce au traitement par l’Ivermectine de patients atteints d’une COVID-19… et pourtant ce traitement n’est ni recommandé ni même autorisé (quoi que nous ayons le droit de prescrire hors AMM sous certaines conditions)". 
Il faut savoir que l’Ivermectine n’a pas d’effets secondaires.

Message à nos politiques et à nos autorités de santé : de grâce, d’urgence donnez ou faites donner une RTU (Recommandation Temporaire d’Utilisation) à l’Ivermectine !"
Espérons qu’il sera écouté !

Transférez ce message autour de vous, et sur les réseaux sociaux ! La population doit savoir !

Sources : 

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17 mars 2021

481. Le Code de Nuremberg pour les Nuls


L’Académie de Médecine vient de publier le 9 mars 2021 un communiqué de presse déclarant vouloir rendre la vaccination l'inoculation obligatoire, en particulier pour tous les personnels soignants.

Problème: "La vaccination ou l'inoculation obligatoire qui revient à une expérimentation humaine sans consentement est contraire au Code de Nuremberg", expliquait en 2016 à la tribune des Nations Unies, Mary Holland, docteur en droit et professeur d’université.

Le code de Nuremberg s’appliquant aux expériences médicales, il s’applique donc aux vaccins produits à ARN messager Covid-19 dont l’estampille "programme de santé approuvé par le gouvernement" n’a aucune légitimité.

EN EFFET, SANS ATTENDRE LES RÉSULTATS DES ESSAIS THÉRAPEUTIQUES HABITUELLEMENT EXIGÉS, CES VACCINS INOCULATIONS N’ONT PU OBTENIR DE L’ANSM ET DE l’UE QU’UNE AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHÉ CONDITIONNELLE, CAR ELLES SONT ENCORE EN COURS D’ESSAI DE PHASE 3.
Note: L'autorisation de mise sur le marché conditionnelle est assujettie au fait qu'il n'existe aucune autre thérapie ou traitement disponible: 
On comprend mieux ainsi la raison pour laquelle l'UE et de nombreux politiciens et conseils scientifiques, ayant, comme c'est le cas en France, des liens d'intérêt très importants avec BigPharma, refusent de reconnaître des traitements tels que l'Hydroxychloroquine, l'Invermectine, la Colchicine, le Zinc et la Vitamine D qui rendraient, pour chacun d'eux, caduque cette autorisation conditionnelle !!!

Ces vaccins inoculations Covid-19 sont donc à ce jour encore expérimentales et ne respectent pas le protocole en matière de vaccins qui a été abrégé sous la fausse allégation que le Covid-19 constituerait une "pandémie mortelle" [sic!] présentant une "grave menace pour la santé publique mondiale".

En réalité, il ne s’agit ni d’une pandémie ni d’une menace pour la santé publique mondiale, tout juste une épidémie dont la létalité est de 0,05 %, loin derrière la grippe saisonnière qui n’a jamais fait l’objet de toutes les mesures coercitives que connaît aujourd’hui notre pays.

L’application des principes du Code de Nuremberg aux vaccins inoculations à ARN messagers: voici en résumé ce qu’en disait Christian Cotten,[1] psychosociologue, le 2 décembre 2020:
Une campagne de vaccination d'inoculation est organisée par la Haute Autorité de Santé de l’État français. Les vaccins inoculations utilisées sont des vaccins produits à ARN messager. Ce type de formulation n’a jamais été utilisée auparavant et les études préliminaires ne sont pas publiées. Il n’existe à ce jour aucune information disponible ni pour les scientifiques, ni pour la population, relativement à la composition précise et exacte de ces produits médicaux, pas plus qu’à leurs potentiels effets secondaires à court ou long termes, ou encore leurs séquelles handicapantes, voire mortelles.

Cette campagne vaccinale d'inoculations est une expérimentation médicale, puisque son caractère novateur conduit à ce que strictement personne ne puisse en connaître les conséquences pour les populations qui seraient les sujets de ces expérimentations.
Les expérimentations médicales sont encadrées, en droit pénal international, par le Code de Nuremberg, d’interprétation la plus stricte : un certain nombre de médecins ont ainsi été condamnés à mort en 1947 pour violation des principes de ce Code international, largement reconnu depuis cette époque.

L’article 1 du Code de Nuremberg expose ce qui suit :
"Le consentement volontaire du sujet humain à l’expérimentation est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne concernée doit avoir la capacité légale de consentir; qu’elle doit être placée en situation d’exercer un libre pouvoir de choix, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes sournoises de contrainte ou de coercition; et qu’elle doit avoir une connaissance et une compréhension suffisantes de ce que cela implique, de façon à lui permettre de prendre une décision éclairée."

Ce dernier point demande que, avant de consentir à l’expérience, le sujet doit connaître sa nature, sa durée et son but; les méthodes et moyens par lesquels elle sera conduite; tous les désagréments et risques qui peuvent être raisonnablement envisagés et les conséquences pour sa santé ou sa personne qui pourraient possiblement advenir du fait de sa participation à l’expérience. L’obligation et la responsabilité d’apprécier la qualité du consentement incombent à chaque personne qui prend l’initiative, dirige ou exécute l’expérience. Il s’agit d’une obligation et d’une responsabilité personnelles qui ne peuvent pas être déléguées impunément.

Ainsi, le fait pour toute personne qui participerait à tout acte coercitif de vaccination d'inoculation avec l’un des vaccins produits anti-Covid-19 annoncés, serait en situation de commettre une expérience médicale illégale et inacceptable en violation du Code de Nuremberg et une atteinte à l’intégrité d’autrui par administration de substances potentiellement nuisibles, en application de l’article 222-15 du Code pénal, sanctionnable par les articles 222-7 à 222-14-1 du même code.
En d’autres termes, toute institution hospitalière publique ou privée, tout médecin prescripteur, tout infirmier, qui participerait directement ou indirectement à la vaccination l'inoculation obligatoire du personnel soignant, comme cela est demandé par l’Académie de Médecine, se rendrait coupable d’un acte délictuel en violation du Code de Nuremberg selon les articles précités.

La présente vaut donc, d’une part, avertissement à l’ensemble des acteurs du système de santé, des fabricants aux médecins, infirmiers ou aides-soignants susceptibles de prêter leur concours à ces opérations d’expériences médicales coercitives fondées sur un produit dont la nocivité potentielle n’a pas été suffisamment testée à ce jour.
La présente vaut donc, d’autre part, mise en garde à tous les personnels soignants soucieux de leur santé contre une expérience médicale coercitive injustifiée au regard des droits fondamentaux garantis par le droit international et plus particulièrement le Code de Nuremberg.
Dans ces circonstances, la plainte publique et nominative contre les acteurs professionnels qui participeraient à cette expérience, directement ou indirectement, devient une nécessité éthique urgente visant à la sauvegarde de la santé de tous.
En conséquence de ce qui précède, les responsables de santé de l’Académie de Médecine doivent savoir en connaissance de cause à quelles sanctions ils s’exposent en cas de vaccination d'inoculation obligatoire des personnels soignants, celle-ci violant le code de Nuremberg, à plusieurs titres.

L’obligation vaccinale L'inoculation obligatoire est donc une imposture qui ne pourra résister un seul instant aux nombreux avocats qui étudient attentivement en France et à l’étranger ces produits à ARN messager expérimentaux.

TOUTE PERSONNE IMPLIQUÉE DANS LA MISE EN PLACE OU L’EXÉCUTION DE PROGRAMMES EXPÉRIMENTAUX DE VACCINATION D'INOCULATION OBLIGATOIRE SE TROUVERA DONC «DE FACTO» EN INFRACTION AVEC LE CODE DE NUREMBERG ET LE DROIT INTERNATIONAL. EN TANT QUE TELLE, ELLE DEVIENDRA PERSONNELLEMENT RESPONSABLE, DANS TOUT FUTUR PROCÈS INTENTÉ POUR CRIME CONTRE L’HUMANITÉ.

Messieurs Macron, Véran, Salomon et vous tous médecins vaccinateurs inoculateurs et fans de la piquouze, vous voilà désormais prévenus et venez pas nous chanter plus tard que vous ne saviez pas !

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16 mars 2021

480. Red Alert Vaks1ssination

 



Un éminent scientifique spécialiste des vaccins, Geert Vanden Bossche, qui a travaillé avec de nombreuses sociétés et organisations spécialisées dans les vaccins, dont GAVI, tire la sonnette d'alarme sur la vaccination massive des populations du monde entier avec les vaccins covid-19.
Il affirme que les vaccins covid-19 sont une médecine "brillante" et insiste sur le fait qu'ils sont efficaces au niveau individuel, mais il affirme qu'ils sont "la mauvaise arme" pour être déployés à l'échelle mondiale lorsque de fortes pressions d'agents pathogènes infectieux sont présentes. Comme il l'a tweeté le 3 mars, "Je suis EXTRÊMEMENT préoccupé par l'impact qu'auront les vaccins Covid-19 actuels lorsqu'ils seront de plus en plus déployés dans des campagnes de vaccination de masse menées dans le feu d'une pandémie. Lisez mon AVERTISSEMENT global et mes preuves scientifiques". Il donne ensuite le lien suivant pour son avertissement : bit.ly/3q89hWZ Cette URL renvoie à un document PDF que nous avons sauvegardé dans l'intérêt du public, en le postant sur les serveurs de NaturalNews à ce lien (PDF). Le document comprend des diapositives d'une présentation créée par le Dr Bossche intitulée "Pourquoi les vaccins Covid-19 actuels ne devraient-ils pas être utilisés pour la vaccination de masse lors d'une pandémie ?"
Un initié de l'industrie du vaccin qui a travaillé avec la Fondation Bill et Melinda Gates.

Avant d'aborder la présentation et sa signification, jetons d'abord un rapide coup d'œil au parcours du Dr Bossche.

Une bonne description est offerte par Dryburgh.com, qui a couvert cette histoire en détail : Geert Vanden Bossche, PhD, DVM, est un expert en recherche sur les vaccins. Il possède une longue liste de sociétés et d'organisations avec lesquelles il a travaillé sur la découverte de vaccins et la recherche préclinique, notamment GSK, Novartis, Solvay Biologicals et la Fondation Bill et Melinda Gates. Le Dr Vanden Bossche a également coordonné le programme du vaccin contre le virus Ebola à GAVI (Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination). Il est diplômé en virologie et en microbiologie, auteur de plus de 30 publications et inventeur d'une demande de brevet pour des vaccins universels. Il travaille actuellement en tant que consultant indépendant en recherche sur les vaccins. En d'autres termes, il est difficile de trouver quelqu'un qui soit plus qualifié et plus expérimenté que les initiés de l'industrie du vaccin. Il est à noter que le Dr Dossche est manifestement pro-vaccins, et non pas un soi-disant "anti-vaxxeur". Pourtant, même de son point de vue pro-vaccin, il voit des risques et des problèmes énormes dans les campagnes de vaccination de masse, même en supposant que les vaccins fonctionnent comme prévu.

Le Dr Bossche prévient que le monde est en train de créer un "monstre incontrôlable" et de transformer les vaccins en "arme biologique de destruction massive".

Voici une citation réelle du Dr Bossche : "On ne peut imaginer que très peu d'autres stratégies permettant d'atteindre le même niveau d'efficacité pour transformer un virus relativement inoffensif en une arme biologique de destruction massive". Comme l'explique Dryburgh.com : Le Dr Bossche estime que les vaccinologues, les cliniciens et les scientifiques ne se concentrent que sur les résultats à court terme au niveau individuel et non sur les conséquences au niveau de la population mondiale, qui, selon lui, deviendront bientôt évidentes. Les conséquences au niveau de la population mondiale, qui, selon lui, ne tarderont pas à se manifester, comme le fait d'avoir transformé "un virus tout à fait inoffensif en un monstre incontrôlable". Son inquiétude repose sur "l'échappement immunitaire". Pour ceux qui ont besoin d'une introduction rapide au sujet, lisez l'article de Jemma Moran intitulé Mutant variations and the danger of lockdowns.

Suite de ce site : Bossche affirme que les multiples variantes virales émergentes, "beaucoup plus infectieuses", sont déjà des exemples d'"échappatoire immunitaire" à notre "immunité innée", et ont très probablement été créées par les interventions gouvernementales elles-mêmes ; les soi-disant interventions non pharmacologiques (INP) - c'est-à-dire les confinements et les couvertures faciales en tissu. Officieusement, mais aussi plus justement connues sous le nom d'Interventions Non-Scientifiques. Il croit que :

"Les déploiements de vaccination de masse en cours sont "hautement susceptibles de renforcer l'échappement immunitaire 'adaptatif' car aucun des vaccins actuels n'empêche la réplication/transmission des variantes virales".

En conséquence, "plus nous utilisons ces vaccins pour immuniser les gens au milieu d'une pandémie, plus le virus deviendra infectieux".

Et "l'infectiosité croissante s'accompagne d'une probabilité accrue de résistance virale aux vaccins".
Il affirme que ses convictions sont des principes de base enseignés dans le premier cours de vaccinologie d'un étudiant - "Il ne faut pas utiliser de vaccin prophylactique dans les populations exposées à une forte pression infectieuse (ce qui est certainement le cas aujourd'hui puisque de multiples variantes hautement infectieuses circulent actuellement"). Il affirme que pour "s'échapper complètement", le virus hautement mutable "n'a besoin que d'ajouter quelques mutations supplémentaires dans son domaine de liaison aux récepteurs". Regardez Del Bigtree de Highwire expliquer les conséquences catastrophiques de la campagne mondiale de vaccination dans cette vidéo qui tombe à pic :

Bossche explique que les vaccins sont efficaces au niveau individuel, mais que dans l'ensemble, ils créent des risques énormes en raison de l'"échappement immunitaire".

En tant que défenseur des vaccins, Mme Bossche estime que les vaccins sont efficaces au niveau individuel et peuvent créer une immunité contre l'agent pathogène visé. Toutefois, dans l'ensemble, la vaccination massive de grandes populations lors d'une pandémie entraîne un phénomène connu sous le nom d'"échappement immunitaire", c'est-à-dire que le virus développe des variantes qui sont immunisées contre les vaccins disponibles. Cette adaptation du virus par sélection naturelle se traduit par un spectre encore plus dangereux de souches virales qui s'échappent du corps des hôtes et sont réintroduites dans la nature, désormais plus dangereuses que l'agent pathogène original que les vaccins étaient censés stopper. Dans sa présentation, M. Bossche avertit que les vaccins covidés "ne peuvent pas contrôler la réplication des variantes plus infectieuses du CoV et peuvent même entraîner une fuite immunitaire"

Il explique que l'"immunité innée" est essentielle pour arrêter le cycle de mutations et d'infections à l'origine des "trois vagues distinctes" de la maladie pandémique. Pourtant, l'immunité innée - l'immunité naturelle exprimée par les personnes qui ne sont pas vaccinées - n'est absolument pas reconnue par l'establishment médical obsédé par les vaccins et par les institutions politiques mondiales qui font actuellement pression pour une vaccination de masse à l'échelle mondiale.


L'analyse du Dr Bossche repose sur le rôle des porteurs non symptomatiques (PNS) dans l'atténuation de la propagation des souches virales infectieuses.

Comme il l'indique, lorsque les porteurs non symptomatiques sont vaccinés, cela entraîne une augmentation de l'infectiosité virale chez les porteurs non symptomatiques. En d'autres termes, lorsque vous vaccinez en masse des personnes qui ne présentent pas de symptômes, vous créez des pressions d'adaptation virale à l'échelle de la population qui se traduisent par une pathogénicité virale accrue chez les porteurs qui présentent des symptômes. La pandémie passe alors à la vitesse supérieure avec des souches plus dangereuses et de plus en plus infectieuses. Comme il le dit, "les variantes d'échappement immunitaire qui en résultent sont maintenant résistantes au vaccin". Cela rend le vaccin plus qu'inutile… il a en fait amorcé le développement de super-souches tout en affaiblissant la réponse immunitaire ultérieure lorsque de nouvelles souches sont rencontrées par des personnes précédemment vaccinées. Plus précisément, comme il le dit : "L'augmentation des taux d'infection conduit à une augmentation des taux de séropositivité transitoire dans les NACs ; la séropositivité supprime l'immunité innée parce que les Abs spécifiques aux Ag supplantent les NABs pour la liaison au CoV et empêchent la formation du système immunitaire inné. En d'autres termes, le vaccin supprime le système immunitaire tout en générant des super-souches mortelles. On se demande alors : Est-ce que c'est fait exprès ?"

Les personnes qui sont "entièrement vaccinées" sont des éleveurs de "super-souches" d'agents pathogènes covidiens encore plus mortels.

Le Dr Bossche poursuit en montrant comment des signes importants apparaissent déjà, qui laissent présager une issue catastrophique si les vaccinations de masse se poursuivent. A la page 12 de sa présentation PDF, il cite ces "observations étranges" sur la pandémie actuelle de covid-19 :
Évolution atypique / vagues de la pandémie
Émergence de plusieurs souches beaucoup plus infectieuses.
Excrétion virale (de variantes plus infectieuses) chez des sujets entièrement vaccinés.

Comme il l'explique, cela signifie que le vaccin accélère la réponse adaptative du virus qui forme de nouvelles souches beaucoup plus infectieuses et potentiellement mortelles… et que ces "super-souches" apparaissent chez des "sujets entièrement vaccinés". Il résume ce point par la déclaration suivante : "Les mesures de confinement et la vaccination de masse dans les NACs accélèrent l'échappement immunitaire INNATE alors que la vaccination de masse des non-NACs accélère l'échappement immunitaire INNATE et ADAPTIVE". Rappel : " NAC " signifie " Non-Asymptomatic Carrier ou Porteur Symptomatique ou Non-Asymptomatique ", c'est-à-dire une personne qui présente des symptômes et qui est porteuse de l'agent pathogène. Le phénomène d'"échappement immunitaire adaptatif" signifie que les vaccins exercent sur le virus des pressions d'adaptation naturelles qui aboutissent à la création de super-souches qui sont ensuite éliminées par les personnes déjà vaccinées. Or, ces personnes ne sont pas immunisées contre les nouvelles super-souches, de sorte que même les personnes vaccinées sont infectées par la nouvelle super-souche. Et comme leur système immunitaire n'a jamais eu l'occasion de vaincre activement la première souche, ils ont très peu d'espoir de réussir à combattre la nouvelle super-souche, et beaucoup de ces personnes mourront. (C'est ma conclusion, pas celle du Dr Bossche, mais son travail implique cette conclusion).

Avertissement de Bossche : "L'annulation immédiate de toutes les campagnes de vaccination de masse Covid-19 en cours devrait maintenant devenir L'urgence sanitaire la plus aiguë d'intérêt international".
Voici la lettre ouverte de Bossche à l'OMS, dans laquelle il avertit que la campagne de vaccination mondiale doit être immédiatement interrompue ou l'humanité paiera le prix du déchaînement d'un "monstre incontrôlable." Cliquez ici pour obtenir le PDF de cette lettre, maintenant en miroir sur les serveurs de Natural News.

Lettre ouverte à l'OMS : Arrêtez immédiatement toutes les vaccinations de masse Covid-19
Geert Vanden Bossche, DMV, PhD, virologue indépendant et expert en vaccins, anciennement employé par GAVI et la Fondation Bill & Melinda Gates. A toutes les autorités, scientifiques et experts du monde entier, à qui cela concerne : la population mondiale entière. Je suis tout sauf un antivaxeur. En tant que scientifique, je n'ai pas l'habitude de faire appel à une plateforme de ce type pour prendre position sur des sujets liés aux vaccins. En tant que virologue et expert en vaccins, je ne fais exception que lorsque les autorités sanitaires autorisent l'administration de vaccins d'une manière qui menace la santé publique, et plus particulièrement lorsque les preuves scientifiques sont ignorées. La situation actuelle, extrêmement critique, m'oblige à diffuser cet appel d'urgence. L'ampleur sans précédent de l'intervention humaine dans la pandémie de Covid-19 risquant désormais de déboucher sur une catastrophe mondiale sans équivalent, cet appel ne peut retentir suffisamment fort et fermement. Comme je l'ai dit, je ne suis pas contre la vaccination.

Au contraire, je peux vous assurer que chacun des vaccins actuels a été conçu, développé et fabriqué par des scientifiques brillants et compétents. Cependant, ce type de vaccins prophylactiques est totalement inapproprié, et même très dangereux, lorsqu'il est utilisé dans des campagnes de vaccination de masse lors d'une pandémie virale. Les vaccinologues, les scientifiques et les cliniciens sont aveuglés par les effets positifs à court terme dans les brevets individuels, mais ne semblent pas se soucier des conséquences désastreuses pour la santé mondiale. À moins que l'on ne me prouve scientifiquement que j'ai tort, il est difficile de comprendre comment les interventions humaines actuelles empêcheront les variants en circulation de se transformer en un monstre sauvage. Dans une course contre la montre, je suis en train de terminer mon manuscrit scientifique, dont la publication risque malheureusement d'arriver trop tard compte tenu de la menace toujours plus grande que représentent les variantes hautement infectieuses qui se propagent rapidement.

C'est pourquoi j'ai décidé de publier d'ores et déjà sur LinkedIn un résumé de mes conclusions ainsi que mon discours d'ouverture lors du récent Sommet sur les vaccins dans l'Ohio. Lundi dernier, j'ai présenté aux organisations internationales de santé, dont l'OMS, mon analyse de la pandémie actuelle, fondée sur des connaissances scientifiques de la biologie immunitaire de Covid-19. Compte tenu du niveau d'urgence, je les ai exhortés à prendre en compte mes préoccupations et à lancer un débat sur les conséquences néfastes d'une nouvelle " fuite immunitaire virale ". Pour ceux qui ne sont pas des experts dans ce domaine, je joins ci-dessous une version plus accessible et compréhensible de la science qui se cache derrière ce phénomène insidieux. Bien qu'il n'y ait pas de temps à perdre, je n'ai reçu aucune réaction jusqu'à présent. Les experts et les politiciens sont restés silencieux, tout en étant manifestement désireux de parler d'assouplissement des règles de prévention des infections et de "liberté printanière". Mes déclarations ne reposent sur rien d'autre que la science. Elles ne peuvent être contredites que par la science. Alors que l'on peut à peine faire des déclarations scientifiques incorrectes sans être critiqué par ses pairs, il semble que l'élite des scientifiques qui conseillent actuellement nos dirigeants mondiaux préfère rester silencieuse. Des preuves scientifiques suffisantes ont été apportées sur la table.

Malheureusement, ceux qui ont le pouvoir d'agir n'y ont pas prêté attention. Combien de temps peut-on ignorer le problème alors qu'il existe actuellement des preuves massives que l'évasion immunitaire virale menace désormais l'humanité ? Nous pouvons difficilement dire que nous ne savions pas - ou que nous n'avons pas été avertis. Dans cette lettre angoissante, je mets en jeu toute ma réputation et ma crédibilité. J'attends de vous, gardiens de l'humanité, au moins la même chose.

C'est de la plus haute urgence. Ouvrez le débat. Par tous les moyens : renversez la vapeur ! Lisez le reste de sa lettre ouverte à ce lien sur les serveurs de Natural News.

Le Dr Vernon Coleman se joint à la mise en garde mondiale : Les vaccins Covid peuvent "anéantir la race humaine".
Le Dr Vernon Coleman se joint également à l'avertissement mondial pour l'humanité, et dans cette vidéo critique, 
Le Dr Coleman révèle comment le vaccin covid-19 pourrait "anéantir la race humaine". Voir le site Web du Dr Vernon Coleman (VernonColeman.com).


Le podcast Situation Update de demain sera consacré à cette menace vaccinale pour l'humanité.

Mardi matin, je publierai une édition spéciale du podcast Situation Update sur Brighteon.com. Vous le trouverez sur cette chaîne : https://www.brighteon.com/channels/hrreport Dans ce prochain podcast, j'aborderai les implications mondiales des avertissements de Bossche, notamment ce qui se passera lorsque la deuxième vague de "super-souches" de covidés arrivera et commencera à tuer des personnes beaucoup plus jeunes à un rythme effarant. Ceux qui sont vaccinés seront les plus susceptibles d'être tués, bien sûr, et cela aura d'énormes implications pour :

La démographie, la politique et les élections (beaucoup plus de démocrates se font vacciner par rapport aux républicains).

Les prix de l'immobilier et les recettes fiscales locales (l'immobilier s'effondrera au fur et à mesure que la mortalité massive s'accélérera).

 La vague à venir de nouveaux lockdowns, encore plus stricts que la première vague.

La façon dont les médias d'informations vont accuser les non-vaccinés de tous les décès massifs.

Les perturbations de l'approvisionnement alimentaire et l'année à venir de pénurie alimentaire généralisée.

Les renflouements en cours, qui s'accélèrent, et les implications désastreuses de l'"économie de renflouage", où les gens sont payés pour éviter de travailler, et où l'économie est dirigée par les aides gouvernementales au lieu du travail productif.

Les conséquences de la mortalité massive à venir sur l'effondrement du marché boursier et des fonds de pension, alors que les cotisations de retraite s'effondrent et que les villes font faillite en raison de la perte de revenus provenant des citoyens productifs (taxes de vente, impôts sur le revenu, impôts fonciers).

Comment la catastrophe vaccinale mondiale conduira à un effondrement économique mondial qui commencera plus tard cette année et nous propulsera jusqu'en 2022.

Pourquoi les personnes vaccinées doivent être évitées à tout prix, car elles répandent des souches de virus mutants et infectent les autres autour d'elles.

Découvrez tout cela et bien plus encore dans le podcast Situation Update de demain, une édition spéciale consacrée à la catastrophe vaccinale désormais imminente. Et préparez-vous au pire, car l'année 2020 n'était qu'un tour de chauffe pour ce qui nous attend en 2021 et au-delà.

Cette interview du Dr Vanden Bossch est en anglais

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