Je doute sceptiquement d’être tout à fait sûr d’être certain qu’un grand nombre d’entre vous se soient suffisamment enfoncés dans la décrépitude et l’avachissement pour se souvenir de ces nénettes en complet attirail osant braver les interdits comme les éléments afin de venir mouiller le bas de leurs gambettes du côté de Deauville.
Aujourd’hui, puisque quelques ficelles de designers et autres lanières de créateurs branchés suffisent à l’élaboration de strings se faisant passer pour des maillots de bain, il me semble difficile d’imaginer – mais peut-être avez-vous vu Mort à Venise de Visconti ? - ces primates d’antan descendant les marches du casino en se trémoussant l’arrière train dans ce genre d’attirail.
Mais pour nombre d’entre elles à cette époque bénite dont je rêve encore - j’ai toujours eu une prédilection pour la dentelle et les z'années précédant celles qu'on dit folles - , les corsets faisaient partie de la routine vestimentaire quotidienne. Mais quelle galère ce devait être pour éviter les sacs de nœuds !
Et tout ça soulève fatalement tout un tas de questions existentiellement gyroscopiques comme universelles dans mon cerveau en ébullition : Pour qui donc se nippent donc ma louve d’amour et ses consœurs ?
Choisissent-elle leurs atours pour que je les remarque ? Pour allécher par leurs divines rondeurs si sulfureusement voilées l'appétit insatiable de mon vilebrequin? Ou par pure compétition avec les rivales potentielles du voisinage ?
Ouais, ben je suppose que ça ne regarde qu’elles - et vos intentions les filles - à mon égard. Je vais sûrement pas tenter de répondre à ça dans l'espace ridicule que l’enfoiré qui gère ces pages consent à me prêter dans ce Blog merdique sans queue ni tête.
Trop compliqué, trop complexe, et franchement, ce putain de truc en dentelle qui s’effiloche me taraude les côtes et il serait plus que temps que je passe une taille au dessus.