Le brésilien humide et salé de Marylou allongea ses fesses pulpeuses et ses hanches divines sur le drap de bain à côté de moi, son amant. Elle hasarda une main curieuse sous l’élastique de mon bermuda et alors seulement me rendis-je compte de sa présence.
“C’est cette nuit qu’on essaie?”, s’enquit-elle.
“Oui, c’est cette nuit. Tout est prêt mon bébé…” répondis-je, en me grattant sous l’aisselle…
Nous fîmes l’amour trois heures durant, bercés par le ressac de l’océan léchant le sable de la presqu’île à nos pieds. Le soleil était si haut et si chaud dans le ciel que nous nous prenions pour deux vibrants lézards.
Derrière nous, à cinq cents mètres, l’antique maison de feux ses parents nous servait par temps de pluie de nid d’amour malgré la peinture écaillée, les volets descellés. Dans le grenier, entourée de toiles d’araignées, ma machine à remonter le temps patientait en couinant.
Mon esprit brillant, mon génie, l’avaient conçue! – une caisse de métal bleuâtre au milieu d’un tas de vieilleries et d’un monceau de vieux outils de ferme à son père - ; connectée par des tortillons de câbles à une batterie d’ordinateurs.
“Je pourrai venir, hein dis, je pourrai venir?" me suppliait la louve, “S’il te plaît, laisse-moi venir avec toi”
J’étais fébrile de tant de caresses reçues et prodiguées, et fatigué de la dissuader, “D’accord” je lui dis, “On ira ensemble…, mais juste pour essayer, ce sera qu’un test…, on voyagera dans le passé mais juste pour quelques heures. Y aura rien de spectaculaire ou de folichon”.
Elle fit la moue en regardant sa montre, “Il est deux heures et demie, j’ai un peu faim moi, on pourrait pas remonter dans le passé jusque juste avant midi pour que je prépare ma salade?”
… la nuit même à 23h30, nous pénétrâmes dans la caisse bleue, j’avais tout programmé pour notre virée, arrivée prévue 12 heures plus tôt le jour même à 11h30. Un tout petit peu en avance pour lui laisser le temps de prendre sa petite douche avant de faire sa salade.
Nous nous regardâmes puis échangeâmes un baiser chargé de tendresse comme d’émotion, je lui entourai les reins d’un bras aimant et protecteur puis j’appuyai sur le bouton pour amorcer le voyage.
Le brésilien humide et salé de Marylou allongea ses fesses pulpeuses et ses hanches divines sur le drap de bain à côté de moi, son amant. Elle hasarda une main curieuse sous l’élastique de mon bermuda et alors seulement me rendis-je compte de sa présence.
“C’est cette nuit qu’on essaie?”, s’enquit-elle.
“Oui, c’est cette nuit. Tout est prêt mon bébé…” répondis-je, en me grattant sous l’aisselle…
… la nuit même à 23h30, nous pénétrâmes dans la caisse bleue, j’avais tout programmé pour notre virée, arrivée prévue 12 heures plus tôt le jour même à 11h30. Un tout petit peu en avance pour lui laisser le temps de prendre sa petite douche avant de faire sa salade.
Nous nous regardâmes puis échangeâmes un baiser chargé de tendresse comme d’émotion, je lui entourai les reins d’un bras aimant et protecteur puis j’appuyai sur le bouton pour amorcer le voyage.
Le brésilien humide et salé de Marylou allongea ses fesses pulpeuses et ses hanches divines sur le drap de bain à côté de moi, son amant. Elle hasarda une main curieuse sous l’élastique de mon bermuda et alors seulement me rendis-je compte de sa présence.
“C’est cette nuit qu’on essaie?”, s’enquit-elle.
“Oui, c’est cette nuit. Tout est prêt mon bébé…” répondis-je, en me grattant la cervelle…