Ben, maintenant que vous m'y faites penser, Mr.Carbone14, c'est vrai que je me suis baigné dans ce livre, et pas plus tard que l'été dernier. J'ai eu la chance - ou le malheur - de tomber dans un bac à bouquins bradés au super U pas loin de chez moi, et celui-ci flottait dessus. C'est pas parce que je vous réponds quand même, Mr.Carbone 14, qu'il faut m'prendre pour un zombie, okay? Je vous ai démasqué, pauvre tâche. En arriver à cette extrémité, mon Dieu: Commenter ses propres posts!!!!!!
Mais bon, quelle autre alternative pour votre éditeur égotiste - >ma pomme - pour prêter un peu de considération à son chef d'oeuvre? Parce ce qu'on peut pas dire que ce soit la gratitude des commentaires qui vous démangent, amis lecteurs! A part les commentaires épars - et j'espère "épris" - de B36 sur certains posts sur lesquels j'ai pas l'intention de m'attarder aujourd'hui, sur ceux d'une femme que je crois mère de famille très catholique et ceux d'une fleur épineuse - mais là, ça remonte à loin déjà - , c'est la constellation!
Je veux dire consternation...
Le compteur tourne mais j'ai l'impression qu'il tourne dans le vide!
Alors puisque c'est comme ça, puisque C14 est démasqué et que la ruse n'a même pas pris et que votre dédain est à la hauteur de ma détresse, j'ai décidé de me laisser aller et pour bien vous le faire comprendre, j'ai décidé de vous le mettre très officiellement par écrit, donc acte:
Un monde sans humour (Je m’adresse à tous sauf à toi, ma Cristalle B36 préférée)
Chers lecteurs,
Dans un ultime effort pour vous montrer ce que serait le monde sans mon blog putride et l’humour de merde qui s’y trouve, j'ai décidé de substituer tous les trucs sérieux de ce post par les mot « Lâcher, chier et caisse », leurs dérivés grammaticaux et toute locution conjonctive se prêtant au rôle imparti. Je fais ça surtout parce que tout ce que j’aurais pu dire ou laisser entendre ici sur mon Blog n’aura strictement servi à rien si on ne commence pas à me montrer un peu de considération pour avoir chié toutes ces caisses dans la blogosphère. Et croyez moi, le faire peut s’avérer parfois beaucoup plus dangereux qu’un simple lâcher de caisse.
Mais quand même pas autant que le mal qu’on peut se faire en chiant une caisse.
Alors voilà, je mets mes humeurs en grève, le temps de me donner le temps de lâcher une caisse puis de vous donner un aperçu de ce que serait votre chienne de vie si je n’étais pas là pour vous montrer comment chier une caisse convenablement. Vous ne pouvez pas imaginer ce que c’est que de savoir le nombre de gens qui rient dans mon dos sans jamais me laisser savoir qu’ils pensent que ce que j’écris est tout de même plus fartant que de passer son temps à lâcher des caisses comme ils le font chez Dechavanne, Michel Drucker ou encore chez ce grand comique redoutable qu’est Patrick Sébastien.
C’est inhumain, surtout en considérant le fait que je ne touche aucune rétribution pour lâcher toutes ces caisses.
Pensez y un instant. Le manque d’encouragement pour l’autodérision dont je fais preuve, même par ceux qui se disent mes amis, me laisse à penser que peut-être certains vont penser que ceci est un ‘vrai’ post sérieux et pas une blague et ils vont m’envoyer des commentaires me suppliant de ‘redevenir jovial’ sinon les terroristes vont me lâcher une caisse dans les narines. Ce qui serait stupide. Mais comique tout de même, je peux le concevoir.
Alors, ça vaut quoi pour vous que je continue d’être moi-même ? Pas en terme d’argent, non, mais en termes d’encouragements ? Pour le dire plus simplement, disons que je ne me sens pas de continuer plus longtemps sans un peu plus de lâchages de caisses de votre part.
Merci d’avoir suivi.
PS : Je vous chie trois caisses odorantes.
Maintenant, si vous avez le temps, vous pouvez vous amusez à reconstituer le texte original en vous servant à mes pieds, mais n'en foutez pas partout, okay?
rasé les poils de ma narine gauche avec une lame de cutter rouillé puis avoir sniffé du gros sel avant d’éternuer le mélange de morve sanguine et salée
regarder une cage emplie d’une meute de lions affamés montrant les crocs à un singe agoraphobique couvert de harissa
en plongeant tête la première vêtu d’une combinaison en steak haché dans une colonie de fourmis nucléaires carnivores
lèche la peau du dos dans le sens du poil, et si vous coopérez, mesdames, j’en ferai autant avec vos foufounes
rot de bébé dans sa poussette (Grands Dieux, envoyez moi la tof des seins gonflés de Dame Cristale !)
trucider un vieux lama tibétain en le sodomisant avec du pain d’épice rassis et de me barrer avec sa femme saucissonnée sous le bras en criant victoire
me laisser lobotomiser par une meute de crabes décadents pendant que Marylou va se faire peloter les omoplakes par le Docteur Kabuse.
quatrains épiques et chevaleresques hissant ma renommée au-delà des étoiles et de tous les moulins de la Manche même si jusque là je n’ai reçu que des haussements d’épaules dédaigneux et de la fiente humide
enfiler une capote parfumée à la fraise en vous servant des lèvres pulpeuses de votre voisine d’appartement et non avec vos doigts comme tout un chacun – sauf vous, pauvre tache – le sait quand on sait vivre à peu près convenablement,
couper les glaouis trop ridés puis vous les enfiler dans le fion.
Bien, vous avez compris j'espère. Sinon, pour Truong et son Successeur de Saint Pierre, il y avait un bandeau rouge dessus quand j'avais acheté le livre mais je l'ai perdu depuis - le bandeau, pas le livre -. C'était pour un grand prix national d'anticipation si je me souviens bien. Mais je vous préviens tout de suite, c'est un ouvrage à vous pétrifier le cœur, au sens propre comme au figuré...