Bon, je commence... Le conflit débute quand les émotions dépassent la réalité. L'état de tétanisation va croissant tandis que l'esprit tente d'assimiler ce qui se passe. Vous marrez pas, ça m'est arrivé pas plus tard qu'hier ! (voir Posts 9 et 10 d' hier: Y a une sudiste qui m'a dit que c'était macabre, si, si...! Bordel je rêve! Et pas la plus joyeuse des femmes de ce monde en plus !) Mais vous allez comprendre... Joie et tristesse, c'est tout le portrait du résultat parce que les signaux conflictuels n'apportent aucune réponse à l'état mental actif. Heureux de sa présence et triste de son absence. Espoir d'être heureux à chaque instant afin que mon caractère de clebs empli d'entrain (sic, j'ironise et je remue la queue...) puisse emplir ce jour de joie. Poser un lapin à la tristesse, la laisser cogiter sur l'existence de la réalité ou la réalité de l'existence. Car cette enfoirée n'indique aucun cap autre que celui de foutre la zone dans l'esprit, le squatter et y rester le plus longtemps possible. La virer à grands coups de pompes dans le cul ! (Tiens, y a Marylou qui vient de rentrer du jogging avec son petit short rose et moulant, ça lui dessine si bien les fesses, on dirait un ballon neuf, ça m'donne d'irrésistibles envies: 1) de botter dedans, lol, 2) de pétrir tout ça, faut rester créatif !, et 3) de le lui arracher avec les dents) La tristesse est tyranique. Elle gouverne l'esprit. Quel qu'en soit le motif, la tristesse est faite pour durer, essayez de lui parler, de l'enfouir sous un immense tas de drôleries, elle refait surface comme un banc de poissons crevés. L'acte nécessite validation, affirmation et acceptation. Adieu tristesse, je déménage, je sors de ma bulle ! Shalom Alléluja !