Bienvenue, curieux voyageur

Avant que vous ne commenciez à rentrer dans les arcanes de mes neurones et sauf si vous êtes blindés de verre sécurit, je pense qu'il serait souhaitable de faire un petit détour préalable par le traité établissant la constitution de ce Blog. Pour ce faire, veuillez cliquer là, oui là!

5 sept. 2025

1107. La Guerre contre le Bon-Sens


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Y en a qui jasent sur la guerre comme si que c’était un feuilleton Netflix, persuadés que ce sont toujours "les autres" qui mettent le feu aux poudres. Pendant ce temps, ils scrollent sur leurs écrans, gobant les fake news de LCI ou de BFM et rigolent des "théories du complot". Réveillez-vous, les amis ! Les marionnettistes qui dirigent le monde ont déjà réservé vos places au premier rang de leur grand cirque guerrier, et vous, vous applaudissez en pensant que c’est juste un mauvais buzz sur X.

LA GUERRE CONTRE LE BON SENS

L’Europe, c’est le Titanic en pleine croisière, avec une élite aux manettes qui préfère réarranger les chaises longues plutôt que d’éviter l’iceberg. Ces "génies" sont prêts à jeter le peuple dans le grand bain pour sauver leur trône doré. Sous couvert de "valeurs" et de menaces sorties tout droit d’un film de science-fiction, ils nous embarquent dans une spirale de crises et de guerres. Les réalités sociales, économiques, humaines ? Ils s’en tapent royalement. Le peuple, lui, n’a rien demandé, mais c’est lui qui trinque, otage d’un jeu d’échecs où il n’est qu’un pion. La solution ? Bouger nos fesses, ensemble, avant que ces clowns ne réduisent tout en cendres.

Nos chers dirigeants vivent dans une réalité parallèle, un monde où leurs fantasmes idéologiques tiennent lieu de GPS. La multipolarité ? Ils ne connaissent pas. Ils s’accrochent à leur bulle comme des gosses à leur doudou, voyant des complots russo-chinois derrière chaque arbre. Leur arrogance est telle qu’ils croient pouvoir remodeler le monde à coups d’ingérence et de sermons. Résultat ? Ils ont réussi l’exploit de souder des puissances qu’ils méprisent en un bloc qui leur fait un gros doigt d’honneur planétaire.

Leur stratégie ? Allumer des incendies et hurler "au feu !" comme s’ils n’avaient rien à voir avec la boîte d’allumettes. Paniqués, ils misent tout sur la guerre, comme un joueur fauché qui double la mise avec l’argent des autres. Et les autres, c’est nous, les Européens, sacrifiés sur l’autel de leur incompétence. Pour eux, ce n’est pas notre avenir qui compte, mais leur survie politique. Quitte à faire exploser ce qui reste de la civilisation européenne, tant qu’ils gardent leurs fauteuils.

Ils jouent les cachottiers, mais leurs manigances puent à des kilomètres. Ces élites, déconnectées de tout sauf de leurs comptes offshore, foncent tête baissée dans un conflit mondial qu’ils ont allumé avec soin. Représenter le peuple ? Ils s’en contrefichent. Ils servent un ordre oligarchique qui pille nos ressources, planque son fric et se moque de la morale. Leur "politique" ? C’est la gestion d’un empire en ruines, prêt à tout pour ne pas rendre de comptes.

Cette guerre qu’ils nous préparent n’est pas une réponse à une menace, mais un écran de fumée pour planquer leur fiasco total – économique, social, moral. C’est leur plan B foireux pour masquer des décennies de choix catastrophiques. La guerre, c’est leur joker pour faire diversion, noyer leurs bourdes dans le bruit des explosions et serrer la vis sur une population réduite à regarder le spectacle, la bouche ouverte, en payant les pots cassés.

Ce n’est pas une guerre contre un ennemi extérieur, c’est une fuite en avant pathétique. Ils ont besoin de ce chaos pour éviter de regarder leur échec en face. Leur modèle ? Un désastre rongé par le néolibéralisme sauvage, l’injustice sociale et une dette qui étrangle tout le monde sauf eux. Pendant ce temps, des puissances comme la Chine, la Russie ou l’Inde avancent, et nos élites, incapables de suivre, préfèrent tout faire sauter plutôt que d’admettre qu’ils ont perdu la main.

Ils veulent la guerre, pas pour nous protéger, mais pour nous distraire. Pas pour libérer, mais pour nous enchaîner. Pas pour unir, mais pour écraser toute voix qui ose la ramener. Une guerre pour réécrire l’histoire, pour faire oublier qu’ils ont vendu notre souveraineté, pillé nos économies, empoisonné notre bouffe et marchandisé notre santé. Et maintenant, ils veulent notre avenir. 

Parce que la peur ne suffit plus, ils passent à la vitesse supérieure : la violence, bien organisée, bien institutionnalisée. Peu importe que les caisses soient vides, les hôpitaux en ruine, les services publics à l’agonie. Les priorités, c’est missiles à gogo, subventions pour des salaires à l’étranger, et précarité pour les travailleurs d’ici. Pendant qu’ils financent la guerre, nous, on galère avec des impôts qui nous étouffent et une vie qui ressemble à une partie de Monopoly truquée.

L’Europe ? Un pion sur l’échiquier de l'état profond américain. Nos dirigeants suivent la feuille de route des néo-conservateurs comme des toutous bien dressés, prêts à transformer le continent en champ de bataille pour une guerre qui ne nous concerne pas. Contenir la Russie aujourd’hui, taper sur la Chine demain, et tant pis si l’Europe finit en cendres. Les décisions se prennent à des milliers de kilomètres, loin de nos galères quotidiennes.

Bruxelles, ce soi-disant temple de la paix, s’est transformé en QG de la guerre. Les mots "soutien inconditionnel", "sanctions massives" ou "envoi d’armes" ont remplacé toute idée de diplomatie. L’Europe est devenue une machine à broyer les libertés, un laboratoire de techno-dictature où l’immigration n’est qu’un outil pour maintenir un marché du travail précaire et pour diluer les nations, et où la pensée unique règne en maître. Tout ça sous des tonnes de lois et de données pour nous faire taire.

La presse, fidèle toutou des puissants, nous vend du vent : la Russie serait derrière tous les maux, des pannes de GPS aux cauchemars de nos élites. Mais la réalité, la vraie, celle des factures impayées et des espoirs brisés, ils l’ignorent. Ils préfèrent leur fiction sécuritaire, justifiant censure, surveillance de masse et militarisation à outrance. Ce n’est pas une guerre contre la Russie, c’est une guerre contre nous, contre la réalité. Une réécriture orwellienne où tout est truqué pour servir un pouvoir qui n’a plus peur de se contredire. Pendant qu’ils agitent le drapeau de la guerre, ils ne craignent qu'une chose : que le peuple se réveille et dise STOP. Stop à cette guerre qui n’est pas la nôtre. Stop à leurs sacrifices insensés. Stop à cette comédie tragique jouée sur notre dos, stop à leur immigration imposée. 

L’Histoire ne va pas nous attendre. Elle jugera, mais à quel prix ? On est à la croisée des chemins. Rester spectateurs ou prendre les rênes ? Laisser ces élites nous écraser ou leur montrer qu’on n’est pas leurs pions ? Le temps de l’inaction est fini. Si on veut sauver ce qui reste de nos sociétés, de nos libertés, il faut se bouger, dire non à cette guerre, exiger une paix qui ne soit pas un slogan vide. Les élites doivent rendre des comptes, et leur impunité doit cesser. Le temps presse. On peut encore changer la donne, mais la fenêtre se referme. C’est à nous de décider : plier ou résister. Sauver notre avenir ou le laisser partir en fumée. Alors, on fait quoi ? On continue à scroller ou on se lève pour dire "ça suffit" ?

4 sept. 2025

1106. La grande farce des transactions sans âme


 
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LA GRANDE FARCE DES TRANSACTIONS SANS ÂME

Connaissez-vous la différence entre une transaction et une relation ? Oh, je vous en prie, foutez-moi pas de votre gueule en me parlant de votre dernière relation sexuelle ou de vos échanges de fluide avec la prostituée du coin ! D’un côté, les transactions, ces petits échanges froids et clinquants où tout s’achète, tout se vend, et où l’amour-propre se mesure à la taille de votre compte bancaire. De l’autre, les relations – vous savez, ces trucs ringards où qu'on s’entraide, où qu'on se connaît vraiment, pas juste un vague “like” sur un réseau social ou un “bonjour” grogné en passant à un voisin qu’on évite comme la peste.

Notre glorieux système est transactionnel, mes amis ! Tout ce que vous désirez, du simple cric pour changer votre pneu crevé jusqu'au kilo de bifteck haché, tout s’achète avec un clic ou un bifton. Pas besoin de relations, pas besoin de sourire, pas besoin de connaître le prénom du type qui livre votre colis piégé. Argent, crédit, carte bancaire – pif, paf, pouf, c’est plié ! 

Pourquoi se faire chier à créer des liens quand on peut payer un inconnu pour faire le sale boulot ? Altruiste, toi ? Haha, seulement si ça te rapporte quelque chose, ou si tu tombes sur une belle inconnue un peu niaiseuse au bord de la route victime d'une crevaison – et encore, tu vérifieras d’abord si elle a du cash ou si elle va te payer en nature. 

Les relations ? Oubliez-ça, une perte de temps ! Pourquoi investir dans des voisins ou des cousins éloignés quand ça ne rapporte pas de dividendes ? Aider quelqu’un sans être payé ? Vous plaisantez ou quoi ? Dans notre monde ultra-efficace, on ne fait rien gratis. Même un sourire, c’est suspect. Développer des liens d’entraide ? " Oh, désolé, j’ai une réunion Zoom dans cinq minutes, et ma série Netflix ne va pas se regarder toute seule."

Prenons l’exemple d’une réparation d’appareil ménager. Dans le monde transactionnel, c’est tout un cirque : si votre gadget est sous garantie, vous appelez un numéro, vous parlez à un robot, puis à un humain qui lit un script, et peut-être, peut-être, qu’on daignera réparer votre truc. Mais attention, lisez bien les petits caractères, car il y a toujours une clause sournoise pour vous laisser en plan. “Désolé, monsieur, votre garantie ne couvre pas les actes de Dieu, les erreurs humaines, ni les jours fériés.” Tout ça, orchestré par des inconnus dans des bureaux climatisés, qui vous vendent l’idée que c’est fiable. Fiable, mon cul ! 

Jusqu’à ce que l’hôpital local ferme parce que, ah ben merde alors, il est pas assez rentable. Ou que le service de réparation disparaisse de votre région. Bonne chance pour trouver un urgentiste ou un technicien dans ce désert transactionnel ! Et là, boum, le système s’effondre comme un château de cartes sous un ventilateur. Les hôpitaux ? Fermés. Les services d'urgence ? Évaporés. Vos droits ? Hahaha, revendiquez-les tant que vous voulez, ils vous vaccineront peut-être, sûrement même, mais ils ne vous soigneront plus une grippe ou un bras cassé ni ne répareront votre frigo. Et devinez quoi ? Quand tout s’écroule, il ne reste que… les relations. Sauf que, surprise ! Dans notre culture nomade et déracinée, où tout le monde déménage tous les deux ans pour un job ou une lubie, les relations, c’est du vent. 

Votre famille élargie ? Éparpillée aux quatre coins du globe. Vos voisins ? Vous ne savez même pas s’ils vendent du shit ou des kalashnikov. Les relations, dans une société obsédée par les transactions, valent moins qu’un coupon de réduction périmé.

Oh, bien sûr, y a le réseautage. Ce mot magique qui sonne comme une relation, mais qui n’est qu’un échange de cartes de visite et de sourires hypocrites. “Enchanté, on se connecte sur LinkedIn ?” Traduction : “Je t’oublierai dans 10 minutes, sauf si tu peux me pistonner.” 

C’est tout ce qui reste de nos “relations” : un simulacre pathétique, aussi utile qu’un parapluie en papier crépon sous une tornade. Et puis, quand les systèmes transactionnels hyper-optimisés, ces chefs-d’œuvre de la modernité, commencent à tousser et à cracher, on se rend compte qu’ils sont aussi solides qu’un smartphone à 1% de batterie. 

Plus de profit ? Plus de service. Plus de service ? Plus rien. Et là, on se tourne vers les relations, ces trucs qu’on a jetés aux oubliettes. Ah bah merde alors, trop tard ! Personne ne vous doit rien, parce que vous n’avez jamais rien donné. “Aider un inconnu ? Désolé, j’ai aquabike ce soir.” 

Réciprocité, vous connaissez ? Non ? Dommage, c’est la base des relations. Pas de réciprocité, pas de coup de main. Alors, continuez à scroller sur vos écrans, à cliquer pour tout obtenir, à vivre dans ce monde où tout se paie et rien ne se partage. Mais quand la machine transactionnelle se grippera – et elle va se gripper – venez pas pleurer quand vous réaliserez que vos “droits” ne valent pas un pet de lapin sans un réseau humain pour les soutenir. Vous êtes coincés dans l’engrenage transactionnel, et les cartes ? Oh, elles sont déjà en train de s’effondrer. 
Bonne chance pour trouver quelqu’un qui vous tendra la main… sans vous tendre une facture.

1 sept. 2025

1105. Pourquoi suis-je si négatif ?


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POURQUOI SUIS-JE SI NÉGATIF ?

J'ai un livre en tête, tellement glauque qu’il pourrait faire passer un film d’horreur pour un épisode de Teletubbies, plus sombre que celui-là tu meurs. Je garde cette idée en tête depuis que je l'ai lu, car je suis toujours pas certain que les gens puissent s'y identifier. C'est un livre bouleversant ; un truc qui vous colle au cerveau comme une vieille chanson pop merdique, mais en version cauchemar. C'est pas un hasard s'il a fallu 176 ans pour qu'il soit traduit hors des frontières de l'hexagone.

Je veux parler de « La Philosophie dans le boudoir » du Marquis de Sade (in english Philosophy in the bedroom ). Je suis moi aussi assez « négatif » dans mes écrits, vous l'aurez sûrement remarqué si vous trainez vos savates sur ce blog depuis un certain temps, parfois même aussi joyeux qu’un enterrement sous une tempête de grêle. Ce qui est intéressant, c'est que je suis probablement la personne la plus optimiste qu'on puisse rencontrer. Je suis optimiste, merci à Trump, Poutine et RFK.Jr sur ce que 2025 et 2026 ont des chances d'apporter à notre planète. ! Voyez que je peux positiver aussi !

Il y a d'innombrables choses qui peuvent me rendre jovial, mais la politique en fait pas partie, pire que ça, elle me donne des boutons.
Pour paraphraser Trotsky qu’était pas franchement un rigolo, même si je m'intéresse pas à la politique, j'ai capté que la politique s'intéressait à moi. 
Je souhaite rien de plus que de vivre dans un monde où je puisse l'oublier, mais je suis pas assez débile pour me voiler la face et prétendre que tout va bien pendant que le monde part en vrille.

Mais je peux pas non plus me permettre de couper tout lien avec la civilisation. Ça me priverait de la plupart des choses qui peuvent me rendre heureux. J'adore voyager et découvrir de nouvelles cultures. Je pourrais pas vivre sans musique. J'aime lire et regarder de bons films. J'aime apprendre et tenter l'impossible : satisfaire mon insatiable curiosité. J'aime observer l'évolution des sciences et des technologies. J'aime la moto, l'écriture, la guitare, la poésie et j'en passe. J'aime la bonne bouffe et une bonne bière entre potes. Je suis une personne heureuse et sociable, mais je ne peux pas faire comme si que tout allait bien quand le monde autour de nous est en train de sombrer. je peux pas faire semblant que tout est rose quand le monde autour de nous coule comme le Titanic, avec les politicards qui jouent du violon sur le pont. Je ne peux pas non plus rester silencieux. La réalité est la même pour chacun d'entre nous, ce qui diffère, c'est notre rapport à elle. 

L’élément le plus important des différences est que, tandis que la réaction de la gauchiasserie globaliste ou ignorante est la panique et/ou le déni, la réaction de la droite patriote est l’alarme et la préparation.

Ceci étant dit, jetons un œil à ce livre : Ce bouquin a été écrit 6 ans après le coup d'état Franc-Maçon de 1789, mais n'a été traduit à l'international qu'en 1971. Qualifier ce livre de dérangeant est un euphémisme. Ce qui le rend horrifiant, c'est pas les perversions sexuelles extrêmes qu'il décrit avec tous leurs détails sordides, mais les arguments terriblement convaincants et articulés, voire éloquents, qui les justifient. 

Le message est le suivant : tout est permis. Tant que ça vous plaît et que vous pouvez vous en sortir sans risquer la potence ou la lapidation, faites-le ! Vous, vos besoins, la protection juridique et la force nécessaire pour les satisfaire devraient être vos seules préoccupations. Aucun scrupule « moral » ne devrait jamais s'immiscer dans la satisfaction de vos désirs.

Ce livre est une ode à la sociopathie narcissique, un rejet de toutes les normes sociales en faveur d’un égoïsme absolument sans contrainte et je suis quasiment sûr d'être certain que c'est un des favoris de Jack Lang et de son cercle d'amis.

Le libertinage, comme l'expression elle-même, est un rejeton des Lumières, vous savez, ces grands malades nommés Rousseau, Diderot, Voltaire et j'en passe. Il était déjà bien développé et pratiqué bien avant le coup d'état maçonnique cité plus haut et, selon les historiens, la décadence morale qu'il incarnait contribua aux nombreuses causes de la révolution.

Le libertinage représente la liberté de pouvoir faire tout ce qu'on veut sans entrave ni sans réciprocité. Les éléments qui ne sont pas (suffisamment) abordés sont les implications de ce pouvoir sans entrave. Comment ça conduit inévitablement à des horreurs telles que les atrocités des révolutions françaises (les massacres de Vendée et la Terreur) et les massacres totalitaires du XXe siècle .
Comment ça mène inévitablement à une spirale où pouvoir et immoralité se nourrissent mutuellement. Parce que, surprise, quand tu donnes un pouvoir sans limites à des gens sans scrupules, ça finit toujours en bain de sang.

J'ai lu « La philosophie dans le boudoir » dans les années 2000, après avoir eu l'occasion d'en apprendre davantage sur la nature du mal, du sadisme et de la sociopathie dans ma propre vie. En tant qu'ex-capitaine de marine marchande et Biker, je peux dire sans exagérer que j'ai été exposé à plus de réalité que la plupart des normies. Pourtant, malgré toute ma compréhension, rien ne m'a autant convaincu que « La philosophie dans le boudoir ». Rien ne m'a autant marqué que cette phrase: « Il faut regarder dans l'abîme si on ne veut pas tomber dedans ».

Si vous me demandez si je crois à l’existence du mal « originel », vous serez pas le premier, et probablement pas la dernière non plus.
Ma réponse sera à côté de la plaque, car je comprends pas vraiment le sens de cette question.
Je crois pas aux « absolus » ni aux « originels », car ils impliquent un degré de finalité et d'inévitabilité, qui peut servir d'excuse. Le mal et le bien sont tous deux relatifs, car ils sont liés à des choses extérieures à eux-mêmes. Ils ne peuvent être interprétés qu'en relation avec d'autres actes. Ceci dit, je crois fermement en la capacité de l'homme à être mauvais et à produire du mal.

Je crois aussi, très fermement, que le mal, les mauvaises choses, les aspects négatifs doivent être vus, compris, dénoncés et affrontés chaque fois que c'est possible. Et une chose est sûre : l’homme est champion pour faire des saloperies. Donc je crois dur comme fer qu’il faut regarder le mal en face, le nommer, le dénoncer, et lui rentrer dedans.
Par exemple, il y a rien de mal à informer les ignorants que Macron est un psychopathe sodomite, que sa 1ère dame est un vieil homme pédophile, que la plupart de nos représentants élus, aussi bien à Paris qu'à Strasbourg, sont des pourris corrompus, que Bill Gates et Soros sont des fils de putes, que Zelensky est un enculé de vendu, que Bibi Netanyahou est un putain de khazar sioniste même pas sémite comme 90% de ses compatriotes, que Buzyn et Véran sont des criminels et je parlerai même pas des plateaux de BFM ou de LCI tellement que c'est évident qu'ils sont remplis de couilles molles et de salopes.

Le déni, le détournement de regard et le fait de faire semblant de rien voir ne feront qu'encourager davantage de mal, davantage de mauvaises choses et d'atrocités auxquelles nous serons toujours confrontés. Il n'y a pas d'endroit sûr.

Se montrer négatif à propos de saloperies et de salopards est une bonne chose.