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DÉMOCRATIE OU L'ART DE VOUS FAIRE AIMER VOS CHAÎNES
Oyez-moi ça, brave gens, le chœur des génies qui clament que les pays de l’Occident global – à deux ou trois exceptions près, soyons honnêtes avec Orban et Fico – ne sont pas, et n’ont jamais été, des démocraties ! Enfin, tout dépend de ce qu'on entend par démocratie. Ça commence à faire du bruit, et je dois dire, je suis tellement reconnaissant et heureux d'être content de voir ce réveil tardif. Pendant des années, nous, petit club d’illuminés sidérés, hurlions dans le vide sidéral, comme des prophètes maudits dans un désert d’ignorance. Mais ô miracle, les choses changent ! Enfin, les moutons ouvrent les yeux et commencent à bêler.
Mais d'abord, un petit retour en arrière. Voilà ce que répondit Benjamin Franklin en 1787, quand on lui demanda quel genre de gouvernement la Constitution toute fraîche devait instaurer : « Une république, si vous pouvez la garder. »
Houla, Benjie, quel visionnaire ! Pas une démocratie, non, non, une république. Subtil, mais crucial. On dirait qu’il savait déjà que la foule allait tout gâcher. Je suppose qu’une partie de ce grand réveil intellectuel vient des cinq dernières années, où que nos chers gouvernements « démocratiques » ont joué les petits tyrans avec leurs mesures tellement nécessaires contre le COVID-19.
Un petit coup de frein, juste une petite seconde, pour vous donner le temps de réfléchir sur les endroits où les pires violations des libertés civiles ont eu lieu à l'occasion de cette Plandémie. Allez, je vous donne un indice : c'est pas là où que vous pensez.
Bien sûr, la Chine a fait son petit numéro tape à l'œil – sans surprise, c'est eux qu'ont inventé les feux d'artifice, oubliez pas ça, c’est leur marque de fabrique. Mais, ô surprise, ils ont pas vaxassassiné leur population : les champions des droits humains bafoués n’ont pas été les méchants dictateurs habituels, mais les stars scintillantes de la démocratie : l’Australie, le Canada, la France, l’Allemagne, le Royaume Uni, la Nouvelle-Zélande, la Californie et j’en passe. Des démocraties, mes amis ! Toutes, sans une seule exception. Standing ovation pour l’hypocrisie. Mais ne vous méprenez pas, ce n’est pas une nouveauté, oh non.
Depuis la République de Weimar – oui, ce glorieux précédent historique – les démocraties modernes ont été aussi nulles, voire carrément pires, que les régimes soi-disant autoritaires qu’elles adorent pointer du doigt. Droits fondamentaux ? Des clopinettes, détail insignifiant pour nos élites éclairées. Et pourquoi sont-elles pires, demanderez-vous, les yeux écarquillés ? Parce que ces chers dirigeants « démocratiques » ont le culot de vous vendre leur oppression comme un cadeau empoisonné. « C’est pour votre bien, petits moutons ! Sans nous, vous seriez perdus ! »
Ils s’emparent sournoisement des leviers du pouvoir – médias, éducation, culture, finance, universités – pour redéfinir ce que « libre » veut dire. Et hop, abracadabra, vous êtes libre… avec une botte bien polie sur le coin de la gorge. Magnifique performance, non ?
Oh, ils veulent nous sauver. Sauver nos âmes, nos esprits, nos libertés… en nous brisant de l’intérieur, bien sûr.
Les dictatures, au moins, ont la décence d’être honnêtes sur leurs intentions. Elles vous écrasent, point barre, sans vous demander de dire « merci » après la raclée. Les démocraties ? Elles veulent votre gratitude pendant qu’elles vous étouffent, elles aimeraient même vous envoyer dans les tranchées d'Ukraine pour défendre leur merde.
Et attention, cette illusion de la « démocratie » n’est pas l’apanage de la gauche. Les conservateurs adorent jouer les victimes en criant « dictature ! » dès qu’on parle de contrôle des armes. Comme si seuls les méchants hommes forts désarmaient leurs citoyens. Réveillez-vous, les amis : il n’existe pas une seule démocratie qui n’ait pas arraché à ses citoyens leur droit naturel de porter une arme. Pas. Une. Seule - et surtout pas notre pays qui n'a de publique que la raie, avec sa fiotte Macronienne, ce titan de la virilité, n’est-ce pas ? - n’échappe pas à la règle. Étonnant, non ?
Et tout ça, sisters et hermanos, est parfaitement intentionnel. Ils l’admettent même, dans leurs moments de gloriole. Prenez l’Australie, par exemple. John Howard, ex-Premier ministre, a fièrement déclaré : « Pas de Déclaration des droits chez nous, les amis ! Nos parlements ont plus de pouvoir que ceux des États-Unis, et nos tribunaux ne peuvent rien y faire. Oh, et on n’a pas de droit constitutionnel de porter des armes. »
Quelle audace, quel panache ! Et plus récemment, Michelle Luján Grisham, gouverneure du Nouveau-Mexique, en 2023 : « Aucun droit constitutionnel, y compris mon serment, n’est censé être absolu. » Chapeau bas, Michelle, pour cette franchise tyrannique.
Heureusement pour eux, les Américains ont leur précieuse Déclaration des droits, et ces droits – malgré les délires de certains – sont absolus. Enfin, en théorie. Parce que la démocratie, amigos, est sans doute la forme de gouvernement la plus répugnante qui soit. Pourquoi croyez-vous que les mondialistes l’adorent autant et ne jurent que par elle ? C’est leur jouet préféré, une machine à broyer les libertés sous des applaudissements.
Les peuples commencent à le comprendre. Depuis les manifestations du 6 janvier 2021 au Capitole – oh, quel scandale – et la réélection de Trump 4 ans plus tard, les États-Unis ne vivent plus sous la botte d’une démocratie, mais sous une République constitutionnelle. Une nation de lois, pas une gauchiasserie maçonnique de majorités capricieuses. Enfin, s’ils arrivent à la garder, bien sûr. Bonne chance avec ça.
Alors, retenez bien ceci : quand un politicien ou un influenceur vous bassine avec le mot « démocratie » jusqu’à l’écœurement, soit il est d’une ignorance crasse, soit il vous ment avec un sourire éclatant. Dans les deux cas, ses intentions sont limpides comme de l’eau de roche… empoisonnée. Ils proclament leur volonté de tout sacrifier – vos droits, votre liberté, votre âme – au nom du « bien commun ». Oh, comme c’est noble ! Ils sacrifieront votre individualité, votre prospérité, votre propriété, et vous-mêmes, tout ça pour leur grand projet utopique. Si vous tenez à la liberté, sachez que ces gens sont vos ennemis. Ils méprisent tout ce que vous représentez. Ils veulent vous anéantir. Ils vous haïssent. Et devinez quoi ? Ils composent quasi 100 % de vos élus et de vos dirigeants. Surprise !
Alors, comprenez-le bien… et surtout, ne l’oubliez jamais. Et armez-vous si vous le pouvez car vous avez le droit naturel et ABSOLU de vous défendre contre ces enculés.