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24 sept. 2025

1118. Trump & le Virus


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TRUMP & LE VIRUS
 Quand les Wokes, les Gauchiasseux et les Antifas Rencontrent Enfin de la Résistance

Vous avez vu la polarisation galopante de notre chère société ? Tout le monde en cause comme si que c'était une mode passagère, un peu comme ces commejaime.fr qui promettent une taille de guêpe sans effort. On nous serine avec la "culture de l'annulation", la Cancel Culture comme on l'appelle, ce joyeux barbecue où on grille les dissidents au premier pet de travers ; l'emprise des institutions, ces gardiens du temple qui veillent à ce que personne ne pense hors des clous ; et l'effondrement des systèmes méritocratiques, où le CV passe après le bon alignement idéologique.
 
Des tonnes de jérémiades sur notre déclin culturel, et on agite le doigt vengeur vers n'importe quel bouc émissaire : les bulles Facebook qui nous enferment comme des hamsters dans leur roue ; les boîtes "woke" qui virent leurs employés pour un tweet mal luné ; les profs-activistes qui transforment les cours en meetings de trans ; les médias biaisés, ces marionnettes qui récitent leur script comme des perruches sous amphétamines ; et l'endoctrinement universitaire, ce lavabo à cerveaux où on finit de rincer toute trace de bon sens. Toutes ces merdes ne sont que les boutons purulents d'une invasion idéologique bien rodée, un takeover en costard-cravate.

Mais le vrai coupable, le véritable MVP de cette métamorphose où les Occidentaux troquent la réalité contre un mirage fluo, c'est cette soumission béate aux contes de fées progressistes. Pas une once de critique, hein ? Juste un "amen" collectif, comme des moutons qui applaudissent leur tondeuse. Et pourquoi cette génuflexion pathétique ? Parce qu'on nous a gavés d'inclusion à outrance et d'antiracisme taliban, au point que toute opinion un chouïa "sectaire" – genre, dire que 2+2=4 sans pleurnicher – vous colle une étiquette de paria.
 
La logique implacable ? Si tu gobes pas chaque pilule progressiste, amère ou pas, t'es un nazi en puissance, prêt à être lynché sur LinkedIn et viré par les ressources humaines de ta boîte pour "comportement toxique". Bravo, l'égalité des chances ! Ça a muté en terrorisme idéologique pur jus dans nos chères institutions – écoles, boîtes, agences d'État –, où les zélotes du "woke" deviennent les nervis d'un virus mental qui se gave de panique, qui muselle les rebelles jusqu'à ce qu'ils crachent leur démission ou leur CV en lambeaux.
 
On nous bassine avec l'"amplification des voix marginalisées" et "faire le taf" sur notre bigoterie innée – oh, quel sacerdoce noble, les aminches ! – mais qui calcule le coût quand on dynamite la réalité brute et les faits biologiques pour épargner les "sentiments" d'un activiste qui hurle au scandale si on ose rappeler que les mecs ont des couilles, pas des ovaires, et ne se transforment pas en nanas d'un claquement de doigts, ou que les écarts raciaux pourraient – ô horreur ! – venir d'autre chose que d'un complot blanc mondial ?

Appeler ça "progressisme" ? C'est comme rebaptiser un retour en arrière en "aventure spatiale". Ce virus woke nous replonge dans un Moyen Âge 2.0, où douter du dogme saint vous vaut le bûcher virtuel, ou pire, un fil Twitter en mode chasse aux sorcières. Progrès et rétro ? Comme l'eau et le feu, ça fait de la vapeur, pas une utopie. Pour les normaux lambda, c'est la quadrature du cercle : "Mais je veux juste être un brave type, traiter tout le monde fair-play. Où est le mal ?" Eh bien, le mal, c'est que dès que tu oses un "et si... ?", la meute te tatoue "extrémiste d'ultradroite" sur le front, même pour ânonner une évidence biologique comme "les chromosomes, c'est pas du pipeau". Par définition, c'est du sectarisme en kit : un chantage émotionnel qui punit la dissidence comme un gamin qui refuse ses choux de Bruxelles ou ses brocolis. 

Socialement, c'est l'anéantissement programmé de quiconque ose tousser face au virus woke, en le badigeonnant de peinture "monstre moral" pour que tout le village aiguise les fourches. L'Occident ? Une caricature flasque de son ancien moi, et n'importe quel clampin avec deux neurones connectés discerne le fossé béant entre les infectés – ces zombies idéologiques – et les rescapés qui osent encore penser sans béquille woke, luttant vaillamment contre la marée de conneries qu'on leur sert quotidiennement.

Vrais fanatiques ou carpettes affolées, le résultat est le même : étouffement de la dissidence et de la raison par ce fléau woke, indéniable comme un rhume en hiver. Les contaminés ? Pas du genre à avaler leurs incohérences avec un haussement d'épaules. Non, ils pètent un câble. Dans les institutions, ils se contentent pas de balayer tes faits : ils te rayent de la carte, te pissent dessus niveau boulot, réputation, famille – le package complet, avec ruban cadeau.

Pas que les conservateurs soient des anges, hein. Y'en a à droite qui sont des crétins bornés, miroirs tordus de leurs potes socialistes – des intolérants en costard bleu ou rouge, même combat. L'honnêteté intellectuelle ? C'est l'oxygène d'une société. Sans elle, on étouffe dans la glue idéologique.

Je capte, parce que je me remémore l'Âge d'Or – les 90's et les années 2000 –, où l'Occident partageait encore une réalité commune, pas ce cirque fragmenté. On se chamaillait, ouais, mais sur des bases solides : la biologie existait, le mérite primait, la liberté de parole était intouchable, pas un privilège à négocier. Puis le virus woke a piraté le système, mutant des vérités de base en "discours haineux". On a tellement flirté avec l'illusion qu'on confond charité et sabordage.

La politique ? Juste la cerise sur le gateau. Films, bouquins, boîtes – tout ce qui refuse le script woke se fait laminer ou censurer. Mérite et qualité ? Aux oubliettes, place aux quotas et aux leçons moralisatrices qui puent le catéchisme. Remontez les bobines : la "longue marche" des marxistes culturels à travers les institutions, ce plan machiavélique où chaque radical surpasse le précédent, troquant nos valeurs pour un cocktail empoisonné à la sauce école de Francfort. 

Si tu oses rouspéter, bang ! "Réac" tatoué, et au pilori. Le virus woke ne débat pas ; il démolit, crucifiant le sceptique sur l'autel social. Les flics ? Zéro vibe occidentale. Ils voient notre histoire comme un crime de guerre, à déconstruire pour la rebâtir en mode utopie woke.

Ces temps-ci, c'est l'emballement : tout pouvoir – compagnies, État – slalome autour des "non-woke", s'agenouille devant les "privilèges" imaginaires et booste les voix qui crachent sur l'Occident d'antan, tout pour éviter la foudre woke. On doit jurer sur la Bible antiraciste pour garder notre gagne-pain. Une injustice à sens unique : le pékin lambda contre les commissaires woke qui tiennent nos systèmes en laisse. C'est la recette des tyrannies, les manuels le disent. Sur le papier, leurs réclamations sonnent bien : traite les gens décemment, botte le cul aux vraies injustices. 

Ce blog est là aujourd'hui pour tenter de sauver la gloire occidentale tout en patchant ses bugs – je préfère la méritocratie aveugle à la couleur de la peau. Mais avaler des bobards pour esquiver les "racistes !" de la part de gens qui me haïraient quand même ? Jamais, mon neveu. Quand les écoles bourrent le crâne des gosses en leur faisant croire que leur teinte les rend coupables ou que la biologie est une fake news, le chœur Twitter hurle : soutiens-les, ou t'es complice des fachos !

C'est comme ça qu'on enterre une civilisation, avec un sourire complice. La "Théorie Critique de la Race dans les classes ? Tu t'y opposes ? T'es pour la suprématie blanche, facho !" D'où cette gymnastique mentale ? Vous avez refilé au rabais l'âme de vos mômes à des vendeurs de bile. Le dogme woke squatte tous les manuels. Histoire ? Trop chiant ; place à la propagande express.

Depuis qu'on a échangé excellence contre "équité", l'école s'effondre comme un château de cartes bourré. Parents en rogne pour la baisse de niveau ? Les boss de l'éducation nationale durcissent le ton : "Racistes !" Et hop, chantage larmoyant pour plier face au virus.

Les relations toxiques, on connaît : isolement, huile sur le feu, "t'es le méchant si tu résistes". Pareil ici. Chaque fois que les Occidentaux s'excusent d'avoir vu clair ou musellent la vérité pour éviter le badge "raciste", c'est du replay abusif. Si tu gobes que les maths oppriment les gamins, que les mecs squattent les JO féminins, que les politicards préfèrent les étrangers aux locaux de souche, que l'embauche méritocratique est du suprématisme car "équité = sacrifices forcés", pourquoi le virus freinerait ? 

Pourquoi pas des délires plus barrés encore ? Exiger des standing ovations pour leurs délires ? Refuse les arguments et les débats, braille juste "nazi !" jusqu'à ce qu'ils craquent ? Cette capitulation empoisonnée leur file un blanc-seing pour retaper la réalité à leur sauce. Vous avez sacralisé les mensonges, et quand un récalcitrant cogne avec trop de brio, c'est le woke qui chiale, victime de sa connerie, pas les tyrans qui squattent les leviers du pouvoir.

Souvenez-vous de 2020 aux USA : villes en feu, milliards cramés, dizaines de macchabées, PME en cendres. Mais sous bannière "justice raciale", on exigeait des "bravo !" ou l'étiquette "suprémaciste". Même script pour chaque hystérie woke, feu vert à la dinguerie. Aujourd'hui, avec le sang de Charlie Kirk – lié aux flux gauchistes qui carburent Antifa –, la fatwa terroriste de Trump sur leurs gueules trace la ligne rouge. Vœu pieux de pourchasser les cellules qui ont applaudi son tueur, qui ont torché Portland, qui se gavent de chaos.
 
Vrai de vrai : excuser ces loubards en "activistes" n'a fait que gonfler la bête, des braises 2020 au carnage estival, et la calomnie globale des médias sur Kirk – "extrémiste", qu'ils disaient – n'est qu'un allume-feu de plus. "On change pas sans bordel, la casse c'est le prix du futur", qu'ils gazouillent, oubliant le sang et les vitres pétées.

Toute âme pas encore trop lobotomisée voit que c'est le carburant des révoltes. Le virus woke plie face à la vraie baston. Qu'est-ce qui bloque la contre-attaque ? La mollesse des conservateurs, qui agitent un drapeau "vertu" comme un Kleenex dans un ouragan, pendant que la gauche cogne : émeutes, doxxing, assassinats – Kirk en est le dernier trophée du poison impuni.

La gauche tape sans gants – rues en flammes, vies en ruines – ; la droite s'accroche à sa "morale" comme à une bouée percée dans un bain de requins. Trump taguant Antifa ? Alarme max : la droite doit aiguiser ses griffes, balancer des procès qui saignent les fanatiques, des lois qui les étranglent financièrement, une résistance en acier trempé. Les woke stopperont pas sans KO. Raflez les écoles, tribunaux, culture – et là, on causera éthique. 

D'ici à jouer les gentlemen dans une boucherie woke, c'est du suicide assisté. Il faut raviver la moelle qui a forgé l'Occident. Pas par barbarie brute, mais par guerre totale contre ce virus taré. 
C'est un cancer qui fait de la vérité un sacrilège, mais pas immortel. Le décret Trump ? Une allumette. Pas assez. À nous de forcer les portes chez nous, d'arracher nos bastions aux griffes de ces pyromanes qui crameront tout avant de lâcher un iota. 
Je le revois, cet Occident où la raison matait la fureur, où le mérite éclipsait le catéchisme, où on mentait pas comme un arracheur de dents pour garder sa peau. Pas de vendetta, non. Juste sauver notre legs, sculpter un futur où les gosses chopent un Occident vibrant, pas un zombie woke pourri aux idéaux médiévaux. La ligne est tracée. Montez au front ou crevez comme des lâches.