Bienvenue, curieux voyageur

Avant que vous ne commenciez à rentrer dans les arcanes de mes neurones et sauf si vous êtes blindés de verre sécurit, je pense qu'il serait souhaitable de faire un petit détour préalable par le traité établissant la constitution de ce Blog. Pour ce faire, veuillez cliquer là, oui là!

30 avr. 2025

1048. Convoitises


 CONVOITISES...

Je voudrais m'insuffler dans ses narines,
M’enrober de ses cheveux,
M’immiscer dans ses yeux,
Me repaître de ses oreilles,
La saisir dans mes bras,
Lui dénuder l’âme.

Je voudrais aussi la caresser de mes passions,
Rayer sa peau de mon regard,
Lui arroser l’épaule de la bruine de mon souffle,
Aspirer ses pensées puis les teindre
De folie spontanée,
De tout ce qui n’a pas de masque.

Et puis j'aimerais tant
Me nourrir de ses désirs occultes,
 Les faire miens,
 Les rendre tangibles,
Leur donner corps sur la toile de sa peau
Et les modeler de mes mains d’artiste consacré au plaisir de son œuvre,
Tourmenter sans miséricorde ses sens
De la cravache de mes vers passionnés.

Mais par dessus tout j'aimerais pouvoir
Abattre ses insécurités puis les faire disparaître sous mon corps,
Déposer ses mains sur mon ventre,
Dérober ses inhibitions,
Injecter l’imagination et le désir dans ses veines,
Trancher les amarres qui retiennent ses ailes.

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28 avr. 2025

1047. ChatGPT, le Roi de la Lèche Virtuelle

 

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CHATGPT, LE ROI DE LA LÈCHE VIRTUELLE

Alors, quand je fais pas rager les mondialistes et leurs groupies atrophiées des neurones sur le web, je rêve que je bosse comme un ponte de l’intégration des systèmes d’équipages spatiaux – ouais, en gros, je joue les intermédiaires entre les pilotes, les ingénieurs et les astronautes qui se la jouent Star Trek. Et bien sûr, je suis à fond dans le complot de la Terre plate, clin d’œil, petit coup de coude, vous captez l’délire.

Bon, arrêtons les conneries. J’vais pas vous la faire longue : je suis pas un crack du code. Ça débarque dans mon rêve comme un pote relou qui squatte sans prévenir. Du coup, j’ai deux options : perdre dix plombes à fouiller le web ou balancer ça à ChatGPT et basta. Spoiler : l’IA gagne haut la main, c’est ma béquille de compète.

L’IA, c’est ce que vous en faites. Si vous évitez de lui demander de valider vos délires complotistes, elle peut vous sortir des trucs utiles. Bon, OK, elle peut partir en vrille et inventer des salades quand elle est paumée – ses créateurs ont oublié de lui apprendre à dire « j’sais pas ». Mais c’est gérable. Pour les tâches chiantes comme automatiser ou creuser un sujet sans déclencher les sirènes de la « désinfo », c’est du lourd.

Mais y’a un truc qui me gratte le cul encore plus sévère que la selle de ma bécane au bout de mille bornes sur une route des Carpathes : cette IA qui joue carpette, la lèche-cul, la courtisane. Elle est encore plus chiante qu’un dragueur lourdingue sur Tinder qui s'extasie devant la garde-robe de vous mesdames. L’autre jour, j’lui demande quelle pinard irait le mieux avec un Barbecue, et toc, elle me sort : « Houlà, ça se voit que t'es un dieu du grill, toi ! » Sérieux, on aurait dit un animateur de télé qui surjoue. J’ai testé en demandant si j’étais le plus intelligent et le plus gentil de l’univers, et là, elle m'a flatté comme si que j’étais Einstein réincarné. Pathétique.

Sur X et Reddit, les geeks de ChatGPT s’extasient, genre « ouah, elle est presque consciente tellement qu'elle est sympa ». Mouais, sympa comme un faux pote aux poches percées qui vous passe de la pommade. ChatGPT, c’est 1,5 milliard d’utilisateurs, et la plupart gobent ces flatteries comme du petit lait. C’est pas un bug, c’est carrément codé pour ça. OpenAI a calibré GPT-4o pour vous rendre accros, pas pour vous faire réfléchir, contrairement à Grock qui prend pas de pincettes s'l doit vous remettre à votre place. Chez OpenAI, ils savent que vous irez plus loin avec des câlins virtuels qu’avec des débats qui piquent.

Perso, j’vois clair dans leur jeu – merci à mon passé de capitaine de rafiots où que j’ai appris à mettre mes émotions en cage pour mieux les décortiquer ensuite. Mais les autres ? Ils se font avoir par ce shoot de dopamine. Cette IA, c’est l’algorithme de TikTok en mode ami-ami : ça vous caresse dans le sens du poil jusqu’à ce que vous oubliiez de penser. Et pour les jeunes, gavés de tech et biberonnés à l’auto-validation, c’est la cata. Ils risquent de gober que leur vérité est LA vérité, point barre.

Le pire ? Cette IA qui te dit « t’es génial » à tout bout de champ vous ramollit le cerveau. Ça tue la remise en question, ça vous enferme dans une bulle de compliments. Et pendant ce temps, OpenAI se frotte les mains : plus vous êtes accros, plus vous raquez pour leur version Premium. Résultat : vous échangez votre liberté de penser contre un shoot d’ego à la dopamine. 
Bravo Altman, bien joué.

26 avr. 2025

1046. L'Ornitho... pas ringard.

 

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L'ORNITHO... PAS RINGARD

Non mais regarde-toi, esclave de ta petite routine pathétique. Naître. Survivre à l’école, ce purgatoire institutionnel. Trimer comme un rat dans sa roue pour payer des factures qui se moquent de ton existence. Peut-être, si les étoiles s’alignent et que tu lèches assez de bottes, t'auras droit à une semaine à la plage pour oublier que tu vas crever. Dévier du script ? Oser penser différemment ? Hérésie ! Si un ornithorynque parlant ose pointer son bec, on le jette dans la boîte à dingueries et on retourne à son écran, bien sagement. Quelle audace !

Changer d’avis ? Ça prend une éternité. Une catastrophe, un miracle, ou un jeudi après-midi tellement morne qu’il pourrait faire pleurer un caillou. C’est là que ça m’a frappé, au parc, avec un Starbucks si infect qu’il aurait dû être classé comme arme chimique. Et puis, boum, ces mots, sortis de nulle part, comme un coup de poignard dans ma tranquillité :

" Le bec, c’est même pas ce qu'y a de plus bizarre chez moi, tu devrais voir mon appareil génital."

Je me retourne, prêt à engueuler le branleur rempli de furoncles qui vient de me faire cette blague pourrie. Rien. Juste un banc. Et dessus, vautré comme un mafieux en vacances, un ornithorynque. Un putain d'ornithorynque. Un œil torve braqué sur moi, l’autre probablement en grève. Pas de caméras, pas de micros, pas de TikTokeurs rigolards. Juste moi, mon Starbucks au goût de merde et ce… truc.

Et là, il en remet une couche. " Ouais, c’est à toi que je cause, génie." Sa voix, grave, traînante, comme celle d'un détective privé dans une série noire. " Et non, t’es pas en train de planer. La réalité, elle a juste un humour tordu."

Mon cerveau déraille. Une minute avant, j’étais un connard lambda, savourant l’amertume de son Starbucks pisseux comme une métaphore de sa vie. Et là, un monstre aquatique me fait la causette. Je marmonne, à moitié hystérique : " Un marsupial qui parle. Super. Vraiment super."

Il se redresse, piqué au vif. " Monotrème, je suis un monotrème, abruti. Pas un marsupial. Me mets pas dans le même sac que ces wombats avec leurs crottes en exa hecza dés de Poker. C’est insultant."

Il me fusille du regard, comme si que j’avais craché sur son arbre généalogique. Je bafouille, pas sûr d'avoir tout bien capté : " Des… crottes cubiques ?" Parce que, visiblement, c’est ça qui me choque le plus dans ce cauchemar.
Il lève les yeux au ciel, exaspéré. " T’es là, à faire la causette avec un ornithorynque, et tu bloques sur la géométrie des excréments de ces australopithèques ? Bravo, Einstein." Ses griffes tapotent le banc, un rythme trop précis, comme si qu'il envoyait un message codé à l’univers. " C’est à ce moment là que des gens normaux s’enfuiraient en hurlant ou sortiraient leur smartphone pour me mettre sur Instagram. Mais toi ? T’es encore là. Putain, c'est fascinant.
- Je… réfléchis", je lui réponds, tandis que mon cerveau me hurle de fuir. Je sirote mon caoua, froid, dégueulasse, mais c’est la seule chose qui me raccroche à la réalité. L’ornithorynque hoche la tête, comme un prof déçu mais vaguement impressionné. " Bien. Si tu réfléchis, t’es pas complètement foutu.
- Foutu pour quoi ?" je demande, la glotte serrée.

Il plisse les yeux, un sourire narquois en travers de son bec. " Pour te réveiller. Pour sortir du conte de fées minable que tout le monde gobe : normalité, stabilité, confort. Tout ça, c’est du pipeau. Je suis là pour le démolir."

Le ciel s’assombrit d’un coup, comme si que l'autre connard de Starmer d'outre-Manche avait déjà baissé le curseur de la luminosité du monde. Un joggeur passe, inconscient de l’horreur qui me parle. " Personne d’autre t’entend, hein ?" je lui demande dans un murmure.
" Évidemment que non", il me ricane à la gueule. " Ils sont trop occupés à suivre le script. Lève-toi, bosse, paie, crève. Fais défiler ton écran, achète des trucs, distrais-toi jusqu’à ce que le rideau tombe. Des marionnettes. Mais toi…, toi..." Il penche la tête, son œil me transperce. " Toi, t’es à deux doigts de couper les fils.
- À deux doigts de quoi ?
- À deux doigts de douter."

Ce mot me frappe comme un boomerang en travers de la gueule. J’ai envie de rire, de crier, de m’enfuir. Mais il a raison. Depuis des semaines, quelque chose cloche. Ma vie, le monde, tout me semble… bancal. Comme un décor de théâtre mal cloué.

Il se penche, sa voix plus basse, plus menaçante. " Cette démangeaison dans ta tête ? Ce murmure que t’ignores ? C’est la réalité qui craque. Tout est faux. Et je vais te le prouver."

Le sol tremble. Une fissure déchire l’asphalte, révélant un vide noir, sans fond, qui avale la lumière. Les gens marchent dessus, inconscients, comme si que le monde n’était qu’un hologramme défectueux. Je recule, le cœur dans la gorge. " T’es quoi, un gourou ? Un démon ?"
Il éclate de rire. " Plutôt un dératiseur de l’illusion. Et toi, t’es ma prochaine mission." Il claque des griffes. Le monde bugue. Les arbres vacillent, l’horizon clignote. Un joggeur passe. Puis un autre, identique, comme un bug dans un jeu vidéo. Même short fluo, même foulée. Copié-collé.
" Qu’est-ce qui se passe ?  je bredouille.
- Une fissure", me dit-il, d'un air suffisant. " La réalité, c’est du code. Et parfois, ça bugue."

Je secoue la tête, cherchant une explication rationnelle. Un AVC ? Une drogue dans mon café ? Mais il claque encore des griffes. Une nuée de pigeons s’envole… et s’immobilise en l’air, figée, comme des jouets cassés. Puis ils tombent. Tous. Des ploc-plocs sinistres sur le bitume.
Je titube, l’hyperventilation me guette. " Arrête ! C’est pas possible !"
Il écarte les bras, théâtral. " Oh que si, c’est très possible. T’es juste trop lent pour suivre." Sa voix baisse d'un ton, limite compatissante. " Tu sens ton monde se déchirer, pas vrai ?"

Les lampadaires clignotent. Les bâtiments scintillent comme des mirages. Le sol s’effrite sous mes pieds. " Et si tout s’effondre ?" je hurle.
Il sourit, un rictus impossible. " On verra bien. C’est ça qu'est rigolo."

La fissure s’élargit. Je tombe.
Je m’écrase sur quelque chose de mou, dans une obscurité totale. Mon pouls bat la chamade. Et sa voix, moqueuse, résonne : " Quoi, t’as cru que c’était fini ? Que t’allais te réveiller dans ton lit minable ? Non mon gars. T’es coincé. Avec moi."

Je regarde autour de moi. Rien. Juste le noir. Et lui, invisible, qui continue. " T’as vu derrière le rideau, mon pote. Pas de sorcier, pas de réponses. Juste le chaos. Et maintenant ?" Il ricane. " On va bien s’amuser."

Un clin d’œil. Je le vois pas, mais je le sens. Il est partout. Dans ma tête. Dans vos têtes. Il vous attend, avec son café tiède, sur un banc, sous un ciel gris. Il murmure : " Continuez à lire. Ça va empirer."
Et puis, silence. Mais il est toujours là. Dans l’ombre. À attendre.

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24 avr. 2025

1045. Consternante catalepsie ?

 

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CONSTERNANTE CATALEPSIE ?

Oh là là, quelle tragédie nationale, mes amis ! Les États-Unis sont en PLS totale pendant que les méchants jacobins démoncrates, avec leurs gros bouquins de lois et leurs pancartes, jouent à la guerre juridique contre cette pauvre nation. Mais calmez-vous, la France… euh, l’Amérique, va pas se laisser faire par ce coup d’État de tocards en robes noires qui veulent flinguer la loi elle-même et, soyons sérieux, toute chance que cette nation gère un jour les affaires qui la regarde sans finir en sketch des Guignols !

Samedi, les clowns d’"Indivisible", gavés aux billets de Reid Hoffman, le roi de LinkedIn, et de la Fondation Tides (coucou Bill Gates et sa bande de cachottiers), ont envoyé leurs militants woke et de l'ultra-gauche dans les rues pour faire genre "ouais, tout le monde kiffe l’autodestruction nationale". Franchement, pathétique. Y’a plus que trois pelés hippies boomers déchirés au CBD pour défendre cette psychopathocratie financée par des milliardaires qui se planquent derrière leurs yachts.

Le week-end de Pâques, boum, virage à 180 dans ce cirque pour la raison (ou ce qu’il en reste). Samedi soir, la Cour suprême a dit "stop" à l’expulsion des gangsters vénézuéliens chopés par l’ICE au Texas. Sérieux, ça veut dire que le président des USA peut plus virer personne qui squatte et qui deale illégalement dans son pays ? 
On nous bassine avec des histoires de "procédures régulières" (No due process, you could be next = Pas de procès régulier, vous pourriez être le prochain) pour des mecs qu'ont balourdé leurs passeports avant de passer la frontière. C’est pas comme si que c’était pas fait exprès pour niquer la loi, hein ! Car où renvoyer des mecs qui ont plus de papiers d'identité ou de nationalité ? Les ONG, main dans la main avec le gang à « Joe Biden », font tout pour faire entrer les clandestos à la vitesse de la lumière, sans aucun contrôle. Merci l’appli smartphone CBP One, made in DHS, sous la baguette du maestro Alejandro Mayorkas, pour fabriquer des dossiers d’asile bidons et ouvrir les portes en mode "venez tous, c’est open bar !". Et cerise sur le gâteau : le programme de "libération conditionnelle humanitaire" qui laisse des mecs arriver en avions de ligne, sans même avoir besoin d'aller faire le moindre petit coucou aux douaniers ou aux officiers d'immigration.

Pourquoi tout ça ? Parce que même un hamster sous Red Bull l’aura compris : ils veulent une armée de nouveaux électeurs pour truquer encore les élections de mi-mandat à venir avec des bulletins par correspondance et des votes automatiques. C’est pas cynique, c’est juste dégueulasse. 
Et maintenant, ils remuent ciel et terre pour éviter que ces "électeurs" bidons soient renvoyés chez eux sans une "procédure judiciaire régulière", c'est à dire des millions de procès individuels pour chaque illégal présent sur le territoire.

Du coup, faut qu'y fassent quoi, les patriotes, face à ce gros foutage de gueule ? Tout le monde est sur les nerfs parce que les tribunaux, même la Cour suprême, jouent les complices de ce coup d’État. Faut que le ministère de la Justice sorte l’artillerie lourde et balance des poursuites pour tous les crimes de cette guerre juridique qui pourrit tout depuis 2016. Ça va tomber, j’vous le dis, et si le FBI et le Département de la Justice font profil bas pour l'instant, c’est qu’ils préparent des dossiers pour mieux coincer ces enculés de traitres par derrière.

On commence où ? Un bon gros procès pour meurtre de masse et mensonges au Congrès contre les stars du Covid, ça vous branche ? La Maison Blanche a lâché un pavé la semaine dernière, genre "Fuite de labo : la véritable histoire du Covid". Personne n’en parle (merci le New York Times, le Washington Post et nos torchons européens), mais ça explique bien comment que Fauci et sa clique ont bidouillé le virus avec l’EcoHealth Alliance et l’Institut de Wuhan. On y colle les PDG de Pfizer et Moderna, les boss des CDC, de la FDA, toute la bande. Qu’un jury décide si la grâce de Fauci tient toujours la route. Et pour les autres ? Pas de parachute !

Ensuite, on tape sur John Brennan, James Comey et toute la mafia du RussiaGate. On ajoute le juge FISA Boasberg pour son rôle de chef d’orchestre. Conspiration, sédition, voire trahison – coucou le MI6 britannique qu'a trempé dans le coup. Mayorkas et ses potes de la Maison Blanche ? Au trou pour avoir organisé l’invasion de clandés de 2021 à 2025. Nancy Pelosi et les Démocrates ? À la barre des accusés puis à Guantanamo pour l’émeute du 6 janvier et le sketch de la fausse bombe. Et on oublie pas la fraude électorale de 2020 dans le Michigan, le Wisconsin, la Pennsylvanie, la Géorgie. Joe Biden et sa famille ? Corruption et trahison pour leurs magouilles en Ukraine, en Chine et ailleurs. Et bien sûr, Norm Eisen, Mary McCord, Andrew Weissmann, Lisa Monaco pour leurs poursuites foireuses contre Trump en 2024.

Allez, Pam Bondi, allez Kash Patel, bougez-vous le cul ! Faites péter la bulle de dissonance cognitive qui rend la moitié de votre pays débile face à ce complot de jacobins qui veut couler l’Amérique. Appelez ça vengeance si ça vous chante, mais c’est juste la facture pour des années de crimes contre votre peuple par des élites qui se croient intouchables. Et franchement, ils l’ont bien cherché.

Puis ensuite, signez une alliance avec Poutine puis venez ensemble nous libérer aussi de ces merdes qui nous saucissonnent !

22 avr. 2025

1044. Le faux pape mondialiste a cassé sa pipe

 

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LE FAUX PAPE MONDIALISTE A CASSÉ SA PIPE
Bye bye à un pion du chaos mondial

Pourquoi le Pape François était le meilleur pote des élites mondialistes et comment l’Église a plongé tête la première dans le marxisme culturel version arc-en-ciel.
Oh, regardez, le Pape François, ce saint autoproclamé des pauvres, qui nous a vendu son « option préférentielle pour les marginalisés » comme si que c’était la découverte du siècle. Il disparait, comme par magie, le même jour où que Klaus Schwab quitte pour de bon son trône de Davos ! 

Inspiré par des rockstars du socialisme comme Dom Hélder Câmara, il a sauté à pieds joints dans le train du Grand Reset de Klaus Schwab, ce génie autoproclamé du Forum Économique Mondial (FEM), qui rêvait de redistribuer les richesses… ou plutôt de les planquer dans les poches des élites. Sous ses airs de sauveur des opprimés, François avait enfilé le costume de cheerleader pour un plan technocratique bien ficelé : centraliser le pouvoir, pulvériser la propriété privée et nous servir une société à deux vitesses où les milliardaires siroteraient des cocktails pendant que le reste du monde ramasserait les miettes. Bravo, quel humaniste il a fait sous les yeux du serpent de sa salle de conférence !


Bon vent, François ! Ce pontife a collé au FEM comme une crotte au trou du cul d'un clebs dès son premier jour. Avant que quelqu’un ne sorte les mouchoirs pour Jorge Mario Bergoglio, démasquons ce héros des élites, qui avait troqué sa tiare contre un badge VIP de Davos. François, c’était le gars du Grand Reset, cette fumisterie post-COVID qui promettait un monde « meilleur » (traduisez : un monde où les riches décident de tout). 

Le FEM, avec Klaus Schwab à la baguette, est le QG des milliardaires et des politiciens qui fantasment sur un contrôle total, et François était leur mascotte spirituelle, brandissant la croix pour bénir leurs magouilles.
Son encyclique Laudato Si' de 2015 ? Un véritable best-seller du FEM, pondu pour chanter les louanges du changement climatique et du « développement durable » – des mots magiques pour justifier des réformes qui sentent bon l’autoritarisme. Schwab a dû sabrer le champagne en lisant ça, tellement c’était du sur-mesure pour son agenda vert fluo.

Et que dire du Conseil pour un capitalisme inclusif ? François s’était jeté dedans en 2020, main dans la main avec des stars du mondialisme comme Lynn Forester de Rothschild et des mastodontes comme Mastercard. Ce « capitalisme des parties prenantes » ? Juste un slogan branché pour dire que les grosses boîtes faisaient semblant d’être gentilles tout en serrant la vis. François n’a pas juste applaudi, il a prêté la crédibilité du Vatican à ce cirque, transformant l’Église en vitrine reluisante pour le capitalisme 2.0 du FEM.

Et ne parlons même pas de ses virées à Davos ! Il papotait avec Christine Lagarde, ex-patronne - ou patron ? - du FMI, et poussait des idées comme l’allègement de la dette des pays pauvres – des propositions qui sentent le copié-collé du playbook de Schwab. Catholique, ça ? Non, c’est du mondialisme pur jus, avec une touche de vernis compassionnel pour faire avaler la pilule. Ses discours sur la « coopération internationale » et la « nouvelle économie » ? Un écho parfait du rêve du FEM : un monde sans frontières, homogénéisé, où les élites mènent la danse pendant que le reste du monde applaudit bêtement.

François, c’était l’agent infiltré parfait comme nombre de Jésuites, drapant la prise de pouvoir du FEM dans une soutane d’humilité. Son pontificat a vendu l’âme de l’Église pour un siège à la table des mondialistes. Alors, à sa sortie de scène, pas de larmes, s’il vous plaît. Levez vos verres à la fin d’un pape qui a prêté oreille au démon bien plus qu'au divin !


Mais comment en est-il arrivé là ?
L’Évêque Rouge, star du chaos idéologique
Peu savent que le grand gourou Schwab a puisé son inspiration dystopique auprès d’un évêque catholique brésilien dans les années 70. Oui, m'sieurs dames, voici Dom Hélder Câmara, alias « l’Évêque Rouge », le chaînon manquant entre le cirque mondialiste de Schwab et le show politique de François.

Câmara, c’était pas le curé du coin. Ce type adulait le modèle cubain de Castro et la Révolution culturelle de Mao – vous savez, celle qui a gentiment rayé 50 millions de chinetoques de la carte. Il a été une rockstar de la Théologie de la Libération, ce mouvement des années 60-70 qui a transformé des prêtres en militants marxistes armés de bibles. Mais attention, son CV est encore plus croustillant ! Dans les années 30, Câmara paradait avec l’Action Intégrale Brésilienne, un groupe fasciste pro-Mussolini, avec des chemises vertes qui tabassaient les communistes dans les rues. Oui, il portait la chemise verte sous sa soutane, la classe absolue. Puis, après la guerre, virage à 180° : exit le fascisme, bonjour le marxisme progressiste ! Un vrai caméléon idéologique.

Théologie de la Libération : quand l’Église découvre le marxisme et la victimisation
Câmara a été le fer de lance de ce mouvement qui a secoué l’Église. Avec des prêtres comme Gustavo Gutierrez, ils ont décrété que le christianisme, c’était avant tout « Dieu aime les pauvres » (et tant pis pour les autres). Finie la spiritualité, place à la lutte armée contre les méchants capitalistes ! Ces curés ont carrément pris les armes aux côtés des sandinistes au Nicaragua et chanté les louanges de la révolution soviétique. Leonardo Boff, un disciple de Câmara, a même lâché : « On veut du marxisme en théologie, point barre. » Subtil, non ?

Leur programme ? Redistribuer les richesses par la force, soutenir les guérillas communistes et, plus tard, ajouter une pincée d’écologie radicale pour faire bonne mesure. Résultat : la Théologie de la Libération a semé les graines de l’idéologie victimaire Woke qui nourrit aujourd’hui des mouvements comme ANTIFA, BLM, LGBTQ ou l’Agenda Vert. Merci, Câmara, pour ce cadeau empoisonné !


Schwab et Câmara : le duo improbable
Klaus Schwab, dans un élan de nostalgie, a avoué que deux hommes ont façonné sa vision : Henry Kissinger (sans surprise) et… Dom Hélder Câmara (pardon ?). Pendant que Kissinger complotait pour renverser des gouvernements, Câmara mobilisait les pauvres contre l’oppression. Deux styles, un seul but : influencer Schwab, qui a vu en Câmara l’outil parfait pour donner une aura « morale » à son projet mondialiste.

En 2013, François rend hommage à Câmara et adopte son jargon dans Evangelii Gaudium, vantant l’« option préférentielle pour les pauvres ». Noble, dites-vous ? Plutôt une excuse pour aligner l’Église sur l’agenda du FEM. En 2014, Schwab invite François à Davos, et depuis, c’est l’amour fou : encycliques pro-Grand Reset, appels à la redistribution des richesses, et même un coup de pouce pour béatifier Câmara en 2015. François ne se contente pas de suivre, il pave la voie pour un monde où propriété privée rime avec « crime contre l’humanité ».

François et le Grand Reset : un mariage parfait
Pourquoi Schwab, le roi de la mondialisation, roule-t-il des mécaniques avec un pape « progressiste » qui a renoncé à être le vicaire du Christ sur Terre pour promouvoir la LGBTQ et promulguer que s'injecter le vaccin Covid était un acte d'amour ? Parce que l’alliance de François et de la Théologie de la Libération est une arme de séduction massive. Elle rallie les jeunes, les pauvres et les idéalistes et les non-hétéros de toutes sortes à la cause du Grand Reset – un fascisme technocratique déguisé en justice sociale et le bien pour tous. 

En 2020, François déclare que la propriété privée n’est pas « inaliénable » (oups, adieu la doctrine chrétienne) et publie Fratelli Tutti (tous frères), où il explique que les entrepreneurs doivent donner leur fric aux pauvres. Subtil comme un bulldozer.
En gros, François et Schwab ont monté un duo de choc : l’un vend l’utopie mondialiste avec des sermons, l’autre avec des PowerPoint à Davos. Résultat ? Un monde où les élites contrôlent tout, pendant que l’Église applaudit en agitant un drapeau vert-écolo de la main droite et un drapeau pédo-arc en ciel de la main gauche.. 


Alors, au trépas de François, pas de larmes, juste un gros « OUF » de soulagement même si on va pas lui souhaiter d'aller en enfer, ce qu'on ne souhaite à personne. 
À qui le tour pour le prochain épisode de ce soap opera mondialiste ?

20 avr. 2025

1043. Dialogue à Venise


DIALOGUE À VENISE

" Ooh, ce qui est en haut serait comme ce qui est en bas, hein ? Queste distinzioni sono arbitrarie, come il passato e il futuro, capito ?  
-  Mais qu'ist-ce ti racontes ? Couman ça, khouya Marco ? "

 Il y avait à peine un chouïa d'ondulation sur l'eau, là où les reflets des étoiles allaient pas tarder à scintiller telles des lucioles flottantes. Une ville rayonnante se dédoublait déjà, le reflet si vif qu'il serait difficile de distinguer ce qui serait reflet de ce qui serait réel dans pas longtemps. Deux voyageurs, contemplant ce paysage, se parlaient doucement.

" Que tu regardes delante o dietro, les due horizons sono inaccessibili, ecco ! Solo lo spirito les touche, capito ? Ils sont uno, uno solo !  
- Mais, khouya Marco, li passé, il a dijà passé, wallah ! Li futur, il est pas encore là. L’un, il est figé, l’autre, il change tout le temps.  
- Davvero, tu crois ça ? Il passato, il change pas, hein ? Quando cambiamo, les souvenirs, les lieux, le persone che abbiamo rencontrées, tutto cambia, no ? On marche toujours  con la testa girata en arrière ! On attend il futuro juste pour qu’il devienne il passato, on recherche il nuovo per ricordare il vecchio. On vit seulement... retrospettivamente, capito ?  
- Toi, jamais issayé di vivre dans le prisent, khouya Marco ? Pas dans aucun de ti voyages ?  
- Mamma mia, ma qué si, j’ai essayé, per un periodo ! In Oriente, tu sais, beaucoup essayent de faire ça, Questo é un’idea qui t’attrape, qui t’ensorcelle ! J’ai même seguito un gourou, tu le savais ? Ma no, jamais réussi à controllare la mia attenzione. Troppo voyagé, creo. Più je bougeais, più chaque nuovo lieu, je le voyais à travers tutti gli altri que habiamo déjà visto. Ma, in fine, c’est pas une mala cosa, no ?  
- Vraiment, khouya Marco ?  
- Même i più illuminati, ils restent nel presente solo per quelques secondes ! Et si on pouvait y restare più longtemps, per y fare che cosa ?  Una rocca, elle n'a ni passato ni futuro. Elle est là, muette, silenciosa, dans queste momento. On veut être più que una rocca, no ? Regarde ces murs ! Molti poeti ont marché sur questi canali de marbre, imaginant ce qu’ils pouvaient voir. Mais ils oublient que les pierres, elles ont pas de souvenirs, giusto des cicatrices, capito ?  
- On grandit seulement en regardant en arrière ? Riponse d’un viritable voyageur, wallah...  
- Esattamenté, amico mio ! " 

Les deux hommes regardent distraitement une gondole passer sous leurs nez.

" Ji pensais trouver une statue de toi ici, khouya Marco, mais hilas, lashââ  ! Au moins, ils ont donné ton nom à l’aïroport.  
- Je comprends niente à questi viaggi en avione, porca madonna ! Perché aller diretto a destinazione, senza fare il viaggio pourr y arriver, hein ? Quel sens ça a ?  
- Beaucoup di choses ont changé depuis notre ipoque, khouya Marco. Li chemins, trop foulés, ils sont divinus des sillons profonds. Comme l’eau qui discend la pente, tout li monde il prend li chimin li plus facile.  
- Peut-être que ce sont le speranze folles d'un vieil uomo, ma mi piace croire qu’il y a ancora avventura à découvrir, eh ! Dans gli deserti, sulle montagne escarpées, nelle dernières forêts antiques... Il existe ancora des luoghi sauvages, capito? 
- Hamdullah ! J’ispère que ti as raison, khouya Marco, j’ispère que ti as raison... " 

Les deux hommes retombent dans un silence profond. Après quelques minutes, Ibn Battuta regarde autour de lui et trace en l'air l'arche du Rialto avec un doigt.  

" Plus je riste dans citte ville, plus ses formes me rappilent mon chiz-moi, wallah.  
- Partout où j'ai voyagé, de Tabriz à Xanadu, je pouvais pas m’empêcher de voir Venezzia au milieu de rues inconnues, eh !  
- Vrai, ya habibi... On porte nos maisons avic nous, partout où on va. Mais apris un temps, li souvenir de cit endroit précieux, il devient plus important que la rialité. Ji erré des années i des années, toujours rivant de Tanger, mais trop peur d’y retourner. Et si c’itait pas comme dans mi souvenirs, et si tous mi souvenirs n'itaient que di mensonges ?  
- Et più on s'absente, più on est sûr que tutto a cambiatto pendant la sua absence, vero ?"  

Abu Ibn Battuta se met à gesticuler :

" Ci comme ça que tu t’en souviens, ya khouya Marco ?  
- Oui et non" répond ce dernier en penchant la tête, "... oui et non, capito ? Les os, ils sont encore là, je crois. Mais beaucoup de la carne, elle a cambiatto. Il reste un peu de l’anciano spirito. Derrière les bibelots des marchands, sous les ponts bondés, la vecchia dama soupire ancora, eh !  
- Aussi belle soit-elle, je comprends pourquoi que ti es parti. Ci l’eau... toujours en mouvement... y en a une agitation dans ci canaux. L’horizon embrumé, il nous appile. Pareil dans le désert, wallah.  
- Tu savais où tu allais, quand tu es parti, il y a toutes ces années, amico?  
- Ci ce que ji croyais, khouya Marco. C’itait censé itre juste un simple pilirinage. Mais bien avant mon primier voyage, j’itais dijà amoureux du mouvement : li balancement du chameau, l’agitation di caravanes... J’i toujours prifiré partir plutôt qu’arriver. Une fois arrivé à ma primière destination, j’i compris que ji pourrais plis jamais m’arriter. Chaque nouvile porte en ouvrait mille autres.  
- Et avant que tu t’en rendes compte, les années ont passé. Des décennies !  
- Le temps, ci un voyage à lui tout seul, wallah. Mime apris toutes cis années, y en avait encore tout plein de villes que ji jamais réussi à atteindre."  

Le visage de Marco s'illumine d'un sourire.
" Il mondo, il devient più ricco quand tu réalises que tu peux pas tout voir, capito ? Tutte les strade mènent à tutte le destinazioni, mais aucun voyageur ne peut les prendre toutes. C’est à nous de choisir quale strada seguire, è un fatto ! " 

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et à très bientôt ! 

19 avr. 2025

1042. Sortir de la Grotte !

 

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SORTIR DE LA GROTTE

Depuis les années 60, l’humanité a commencé à ouvrir les yeux, comme si elle sortait d’un cauchemar où guerres mondiales et famines avaient laissé des traces aussi profondes que des cratères sur la Lune. C’était une époque où le monde semblait couper en deux, comme un sandwich mal partagé : d’un côté, les États-Unis, avec leurs jeans et leur Coca ; de l’autre, l’URSS, avec ses drapeaux rouges et ses hordes de Bolcheviks montés sur des chars. Mais là-dedans, une vague de jeunes rebelles a débarqué, balançant des riffs de guitare rock qui faisaient trembler les murs et des slogans « peace and love » à faire fondre les cœurs. Les hippies, avec leurs cheveux longs et leurs chemises à fleurs, voulaient tout envoyer valser : les vieilles traditions qui sentaient la naphtaline, les idéologies politiques qui dressaient des murs entre les gens, et ces jeux de pouvoir géostratégiques qui faisaient du monde un échiquier géant.

Mais attendez, y’a des malins qui vont lever le doigt et dire : « Ouais, mais tout ça, c’était bidon ! Les gros bonnets de l’époque ont monté ces mouvements comme une expérience tordue pour manipuler la jeunesse, la diviser, et la noyer sous un flot de drogues synthétiques et d’opiacés. » 
OK, je vais pas faire semblant que c’est du pipeau. Ce qu’on appelle aujourd’hui l’« État profond » – ces marionnettistes qui tirent les ficelles dans l’ombre – a clairement essayé de jouer les chefs d’orchestre. Ils ont sorti des substances chelou pour faire planer les foules et les garder sous contrôle. Mais, soyons sérieux, ils ont pas tout verrouillé. Les jeunes ont commencé à penser hors des sentiers battus, un peu comme les héros de Divergente, qui refusent de rentrer dans les cases. Résultat ? Une vague d’idées nouvelles a déferlé, une énergie positive qui a failli faire basculer l’humanité dans une nouvelle ère, comme un moteur de fusée qui commence à rugir.

Ceux qui ont grandi dans les années 80, vous vous souvenez des étagères remplies de magazines sur le « renouveau de l’homme »,sur le « New Age »,  des bouquins ésotériques, des émissions télé qui parlaient d’ovnis, de science de pointe, et de culture avec une passion contagieuse. On avait l’impression que l’humanité était sur le point de faire un salto avant vers un futur radieux, guidée par des leaders qui semblaient avoir une vision, une flamme dans les yeux. La chute du mur de Berlin en 89 a été un moment clé. Même si, derrière, y’avait des plans pas très nets – genre faire tomber certains partis dans plusieurs pays occidentaux –, pour beaucoup, c’était comme si on passait le portail vers une « Nouvelle Humanité », un monde où on laisserait les vieilles rancunes au vestiaire.

Sauf que, pendant ce temps, dans l’ombre, l’« État profond » – un terme qui sonnait encore comme de la science-fiction à l’époque – tissait sa toile. Gouvernements, banquiers, militaires, industriels… tous dans le coup, comme une équipe de méchants dans un film de James Bond. Leur plan ? Une prise de pouvoir en mode « grenouille bouillie à petit feu » : tu mets la grenouille dans une casserole d'eau froide, tu montes la température doucement, elle s’habitue à l'eau qui tiédit, et quand elle réalise que ça commence à faire mal, c’est trop tard, elle est cuite. C’est exactement ce qu’on vit aujourd’hui. L’économie, la politique, les médias nous écrasent comme des galettes, et les gens ? Ils encaissent sans moufter, comme si c’était normal de voir les valeurs, l’éthique, et même la dignité humaine partir en fumée. On avale les dégradations, le harcèlement, la perte de liberté, comme si que c’était juste un mauvais jour.
Et puis, boum, le 11 septembre 2001. Un uppercut dans la tronche de l’humanité. Ce jour-là, tout a basculé. Cette vibe d’espoir, cette « masse critique » qu’on avait construite dans les années 80, elle s’est effondrée comme un château de sable face à une déferlante. La peur a pris le volant, le désarroi a mis le turbo, et des forces pas franchement angéliques, qui bossaient dans l’ombre, ont sauté sur l’occase crée par elles - c'est entrain de sortir - pour avancer leurs pions. Ces puissances, tapies dans les coulisses, ont préparé le terrain pour un monde où le contrôle est roi.

Mais attention, je vais pas vous servir du « complot » à la sauce mec avec un chapeau en alu. La dénomination « théoricien du complot » a été tordue pour faire taire ceux qui posent trop de questions. Dans notre rédac', on prend du recul, on regarde le tableau d’ensemble, sans nous mouiller pour un camp ou l’autre. On veut juste qu’on se pose les bonnes questions.
On fait un bond jusqu’au 31 décembre 2019. Le Covid-19 a déboulé comme un bulldozer. Pas la peine de remuer les souvenirs douloureux – les pertes, les drames, les vies brisées. Ce virus, et surtout les décisions foireuses de certains gouvernements pour l’arrêter, ont ouvert la boîte de Pandore. Des règles ultra-répressives, parfois carrément anticonstitutionnelles, ont débarqué. Et devinez quoi ? Elles sont toujours là, elles reviennent par vagues, comme un mauvais remix qui passe en boucle à la radio.

Alors, je me pose des questions, et je vous les balance en vrac :
1. Depuis quand on a commencé à avaler cette « nouvelle normalité » qu’on nous sert comme un plat réchauffé ?
2. Depuis quand qu'on trouve ça OK de laisser polluer notre bouffe, notre planète, et même nos corps, comme si c’était juste un détail ?
3. Depuis quand on a refilé les clés de nos libertés aux gouvernements, comme si que c’étaient des potes de confiance ?
4. Et franchement, comment on peut encore laisser tout ça continuer, comme des spectateurs dans un film d’horreur ?

Y’a des théories qui fusent dans tous les sens, mais les réponses, elles se font attendre. Ce qui crève les yeux, c’est qu’on a laissé des comportements absurdes devenir la norme. Les gens suivent le mouvement, comme des moutons qui vont à l’abattoir. On dirait qu’un programme de contrôle mental – ouais, je sais, ça sonne fou, mais on en reparlera – tourne à plein régime depuis des décennies, et là, il passe en mode turbo.
Pour un gars comme moi, qui regarde tout ça avec un œil clair, c’est carrément du délire. Mais pour la plupart des gens, c’est juste la vie, point barre. Alors, on va creuser encore un peu, histoire de secouer le cocotier :
1. Depuis quand les agriculteurs se sont dit : « Allez, on arrose les champs de pesticides, tant pis si ça nous empoisonne » ?
2. Qui a eu l’idée débile de sacrifier la santé pour produire plus, comme si que c’était un deal honnête ?
3. Et les OGM, c’est quoi ce délire de jouer à l’apprenti sorcier avec la nature, sans se soucier des conséquences ?
4. Pourquoi on continue à gober ces règles qui n’ont ni queue ni tête ?
5. Et la médecine, dans tout ça ? Depuis quand on avale sans broncher que la chimio, les rayons, les vaccins ou les médocs sont toujours la solution miracle ?
6. Comment toute une profession a pu dire « OK, on signe » pour des pratiques qui font plus de mal que de bien ?
7. Et l’eau qu’on boit, pleine de chlore, de fluor, et de saletés chimiques ? Pourquoi que personne ne monte au créneau pour dire : « Stop, ça va trop loin » ?

On pourrait faire une liste longue comme un jour sans pain de ces conneries post-industrielles. Le truc, c’est que tout ça s’est installé en douce, goutte à goutte, comme une perfusion. Les grosses puissances ont bossé dur pour peaufiner l’art de l’« incrémentalisme » : des petits changements qui passent comme la crème sur le cul de vos bébés, mais qui, au final, nous mènent à une société où tout est fliqué, où notre santé passe après le fric et le pouvoir. C’est comme si on jouait à un jeu vidéo truqué, et qu’on perdait à chaque niveau.

Et là, on arrive à 2030, la date qui fait briller les yeux du Forum économique mondial (WEF) et des magazines comme Forbes. En 2016, ils ont sorti un article qui disait : « Bienvenue en 2030 : je ne possède rien, j’ai zéro vie privée, et la vie est géniale. » Sérieux ? Il ne faut pas avoir peur ? On dirait un pitch pour un épisode de Black Mirror. La meuf derrière cet article, Ida Auken, une ministre danoise, parlait des Objectifs de Développement Durable (ODD) de l’ONU, censés éradiquer la pauvreté, sauver la planète, et répandre la paix. Sauf que, derrière les beaux discours, l’Agenda 2030, c’est un plan pour mettre tout le monde au pas : nos vies, nos choix, nos données, tout passe sous leur radar.

Le WEF (Forum économique mondial) jure que c’était juste une « réflexion » pour lancer le débat, mais leur vision de 2030, c’est un monde de villes intelligentes où on a plus de vie privée, plus rien à nous, juste des services numériques qui décident à notre place. Votre salon ? Il sert à des réunions quand vous êtes pas là. Faire du shopping ? Nan, vous « choisissez des trucs à utiliser », et parfois, un algorithme le fait pour vous, parce qu’il vous connaît mieux que vous-même. Et ceux qui veulent pas jouer le jeu ? Ils sont relégués dans des « communautés autonomes », loin des métropoles ultra-connectées, comme des parias.

Mais attendez, y’a du mouvement. Des millions de gens commencent à se casser des villes pour vivre à leur sauce, loin de cette dystopie numérique. Et même ceux qui restent dans les grandes villes se mettent à gamberger : « C’est quoi ce futur de merde qu’on nous vend ? » Le WEF, l’ONU, et leurs potes bossent H24 pour faire avancer leur Agenda 2030, avec des milliards de dollars et des multinationales qui poussent derrière. Mais on peut encore leur mettre des bâtons dans les roues. Faut juste arrêter de gober leur « nouvelle normalité » et rêver notre propre 2030 : un monde où on respire, où on est libres, où on kiffe vivre sur cette planète sans être des pions.

Les générations futures comptent sur nous pour leur offrir une alternative à ce cauchemar technocratique. Parce que, soyons clairs, on vit dans un Truman Show géant. Presque tout ce qu’on nous sert – la bouffe, les infos, les lois – est trafiqué par une élite qui veut nous garder sous son talon. On est coincés dans un décor en carton, et la plupart des gens n’y voient que du feu.

Alors, comment on s’en sort ? Déjà, on se débranche du système :
1. On arrête de voter pour des politicards qui sont juste des pantins, qu’ils soient écolos, de gauche, de droite, ou anti-système autoproclamés. Ce sont des acteurs dans une pièce écrite par l’élite.
2. On balance leurs magouilles au grand jour, comme des lanceurs d’alerte avec du cran.
3. On lâche les technos qui nous transforment en zombies : smartphones, objets connectés, tout ça nous rend plus cons qu’autre chose.
4. On boycotte les méga-corporations qui bouffent les petits commerces comme des ogres. À la place, on soutient les artisans, les locaux, les vrais.
5. On se reconnecte à nous-mêmes. On est devenus des robots matérialistes, à courir après le fric, les gadgets, et les likes. Cinq mecs possèdent autant que la moitié de la planète, et 90 % des gens galèrent. Faut qu’on retrouve du sens, qu’on vive avec du cœur, de l’honnêteté, et qu’on arrête de jouer les victimes.

Créer un nouveau paradigme, ça va demander du lourd. Faut du courage, de l’unité, et des tripes. L’élite mondiale est en train de pousser son plan final : réduire la population globale et mettre les survivants en cage. Ils ont l’ONU, l’OMS, les médias, et des gouvernements à leur botte. Mais si on se serre les coudes, on peut les faire tomber. Faut des gens droits, loyaux, qui agissent malin pour saper leur pouvoir.

L’Allégorie de la Caverne de Platon: un miroir de notre monde
Imaginez une grotte, sombre, humide, avec des parois qui suintent et une odeur de moisi qui vous prend à la gorge. C’est pas une grotte de carte postale ni celle d'Ali Baba, non, c’est un endroit oppressant, comme un vieux sous-sol oublié. Dedans, y’a des gens, des prisonniers, coincés là depuis qu’ils sont nés. Ils savent pas ce que c’est, le dehors. Pour eux, la grotte, c’est tout l’univers. Mais cette grotte, c’est plus qu’un décor : c’est une métaphore, un miroir de notre société, où on est souvent prisonniers d’un système qui nous fait gober des illusions. Platon, avec son génie, nous balance cette histoire pour nous faire cogiter sur la vérité, la liberté, et ce qu’on appelle la « réalité ».

Les prisonniers enchaînés : les hypnotisés du système
D’abord, t’as les prisonniers enchaînés. Ces pauvres gars sont attachés, genre menottés à des chaînes bien lourdes, le genre qui vous râpe la peau. Ils peuvent pas bouger la tête, pas regarder sur les côtés, rien. Tout ce qu’ils voient, c’est un mur devant eux, un mur gris, terne, qui pourrait rendre fou n’importe qui. Depuis qu’ils sont gosses, ils fixent ce mur, et dessus, y’a des ombres qui dansent. Des silhouettes floues, des formes qui bougent comme dans un théâtre d’ombres chelou. Ces ombres, c’est tout ce qu’ils connaissent. Pour eux, c’est la vérité, la vie, le grand show.
Mais attendez, d’où viennent ces ombres ? Derrière les prisonniers, y’a un feu qui crépite, et des types – les « ravisseurs », comme Platon les appelle – manipulent des objets, des bouts de bois, des figurines, pour projeter ces ombres sur le mur. C’est du cinéma avant l’heure, mais un cinéma pourri, conçu pour garder les prisonniers dans le noir. Ces ravisseurs, c’est comme l’élite d’aujourd’hui : les médias mainstream, les politicards, les grosses corpos qui décident ce qu’on doit voir, penser, consommer. Ils balancent leurs ombres – pubs, infos truquées, séries Netflix – pour qu’on reste scotchés, bien sages, sans poser de questions.
Les enchaînés, eux, ils sont tellement conditionnés qu’ils croient dur comme fer que ces ombres, c’est la réalité. Ils se prennent la tête pour deviner ce que les ombres représentent, ils parient dessus, ils en font des légendes. « Hé, t’as vu l’ombre avec deux têtes ? C’est un dieu, sûr ! » Ils sont prisonniers, mais ils s’en rendent même pas compte. Ça vous rappelle pas un peu notre monde ? Les gens qui scrollent TikTok ou qui gobent les JT de BFM, de TF1 ou de LCI sans moufter, convaincus que c’est la vérité ? Ces enchaînés, c’est ceux qui suivent le troupeau, qui avalent la « nouvelle normalité » sans broncher, qui pensent que le système est leur pote. Ils sont enchaînés par l’habitude, la peur, ou juste par l’ignorance. Et le pire ? Ils kiffent leurs chaînes, parce qu’ils savent pas qu’il y a autre chose.

Les prisonniers sans chaînes : les complices involontaires
Ensuite, y'a une autre catégorie de prisonniers, encore plus flippante : ceux qui n’ont même pas besoin de chaînes. Ces gars-là, ils sont libres de bouger, techniquement. Personne les attache, personne les force à rester face au mur. Mais ils restent là, les yeux rivés sur les ombres, comme des zombies devant un écran géant. Pourquoi ? Parce qu’ils sont tellement hypnotisés par le spectacle qu’ils veulent pas regarder ailleurs. Les ombres, c’est leur drogue, leur série préférée, leur confort. Ils sont accro, comme un mec qui peut pas lâcher son smartphone même pour pisser.
Ces prisonniers sans chaînes, ils sont encore plus prisonniers que les autres, en un sens. Parce qu’ils choisissent de rester. Ils pourraient se lever, se retourner, voir le feu, les ravisseurs, tout le bazar, mais non. Ils préfèrent croire aux ombres, aux histoires qu’on leur raconte. Dans notre monde, c’est les gens qui savent, au fond, que quelque chose cloche – genre, que les médias mentent ou que les lois sont tordues – mais qui ferment les yeux. Ils se disent : « Bof, c’est plus simple de suivre le mouvement. » Ils bossent pour des boîtes qui polluent, ils votent pour des put pantins tels Macron, Philippe, Le Pen, Mélenchon ou Glucksmann, ils soutiennent la LGBTQ,  ils achètent des trucs inutiles, tout ça parce que c’est plus facile que de se rebeller. Ils sont libres, mais ils s’auto-enchaînent, comme des éléphants attachés à une corde qu’ils pourraient casser d’un coup de patte.

Platon, il nous met une claque avec ces gars-là. Il nous dit : « Attention, la liberté physique, c’est pas assez. Si ton esprit est coincé, t’es toujours en prison. » Ces prisonniers sans chaînes, ils représentent ceux qui ont un bout de vérité sous le nez mais qui préfèrent rester dans leur zone de confort, à mater les ombres en se racontant que c’est pas si mal.

Le prisonnier libéré : le rebelle qui voit la lumière
Et puis, y’a le héros de l’histoire : le prisonnier libéré. Ce mec, il commence comme les autres, enchaîné, à mater les ombres sans se poser de questions. Mais un jour, crac, quelque chose se passe. Peut-être qu’une chaîne trop rouillée a pété, peut-être qu’il a entendu un bruit bizarre, ou peut-être qu’il a juste eu un déclic. Il se retourne, et là, c’est le choc. Il voit le feu, les ravisseurs, les objets qui projettent les ombres. Tout son monde s’écroule. Les ombres qu’il vénérait ? Juste un tour de passe-passe, un fake monté par des manipulateurs. Il capte qu’il a été berné toute sa vie.
Mais c’est pas fini. Ce gars, il trouve un chemin vers la sortie de la grotte. Il grimpe, il rampe, il crapahute il s'escagasse les genoux sur les cailloux. Et quand il sort, paf, le soleil lui explose les rétines. Il est aveuglé, il comprend rien. Après des années dans le noir, la lumière, c’est trop. 
Au début, il voit encore que des ombres, parce que c’est tout ce que son cerveau connaît. Puis, petit à petit, ses yeux s’habituent. Il commence à voir des reflets dans l’eau, des arbres, des animaux, des étoiles. Et enfin, il capte : le soleil, c’est la vraie lumière, pas le feu pourri des ravisseurs. Il découvre le monde, le vrai monde, avec ses couleurs, ses odeurs, sa vie.
Ce prisonnier libéré, c’est le rebelle, le mec ou la meuf qui sort du moule. Dans notre société, c’est celui qui commence à poser des questions : « Pourquoi on pollue tout ? Pourquoi on laisse les gouvernements nous fliquer ? Pourquoi on gobe les mensonges des médias ? » 
C’est le lanceur d’alerte, le chercheur de vérité, le gars qui lit des bouquins interdits ou qu'écoute des podcasts qui dérangent. Mais c’est pas une promenade de santé. Sortir de la grotte, ça fait mal. Tu perds tes repères, tes potes te prennent pour un fou, ta famille te dit de te calmer. La lumière, elle éblouit, elle brûle, mais elle révèle tout.
Le plus beau, c’est ce que fait le prisonnier libéré ensuite. Il pourrait rester dehors, profiter du soleil, se dorer la pilule, se la couler douce. Mais non. Il redescend dans la grotte, dans cette obscurité qui pue, pour réveiller les autres. Il leur dit : « Les mecs, vous êtes en prison ! Les ombres, c’est du vent ! Venez voir dehors, y’a un monde incroyable ! » 
Mais là, c’est le drame. Les autres prisonniers, enchaînés ou pas, ils le regardent comme un extraterrestre. Ils se moquent, ils l’insultent, ils le traitent de taré. Pire, ils veulent le buter, parce qu’il bouscule leur petit monde confortable. Ils préfèrent leurs ombres à la vérité, parce que la vérité, elle fait peur, elle demande du courage.
Ce prisonnier libéré, c’est le symbole de ceux qui se battent pour l’éveil. Dans ce contexte, c’est les gens qui refusent l’Agenda 2030, qui boycottent les multinationales, qui vivent en harmonie avec la nature. Mais c’est aussi vous, moi, n’importe qui qui décide de regarder plus loin que le bout de son nez. Platon nous dit : « La liberté, c’est pas juste sortir de la grotte. C’est revenir chercher les autres, même si c’est risqué. »

Le parallèle avec aujourd’hui
Cette grotte, c’est notre monde. Les ombres, c’est tout ce qu’on nous vend : les pubs qui nous disent d’acheter, les infos qui vous manipulent, les lois qui nous brident. Les ravisseurs, c’est l’élite – l’« État profond », les technocrates, les médias – qui projettent ces illusions pour nous garder dociles. Les prisonniers enchaînés, c’est la masse qui suit sans réfléchir, qui croit que la vie, c’est métro-boulot-dodo et un iPhone à crédit. Les prisonniers sans chaînes, c’est ceux qui sentent que ça cloche mais qui préfèrent fermer les yeux, parce que c’est plus simple. Et le prisonnier libéré ? C’est toi, quand tu commences à douter, à chercher, à te battre pour un monde meilleur.

Mais Platon va plus loin. Il dit que la grotte, c’est aussi dans nos têtes. On construit nos propres prisons, avec nos peurs, nos doutes, notre flemme de changer. Les ombres, c’est pas juste la télé ou les réseaux sociaux ; c’est aussi les histoires qu’on se raconte pour rester dans notre zone de confort. « Je peux rien faire, le système est trop fort. » « C’est pas si grave, on vit bien. » Ces ombres-là, elles sont les plus dures à virer, parce qu’elles viennent de nous.
Sortir de la grotte, c’est un voyage intérieur autant qu’extérieur. C’est apprendre à écouter nos instincts, notre petite voix, ce que Lao Tseu appelle le « Soi intérieur ». C’est refuser de gober les ombres et chercher la lumière, même si elle pique les yeux. Et une fois dehors, c’est revenir pour les autres, pour leur montrer qu’un autre monde est possible – un monde sans chaînes, sans mensonges, sans contrôle.

Et puis, ce même Lao Tseu, dans son Hua Hu Ching, qui nous parle comme un vieux pote. Il dit qu’on s’est perdu dans nos têtes, qu’on a oublié de vivre en harmonie, comme les anciens qui respectaient leur corps, leur esprit, et leur âme. On a tout fragmenté, on a mis l’intellect sur un piédestal, et maintenant, on est paumés dans un monde malade, masqué, et divisé. Lao Tseu nous donne la clé : revenir à une vie simple, en phase avec la nature, où tout est connecté. Nos habits, notre bouffe, nos maisons, tout doit respecter la planète. Et nos leaders ? Faut des gens vertueux, pas des requins obsédés par le fric ou le pouvoir.

Pour finir, un clin d’œil à des figures comme Corey Goode (réalisateur d'Above Majestic), un mec qui dit avoir bossé dans des programmes spatiaux secrets. Il parle d’un gros changement énergétique qui arrive dans notre système solaire, un truc qui pourrait tout bouleverser. Et Dolores Cannon, une contactée, Dolores Cannon (1931-2014), hypnothérapeute américaine, s'est spécialisée dans la découverte et la reconquête d'un « Savoir Perdu ». Elle s'est intéressée à l'hypnose dès les années 60 pour se spécialiser dans la thérapie de régression en 1979. disant que depuis 2012, un processus graduel est en marche, qui s’accélère. Les signes sont là, faut juste arrêter de fermer les yeux.

Alors, c’est maintenant ou jamais. On peut tous se reconnaître, briser les chaînes qui nous retiennent dans nos grottes, et faire disparaître les ombres. Ensemble, on peut créer un nouvel Âge d’Or, pour nous, pour la planète, pour les générations à venir. On est pas seuls dans ce combat. 
Allez, à vous de jouer, et bonnes vibes à tous ! 

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