Depuis les années 60, l’humanité a commencé à ouvrir les yeux, comme si elle sortait d’un cauchemar où guerres mondiales et famines avaient laissé des traces aussi profondes que des cratères sur la Lune. C’était une époque où le monde semblait couper en deux, comme un sandwich mal partagé : d’un côté, les États-Unis, avec leurs jeans et leur Coca ; de l’autre, l’URSS, avec ses drapeaux rouges et ses hordes de Bolcheviks montés sur des chars. Mais là-dedans, une vague de jeunes rebelles a débarqué, balançant des riffs de guitare rock qui faisaient trembler les murs et des slogans « peace and love » à faire fondre les cœurs. Les hippies, avec leurs cheveux longs et leurs chemises à fleurs, voulaient tout envoyer valser : les vieilles traditions qui sentaient la naphtaline, les idéologies politiques qui dressaient des murs entre les gens, et ces jeux de pouvoir géostratégiques qui faisaient du monde un échiquier géant.
Mais attendez, y’a des malins qui vont lever le doigt et dire : « Ouais, mais tout ça, c’était bidon ! Les gros bonnets de l’époque ont monté ces mouvements comme une expérience tordue pour manipuler la jeunesse, la diviser, et la noyer sous un flot de drogues synthétiques et d’opiacés. »
OK, je vais pas faire semblant que c’est du pipeau. Ce qu’on appelle aujourd’hui l’« État profond » – ces marionnettistes qui tirent les ficelles dans l’ombre – a clairement essayé de jouer les chefs d’orchestre. Ils ont sorti des substances chelou pour faire planer les foules et les garder sous contrôle. Mais, soyons sérieux, ils ont pas tout verrouillé. Les jeunes ont commencé à penser hors des sentiers battus, un peu comme les héros de Divergente, qui refusent de rentrer dans les cases. Résultat ? Une vague d’idées nouvelles a déferlé, une énergie positive qui a failli faire basculer l’humanité dans une nouvelle ère, comme un moteur de fusée qui commence à rugir.
Ceux qui ont grandi dans les années 80, vous vous souvenez des étagères remplies de magazines sur le « renouveau de l’homme »,sur le « New Age », des bouquins ésotériques, des émissions télé qui parlaient d’ovnis, de science de pointe, et de culture avec une passion contagieuse. On avait l’impression que l’humanité était sur le point de faire un salto avant vers un futur radieux, guidée par des leaders qui semblaient avoir une vision, une flamme dans les yeux. La chute du mur de Berlin en 89 a été un moment clé. Même si, derrière, y’avait des plans pas très nets – genre faire tomber certains partis dans plusieurs pays occidentaux –, pour beaucoup, c’était comme si on passait le portail vers une « Nouvelle Humanité », un monde où on laisserait les vieilles rancunes au vestiaire.
Sauf que, pendant ce temps, dans l’ombre, l’« État profond » – un terme qui sonnait encore comme de la science-fiction à l’époque – tissait sa toile. Gouvernements, banquiers, militaires, industriels… tous dans le coup, comme une équipe de méchants dans un film de James Bond. Leur plan ? Une prise de pouvoir en mode « grenouille bouillie à petit feu » : tu mets la grenouille dans une casserole d'eau froide, tu montes la température doucement, elle s’habitue à l'eau qui tiédit, et quand elle réalise que ça commence à faire mal, c’est trop tard, elle est cuite. C’est exactement ce qu’on vit aujourd’hui. L’économie, la politique, les médias nous écrasent comme des galettes, et les gens ? Ils encaissent sans moufter, comme si c’était normal de voir les valeurs, l’éthique, et même la dignité humaine partir en fumée. On avale les dégradations, le harcèlement, la perte de liberté, comme si que c’était juste un mauvais jour.
Et puis, boum, le 11 septembre 2001. Un uppercut dans la tronche de l’humanité. Ce jour-là, tout a basculé. Cette vibe d’espoir, cette « masse critique » qu’on avait construite dans les années 80, elle s’est effondrée comme un château de sable face à une déferlante. La peur a pris le volant, le désarroi a mis le turbo, et des forces pas franchement angéliques, qui bossaient dans l’ombre, ont sauté sur l’occase crée par elles - c'est entrain de sortir - pour avancer leurs pions. Ces puissances, tapies dans les coulisses, ont préparé le terrain pour un monde où le contrôle est roi.
Mais attention, je vais pas vous servir du « complot » à la sauce mec avec un chapeau en alu. La dénomination « théoricien du complot » a été tordue pour faire taire ceux qui posent trop de questions. Dans notre rédac', on prend du recul, on regarde le tableau d’ensemble, sans nous mouiller pour un camp ou l’autre. On veut juste qu’on se pose les bonnes questions.
On fait un bond jusqu’au 31 décembre 2019. Le Covid-19 a déboulé comme un bulldozer. Pas la peine de remuer les souvenirs douloureux – les pertes, les drames, les vies brisées. Ce virus, et surtout les décisions foireuses de certains gouvernements pour l’arrêter, ont ouvert la boîte de Pandore. Des règles ultra-répressives, parfois carrément anticonstitutionnelles, ont débarqué. Et devinez quoi ? Elles sont toujours là, elles reviennent par vagues, comme un mauvais remix qui passe en boucle à la radio.
Alors, je me pose des questions, et je vous les balance en vrac :
1. Depuis quand on a commencé à avaler cette « nouvelle normalité » qu’on nous sert comme un plat réchauffé ?
2. Depuis quand qu'on trouve ça OK de laisser polluer notre bouffe, notre planète, et même nos corps, comme si c’était juste un détail ?
3. Depuis quand on a refilé les clés de nos libertés aux gouvernements, comme si que c’étaient des potes de confiance ?
4. Et franchement, comment on peut encore laisser tout ça continuer, comme des spectateurs dans un film d’horreur ?
Y’a des théories qui fusent dans tous les sens, mais les réponses, elles se font attendre. Ce qui crève les yeux, c’est qu’on a laissé des comportements absurdes devenir la norme. Les gens suivent le mouvement, comme des moutons qui vont à l’abattoir. On dirait qu’un programme de contrôle mental – ouais, je sais, ça sonne fou, mais on en reparlera – tourne à plein régime depuis des décennies, et là, il passe en mode turbo.
Pour un gars comme moi, qui regarde tout ça avec un œil clair, c’est carrément du délire. Mais pour la plupart des gens, c’est juste la vie, point barre. Alors, on va creuser encore un peu, histoire de secouer le cocotier :
1. Depuis quand les agriculteurs se sont dit : « Allez, on arrose les champs de pesticides, tant pis si ça nous empoisonne » ?
2. Qui a eu l’idée débile de sacrifier la santé pour produire plus, comme si que c’était un deal honnête ?
3. Et les OGM, c’est quoi ce délire de jouer à l’apprenti sorcier avec la nature, sans se soucier des conséquences ?
4. Pourquoi on continue à gober ces règles qui n’ont ni queue ni tête ?
5. Et la médecine, dans tout ça ? Depuis quand on avale sans broncher que la chimio, les rayons, les vaccins ou les médocs sont toujours la solution miracle ?
6. Comment toute une profession a pu dire « OK, on signe » pour des pratiques qui font plus de mal que de bien ?
7. Et l’eau qu’on boit, pleine de chlore, de fluor, et de saletés chimiques ? Pourquoi que personne ne monte au créneau pour dire : « Stop, ça va trop loin » ?
On pourrait faire une liste longue comme un jour sans pain de ces conneries post-industrielles. Le truc, c’est que tout ça s’est installé en douce, goutte à goutte, comme une perfusion. Les grosses puissances ont bossé dur pour peaufiner l’art de l’« incrémentalisme » : des petits changements qui passent comme la crème sur le cul de vos bébés, mais qui, au final, nous mènent à une société où tout est fliqué, où notre santé passe après le fric et le pouvoir. C’est comme si on jouait à un jeu vidéo truqué, et qu’on perdait à chaque niveau.
Et là, on arrive à 2030, la date qui fait briller les yeux du Forum économique mondial (WEF) et des magazines comme Forbes. En 2016, ils ont sorti un article qui disait : « Bienvenue en 2030 : je ne possède rien, j’ai zéro vie privée, et la vie est géniale. » Sérieux ? Il ne faut pas avoir peur ? On dirait un pitch pour un épisode de Black Mirror. La meuf derrière cet article, Ida Auken, une ministre danoise, parlait des Objectifs de Développement Durable (ODD) de l’ONU, censés éradiquer la pauvreté, sauver la planète, et répandre la paix. Sauf que, derrière les beaux discours, l’Agenda 2030, c’est un plan pour mettre tout le monde au pas : nos vies, nos choix, nos données, tout passe sous leur radar.
Le WEF (Forum économique mondial) jure que c’était juste une « réflexion » pour lancer le débat, mais leur vision de 2030, c’est un monde de villes intelligentes où on a plus de vie privée, plus rien à nous, juste des services numériques qui décident à notre place. Votre salon ? Il sert à des réunions quand vous êtes pas là. Faire du shopping ? Nan, vous « choisissez des trucs à utiliser », et parfois, un algorithme le fait pour vous, parce qu’il vous connaît mieux que vous-même. Et ceux qui veulent pas jouer le jeu ? Ils sont relégués dans des « communautés autonomes », loin des métropoles ultra-connectées, comme des parias.
Mais attendez, y’a du mouvement. Des millions de gens commencent à se casser des villes pour vivre à leur sauce, loin de cette dystopie numérique. Et même ceux qui restent dans les grandes villes se mettent à gamberger : « C’est quoi ce futur de merde qu’on nous vend ? » Le WEF, l’ONU, et leurs potes bossent H24 pour faire avancer leur Agenda 2030, avec des milliards de dollars et des multinationales qui poussent derrière. Mais on peut encore leur mettre des bâtons dans les roues. Faut juste arrêter de gober leur « nouvelle normalité » et rêver notre propre 2030 : un monde où on respire, où on est libres, où on kiffe vivre sur cette planète sans être des pions.
Les générations futures comptent sur nous pour leur offrir une alternative à ce cauchemar technocratique. Parce que, soyons clairs, on vit dans un Truman Show géant. Presque tout ce qu’on nous sert – la bouffe, les infos, les lois – est trafiqué par une élite qui veut nous garder sous son talon. On est coincés dans un décor en carton, et la plupart des gens n’y voient que du feu.
Alors, comment on s’en sort ? Déjà, on se débranche du système :
1. On arrête de voter pour des politicards qui sont juste des pantins, qu’ils soient écolos, de gauche, de droite, ou anti-système autoproclamés. Ce sont des acteurs dans une pièce écrite par l’élite.
2. On balance leurs magouilles au grand jour, comme des lanceurs d’alerte avec du cran.
3. On lâche les technos qui nous transforment en zombies : smartphones, objets connectés, tout ça nous rend plus cons qu’autre chose.
4. On boycotte les méga-corporations qui bouffent les petits commerces comme des ogres. À la place, on soutient les artisans, les locaux, les vrais.
5. On se reconnecte à nous-mêmes. On est devenus des robots matérialistes, à courir après le fric, les gadgets, et les likes. Cinq mecs possèdent autant que la moitié de la planète, et 90 % des gens galèrent. Faut qu’on retrouve du sens, qu’on vive avec du cœur, de l’honnêteté, et qu’on arrête de jouer les victimes.
Créer un nouveau paradigme, ça va demander du lourd. Faut du courage, de l’unité, et des tripes. L’élite mondiale est en train de pousser son plan final : réduire la population globale et mettre les survivants en cage. Ils ont l’ONU, l’OMS, les médias, et des gouvernements à leur botte. Mais si on se serre les coudes, on peut les faire tomber. Faut des gens droits, loyaux, qui agissent malin pour saper leur pouvoir.
L’Allégorie de la Caverne de Platon: un miroir de notre monde
Imaginez une grotte, sombre, humide, avec des parois qui suintent et une odeur de moisi qui vous prend à la gorge. C’est pas une grotte de carte postale ni celle d'Ali Baba, non, c’est un endroit oppressant, comme un vieux sous-sol oublié. Dedans, y’a des gens, des prisonniers, coincés là depuis qu’ils sont nés. Ils savent pas ce que c’est, le dehors. Pour eux, la grotte, c’est tout l’univers. Mais cette grotte, c’est plus qu’un décor : c’est une métaphore, un miroir de notre société, où on est souvent prisonniers d’un système qui nous fait gober des illusions. Platon, avec son génie, nous balance cette histoire pour nous faire cogiter sur la vérité, la liberté, et ce qu’on appelle la « réalité ».
Les prisonniers enchaînés : les hypnotisés du système
D’abord, t’as les prisonniers enchaînés. Ces pauvres gars sont attachés, genre menottés à des chaînes bien lourdes, le genre qui vous râpe la peau. Ils peuvent pas bouger la tête, pas regarder sur les côtés, rien. Tout ce qu’ils voient, c’est un mur devant eux, un mur gris, terne, qui pourrait rendre fou n’importe qui. Depuis qu’ils sont gosses, ils fixent ce mur, et dessus, y’a des ombres qui dansent. Des silhouettes floues, des formes qui bougent comme dans un théâtre d’ombres chelou. Ces ombres, c’est tout ce qu’ils connaissent. Pour eux, c’est la vérité, la vie, le grand show.
Mais attendez, d’où viennent ces ombres ? Derrière les prisonniers, y’a un feu qui crépite, et des types – les « ravisseurs », comme Platon les appelle – manipulent des objets, des bouts de bois, des figurines, pour projeter ces ombres sur le mur. C’est du cinéma avant l’heure, mais un cinéma pourri, conçu pour garder les prisonniers dans le noir. Ces ravisseurs, c’est comme l’élite d’aujourd’hui : les médias mainstream, les politicards, les grosses corpos qui décident ce qu’on doit voir, penser, consommer. Ils balancent leurs ombres – pubs, infos truquées, séries Netflix – pour qu’on reste scotchés, bien sages, sans poser de questions.
Les enchaînés, eux, ils sont tellement conditionnés qu’ils croient dur comme fer que ces ombres, c’est la réalité. Ils se prennent la tête pour deviner ce que les ombres représentent, ils parient dessus, ils en font des légendes. « Hé, t’as vu l’ombre avec deux têtes ? C’est un dieu, sûr ! » Ils sont prisonniers, mais ils s’en rendent même pas compte. Ça vous rappelle pas un peu notre monde ? Les gens qui scrollent TikTok ou qui gobent les JT de BFM, de TF1 ou de LCI sans moufter, convaincus que c’est la vérité ? Ces enchaînés, c’est ceux qui suivent le troupeau, qui avalent la « nouvelle normalité » sans broncher, qui pensent que le système est leur pote. Ils sont enchaînés par l’habitude, la peur, ou juste par l’ignorance. Et le pire ? Ils kiffent leurs chaînes, parce qu’ils savent pas qu’il y a autre chose.
Les prisonniers sans chaînes : les complices involontaires
Ensuite, y'a une autre catégorie de prisonniers, encore plus flippante : ceux qui n’ont même pas besoin de chaînes. Ces gars-là, ils sont libres de bouger, techniquement. Personne les attache, personne les force à rester face au mur. Mais ils restent là, les yeux rivés sur les ombres, comme des zombies devant un écran géant. Pourquoi ? Parce qu’ils sont tellement hypnotisés par le spectacle qu’ils veulent pas regarder ailleurs. Les ombres, c’est leur drogue, leur série préférée, leur confort. Ils sont accro, comme un mec qui peut pas lâcher son smartphone même pour pisser.
Ces prisonniers sans chaînes, ils sont encore plus prisonniers que les autres, en un sens. Parce qu’ils choisissent de rester. Ils pourraient se lever, se retourner, voir le feu, les ravisseurs, tout le bazar, mais non. Ils préfèrent croire aux ombres, aux histoires qu’on leur raconte. Dans notre monde, c’est les gens qui savent, au fond, que quelque chose cloche – genre, que les médias mentent ou que les lois sont tordues – mais qui ferment les yeux. Ils se disent : « Bof, c’est plus simple de suivre le mouvement. » Ils bossent pour des boîtes qui polluent, ils votent pour des put pantins tels Macron, Philippe, Le Pen, Mélenchon ou Glucksmann, ils soutiennent la LGBTQ, ils achètent des trucs inutiles, tout ça parce que c’est plus facile que de se rebeller. Ils sont libres, mais ils s’auto-enchaînent, comme des éléphants attachés à une corde qu’ils pourraient casser d’un coup de patte.
Platon, il nous met une claque avec ces gars-là. Il nous dit : « Attention, la liberté physique, c’est pas assez. Si ton esprit est coincé, t’es toujours en prison. » Ces prisonniers sans chaînes, ils représentent ceux qui ont un bout de vérité sous le nez mais qui préfèrent rester dans leur zone de confort, à mater les ombres en se racontant que c’est pas si mal.
Le prisonnier libéré : le rebelle qui voit la lumière
Et puis, y’a le héros de l’histoire : le prisonnier libéré. Ce mec, il commence comme les autres, enchaîné, à mater les ombres sans se poser de questions. Mais un jour, crac, quelque chose se passe. Peut-être qu’une chaîne trop rouillée a pété, peut-être qu’il a entendu un bruit bizarre, ou peut-être qu’il a juste eu un déclic. Il se retourne, et là, c’est le choc. Il voit le feu, les ravisseurs, les objets qui projettent les ombres. Tout son monde s’écroule. Les ombres qu’il vénérait ? Juste un tour de passe-passe, un fake monté par des manipulateurs. Il capte qu’il a été berné toute sa vie.
Mais c’est pas fini. Ce gars, il trouve un chemin vers la sortie de la grotte. Il grimpe, il rampe, il crapahute il s'escagasse les genoux sur les cailloux. Et quand il sort, paf, le soleil lui explose les rétines. Il est aveuglé, il comprend rien. Après des années dans le noir, la lumière, c’est trop.
Au début, il voit encore que des ombres, parce que c’est tout ce que son cerveau connaît. Puis, petit à petit, ses yeux s’habituent. Il commence à voir des reflets dans l’eau, des arbres, des animaux, des étoiles. Et enfin, il capte : le soleil, c’est la vraie lumière, pas le feu pourri des ravisseurs. Il découvre le monde, le vrai monde, avec ses couleurs, ses odeurs, sa vie.
Ce prisonnier libéré, c’est le rebelle, le mec ou la meuf qui sort du moule. Dans notre société, c’est celui qui commence à poser des questions : « Pourquoi on pollue tout ? Pourquoi on laisse les gouvernements nous fliquer ? Pourquoi on gobe les mensonges des médias ? »
C’est le lanceur d’alerte, le chercheur de vérité, le gars qui lit des bouquins interdits ou qu'écoute des podcasts qui dérangent. Mais c’est pas une promenade de santé. Sortir de la grotte, ça fait mal. Tu perds tes repères, tes potes te prennent pour un fou, ta famille te dit de te calmer. La lumière, elle éblouit, elle brûle, mais elle révèle tout.
Le plus beau, c’est ce que fait le prisonnier libéré ensuite. Il pourrait rester dehors, profiter du soleil, se dorer la pilule, se la couler douce. Mais non. Il redescend dans la grotte, dans cette obscurité qui pue, pour réveiller les autres. Il leur dit : « Les mecs, vous êtes en prison ! Les ombres, c’est du vent ! Venez voir dehors, y’a un monde incroyable ! »
Mais là, c’est le drame. Les autres prisonniers, enchaînés ou pas, ils le regardent comme un extraterrestre. Ils se moquent, ils l’insultent, ils le traitent de taré. Pire, ils veulent le buter, parce qu’il bouscule leur petit monde confortable. Ils préfèrent leurs ombres à la vérité, parce que la vérité, elle fait peur, elle demande du courage.
Ce prisonnier libéré, c’est le symbole de ceux qui se battent pour l’éveil. Dans ce contexte, c’est les gens qui refusent l’Agenda 2030, qui boycottent les multinationales, qui vivent en harmonie avec la nature. Mais c’est aussi vous, moi, n’importe qui qui décide de regarder plus loin que le bout de son nez. Platon nous dit : « La liberté, c’est pas juste sortir de la grotte. C’est revenir chercher les autres, même si c’est risqué. »
Le parallèle avec aujourd’hui
Cette grotte, c’est notre monde. Les ombres, c’est tout ce qu’on nous vend : les pubs qui nous disent d’acheter, les infos qui vous manipulent, les lois qui nous brident. Les ravisseurs, c’est l’élite – l’« État profond », les technocrates, les médias – qui projettent ces illusions pour nous garder dociles. Les prisonniers enchaînés, c’est la masse qui suit sans réfléchir, qui croit que la vie, c’est métro-boulot-dodo et un iPhone à crédit. Les prisonniers sans chaînes, c’est ceux qui sentent que ça cloche mais qui préfèrent fermer les yeux, parce que c’est plus simple. Et le prisonnier libéré ? C’est toi, quand tu commences à douter, à chercher, à te battre pour un monde meilleur.
Mais Platon va plus loin. Il dit que la grotte, c’est aussi dans nos têtes. On construit nos propres prisons, avec nos peurs, nos doutes, notre flemme de changer. Les ombres, c’est pas juste la télé ou les réseaux sociaux ; c’est aussi les histoires qu’on se raconte pour rester dans notre zone de confort. « Je peux rien faire, le système est trop fort. » « C’est pas si grave, on vit bien. » Ces ombres-là, elles sont les plus dures à virer, parce qu’elles viennent de nous.
Sortir de la grotte, c’est un voyage intérieur autant qu’extérieur. C’est apprendre à écouter nos instincts, notre petite voix, ce que Lao Tseu appelle le « Soi intérieur ». C’est refuser de gober les ombres et chercher la lumière, même si elle pique les yeux. Et une fois dehors, c’est revenir pour les autres, pour leur montrer qu’un autre monde est possible – un monde sans chaînes, sans mensonges, sans contrôle.
Et puis, ce même Lao Tseu, dans son Hua Hu Ching, qui nous parle comme un vieux pote. Il dit qu’on s’est perdu dans nos têtes, qu’on a oublié de vivre en harmonie, comme les anciens qui respectaient leur corps, leur esprit, et leur âme. On a tout fragmenté, on a mis l’intellect sur un piédestal, et maintenant, on est paumés dans un monde malade, masqué, et divisé. Lao Tseu nous donne la clé : revenir à une vie simple, en phase avec la nature, où tout est connecté. Nos habits, notre bouffe, nos maisons, tout doit respecter la planète. Et nos leaders ? Faut des gens vertueux, pas des requins obsédés par le fric ou le pouvoir.
Pour finir, un clin d’œil à des figures comme Corey Goode (réalisateur d'Above Majestic), un mec qui dit avoir bossé dans des programmes spatiaux secrets. Il parle d’un gros changement énergétique qui arrive dans notre système solaire, un truc qui pourrait tout bouleverser. Et Dolores Cannon, une contactée, Dolores Cannon (1931-2014), hypnothérapeute américaine, s'est spécialisée dans la découverte et la reconquête d'un « Savoir Perdu ». Elle s'est intéressée à l'hypnose dès les années 60 pour se spécialiser dans la thérapie de régression en 1979. disant que depuis 2012, un processus graduel est en marche, qui s’accélère. Les signes sont là, faut juste arrêter de fermer les yeux.
Alors, c’est maintenant ou jamais. On peut tous se reconnaître, briser les chaînes qui nous retiennent dans nos grottes, et faire disparaître les ombres. Ensemble, on peut créer un nouvel Âge d’Or, pour nous, pour la planète, pour les générations à venir. On est pas seuls dans ce combat.
Allez, à vous de jouer, et bonnes vibes à tous !
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