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LE FAUX PAPE MONDIALISTE A CASSÉ SA PIPE
Bye bye à un pion du chaos mondial
Pourquoi le Pape François était le meilleur pote des élites mondialistes et comment l’Église a plongé tête la première dans le marxisme culturel version arc-en-ciel.
Oh, regardez, le Pape François, ce saint autoproclamé des pauvres, qui nous a vendu son « option préférentielle pour les marginalisés » comme si que c’était la découverte du siècle. Il disparait, comme par magie, le même jour où que Klaus Schwab quitte pour de bon son trône de Davos !
Inspiré par des rockstars du socialisme comme Dom Hélder Câmara, il a sauté à pieds joints dans le train du Grand Reset de Klaus Schwab, ce génie autoproclamé du Forum Économique Mondial (FEM), qui rêvait de redistribuer les richesses… ou plutôt de les planquer dans les poches des élites. Sous ses airs de sauveur des opprimés, François avait enfilé le costume de cheerleader pour un plan technocratique bien ficelé : centraliser le pouvoir, pulvériser la propriété privée et nous servir une société à deux vitesses où les milliardaires siroteraient des cocktails pendant que le reste du monde ramasserait les miettes. Bravo, quel humaniste il a fait sous les yeux du serpent de sa salle de conférence !
Bon vent, François ! Ce pontife a collé au FEM comme une crotte au trou du cul d'un clebs dès son premier jour. Avant que quelqu’un ne sorte les mouchoirs pour Jorge Mario Bergoglio, démasquons ce héros des élites, qui avait troqué sa tiare contre un badge VIP de Davos. François, c’était le gars du Grand Reset, cette fumisterie post-COVID qui promettait un monde « meilleur » (traduisez : un monde où les riches décident de tout).
Le FEM, avec Klaus Schwab à la baguette, est le QG des milliardaires et des politiciens qui fantasment sur un contrôle total, et François était leur mascotte spirituelle, brandissant la croix pour bénir leurs magouilles.
Son encyclique Laudato Si' de 2015 ? Un véritable best-seller du FEM, pondu pour chanter les louanges du changement climatique et du « développement durable » – des mots magiques pour justifier des réformes qui sentent bon l’autoritarisme. Schwab a dû sabrer le champagne en lisant ça, tellement c’était du sur-mesure pour son agenda vert fluo.
Et que dire du Conseil pour un capitalisme inclusif ? François s’était jeté dedans en 2020, main dans la main avec des stars du mondialisme comme Lynn Forester de Rothschild et des mastodontes comme Mastercard. Ce « capitalisme des parties prenantes » ? Juste un slogan branché pour dire que les grosses boîtes faisaient semblant d’être gentilles tout en serrant la vis. François n’a pas juste applaudi, il a prêté la crédibilité du Vatican à ce cirque, transformant l’Église en vitrine reluisante pour le capitalisme 2.0 du FEM.
Et ne parlons même pas de ses virées à Davos ! Il papotait avec Christine Lagarde, ex-patronne - ou patron ? - du FMI, et poussait des idées comme l’allègement de la dette des pays pauvres – des propositions qui sentent le copié-collé du playbook de Schwab. Catholique, ça ? Non, c’est du mondialisme pur jus, avec une touche de vernis compassionnel pour faire avaler la pilule. Ses discours sur la « coopération internationale » et la « nouvelle économie » ? Un écho parfait du rêve du FEM : un monde sans frontières, homogénéisé, où les élites mènent la danse pendant que le reste du monde applaudit bêtement.
François, c’était l’agent infiltré parfait comme nombre de Jésuites, drapant la prise de pouvoir du FEM dans une soutane d’humilité. Son pontificat a vendu l’âme de l’Église pour un siège à la table des mondialistes. Alors, à sa sortie de scène, pas de larmes, s’il vous plaît. Levez vos verres à la fin d’un pape qui a prêté oreille au démon bien plus qu'au divin !
Mais comment en est-il arrivé là ?
L’Évêque Rouge, star du chaos idéologique
Peu savent que le grand gourou Schwab a puisé son inspiration dystopique auprès d’un évêque catholique brésilien dans les années 70. Oui, m'sieurs dames, voici Dom Hélder Câmara, alias « l’Évêque Rouge », le chaînon manquant entre le cirque mondialiste de Schwab et le show politique de François.
Câmara, c’était pas le curé du coin. Ce type adulait le modèle cubain de Castro et la Révolution culturelle de Mao – vous savez, celle qui a gentiment rayé 50 millions de chinetoques de la carte. Il a été une rockstar de la Théologie de la Libération, ce mouvement des années 60-70 qui a transformé des prêtres en militants marxistes armés de bibles. Mais attention, son CV est encore plus croustillant ! Dans les années 30, Câmara paradait avec l’Action Intégrale Brésilienne, un groupe fasciste pro-Mussolini, avec des chemises vertes qui tabassaient les communistes dans les rues. Oui, il portait la chemise verte sous sa soutane, la classe absolue. Puis, après la guerre, virage à 180° : exit le fascisme, bonjour le marxisme progressiste ! Un vrai caméléon idéologique.
Théologie de la Libération : quand l’Église découvre le marxisme et la victimisation
Câmara a été le fer de lance de ce mouvement qui a secoué l’Église. Avec des prêtres comme Gustavo Gutierrez, ils ont décrété que le christianisme, c’était avant tout « Dieu aime les pauvres » (et tant pis pour les autres). Finie la spiritualité, place à la lutte armée contre les méchants capitalistes ! Ces curés ont carrément pris les armes aux côtés des sandinistes au Nicaragua et chanté les louanges de la révolution soviétique. Leonardo Boff, un disciple de Câmara, a même lâché : « On veut du marxisme en théologie, point barre. » Subtil, non ?
Leur programme ? Redistribuer les richesses par la force, soutenir les guérillas communistes et, plus tard, ajouter une pincée d’écologie radicale pour faire bonne mesure. Résultat : la Théologie de la Libération a semé les graines de l’idéologie victimaire Woke qui nourrit aujourd’hui des mouvements comme ANTIFA, BLM, LGBTQ ou l’Agenda Vert. Merci, Câmara, pour ce cadeau empoisonné !
Schwab et Câmara : le duo improbable
Klaus Schwab, dans un élan de nostalgie, a avoué que deux hommes ont façonné sa vision : Henry Kissinger (sans surprise) et… Dom Hélder Câmara (pardon ?). Pendant que Kissinger complotait pour renverser des gouvernements, Câmara mobilisait les pauvres contre l’oppression. Deux styles, un seul but : influencer Schwab, qui a vu en Câmara l’outil parfait pour donner une aura « morale » à son projet mondialiste.
En 2013, François rend hommage à Câmara et adopte son jargon dans Evangelii Gaudium, vantant l’« option préférentielle pour les pauvres ». Noble, dites-vous ? Plutôt une excuse pour aligner l’Église sur l’agenda du FEM. En 2014, Schwab invite François à Davos, et depuis, c’est l’amour fou : encycliques pro-Grand Reset, appels à la redistribution des richesses, et même un coup de pouce pour béatifier Câmara en 2015. François ne se contente pas de suivre, il pave la voie pour un monde où propriété privée rime avec « crime contre l’humanité ».
François et le Grand Reset : un mariage parfait
Pourquoi Schwab, le roi de la mondialisation, roule-t-il des mécaniques avec un pape « progressiste » qui a renoncé à être le vicaire du Christ sur Terre pour promouvoir la LGBTQ et promulguer que s'injecter le vaccin Covid était un acte d'amour ? Parce que l’alliance de François et de la Théologie de la Libération est une arme de séduction massive. Elle rallie les jeunes, les pauvres et les idéalistes et les non-hétéros de toutes sortes à la cause du Grand Reset – un fascisme technocratique déguisé en justice sociale et le bien pour tous.
En 2020, François déclare que la propriété privée n’est pas « inaliénable » (oups, adieu la doctrine chrétienne) et publie Fratelli Tutti (tous frères), où il explique que les entrepreneurs doivent donner leur fric aux pauvres. Subtil comme un bulldozer.
En gros, François et Schwab ont monté un duo de choc : l’un vend l’utopie mondialiste avec des sermons, l’autre avec des PowerPoint à Davos. Résultat ? Un monde où les élites contrôlent tout, pendant que l’Église applaudit en agitant un drapeau vert-écolo de la main droite et un drapeau pédo-arc en ciel de la main gauche..
Alors, au trépas de François, pas de larmes, juste un gros « OUF » de soulagement même si on va pas lui souhaiter d'aller en enfer, ce qu'on ne souhaite à personne.
À qui le tour pour le prochain épisode de ce soap opera mondialiste ?