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LE BON, LA BRUTE ET LE VILAIN PAS BEAU :
Qu'est-ce qu'y faut faire ?
Il y a un an, avant que Trump soit officiellement dans la place, certains avaient déjà griffonné des trucs sur ce qu’il devrait faire. Avec les bagages marxistes en vigueur dans nos systèmes d'éducation – ouais, carrément – ils pouvaient pas s’empêcher de voir ça sous le prisme du pamphlet de Lénine, genre « Qu'est-ce qu'y faut faire, gros ? ». Voilà le topo de ce classique bien vénère :
1. Critique de l’économisme : un bon gros déni de réalité, pas juste niveau thunes, mais aussi bio, écolo, tout le bordel.
2. L’élite d’avant-garde : on dégage les élus et on balance une technocratie mondialiste, bien perchée et qui rend des comptes à personne.
3. Conscientisation politique : en gros, un lavage de cerveau du « prolo » avec de la propagande à fond, l’éducation bien orientée et une censure qui tape fort.
4. Leadership centralisé : centraliser le pouvoir partout où que c'est possible, genre « l’agence de casting du Forum économique mondial », vous voyez le délire.
5. Rôle des intellos : maquiller les faits bien concrets en histoires élastiques, avec des promesses mielleuses d’un futur paradisiaque et des cris d’alarme sur un présent bien pourri.
Tout ce que Trump incarne, c’est un gros doigt d’honneur à ce plan machiavélo-communiste. Un truc que l’État profond, les profs gauchos, les médias et les ONG mondialistes étaient en train de tricoter peinards.
Mais Trump, il est pas solo dans l’arène. Il surfe sur la vague d’un ras-le-bol qui monte contre ce futur rouge. Les conservateurs et les libertariens poussent comme des champignons en Amérique latine et en Europe. Chez nous, L’UE mord la poussière, pendant que le populisme cartonne au Royaume-Uni, en Allemagne, aux Pays-Bas, en France, en Italie, en Roumanie, en Hongrie, en Slovaquie… la totale, quoi.
Quand les States éternuent, le monde chope la crève, vous comprenez ?
LE BON
Trump et son équipe ont défoncé mes attentes les plus foldingues, dès ses premiers choix de casting. Et vlan, il a enchaîné à une vitesse folle.
Il nous a tous scotchés avec des décrets créatifs, genre annuler Roe vs Wade (droit à l'avortement gratuit garanti par Washington) – retour aux États, point barre. Virer le ministère de l’Éducation pour refiler le bébé aux États aussi, c’est ce qu'il fallait pour décentraliser.
Deux mois après, on voit ce qu'est arrivé aux plus grosses proies :
1. Immigration et sécurité aux frontières ? Nickel, ça roule !
2. Expulsions massives de sans-papiers ? Oh que oui, dégagez !
3. Fin du droit du sol et de la citoyenneté à la naissance ? Putain, enfin !
4. Fermer et reprendre le contrôle de ministères entiers ? Trop de la balle !
5. Bannir les trans des sports féminins ? Mais putain, heureusement !
6. Grâces présidentielles ? Carrément !
7. Relancer l’économie des ressources ? Top !
8. Dégager le soutien aux délires DEI et discrimination positive ? Il était temps, bordel !
…mais y’a encore du taf, même sur ces trucs-là. Trump a été élu pour assécher le marais, tailler dans les règles, nettoyer l’armée, stopper les guerres à rallonge et remettre les finances US d’aplomb.
Une loi veut flinguer l’Agence de Protection de l'Environnement et refiler le bébé aux États, mais y’a encore trop de billets qui partent en fumée là-dedans.
La chirurgie trans pour les mineurs ? Interdite. Moi, j’irais même plus loin, pas juste un stop, je foutrais une interdiction totale et ferais en sorte que ces bouchers perdent leur plaque. Ils ont niqué le B.A.-BA de la médecine : « d’abord, ne pas nuire » ! Certains diront qu’un juge de la Cour suprême qui sait pas ce qu’est une meuf, c'est plausible vu que le mec est peut-être pas doué en anatomie, mais un médecin ? Impardonnable. Ces gars-là devraient être virés direct et jetés en taule en coups de pieds dans le cul.
La justice doit taper vite et fort – pas traîner des plombes ( « Pas de paix sans justice »). Tout politicard ou fonctionnaire qui a merdé doit être dans le viseur et prendre cher. Ça bouge déjà, mais on voit rien de concret pour l’instant.
Pour que Trump cartonne vraiment et change la donne, faut qu’il aille plus loin. Des cibles faciles, y’en a :
Pas de lois fourre-tout dites omnibus. Trump pourrait balancer une règle perso : « Moi, président, je signe pas ces pavés de merde en vrac. » Ces trucs, c’est la porte ouverte à la corruption et aux magouilles en vrac. Si un sujet vaut le coup, qu’on le vote à part, clair et net.
Interdire la confiscation civile des biens.. Nos biens, c’est nous. Faut les traiter avec les mêmes droits, point.
1. Auditer la Fed. Les libertariens et les conservateurs en rêvent depuis toujours.
2. Virer l’ONU de New York. Le Dakota du Nord serait pas si mal. Sinon, pourquoi pas Calcutta, Nairobi ou Gaza ? On rase les ruines et on reconstruit une Gaza toute neuve pour caser toutes leurs agences.
3. Repenser l’OTAN. Les States se font traîner dans des plans foireux par la France et le Royaume Uni, qui jouent les gosses capricieux. Faut les lâcher, qu’ils se démerdent.
4. Légaliser les monnaies en or ou argent. Casser le monopole des billets bidons.
5. Calmer les lobbyistes. 4,4 milliards par an pour pourrir le jeu politique ? Faut du clair : si t’as accepté des bribes, tu votes pas sur le sujet. Simple.
Si je comprends bien, tout ça peut passer par décrets. Le reste, c’est plus chaud, mais tout aussi important.
LA BRUTE
Ce qui reste dans les tuyaux :
1. Les Amerloques et l'impôt sur le revenu (IRS). Faut une réforme fiscale qui déchire : un taux fixe, une page, basta. Les gens aimeraient ça et ça boosterait l'emploi. Les statistiques disent qu’ils perdent 546 milliards par an à cause de ce merdier fiscal – 7,9 milliards d’heures gâchées, 413 milliards de productivité dans le vent, plus 133 milliards en logiciels et experts. 2 % du PIB, vous imaginez ? Même un petit lifting façon DOGE, ça ferait du bien.
2. Syndicats. Comme Franklin Roosevelt l’a dit, faut dégager tous les syndicats du secteur public. Ça rendrait les services plus réactifs, moins figés.
3. Limites de mandat. Pour les deux chambres, et pourquoi pas un âge max à la Cour suprême.
LE VILAIN PAS BEAU
Là, ça va secouer sévère. accrochez-vous ! Le libéralisme occidental esquive les racines du mal :
1. Soins de santé ? Les licences professionnelles et les Ordres des Médecins..
2. Big Pharma ? Les brevets et patentes.
3. Malbouffe ? Les subventions agricoles.
4. Clash idéologique ? L’éducation « gratuite ».
5. Guerres mondiales ? L’arrogance occidentale incontrôlée.
Quelle arrogance ? L’État profond qui fait sa loi.
Arracher ces racines, c’est pas une partie de plaisir.
Finir les guerres à n’en plus finir et calmer les délires géopolitiques, c’est ça que les Amerloques veulent. Le monde multipolaire, c’est pas l’ennemi, faut l’accepter. Un peu de compète entre institutions, ça ferait du bien à tout le monde.
La grandeur des States, c’est pas de dominer les autres, c’est de les respecter. Un respect cramé par des décennies de politique étrangère à la con. Réparer ça, c’est pas du gâteau. Thatcher a dit un jour : « Un bon gouvernement, c’est celui qui prend des décisions dures pour le long terme. » J’ajouterai : Pas de prospérité sans paix et sans respect des autres.
…mais bon, c’est juste mon avis. Si je rêve, mordez-moi !