CONSTERNANTE CATALEPSIE ?
Oh là là, quelle tragédie nationale, mes amis ! Les États-Unis sont en PLS totale pendant que les méchants jacobins démoncrates, avec leurs gros bouquins de lois et leurs pancartes, jouent à la guerre juridique contre cette pauvre nation. Mais calmez-vous, la France… euh, l’Amérique, va pas se laisser faire par ce coup d’État de tocards en robes noires qui veulent flinguer la loi elle-même et, soyons sérieux, toute chance que cette nation gère un jour les affaires qui la regarde sans finir en sketch des Guignols !
Samedi, les clowns d’"Indivisible", gavés aux billets de Reid Hoffman, le roi de LinkedIn, et de la Fondation Tides (coucou Bill Gates et sa bande de cachottiers), ont envoyé leurs militants woke et de l'ultra-gauche dans les rues pour faire genre "ouais, tout le monde kiffe l’autodestruction nationale". Franchement, pathétique. Y’a plus que trois pelés hippies boomers déchirés au CBD pour défendre cette psychopathocratie financée par des milliardaires qui se planquent derrière leurs yachts.
Le week-end de Pâques, boum, virage à 180 dans ce cirque pour la raison (ou ce qu’il en reste). Samedi soir, la Cour suprême a dit "stop" à l’expulsion des gangsters vénézuéliens chopés par l’ICE au Texas. Sérieux, ça veut dire que le président des USA peut plus virer personne qui squatte et qui deale illégalement dans son pays ?
On nous bassine avec des histoires de "procédures régulières" (No due process, you could be next = Pas de procès régulier, vous pourriez être le prochain) pour des mecs qu'ont balourdé leurs passeports avant de passer la frontière. C’est pas comme si que c’était pas fait exprès pour niquer la loi, hein ! Car où renvoyer des mecs qui ont plus de papiers d'identité ou de nationalité ? Les ONG, main dans la main avec le gang à « Joe Biden », font tout pour faire entrer les clandestos à la vitesse de la lumière, sans aucun contrôle. Merci l’appli smartphone CBP One, made in DHS, sous la baguette du maestro Alejandro Mayorkas, pour fabriquer des dossiers d’asile bidons et ouvrir les portes en mode "venez tous, c’est open bar !". Et cerise sur le gâteau : le programme de "libération conditionnelle humanitaire" qui laisse des mecs arriver en avions de ligne, sans même avoir besoin d'aller faire le moindre petit coucou aux douaniers ou aux officiers d'immigration.
Pourquoi tout ça ? Parce que même un hamster sous Red Bull l’aura compris : ils veulent une armée de nouveaux électeurs pour truquer encore les élections de mi-mandat à venir avec des bulletins par correspondance et des votes automatiques. C’est pas cynique, c’est juste dégueulasse.
Et maintenant, ils remuent ciel et terre pour éviter que ces "électeurs" bidons soient renvoyés chez eux sans une "procédure judiciaire régulière", c'est à dire des millions de procès individuels pour chaque illégal présent sur le territoire.
Du coup, faut qu'y fassent quoi, les patriotes, face à ce gros foutage de gueule ? Tout le monde est sur les nerfs parce que les tribunaux, même la Cour suprême, jouent les complices de ce coup d’État. Faut que le ministère de la Justice sorte l’artillerie lourde et balance des poursuites pour tous les crimes de cette guerre juridique qui pourrit tout depuis 2016. Ça va tomber, j’vous le dis, et si le FBI et le Département de la Justice font profil bas pour l'instant, c’est qu’ils préparent des dossiers pour mieux coincer ces enculés de traitres par derrière.
On commence où ? Un bon gros procès pour meurtre de masse et mensonges au Congrès contre les stars du Covid, ça vous branche ? La Maison Blanche a lâché un pavé la semaine dernière, genre "Fuite de labo : la véritable histoire du Covid". Personne n’en parle (merci le New York Times, le Washington Post et nos torchons européens), mais ça explique bien comment que Fauci et sa clique ont bidouillé le virus avec l’EcoHealth Alliance et l’Institut de Wuhan. On y colle les PDG de Pfizer et Moderna, les boss des CDC, de la FDA, toute la bande. Qu’un jury décide si la grâce de Fauci tient toujours la route. Et pour les autres ? Pas de parachute !
Ensuite, on tape sur John Brennan, James Comey et toute la mafia du RussiaGate. On ajoute le juge FISA Boasberg pour son rôle de chef d’orchestre. Conspiration, sédition, voire trahison – coucou le MI6 britannique qu'a trempé dans le coup. Mayorkas et ses potes de la Maison Blanche ? Au trou pour avoir organisé l’invasion de clandés de 2021 à 2025. Nancy Pelosi et les Démocrates ? À la barre des accusés puis à Guantanamo pour l’émeute du 6 janvier et le sketch de la fausse bombe. Et on oublie pas la fraude électorale de 2020 dans le Michigan, le Wisconsin, la Pennsylvanie, la Géorgie. Joe Biden et sa famille ? Corruption et trahison pour leurs magouilles en Ukraine, en Chine et ailleurs. Et bien sûr, Norm Eisen, Mary McCord, Andrew Weissmann, Lisa Monaco pour leurs poursuites foireuses contre Trump en 2024.
Allez, Pam Bondi, allez Kash Patel, bougez-vous le cul ! Faites péter la bulle de dissonance cognitive qui rend la moitié de votre pays débile face à ce complot de jacobins qui veut couler l’Amérique. Appelez ça vengeance si ça vous chante, mais c’est juste la facture pour des années de crimes contre votre peuple par des élites qui se croient intouchables. Et franchement, ils l’ont bien cherché.
Puis ensuite, signez une alliance avec Poutine puis venez ensemble nous libérer aussi de ces merdes qui nous saucissonnent !