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TECHNO-TYRANNIE: LE RÊVE BLEU DES MAÎTRES DU CONTRÔLE
Yo amigos, écoutez ça : le totalitarisme, c’est ce délire prétentieux qui croit que l’intellect humain – fragile comme du verre, toujours en galère et qui se la raconte souvent trop – peut jouer les boss suprêmes de la vie et de la société. Sérieux, ils kiffent leur utopie de merde, un truc stérile et fake, genre un décor en carton tenu par des technocrates, ces mecs qui se prennent pour des sorciers de l’expertise, persuadés qu’ils vont faire tourner la machine sociale sans un couac. Ouais, bien sûr, vendez-moi du rêve, j’suis pas client.
Dans leur monde étouffant, on est plus des humains, mecs. Notre dignité ? Aux chiottes. On est juste des vis, des pions sans gueule dans leur collectif qui grince comme une vieille charrette. Bertrand Russell, avec sa prose de robot dans « L’Impact de la science sur la société », il bave presque sur ce fantasme glauque où on est plus rien qu’un numéro. Ça sent le progressisme bien pourri, si vous voulez mon avis.
Ce cauchemar techno, il a des racines qui puent les Lumières, avec ses petits-enfants positivistes complètement barrés. Des gars comme Henri de Saint-Simon et Auguste Comte, ces fanatiques aux yeux qui brillent, ils ont semé leur religion merdique : un ordre humaniste-technocratique. Des escrocs en cravate qui voyaient des scientifiques et des geeks squatter le trône des papes et des curés, lâchant les mystères divins pour un autel bien clean dédié à la Raison – avec un grand R, hein, parce que rien ne décrit mieux « l'humilité » que de se prendre pour le Tout-Puissant. Ils nous vendaient un Royaume de Liberté tout pimpant, un monde sans guerre ni embrouilles, nettoyé par la main douce du contrôle rationnel. Épargnez-moi la messe, c’est pas une utopie, c’est une taule construite sur l’ego de mecs qui pensent qu’ils peuvent niquer la réalité elle-même.
Les trips les plus hardcore dans ce délire totalitaire – nazisme et stalinisme – ont pas juste testé l’idée, ils ont plongé direct dans le gouffre. Le paradis, c’était leur slogan, et ils ont tout lâché pour le faire : exclusion, bad buzz, et des tueries industrielles bien huilées pour chaque mouvement qui osait salir leur plan de bargeots. Logique froide, calculs de psychopathes, chaque atrocité étant un pas vers leur terre promise. Les millions de macchabées dans leur sillage ? Pas des drames pour ces tarés, juste des offrandes au dieu Progrès. Dire que c’était un bug, c’est fermer les yeux : leur sauvagerie, c’est pas un défaut, c’est le moteur même d’un système qu'aime le contrôle par-dessus tout.
Mais vous faites pas d’illusions, le totalitarisme, c’est pas juste un vieux truc d’histoire avec des bottes et des goulags. Nan, c’est une vibe vicieuse qui traîne encore dans nos tuyaux, une envie débile de tout microgérer sous prétexte de science. La technocratie, elle nous la joue amante et sale flic en même temps. Elle nous tend une carotte : un Eden artificiel, fini la galère, la misère, les doutes. Mais elle nous colle aussi un flingue sur la tempe : « Nos solutions ou le chaos, faites vos jeux, vite. » Terrorisme, climat, pandémies, on a l’embarras du choix, chaque crise dope leur sale plan
Le Terrorisme ? Dites bye-bye à votre vie privée, les caméras nous matent H24, nos nouveaux compagnons pour l'éternité. Le Climat ? Lâchez vos biftecks pour des trucs bizarres à six pattes et antennes sortis d’un labo, sales égoïstes Néandertaliens. Le COVID ? Troquez votre immunité de base pour une piquouse ARNm toute neuve, parce que la nature, elle est trop conne pour nous tenir en vie. Le schéma est limpide : chaque flip, c’est une prise de pouvoir, et si suivez pas le mouvement, vous êtes des attardés qui captent rien.
On est déjà à fond dans la quatrième révolution industrielle, où les transhumanistes se branlent sur l’idée de coller des puces dans l’humain – un cauchemar dystopique qu’ils nous vendent comme le salut ultime. Imaginez un « internet des corps », où chaque souffle, chaque battement, chaque pensée est pisté et maté par un tyran technologique sans visage. C’est ça, qu’ils nous disent, le seul moyen de gérer demain. Pas d’issue, pas de débat, pliez-vous à l’algorithme sinon vous êtes des hérétiques.
Économiquement, c’est du foutage de gueule : un système tellement accro à l’efficacité qu’il zappe qu’on n’est pas des gadgets à moduler. Politiquement, c’est le manuel du tyran : tout centraliser, niquer l’autonomie, et appeler ça du progrès. Vous refusez de jouer ? Vous êtes pas seulement des candides, vous êtes une menace pour la machine, et la machine, elle déteste les menaces.
Le totalitarisme et son acolyte la technocratie, ils se pavanent comme les kings de la rationalité et de la science – trop brillants, les gars ! Ils nous balancent des promesses de paradis technologique où tout le monde sera peinard et en forme, grâce à leurs seigneurs super cools. Genre, des capteurs sous la peau qui bipent dès qu'on a un rhume, et vlan, nous voilà embarqués pour un « traitement » avant qu'on ait eu le temps de mettre en avant notre « liberté perso ». Pour que ça roule, faut que chaque bout de nos vies soit sous les spots crus de la surveillance et du contrôle. L’efficacité, vous voyez. Tant pis si les humains, comme des plantes sous un néon, crèvent sans un peu d’ombre. Pour le technocrate, c’est un détail, une bricole face à son grand délire.
La technocratie nous la joue séduction hardcore et pression de malade. Elle nous promet un monde sans douleur ni galère, mais nous fout la trouille si on suit pas. Terrorisme ? Caméras partout, vous êtes cuit. Climat ? Bouffez des trucs dégueu et branchez-vous au réseau, gros porc. COVID ? Laissez tomber vos corps, prenez la mise à jour vaccinale, la nature c’est pour les losers. Chaque crise, c’est un levier pour nous serrer la vis, et si vous contestez, vous êtes un débile qui mérite rien.
On est déjà dans le futur, amigos, les CBDC/MNBC (Monnais Numéiques de Banque Centrale avec Revenus universel si vous êtes bien sages) c'est prévu pour octobre 2025 en UE, avec des tarés qui rêvent de nous fusionner à des machines – un plan flippant qu’ils nous annoncent comme le top du top. Un monde où tout ce qu'on est – notre souffle, notre cœur, nos idées – est scanné et dompté par un boss technocratique anonyme. C’est leur seul chemin, pas de débat, obéissez ou dégagez.
Le délire économique, c’est hilarant : une obsession de l’optimisation qui oublie qu’on n’est pas des iPhones. Politiquement, c’est du classique : tout pour le centre, zéro liberté, et ils appellent ça l’avenir. Vous dites non ? Vous êtes pas juste des rêveurs, vous êtes des dangers publics.
Le totalitarisme et la technocratie se la racontent en mode « on est la science, on est la raison », genre des dieux vivants. Ils nous font miroiter un monde parfait où on sera heureux et en bonne santé grâce à eux. Des capteurs qui nous traquent, un système qui nous chope au moindre éternuement pour nous « soigner » rapido. Tout doit être sous contrôle, éclairé comme un stade, parce que l’efficacité, c’est leur dieu.
Ouais, super, sauf qu’on n’est pas des robots, et qu’un peu d’intimité, c’est pas du luxe, mais pour eux, c’est un bug à corriger.