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8 mars 2025

1024. "L’Europe en PLS : jusqu’au dernier Ukrainien et l’âge de pierre en bonus"


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MACRON/VAN DER LEYEN : LE DUO DE L'EUROPE EN PLS : 
JUSQU'AU DERNIER UKRAINIEN ET L'ÂGE DE PIERRE EN BONUS

L'Opération Militaire Spéciale russe, elle va continuer à tourner peinard, comme les Européens le souhaitent, jusqu’à ce que le dernier Ukrainien se fasse fumer. Tranquille, quoi.
On démarre avec le grand moment « révélation divine » sur la route de Damas du secrétaire d’État US, Marco Rubio, rien que ça :
« Franchement, c’est une baston par procuration entre des gros bras nucléaires, les States qui filent un coup de main à l’Ukraine contre la Russie, et faut que ça s’arrête. »

Oh la vache, quel cauchemar. Heureusement, Jeffrey Sachs a rappliqué pour sauver les meubles. Bon, en vrai, il aurait dû dire « baston par procuration déclenché par les States », mais allez, miracle ! Alléluia, les gars ! Une lumière pareille – même par procuration – venue du ciel, ça aurait jamais pu percuter l’ancien secrétaire US au génocide pour pas nommer Blinken. Trop cramé pour capter.

Maintenant, place à la panique, et pas qu’un peu. En Europe, c’est le bordel total, ça court dans tous les sens comme des poulets sans tête.  
Le Petit Roi Macron, ce mec aussi aimé dans notre pays qu’une invasion de moustiques à l'hôtel Martinez sur la Croisette, a lâché que la paix en Europe, c’est mort sans une Russie « domptée » – ouais, carrément, une menace directe pour la France et l’Europe, qu’il a dit.

Pour l’Ukraine, il a joué les grands philosophes : pas de paix possible si c’est aux conditions des Russes ou si l’Ukraine finit par plier – ce qui va arriver, faut pas rêver.
Essoufflé, le Petit Roi a sorti l’artillerie lourde : la force nucléaire. Il a balancé que la France avait de quoi faire péter la baraque et l’a refourguée à l’Europe, tout en gueulant que l’avenir du continent, c’est pas Moscou ni Washington qui devait le dicter.

Le mec a presque déclaré la guerre à la Russie façon Napoléon, mais soyons sérieux : la plupart des Français l’enverraient direct se faire défoncer le cul dans les champs de Novorossiya, même s'il adorerait probablement se faire sodomiser par des ours de Sibérie. Plus sérieusement, en moins de cinq minutes chrono, il agiterait son drapeau arc-en-ciel en chialant, juste avant de finir en carpaccio pour ours affamés.

Ajoutez à ce cirque une touche de Molière avec l’Armée du Nouveau Modèle Woke, un truc bien obèse monté par la Führerin SS von der Leyen depuis Bruxelles. 800 milliards d’euros, qu’ils veulent claquer – du fric que personne a, évidemment, à emprunter et rembourser avec des taux d’usuriers aux vautours habituels de la finance.

La SS von der Leyen, elle, braille que l’Europe est dans la merde, et que la solution, c’est d’acheter encore plus d’armes US hors de prix et de « réarmer » à fond.
Un Crépuscule des Dieux sous crack, ce bordel.
Si jamais cette armée de woke se pointe, en cinq minutes, elle rend les armes – drapeaux arc-en-ciel en l’air – et finit en burgers carbonisés face à des mecs qui rigolent pas.


Et boumm, retour du feuilleton Nord Stream, avec un twist bien juteux. Sy Hersh a prouvé que les tuyaux ont été pétés sur ordre des guignols crash-test de Washington. Mais oh, surprise, Nord Stream 2 pourrait revenir grâce à un deal pas trop secret entre les States, la Russie, Gazprom et des oligarques US plein de thunes.
Pendant ce temps, les tarés de Berlin gueulent qu’ils vont tout faire pour bloquer la réparation – faut pas déconner, le nouveau chancelier de BlackRock doit continuer à niquer l’économie allemande, c’est la règle.

Et pour en rajouter une couche dans ce scénar’ kafkaïen, le Premier Sinistre danois – qui va bientôt paumer le Groenland face à Trump 2.0 – a sorti que « la paix en Ukraine, c’est plus dangereux que la guerre ». Le Polonais Tusk, lui, en remet une : « L’Europe, c’est plus balèze que la Russie, on peut la fumer sur tout : militaire, fric, économie. » Ouais, on voit bien la « victoire » en marche, mdr.

Ce bordel babelonien prouve cash que l’Europe est géopolitiquement et économiquement raide morte. Même un dieu teuton avec une grosse chanteuse remplie de choucroute peuvent pas la ranimer.
Flirt avec un aller simple pour l’âge de pierre.

Penser que l’Europe peut faire trembler la Russie militairement, c’est même pas de la propagande pour débiles, c’est juste du délire. Remilitariser l’Allemagne, avec son économie à l’agonie et ses factures d’énergie qui tabassent ? Comptez dix piges minimum. La Russie, elle, se marre avec le mini-parapluie nucléaire du Petit Roi et ses défenses antimissiles qui défoncent tout.
Les Aegis en Pologne ? Des jouets. Pareil pour les Patriots, les THAAD et le reste – inutiles. Hors US, l’OTAN, c’est du vent. Et Trump 2.0 va pas jouer les nounous pour la prochaine guéguerre européenne, ciao.

Les States ont des satellites pour viser, mais les autres pays OTAN, que dalle. Si la New Woke Army de von der Leyen tente un move contre la Russie, les missiles russes leur rasent les ports, les aéroports et les centrales nucléaires comme à charbon en une journée max. Retour à l’âge de pierre direct, pour l’Angleterre, la France, l’Allemagne, et tous les roquets de l’OTAN. Avec des Zircons lancés d’un sous-marin, les Brits sont cuits en moins de cinq minutes. L'Hypersonique, ça pardonne pas.

Poutine, lui, cause encore à ces fous. Au FSB, le 27 février, il a balancé : « Les élites occidentales veulent garder le chaos mondial, elles vont essayer de niquer le dialogue avec les States qui vient de démarrer. On le voit, faut jouer malin avec la diplomatie et les services pour les faire chier. »

Comme dit l'expert militaire russe Andreï Martyanov, au XXIe siècle, t’as que deux choix : guerre mondiale nucléaire ou deal pour cohabiter. Mais ça, c’est une discussion d’adultes, et l’Europe gâteuse avec les caprices du taré de Kiev, ils sont hors jeu.
Le clown de Kiev, il a jamais eu de cartes en main. Il fait pitié à se tortiller pour garder son trône, porté par le fric et les flingues de l’Occident d’avant, plus une propagande de ouf. Son pays 404 perd la guerre et la bataille des relations publiques.

Arestovych, l’ex-conseiller visqueux mais bien renseigné de Zelensky, dit que sans les joujoux US, l’armée ukrainienne tient deux mois max. Sans infos satellites, ils peuvent rien frapper ni préparer.
Le pays 404, c’est The Walking Dead maintenant. L’Europe, avec ou sans l’armada woke de von der Leyen, a ni les usines, ni le fric, ni les couilles pour stopper la chute. La Russie a déjà dit que toute troupe européenne « de paix » serait une cible directe et légitime.

L’échec du Projet Ukraine, c’est du grand art. Les « élites » flippent grave, sans leur jouet ukrainien et sans la mafia US, elles représentent plus rien qu’une petite péninsule paumée à l’ouest d’une Eurasie qui se monte tranquille.

Pour le deal Trump 2.0-Kremlin, rien de sûr encore. Les sources russes parlent d’un cadre vague pour causer et voir ce qui peut se faire. Ça va prendre des mois. Au menu : lever les sanctions sur les banques russes, rétablir les vols directs, calmer le jeu dans l’Arctique.
Tout dépend si Trump veut vraiment plier la guerre en Ukraine rapidos et larguer l’OTAN doucement. S’il coupe Starlink et les satellites, c’est game over encore plus vite.
En attendant, l'Opération Militaire Spéciale roule sa bosse. Et comme les Européens le veulent, jusqu’au dernier Ukrainien. Bien joué, les champions.