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BIENVENUE DANS UNE NOUVELLE SAISON DE LA GRANDE CHARADE
C'est quoi le chaos? C'est pas seulement un état du monde, c’est la monnaie d’un système immuable, une matrice tissée de fils de contrôle institutionnel, politique et financier. Vous pensez vivre libre ? Vous pensez que l’« ancien ordre mondial » vaut la peine d’être rétabli ? Réfléchissez-y à deux fois. Le soi-disant « ordre » – nouveau ou ancien – qu’on nous vend n’est rien d’autre qu’une façade, fabriquée par ceux qui profitent du chaos qu’ils orchestrent.
Réfléchissez aux dernières années : une « pandémie » qui a opportunément servi à resserrer l’étau autour des libertés individuelles, des guerres qui sentent bon les arrière-pensées et un communisme déguisé en "éco(escro)logie" sous la bannière de l’Agenda 2030 de l’ONU.
Ne laissez pas les médias d’entreprise et alternatifs vous bercer d’un faux sentiment de sécurité ou de moralité ; ils ne font que construire une prison pour vos pensées, brique par brique, à chaque gros titre sensationnaliste. Si vous ne vous demandez pas pourquoi ces crises semblent profiter aux mêmes acteurs, autant admettre que vous êtes déjà en prison.
L'ONU, l'OMS, le WEF, la Banque mondiale, le CFR, la Commission trilatérale, le groupe Bilderberg ne sont pas de simples organisations, ce sont les architectes d'un réseau de contrôle mondial. Non élus, irresponsables, ce sont les mains cachées qui tirent les ficelles depuis avant la Seconde Guerre mondiale, une guerre qu'ils ont orchestrée pour le profit et le pouvoir . Il s'agit pas d'une théorie du complot, mais d'une histoire censurée, enfouie sous le poids de livres trop controversés pour votre bibliothèque locale.
Ces entités ne sont rien d'autre que le bras marketing d'une cabale de vampires financiers qui ont détourné la masse monétaire mondiale. Ils prétendent résoudre les problèmes du monde alors qu'en réalité ils resserrent leur emprise. Chaque initiative, chaque politique, est un pas vers plus de contrôle, plus de surveillance, plus d'obéissance.
Et à qui appartient cette superstructure ? À un cartel de méga-banques, véritables maîtres de l'économie mondiale. Les gouvernements nationaux ? Ils ne sont rien de plus que des pions, qui mendient aux pieds de ces banquiers des prêts qui les enchaînent à une idéologie de soumission. C'est un exemple magistral de la façon de se maintenir au pouvoir sous couvert de gouvernance démocratique.
Quant à vos élus, ils sont rien que des administrateurs temporaires dans un cauchemar d'entreprise, où la « société nationale » se soucie moins des citoyens que de ses actionnaires. Les élections ? C'est une mascarade, une farce cyclique où vous choisissez votre prochain surveillant, pas votre libérateur. Les véritables directives ne viennent pas de Washington, de Londres, de Paris, ou de Tokyo, mais de l'UE, de l'ONU, de personnages mystérieux dont vous ne connaîtrez jamais les noms.
Vous voulez du changement ? Commencez par remettre en question le discours, en reconnaissant que le système n'est pas brisé ; il est conçu de cette façon. Si vous continuez à croire que ces entités sont là pour votre bien, alors vous ne faites pas seulement partie du problème ; vous êtes le terreau même sur lequel la tyrannie se développe.
L’histoire du contrôle financier est intimement liée à la manipulation et à la consolidation du pouvoir par le biais du contrôle de la monnaie et du crédit. Depuis les orfèvres de l’Europe médiévale qui émettaient des reçus contre des dépôts d’or, puis les premières banques, jusqu’aux systèmes bancaires centraux d’aujourd’hui, le chemin parcouru a été celui de la centralisation et du contrôle.
La création de l'esclavage de guerre et de la dette à perpétuité
Au XVIIe siècle, la Banque d'Angleterre fut créée, ce qui fut l'un des premiers exemples de manipulation de l'économie par une banque centrale par le biais de la politique monétaire. Il ne s'agissait pas seulement d'une innovation financière, mais d'un outil permettant au gouvernement britannique de financer les guerres et de gérer la dette nationale, créant ainsi un précédent pour que les gouvernements soient redevables aux intérêts bancaires.
Ce modèle s'est répandu dans toute l'Europe, la banque centrale de chaque nation agissant souvent de concert avec ou sous l'influence de dynasties bancaires privées comme les Rothschild, qui ont compris très tôt que celui qui contrôle les masses monétaires contrôle les nations.
Le XXe siècle a amplifié ce contrôle avec la création du Système de Réserve fédérale aux États-Unis en 1913, qui a privatisé l'émission de la monnaie américaine, sous prétexte de stabiliser l'économie, mais en réalité, ça a donné à un groupe privé de banquiers une immense influence sur la politique nationale. Ce fut le coup financier ultime, en intégrant les intérêts des banques au cœur des opérations gouvernementales, rendant les économies nationales soumises aux caprices d'un cartel bancaire.
Après la Seconde Guerre mondiale, le système de Bretton Woods a institutionnalisé davantage le contrôle financier mondial en créant le Fonds monétaire international (FMI) et la Banque mondiale, censés reconstruire les économies mondiales en ruine. Cependant, ces institutions ont été accusées d’appliquer des politiques économiques qui profitent aux nations les plus riches et à leurs entreprises, sous couvert de développement et d’aide, ce qui a conduit à la colonisation économique des pays en développement.
La seconde moitié du XXe siècle et le début du XXIe siècle ont vu l’essor d’instruments financiers tels que les produits dérivés et le système bancaire parallèle, qui opèrent en dehors des réglementations bancaires traditionnelles, donnant encore plus de pouvoir aux élites financières pour spéculer et manipuler les marchés.
Le système bancaire parallèle est un réseau complexe d’institutions et de marchés financiers qui opèrent en dehors des réglementations bancaires traditionnelles, un univers parallèle où le crédit circule sans la surveillance qui régit les banques conventionnelles. Ce système comprend des entités telles que les fonds spéculatifs, les fonds monétaires, les banques d’investissement et de nombreux autres intermédiaires financiers non bancaires qui ont explosé en taille et en influence, en particulier au XXIe siècle.
Les origines du shadow banking remontent à l’après-Seconde Guerre mondiale, époque à laquelle l’innovation financière a commencé à devancer la réglementation. Cependant, c’est la vague de déréglementation financière des années 1980 et 1990, qui a culminé avec l’abrogation de la loi Glass-Steagall* aux États-Unis, qui a véritablement ouvert la voie à sa croissance exponentielle. Cet environnement a permis à des produits financiers tels que les titres adossés à des créances hypothécaires et les swaps de défaut de crédit de proliférer, créant ainsi un nouvel écosystème financier non réglementé.
*Aussi connu sous le nom de Banking Act de 1933 , cette loi a fait suite aux années de Grande Dépression (1930-1933) amorcées par la crise de 1929, où près de 9000 banques ont faillite. Il impose notamment la séparation des banques d'investissement et banques de dépôt.
La crise financière de 2008 a révélé de manière brutale les vulnérabilités du système bancaire parallèle. Des institutions comme Lehman Brothers, qui prospéraient dans ce monde parallèle, se sont effondrées sous le poids des risques qu'elles prenaient, démontrant ainsi à quel point le système bancaire parallèle pouvait déstabiliser l'ensemble du système financier mondial. La dépendance du système aux financements à court terme comme les marchés des pensions et les fonds monétaires, qui sont sujets à des « paniques » similaires à celles des banques mais sans les filets de sécurité que constituent les garanties des dépôts, a joué un rôle important.
Après la crise, malgré les tentatives de régulation telles que la loi Dodd-Frank* pour placer certains aspects du shadow banking sous contrôle réglementaire, le secteur a continué de croître, détenant aujourd’hui un actif estimé à 60 000 milliards de dollars dans le monde. Cette croissance est motivée par les mêmes motivations : contourner les réglementations, s’endetter à des taux plus élevés que les banques traditionnelles et exploiter les opportunités d’arbitrage qui découlent des lacunes réglementaires.
*La loi Dodd-Frank votée en 2010 renforçait la supervision des banques, leur imposait davantage de fonds propres pour faire face aux chocs, plafonnait leurs participations spéculatives sur les marchés. Elle les obligeait aussi à une plus grande protection et transparence vis-à-vis des consommateurs.
Aujourd'hui, le shadow banking n'est pas seulement un terme désignant des pratiques financières risquées, mais un témoignage de la façon dont la finance moderne est devenue un jeu de ballon-prisonnier réglementaire. Il s'agit d'un système dans lequel des géants financiers comme Blackrock gèrent des milliers de milliards de dollars, fournissant des crédits là où les banques traditionnelles, contraintes par la réglementation, ne peuvent ou ne veulent pas s'aventurer.
Il semble que ce monde regorge de dévastateurs financiers, où les diables se font passer pour des diseurs de vérité, colportant des illusions comme réalité. Ils sont l'incarnation de la tromperie, les grands trompeurs et les assassins de l'intellect.
Ces menteurs exigent que nous adorions leurs tromperies monumentales, nous poussant dans un train en route vers l'oubli. L'ignorance de la vérité, disent-ils, est votre carte d'embarquement pour ce voyage vers nulle part.
La prétendue « science », dépourvue de toute boussole morale ou spirituelle, fait partie de cette tyrannie idéologique. La dure réalité est que les tromperies économiques et scientifiques sont des outils utilisés par une cabale déterminée à accroître son emprise sur la société mondiale.
La doctrine du contrôle communiste, les excès du capitalisme monopoliste, ainsi que l’emprise inébranlable des entreprises, des banques, des politiques et des médias, sont les instruments quotidiens de cette élite. La foi aveugle dans l’autorité gouvernementale a supplanté toute autorité divine ou morale, entraînant la société dans un bourbier de manipulation.
Il existe une multitude de façons pour les individus de s’épanouir, en créant des bénéfices mutuels pour eux-mêmes et pour la société dans son ensemble, sans l’interférence des gouvernements ou des entreprises. Pourtant, nous sommes pris dans cette toile, où la liberté est restreinte par ceux qui prétendent offrir des solutions mais ne font que renforcer leur contrôle. Cette dictature des récits ne concerne pas seulement le pouvoir ; il s’agit d’assujettir l’esprit humain sous couvert de progrès et de protection.
La démocratie, telle qu'elle existe aujourd'hui, ne sera pas le sauveur que beaucoup espèrent ; ce n'est qu'une autre tactique du vieux jeu du diviser pour mieux régner. Le véritable épicentre du pouvoir ne se trouve pas dans les urnes, mais dans les mains de ceux qui contrôlent l'argent.
Les élus vont et viennent, mais la véritable autorité appartient aux seigneurs de la finance qui tirent les ficelles en coulisses. Le soi-disant discours « démocratique » entre la gauche et la droite n'est qu'une mise en scène, un écran de fumée orchestré par ceux qui profitent du chaos qu'il crée. Diviser pour régner, c'est ça la démocratie !
Dans le système actuel de monnaie-dette, la démocratie représentative n'est rien d'autre qu'une illusion, un chemin qui mène nulle part. L'argent a toujours dicté les opérations du monde et, au fil des ans, cette puissance financière s'est transformée en domination politique.
Le système démocratique est pas seulement brisé ; il est irréparable parce que les architectes de cette structure de pouvoir financier ont les moyens de tout contrôler, depuis les récits des médias jusqu’à la politique internationale, peu importe qui est au pouvoir ou quel « isme » ils prétendent défendre.
La dichotomie gauche-droite ? Une farce minutieusement élaborée par l'élite financière qui manipule les deux camps. Le véritable schisme n'est pas celui des idéologies politiques, mais celui des manipulateurs et de ceux qu'ils manipulent, entre ceux qui ont soif de contrôle et ceux qui aspirent à la liberté.
À notre époque, la démocratie se résume à l’élection d’un nouveau groupe de personnalités politiques, où les partis politiques échangent leurs rôles sans modifier la dynamique du pouvoir. Ces responsables sont plus redevables à des intérêts financiers particuliers qu’à l’électorat qu’ils sont censés servir. Si leur allégeance était visible, leurs costumes seraient ornés des logos de leurs véritables maîtres. Macron le Rothschildien porterait un bouclier rouge en écusson.
Le public a été conditionné à participer à ce cirque électoral, en suppliant essentiellement les autorités cachées de faire preuve de clémence. Débattre pour savoir quelle marionnette politique devrait détenir le pouvoir est un exercice futile. Alors que les rouages du gouvernement changent, la machine de contrôle continue de fonctionner sans relâche.
En aparté : le concept de démocratie majoritaire comporte un autre défaut majeur : pourquoi la majorité devrait-elle avoir le pouvoir d’imposer des règles à la minorité ? Ça devient particulièrement périlleux lorsque la majorité est influencée par de fausses idéologies woki-escrologiques et sanitaires, propagées par des médias contrôlés par les mêmes intérêts privés. Ce système ne favorise pas la démocratie, mais cimente un système de division et de contrôle.
Le soi-disant changement climatique induit par le CO2 et la pandémie de Covid ne sont que les derniers épisodes d’une série de tromperies de longue date, un programme orchestré par les tricheurs pour les pigeons. Lorsque la vérité éclatera, on pourrait être tenté de soupçonner une intelligence malveillante qui guide les gouvernements mondiaux.
Ceux qui ont cru à ces récits ont involontairement vénéré le « gouvernement » et la « science moderne » (criblés de mensonges) comme leurs divinités. Mais ce sont de fausses idoles. Par conséquent, vous devriez vous méfier des récits gouvernementaux, vous méfier des « solutions » à la crise climatique ou du prochain virus fantôme qui exigerait prétendument un autre vaccin.
Au cours de notre vie, nous avons vécu sous une façade politique qui prétend être un ensemble d'États-nations indépendants, mais qui est en réalité un gouvernement mondial singulier, manipulé par un cartel bancaire et ses géants du secteur privé. Chaque État-nation est essentiellement une entreprise, un rouage de cette vaste superstructure de contrôle mondial.
Grâce à des réseaux complexes, les agents de cette matrice gouvernementale sont placés stratégiquement aux postes de direction, exerçant leur pouvoir et leur influence pour faire passer des lois qui érodent la force de la société, rendant les populations plus dociles, moins conscientes de leur servitude matérielle et spirituelle. Notre existence quotidienne a été détournée par un ordre politique sans âme.