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JOURS HOMÉRIQUES ET PÉCHÉS CAPITAUX DE LA GAUCHIASSERIE
Le volontarisme est le nouveau dogme
Une journée homérique, mes amis, c’est quand les étoiles s’alignent et que vous pouvez jouer les super-héros en repoussant vos limites comme un dieu taoïste en pleine communion cosmique avec son environnement. Harmonie, qu’ils disent ! Ouais, avouons que ça sonne bien, mais soyons réalistes : ces moments sont plus rares qu’un jour sans embouteillage à Paris. Le mois dernier, j’ai eu droit à une épique journée de moto dans le Ring du Kerry. Une ! Merci, Mère Nature, pour ta générosité légendaire.
Mais attention, pas besoin de se la jouer cascadeur pour choper ces vibes mémorables. Un jour, j’ai maté un docu sur Steve Jobs, ce tyran légendaire qui faisait trembler ses employés comme un dictateur en costard. Un ingénieur du projet Macintosh, les larmes aux yeux, racontait comment ce despote le faisait suer sang et eau. Et là, vlan, il lâche : « C’étaient les plus beaux jours de ma vie. » Sérieux ?
Le mec pleure de joie en repensant à son calvaire ! Pourquoi ? Parce que le marché était prêt à exploser, et il a tout donné pour être dans le game. Chapeau, l’artiste. L’innovation, la découverte, ou même une journée de boulot bien torchée, ça peut vous filer le même kiff.
Une journée mémorable, c’est quand tout s’aligne pour que vous puissiez briller comme une star de blockbuster hollywoodien. Mais une petite minute, quel rapport avec la politique, me direz-vous ? Hopolopolop, asseyez-vous, je vais vous expliquer, et ça va piquer. On va plonger dans les deux péchés capitaux du communisme, mes chers : le volontarisme et le déviationnisme. Des termes qui sonnent comme des insultes d’intello marxiste dans un débat de fin de soirée. Pas sûr de la traduc’ officielle, j’ai demandé à BingChat, et – surprise ! – au bout de plusieurs demandes de précision, il m’a pondu une définition nickel. Allez, je vous la refile, avec une petite retouche pour la classe :
Volontarisme : l’idée débile que la seule force de votre volonté, ou un enthousiasme révolutionnaire à la Che Guevara, peut écraser les réalités matérielles ou les lois de l’histoire. Marx disait que le socialisme naît de conditions économiques précises, pas d’une bande de rêveurs qui crient « On ne vit qu'une fois ! » en agitant des drapeaux rouges.
Déviationnisme : le crime ultime de penser par soi-même et de s’écarter de la sacro-sainte doctrine du parti. Sous Staline, c’était direction le goulag pour les « révisionnistes » (ceux qui osaient adoucir les propos de Marx), les « dogmatiques » (les coincés du bulbe accrochés à de vieilles idées), ou les « nationalistes » (ceux qui préféraient leur pays à la grande fraternité socialiste internationale).
En gros, le déviationnisme, c’est dire « Euh, et si on essayait autre chose ? », et le volontarisme, c’est foncer tête baissée sans réfléchir, comme un taureau chez votre marchand de porcelaine. Les deux étaient des hérésies, car ils menaçaient l’unité du dogme communiste.
Exemple parfait du volontarisme ? Khrouchtchev, qui a voulu jouer les cow-boys du coton pour battre les ricains, et qui a juste réussi à transformer la mer d’Aral en mer morte. Bravo, champion.
Pour le déviationnisme, pensez aux trotskistes, maoïstes et autres eurogauchiards, tous jetés aux oubliettes pour avoir osé penser différemment. Et devinez quoi ? Des gens sont morts pour ces « péchés ». Tout ça parce que le communisme, c’est l’art de dire : « Ferme-la et marche droit, sinon… » Obéissance aveugle, unité d’objectif, et hop, le monde sera meilleur. Mouais, on a vu le résultat.
Mais ne rangez pas vos mouchoirs tout de suite, car ces idées ne sont pas juste des reliques poussiéreuses.
Oh non, elles sont plus vivantes que jamais, et elles ont muté en un monstre encore plus grotesque.
Vous connaissez la gravure sur la tombe de Marx ? « Les philosophes n’ont fait qu’interpréter le monde, il s’agit de le changer. » Joli, non ? Sauf que les néo-communistes d’aujourd’hui ont pris ça au pied de la lettre, et ils ont transformé le déni de réalité en un sport olympique.
Marx pensait qu’en traitant tout le monde pareil, on atteindrait l’égalité. Il s’est planté, mais même lui n’aurait pas gobé qu’en coupant les bijoux de famille d’un mec, on en ferait une fille et non pas un eunuque. Sérieux, les gars, c’est quoi ce délire ? La liberté marxiste contre l’exploitation s’est muée en une exigence de tout avoir gratis. La volonté de dominer la réalité s’est transformée en l’idée qu’on peut créer sa propre réalité. Les vieilles idées étaient juste fausses ; les nouvelles sont carrément lunaires.
Les néo-communistes ont fusionné volontarisme et déviationnisme en une stratégie digne d’un scénario de science-fiction dystopique. Tout peut exister si on le veut assez fort, et gare à celui qui ose poser une question ! La gauchiasserie moderne est un festival d’attentes irréalistes : DEI, « crise » climatique, débats raciaux, féminisme, immigration débridée, peur de l’IA, Nouvel Ordre Mondial, « transgendérisme », guerres mondiales… tous des objectifs aussi atteignables que de convaincre mon chat de prendre un bain. Et le pire ? C’est que viser l’impossible, c’est pas un bug, c’est leur caractéristique principale. Plus un but est absurde, plus il faut y croire dur comme fer. Demandez à Greta Thunberg si vous me croyez pas, elle vous expliquera.
Le marxisme, c’est plus une idéologie, c’est une religion moralisatrice. Leur arme ? La honte. Leur but ? Nous forcer à obéir à un dogme qui dégouline de vertu. Osez critiquer une cause woke, et vous êtes taxé d’immoralité. Le volontarisme est leur nouveau dieu, et malheur aux hérétiques. Un innocent de mon voisinage m’a sorti récemment, à propos de l’Ukraine : « Faut qu'on batte la Russie ! » Euh, mec, j’avais juste demandé s'il pensait que l'Ukraine avait une chance. Mais non, il a préféré hurler son credo plutôt que d’affronter la réalité. On voit la même comédie dans notre Parlement ou sur LCI : mensonges, pirouettes, tout pour protéger la sainte foi. Les vrais croyants ne dévieront jamais. Le conservatisme, lui, c’est l’amour de la réalité, le respect de ce qu’on sait déjà. On change les choses, oui, mais avec des bases solides, pas en jouant les apprentis sorciers.
C’est comme en moto : tu respectes les virolos, tu danses avec eux, tu leur ordonnes pas de changer de direction. On se contrôle soi-même, et on ne change que ce qu’on comprend vraiment. Le socialisme, c’est l’inverse : imposer sa volonté à la réalité, façon « Je veux un homme nouveau, une économie nouvelle, un monde nouveau, et je le veux MAINTENANT ! »
Avec la bonne idéologie, tout est possible, et si ça foire, c’est qu’on n’y a pas assez cru. Ridicule. Une journée épique, c’est l’humilité, la gratitude, le respect des forces plus grandes que soi. Le volontarisme et le déviationnisme, c'est tout le contraire : c’est la vanité, l’arrogance, l’idée que vous êtes plus malin que l’univers. Moi, j'aime la moto pour sa dose de réalité brute et le défi constant. Mais les néo-communistes et leur soif de pouvoir prétentieuse ? À la jaille ! Ils peuvent garder leurs dogmes et rester dans leur cercle, moi je prends la tangente, le vent et la liberté.