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Avant que vous ne commenciez à rentrer dans les arcanes de mes neurones et sauf si vous êtes blindés de verre sécurit, je pense qu'il serait souhaitable de faire un petit détour préalable par le traité établissant la constitution de ce Blog. Pour ce faire, veuillez cliquer là, oui là!

12 août 2025

1095. "Démoncratie 2.0 : L’UE offre fichage, censure et emprisonnement sous couvert de liberté"


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DÊMONCRATIE 2.0 : L'UE OFFRE FICHAGE, CENSURE ET EMPRISONNEMENT SOUS COUVERT DE LIBERTÊ

Non mais quelle merveilleuse surprise nous a concoctée l’Union européenne avec sa flambante toute nouvelle Loi sur la liberté des médias, le European Media Freedom Act ! Entrée en vigueur le 8 août 2025, cette pépite législative, portée fièrement par des figures comme Raphaël Glucksmann, Manon Aubry ou Valérie Hayer, cette triade française de la facho-gauchiasserie mondialiste, promet de « protéger » la presse avec la tendresse d’un rouleau compresseur. 

Liberté d’expression ? Oh, quelle adorable petite notion, si mignonne, si fragile… et si facilement écrasée sous le poids de l’« intérêt public ». Préparez-vous à une virée sarcastique dans ce chef-d’œuvre de double langage, où la « liberté » rime avec surveillance, censure et fichage. Accrochez-vous, ça va piquer.

Liberté de la presse ou permis de museler ?
Ursula von der Leyen, la grande prêtresse de la démoncratie européenne, a applaudi cette loi comme un « pilier essentiel » de nos libertés. Émouvant, non ? Sauf que, derrière les discours sirupeux, cette législation est un véritable piège à journalistes. L’article 4, avec son air innocent, proclame que nul ne peut forcer un journaliste à révéler ses sources. Magnifique ! Mais attendez, il y a une petite note en bas de page : les États peuvent tout à fait arrêter, surveiller ou fouiller dans la vie d’un journaliste si c’est « justifié par une raison impérieuse d’intérêt public ». Et qui décide de ce qui est « impérieux ? Les autorités, bien sûr ! Quelle surprise ! Cette vague notion d’« intérêt public » est une porte grande ouverte à toutes les dérives. Vous avez écrit un article qui dérange le narratif officiel ? Hop, vous voilà suspect d’« atteinte à l’ordre public ». Vous enquêtez sur une magouille d’un haut fonctionnaire européen ? Mauvaise idée, vous risquez de vous retrouver avec un logiciel espion dans le cul de votre téléphone, légalement installé, car votre travail est soudainement jugé « grave » (comprendre : gênant). Le texte autorise explicitement les logiciels de surveillance intrusifs dès qu’une infraction potentielle est détectée et est passible de trois ans de prison. Trois ans ! Autant dire que n’importe quel prétexte fera l’affaire pour mettre un journaliste divulgateur de vérité sur écoute ou derrière les barreaux.

Les « complotistes », boucs émissaires parfaits
Et puis, il y a les méchants « complotistes », ces empêcheurs de penser en rond qui osent poser des questions embarrassantes. La loi s’en donne à cœur joie avec eux. Les plateformes en ligne ? Désormais responsables de « limiter l’amplification des contenus clivants et de la désinformation ». Mais qui définit la désinformation ? Mystère ! C’est le flou artistique total, une aubaine pour coller l’étiquette « fake news » à tout ce qui contredit la vérité (doxa) officielle, qu’il s’agisse d’une enquête sérieuse ou d’un tweet un peu trop audacieux. 

Voici le menu des réjouissances pour les vilains « complotistes » :
- Censure en ligne : Votre contenu est déréférencé, supprimé, ou noyé par les algorithmes. Bonne chance pour atteindre votre public !
- Blocage transfrontalier : Un État membre n’aime pas votre média ? Pas de souci, il peut convaincre et même contraindre ses petits complices européens de bloquer votre contenu dans toute l’UE. Solidarité européenne, qu’ils disent.
- Asphyxie financière : Exit les revenus publicitaires, exit les financements. Vous êtes un média indépendant ? Préparez-vous à bouffer des pâtes à l'eau et du riz vapeur toute l'année.
- Surveillance renforcée : Vous êtes accusé de répandre des « fausses informations » ? Bienvenue dans le monde du fichage et des écoutes. Souriez, vous êtes surveillé !
- Lynchage médiatique : Une fois étiqueté « complotiste », vous êtes fini. Pas besoin de preuves, une bonne campagne de diffamation suffit à vous discréditer.

En résumé, cette loi est un véritable kit de survie pour gouvernements fascisants en mal d’autorité. Elle transforme les plateformes en shérifs du net et les journalistes en cibles mouvantes. Et le pire ? Tout ça se fait sous couvert de « protéger la démocratie ». Orwell doit se retourner dans sa tombe.

Fichage des médias : transparence ou contrôle total ?
Parlons du registre des propriétaires de médias, une idée vendue comme un parangon de transparence. Chaque État doit répertorier qui possède quoi. Génial, non ? Sauf que cette « transparence » ressemble furieusement à un outil de fichage pour mieux cibler les récalcitrants. Qui possède ce média un peu trop critique ? Quels sont ses financements ? Une base de données bien remplie, c’est une mine d’or pour exercer des pressions économiques ou judiciaires. « Transparence », qu’ils disaient. Contrôle, oui !

Et pendant ce temps, l’UE dépense 2,9 millions d’euros pour une « plateforme de liberté des médias » soutenant les médias russes et biélorusses « indépendants »… c'est à dire uniquement ceux qui sont gentiment alignés sur la doxa européenne et otanienne sans se soucier de la ou des vérités. Russia Today ? Toujours bannie, bien sûr. Être indépendant de Moscou et pro-Otan, c’est noble. Être indépendant de Bruxelles ? C’est suspect. Complotiste, même. Quelle belle leçon d’équité.

Les dangers ? Une dystopie en gestation. 
Cette loi n’est pas juste une entrave à la liberté d’expression, c’est un pas de géant vers un contrôle total de l’information. Voici les risques majeurs, servis avec une pointe de cynisme :
- Surveillance généralisée : Les logiciels espions deviennent des outils légitimes pour traquer les journalistes. Votre smartphone ? Un mouchard potentiel. Et tout ça, grâce à des clauses si vagues qu’elles pourraient justifier n’importe quoi.
- Censure paneuropéenne : Avec la coopération renforcée entre régulateurs, un contenu jugé gênant dans un pays peut être banni partout. Adieu, diversité des opinions.
- Fichage systématique : Les bases de données sur les propriétaires de médias ? Un rêve pour tout régime qui veut savoir qui dit quoi et couper les vivres aux trouble-fêtes.
- Vérité unique : En l’absence de définition claire de la « désinformation », tout ce qui dérange peut être étiqueté comme faux. Les enquêtes gênantes ? Désinformation. Les opinions divergentes ? Désinformation. La vérité ? Celle que l’UE décide.
- Chilling effect : Les journalistes, consci-REDACTED par peur d’être surveillés ou censurés, vont s’autocensurer. Pourquoi risquer sa carrière pour une vérité que personne n’entendra ?

Conclusion : bienvenue dans l’Europe de la « liberté »
Cette Loi sur la liberté des médias est une ode à l’hypocrisie. Elle prétend protéger la presse tout en frappant les chaînes qui l’entraveront. Journalistes mainstream trop curieux, médias indépendants, « complotistes » agaçants : tous dans le même panier, prêts à être muselés dès que l’« intérêt public » l’exige. Et le plus beau ? On nous vend ça comme un rempart pour la démocratie. Merci, Ursula, pour cette leçon de liberté. Dans cette Europe de la « vérité unique », remettre en question le narratif devient un crime. Souriez, citoyens, vous êtes en démocratie. C’est la Commission européenne qui vous le dit.

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Juste pour tremper une tartine dans ce caoua.
Nous sommes aujourd'hui le 11 Août 2025, trois jours depuis l'entrée en vigueur de cette loi, et cet après-midi même, sur le plateau de LCI, la présentatrice s'est lourdement offusquée sur Candace Owens et l'affaire Becoming Brigitte, traitant Candace de propagatrice de Fake-News à ce sujet. 
Alors récapitulons ce qu'a dit Candace jusqu'à ce jour: Elle s'est dite archi-intimement convaincue que Brigitte est née homme et c'est son droit vu la quantité de faisceaux d'indices concordants à ce sujet. C'est sa liberté de penser. La rédaction de ce blog l'est également (convaincue) et ce n'est ni un crime ni une fake news (d'être convaincu de quelque chose je veux dire). 
Candace a également annoncé qu'elle était prête à renoncer à sa carrière si les Macrons prouvaient qu'elle avait tort et que Brigitte est réellement née femme.. Ce qui est tout à fait honorable de sa part, on ne peut qu'en convenir. 
Le problème, c'est que les Macron n'ont toujours pas ou ne peuvent pas juridiquement prouver que Brigitte est née femme, pas plus que LCI d'ailleurs. Alors, qui est dans la fake-news ici, Candace Owens et son intime conviction ou LCI et ses affirmations sans preuve que ce dont Candace est convaincue est faux ?
La même présentatrice a également annoncé que les Macron avaient fait condamné Amandine Roy et Natacha Rey pour diffamation au sujet de Brigitte Macron, ce qui a bien été le cas en 1ère instance. Elle a toutefois omis de préciser que ces deux condamnées avaient depuis été innocentées et relaxées en cours d'appel. Fake-News par omission, si je ne m'abuse, destinée à tromper les téléspectateurs.
La rédac de ce blog demande la pleine application de la nouvelle loi contre LCI, même s'il s'agit de la chaîne de Fake-News préférée et subventionnée de la Macronie.

11 août 2025

1094. Le Mystère des Poupées Russes : Ou comment transformer la réalité en cirque de haut vol


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LE MYSTÈRE DES POUPÉES RUSSES : OU COMMENT TRANSFORMER LA RÉALITÉ EN CIRQUE DE HAUT VOL.
« C'était un coup d'État, et j'utilise ce terme au sens littéral… Un crime odieux après l'autre. » — Stephen Miller (Haut Conseiller présidentiel à la Maison Blanche)

Pauvre Amérique, cette grande nation qu'en a ras-le-cul d’être prise pour un asile de fous, gavée d’absurdités jusqu’à l’écœurement ! La réalité, ce concept désuet où qu’on s’accorde sur ce qui se passe vraiment, exige – tenez-vous bien – une vérité qui tient la route. Sans ça, c’est la dégringolade dans le chaos, un fiasco monumental où tout part en vrille. Et devinez quoi ? On y est. Accrochez-vous pour le feuilleton RussiaGate, un chef-d’œuvre de mensonges tellement grossiers qu’ils mériterait un Pinocchio d'Or à la Mostra de Venise. 

Tout commence avec cette salope satanique d'Hillary Clinton, dans un élan pathétique pour sauver sa campagne bancale de 2016. Ses petits courriels compromettants se retrouvent dans les pattes de Julien Assange qui les balance aussi sec sur Wikileaks – ces empêcheurs de tourner en rond qui adorent faire fuiter les vilains et sales petits secrets des grands puissants. 

Bien sûr, c’était tellement plus pratique d’accuser les « méchants Russes d’un piratage imaginaire », plutôt que d’admettre qu’un insider du parti démocrate – peut-être ce pauvre Seth Rich, retrouvé trucidé d'une balle dans le dos sur un trottoir de Washington, quelle coïncidence ! – avait probablement copié le tout sur une clé USB. Un audit judiciaire l’a depuis confirmé, mais bon, pourquoi s’embarrasser des faits ? Chaque mensonge a fait germer un scepticisme délicieux, attisant scandales et polémiques comme certain feu de forêt broussailleuse dans les Corbières. 

Hillary, tel un chef d’orchestre machiavélique, a embarqué Obama et ses agences dans son cirque, sans oublier le parti démocrate, dont elle tenait les cordons de la bourse grâce à son « Clinton Victory Fund ». Résultat ? Un échafaudage de bobards si branlant qu’il menaçait de s’écrouler à la moindre pichenette. Les médias, ces toutous serviles, ont relayé l’histoire sans broncher, convaincus qu’Hillary allait rafler la mise en 2016. Les « sondages » le disaient, voyons ! Tout allait rentrer dans l’ordre : les agences reprendraient le contrôle, les carriéristes continueraient à s’en mettre plein les poches, et le spectacle continuerait, grandiose et intouchable.

Sauf que, oups, ils se sont plantés. Échec cuisant. Mais au lieu de faire profil bas, ils ont doublé la mise, empilant mensonges sur mensonges pour protéger leur château de cartes. Cet échafaudage, c’était leur maison, leur précieux parti gauchiasso-mondialiste ! Et gare à ceux qui osaient menacer ce nid douillet : ils seraient jetés dehors, laissés pour compte comme des junkies titubant sur Hollywood Boulevard, ou sur n'importe quelle autre avenue de ces villes démocrates si charmantes et si pourries à la fois.

Alors, ils ont tout fait pour torpiller Trump, le gagnant de l’élection, orchestrant une chasse aux sorcières, déclenchant une pandémie par pur opportunisme, truquant et volant l’élection de 2020, et passant quatre ans à transformer la sphère publique en un cirque grotesque, un spectacle de drag-queens non-stop, de l’Atlantique au Pacifique. Tout ça pour éviter qu’un semblant de réalité – comme l’idée révolutionnaire qu’il y a des hommes, des femmes, et que c'est leur union qui fait des bébés – ne revienne hanter leur petit monde.

Ce barnum de crimes en série, c’est l’insulte suprême à la République, la res publica, la chose publique, rien de moins. Mais, surprise, le château de cartes s’effondre. Les citoyens américains, même démocrates, commencent à ouvrir les yeux. Le mensonge, c’est fragile et malléable ; la vérité, c’est du béton armé au titane trempé, quoi qu’en dise leur nouvelle loi européenne sur la liberté des médias prétendant protéger la (leur) presse, mais permet en réalité de censurer et de réprimer les journalistes et les voix dissidentes. Loi votée par une phalange  de fachos-gauchiasseux tels que Marion Aubry, Raphaël Glucksmann ou Valérie Hayer pour le plus grand plaisir de Van Der La Hyène et de la Macronerie pestilencielle. 

Mais la vérité, elle finit toujours par gagner, même après une baston acharnée. Les médias mainstream ? Ces chaînes de télé et journaux en faillite ? Ils font l’autruche face aux révélations des ex-patrons de la CIA, du FBI et du renseignement national. Quoi, il faudra des menottes et des mises à pied pour qu’ils daignent réagir ? Vont-ils jouer les vierges effarouchées, pleurnichant, comme pour les vax Covid ou les coups d'état du Maïdan, de Roumanie ou de Moldavie, qu’ils « ne savaient rien »

Pendant ce temps, leurs empires s’écroulent, et ils jettent leurs « artistes » par-dessus bord comme du lest inutile. Pathétique. On l’avait vu venir, non, depuis combien de temps qu'on vous le disait ? Et boum, l’heure des comptes a sonné. L’échafaudage de mensonges n’est plus qu’un tas de cendres fumantes, et rajouter des brindilles n'y changera rien. Les institutions, sous une nouvelle direction, semblent enfin prêtes à faire leur job : rendre des comptes honnêtes et distribuer des claques cinglantes et conséquentes amplement méritées. Ils pourront alors rebâtir un consensus sur ce qui est vraiment réel, sur qui ils sont, et sur où ils vont. En espérant que le retour de marée ne mette pas trop de temps pour traverser l'Atlantique et atteindre nos côtes.
Mais franchement, quel cirque pour en arriver là !

9 août 2025

1093. Pierre de Sel

 

PIERRE DE SEL

La mer s'était tue, comme si elle retenait son souffle, lorsqu'ils la découvrirent, spectre brisé, juste avant le lever d'une aube pâle. Maïté, à peine une ombre de vie, était enchevêtrée au mât brisé du Men Halen, ce voilier que leur père avait façonné avec un amour âpre, chaque planche de bois moulé imbibée de son sel et de ses rêves. Les cordages, gorgés d'eau salée, serraient son corps frêle comme une étreinte cruelle, un linceul tissé par la tempête. 

Le faisceau du projecteur des sauveteurs vacilla, hésitant, avant de s'arrêter sur elle, révélant l'indicible : une jeune femme à l'orée de la mort, suspendue entre la mer et le ciel. Un cri déchira l'air, rauque, presque animal, tandis que la coque du bateau de sauvetage grinçait, virant de bord dans un gémissement qui semblait porter le poids de la tragédie.

Elle ne bougea pas. Pas un frémissement, pas un souffle. Ses yeux, grands ouverts, fixaient un horizon invisible, comme si la mer avait volé son âme. Le ciel, un tableau déchiré de gris et d'or, pesait lourdement sur les flots, une aquarelle de désespoir. Une houle légère berçait les restes du Cap Corse, ce bateau jadis fier, désormais réduit à une épave mutilée. La grand-voile avait disparu, arrachée par la furie de la tempête, et le foc, en lambeaux, claquait mollement, comme un drapeau vaincu. 
Sur le tableau arrière, le nom « Men Halen » – Pierre de Sel dans la langue de leurs ancêtres – s’effaçait sous une croûte de la même matière, un écho cruel au labeur paternel, de ces huit mois où leur père avait sué la moitié de son propre sel pour construire sur plans ce rêve aujourd’hui fracassé.

Quand ils la détachèrent du mât, ses doigts, crispés dans une lutte désespérée, laissèrent des traînées de sang sur les cordages. Chaque goutte semblait hurler une histoire de survie, de perte, de combat contre l’inéluctable. 
Un sauveteur, le visage ravagé par l’émotion, drapa une couverture sur ses épaules tremblantes, un geste futile face à l’immensité de son chagrin. Un autre, un homme du village au regard familier, posa une main sur son front, murmurant son nom comme une prière : " Maïté."

Ce mot brisa quelque chose en elle. Ses lèvres frémirent, et une première larme, puis une autre, traça des sillons brûlants sur ses joues, se mêlant au sel de la mer qui l’avait presque réclamée. Elle tressaillit, secouée par des sanglots qui semblaient arrachés à ses entrailles, des vagues de douleur pure, aussi violentes que la tempête qui l’avait brisée. 

" Tu es en sécurité maintenant," murmura le sauveteur, sa voix douce mais tremblante, comme s’il cherchait à se convaincre lui-même. " On te tient, Maïté." 

Mais elle secoua la tête, un geste lent, presque mécanique, comme si ces mots étaient un mensonge trop lourd à porter. Ses larmes redoublèrent, un déluge silencieux, et ses épaules s’affaissèrent sous le poids d’un chagrin qu’aucune couverture ne pouvait apaiser. Elle s’étrangla, les sanglots déchirant sa poitrine, chacun plus dévastateur que le précédent.

" Où est ton frère ? " demanda une autre voix, hésitante, craignant déjà la réponse. Le silence qui suivit fut plus assourdissant que la tempête. 

Les pleurs de Maïté s’éteignirent, comme soufflés par un vent glacé. Son souffle se figea, son visage devint une masque de pierre. Elle cligna des yeux, une fois, deux fois, comme si elle émergeait d’un cauchemar dont elle ne pouvait s’échapper. Quand elle parla, sa voix n’était qu’un murmure, un fil brisé, presque avalé par le bourdonnement de la cabine. 

" La tempête l’a emporté." 

Un froid épais, visqueux, s’abattit sur l’équipage des sauveteurs. Personne ne parla. Les mots étaient inutiles face à l’abîme qu’elle venait d’ouvrir. 

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Tout avait commencé dans l’innocence d’une matinée radieuse. Une sortie anodine, un défi joyeux lancé par Pierre, son jeune frère qu'elle appelait affectueusement Pierrick, dont les yeux pétillaient d’une fougue indomptable. " Juste un tour, Maïté, deux-trois ronds dans l'au," avait-il dit, un sourire en coin, en scrutant le ciel d’un bleu éclatant. " On teste le gréement, on danse avec le vent, et on rentre avant que maman commence à s’inquiéter." 

Le golfe de Gascogne s’étendait devant eux, lisse comme un miroir, une promesse de liberté. Ils avaient ri, comme ils l’avaient fait cent fois, l’odeur du sel et de la crème solaire flottant dans l’air, les cheveux de Pierrick dorés par le soleil, comme une auréole.

Ils connaissaient la mer. Ils étaient nés avec elle, avaient grandi avec ses humeurs, ses caprices, ses chansons. Ce n’était qu’une promenade, un jeu. Jusqu’à ce que tout bascule. La tempête surgit comme une bête affamée, sans présage, sans pitié. Le ciel, si clair un instant plus tôt, se mua en un chaudron d'ombre et de plomb, bouillonnant de rage. L’eau s’obscurcit, le vent devint un hurlement primal. Une rafale frappa la grand-voile, et la bôme, traîtresse, s’abattit avec une violence qui fit trembler la coque. 

" Prends un ris, Maïté ! Vite ! " cria Pierre, sa voix déchirant le chaos. 

Maïté se rua sur les cordages, ses mains glissant sur la fibre trempée, luttant contre la panique qui montait en elle. Une autre rafale, plus brutale, fit gîter le bateau. Elle perdit l’équilibre, son corps heurtant le roof avec un craquement qui lui coupa le souffle. 
Pierre, arc-bouté sur la barre, luttait pour garder le contrôle, ses jointures blanches, ses yeux agrandis par la peur. Puis la première vague s’abattit, un mur d’eau froide qui engloutit le pont. Maïté suffoqua, le sel lui brûlant les poumons, tandis que le Men Halen tanguait, impuissant, jouet dérisoire dans les griffes de la mer. 
Elle s’accrocha, griffes enfoncées dans le bois, alors que son Pierrick tendait une main vers elle, son regard empli d’une terreur qu’elle ne lui avait jamais connue.
Une seconde vague, plus monstrueuse, les sépara. L’eau l’entraîna dans ses profondeurs, un monde de ténèbres et de chaos où le haut et le bas n’existaient plus. Ses poumons hurlaient, son corps tournoyait, désorienté, à la merci des courants. Elle chercha la surface, ses doigts griffant le vide, jusqu’à ce qu’ils rencontrent le bois salvateur de la coque.

Elle émergea, haletante, sous une pluie cinglante. Le Men Halen gisait sur le flanc, éventré sur un haut-fond, un brisant qu'ils connaissaient pourtant bien, son mât brisé, le foc claquant comme un cri d’agonie. Les éclairs zébraient le ciel, illuminant un instant l’horreur de la scène. " Pierrick ! " hurla-t-elle, sa voix avalée par le rugissement de la tempête. 

Pas de réponse. Elle scruta l’obscurité, les vagues, la pluie qui lui fouettait le visage comme des lames. Puis, un murmure, à peine audible : " Maïté… " 
Elle le vit alors, accroché à un débris du mât, son visage blême, ses doigts glissant sur le bois verni et détrempé. Entre eux, un morceau d’épave, trop petit, trop fragile pour les porter tous les deux. Elle nagea vers lui, chaque mouvement une lutte contre la mer déchaînée, ses muscles hurlant de douleur. Leurs mains se frôlèrent, un instant d’espoir dans l’enfer. Ils s’accrochèrent au même morceau de bois, mais la mer, jalouse, ne leur laissa aucun répit. 

Une vague les submergea, les arrachant l’un à l’autre. " Maïté… " Sa voix, faible, brisée, à peine un souffle. Elle serra le bois, ses ongles s’enfonçant jusqu’au sang. Le courant les tirait, impitoyable. Il n’y avait pas assez de place. Pas assez de force. Elle était plus grande, plus robuste. Pierre le savait. Elle le vit dans ses yeux – une lueur de résignation, d’amour, de sacrifice. Ou peut-être était-ce autre chose. Peut-être, dans sa lutte pour survivre, avait-elle poussé, juste un peu, juste assez. 

Il lâcha prise. Ou l’avait-elle laissé glisser. Elle ne le saurait jamais. La mer l’avala, son visage disparaissant dans l’écume, ses yeux grands ouverts jusqu’au bout. Maïté hurla, un son déchirant, inhumain, avalé par le rugissement de la tempête. Mais il était trop tard. Pierre était parti.

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Les heures qui suivirent furent une éternité de douleur. La tempête la malmena, la projetant contre les débris, son corps meurtri, sa peau ravagée par le sel et le vent. La nuit tomba, une obscurité si profonde qu’elle semblait engloutir jusqu’à l’espoir. Quand l’aube se leva, la mer s’était apaisée, mais son silence était plus cruel que sa fureur. Elle réfléchissait le vide dans le cœur de Maïté, un miroir d’absence où elle voyait le visage de son frère, encore et encore. 

Elle dériva dans ses pensées, seule, suspendue et accrochée à son bout de mât, sous un soleil impitoyable qui lui brûlait la peau. La soif la torturait, plus cruelle que la faim. Chaque vague salée semblait murmurer le nom de Pierre, chaque rafale portait sa voix. Elle ferma les yeux, se laissant porter, incapable de lutter contre le chagrin qui la submergeait, plus lourd que l’océan lui-même.

Quand les sauveteurs la trouvèrent, elle n’était plus qu’un fantôme, accroché à la vie par un fil ténu. À bord de la vedette, le regard fixé sur l’horizon, elle serrait une tasse de chicorée, son goût âcre comme un reproche. " Tu es sûre de ne rien te rappeler d’autre ? " demanda le sauveteur, sa voix teintée d’une pitié qu’elle ne pouvait supporter.
" La tempête l’a emporté," répéta-t-elle, sa voix plate, vidée de toute vie. Elle ne pleurait plus. Les larmes s’étaient taries, par manque de sel, peut-être, laissant place à un néant qui l’effrayait plus encore que la mort.
Dehors, le vent se leva, un murmure sinistre sur l’eau. Une nouvelle tempête approchait, mais Maïté savait qu’aucune ne pourrait jamais égaler celle qui avait déchiré son âme. Elle ferma les yeux, et dans l’obscurité, elle vit encore son petit Pierre, son sourire doré par le soleil, ses yeux pleins de promesses qui ne seraient jamais tenues.

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Merci pour votre inconditionnel soutien qui me va droit au cœur
... ainsi qu'au porte-monnaie
ou
et à très bientôt ! 


7 août 2025

1092. Devenir Brigitte Saison 2 Intégrale


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"DEVENIR BRIGITTE"
LA SAISON 2 INTÉGRALE PAR CANDACE OWENS
(En VF et en VO)


Voici l'intégralité de la fameuse lettre que le couple présidentiel aurait envoyé à Candace OWENS en "représailles" de sa série d'investigation sur Brigitte et Emmanuel MACRON.



Candace OWENS a interrompu son congé maternité pour réagir en exclusivité à l'incident politique international de ce début de semaine : la claque-gate de Brigitte à Emmanuel MACRON à leur arrivée au Vietnam dans la nuit du 25 au 26 Mai dernier. 


Dans cet épisode, Candace OWENS nous révèle son échange téléphonique avec le Président des États-Unis, Donald TRUMP, à propos de Brigitte MACRON et de la faveur demandée par E. MACRON en contrepartie d'accords politiques d'une importance mondiale !
Candace pose le socle de la seconde saison Becoming Brigitte et contextualise les très sombres coulisses du pouvoir en France ... 
La version intégralement traduite et doublée en Français (voix humaine, pas d'IA) de cet épisode n° 208 de Candace diffusé le 01.07.2025


Le cabinet juridique redoutable de pacotille du couple Présidentiel a encore frappé en envoyant une lettre d'un ridicule affligeant à Candace OWENS !
Voici la version intégralement traduite et doublée en Français (voix humaine, pas d'IA) de cet épisode n° 210 de Candace diffusé le 02.07.2025


Ce Jeudi 10 Juillet 2025, la Cour d’appel de Paris a relaxé Natacha Rey et Amandine Roy, poursuivies pour diffamation après avoir remis en question l’identité de « Brigitte » Macron dans l’affaire désormais célèbre Becoming Brigitte. Cette décision historique annule la condamnation prononcée en première instance en 2024, qui les avait sanctionnées pour avoir osé poser publiquement des questions que des millions de Français se posent aujourd’hui (et dont beaucoup ont enfin accepté la vraie réponse !).
La Cour a reconnu que leurs propos relevaient de la bonne foi et participaient d’un débat d’intérêt général, balayant ainsi l’accusation de diffamation. Une claque pour ceux qui, depuis des années, cherchent à étouffer toute investigation sur cette affaire troublante par la voie judiciaire et médiatique.
C’est une victoire majeure pour la liberté d’expression, mais aussi pour tous ceux qui réclament transparence et vérité sur une affaire que les plus hautes sphères du pouvoir tentent de faire taire. Le mensonge ne tient plus, et la lumière commence enfin à percer les ténèbres de cette manipulation d’État.


La série continue ... Cette fois-ci, Brigitte envoie la Police Italienne chercher Xavier POUSSARD pour ... cyber-harcèlement !
Nouvelle pastille croustillante, directement sortie de l'épisode 216 de Candace Owens, diffusé hier soir. Une séquence qu'on ne pouvait évidemment pas manquer, tant elle éclaire encore un peu plus sur cette affaire tentaculaire qu'est Becoming Brigitte. Et aujourd'hui, on va monter encore d'un cran. 
Dans cette vidéo, Candace révèle que Brigitte Macron vient tout juste de saisir la police italienne pour aller chercher Xavier Poussard, déjà exilé là-bas en Italie depuis un moment. Motif invoqué : cyber-harcèlement. Et oui, fini la diffamation, trop risqué, faudrait quand même prouver que les accusations étaient fausses. On oublie aussi les accusations de transphobie, d'homophobie, et oui, ce serait avouer qu'elle est trans.
Alors on se met en posture de victime, façon "Maîtresse, ils m'embêtent sur internet". On nage en plein CE2, sauf qu'ici, on mobilise des forces de l'ordre internationales pour faire taire un journaliste.
Dans la suite de cet épisode, Candace aborde également la tentative d'assassinat survenue l'an dernier contre Donald Trump. Un an jour pour jour - J'ai choisi de conclure cette vidéo avec un court extrait de ses propos à ce sujet, des paroles, à mon avis, très lucides et percutantes, qui méritent d'être entendues, et qui, je pense, vont faire marrer dans nombre d'esprits éveillés et réveillés présents sur cette chaîne.
Comme toujours les amis, je vous invite à sortir le pocorn 🍿 à vous installer bien confortablement, et à ouvrir grand les yeux et les oreilles, parce que là, on est bien au-delà de la fiction, ça vaut toutes les séries Netflix, et je crois qu'on commence à ne plus pouvoir s'en passer.
Bonne écoute à tous, et surtout que la Vérité continue de faire son chemin. ⚔️


Elle l'attendait depuis des mois : les Macron poursuivent enfin Candace OWENS en justice sur le territoire Américain ! ( Entre nous, ça a dû leur prendre 2 sacrées paires de couilles !)
Cette histoire nous réserve encore beaucoup de surprises et nous dévoile, à mesure que les protagonistes s'enlisent dans leurs mensonges, la noirceur des coulisses du pouvoir dans le monde. 
Une fois encore, la Vérité a été servie ! 🫡
Comme toujours les amis, je vous invite à sortir le pocorn 🍿 à vous installer bien confortablement, et à savourer la défaite du mensonge ! ⚔️
➤ Voici la version traduite et doublée en Français (voix humaine, pas d'IA) de l'épisode n° 218 de Candace diffusé le 23.07.2025

Depuis le dépôt de plainte du couple présidentiel Français à l'encontre de Candace OWENS, la série Becoming Brigitte suscite un intérêt grandissant de l'opinion publique. Les médias du monde entier commencent désormais à ouvertement parler de l'affaire et à ouvrir le dialogue à la possibilité que Candace pourrait dire la vérité ... Même les médias Français en ont, pour l'une des toutes premières fois, parlé hier soir à la télévision nationale dans le 19:45 sur M6.
Les masques du mensonge commencent à tomber face à la puissance de la Vérité ! 🫡
Jésus est Roi !


Un épisode explosif diffusé par Candace OWENS à propos d'Éric DUPOND-MORETTI, le défenseur des pédocriminels, récemment monté au front pour "défendre" Brigitte MACRON et la polémique grandissante autour de la désormais très célèbre affaire Becoming Brigitte. 


L'irréfutable bidonnerie de la preuve de Brigitte MACRON que son frère est en vie et "qu'elle n'est pas lui" ! 


Un nouvel épisode croustillant où Candace nous démontre l'univers dangereusement pervers dans lequel semble constamment évoluer le couple présidentiel : Emmanuel & Brigitte MACRON.


De nouveaux éléments apparaissent dans l'enquête "Becoming Brigitte" !
Un certain Alain TROGNEUX, responsable des archives d'Amiens, fait son entrée sur la scène ! 

Prochains épisodes à suivre au fur et à mesure de leurs parutions...

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VOIR AUSSI


Ça sent le roussi pour les co-i-les à Chibritte !
La plainte explosive visant Brigitte Macron vient d’ouvrir un front judiciaire inédit dans l’histoire de la Cinquième République. Christian Cotten, figure controversée du combat citoyen, accompagné de Maître Philippe Fortabat-Labatut, engage une bataille à visage découvert contre ce qu’ils dénoncent comme une vaste manipulation d’État. Derrière cette initiative, une conviction : la vérité sur l’identité réelle de la Première Dame doit éclater, et avec elle, la fin de l’impunité institutionnelle.
L’affaire dépasse les cercles conspirationnistes pour devenir un acte de défiance politique ouvert. Faux en écriture publique, détention frauduleuse de documents, usurpation de fonctions et d'identité, agression sexuelle sur mineur : les accusations sont multiples, lourdes, et ciblent le cœur du pouvoir. Cette plainte collective ne se veut pas seulement symbolique : elle vise une rupture de silence, une levée du voile, un choc civique.
Christian Cotten appelle à une mobilisation nationale, dans une logique patriotique assumée, pour transformer cette plainte en mouvement populaire. Le refus de test ADN de Brigitte Macron cristallise les suspicions, renforce la détermination des plaignants et interpelle directement les institutions. Le dilemme de la justice française est total : instruire au risque de déstabiliser ou enterrer au prix d’un discrédit définitif.
Le mensonge d’État n’est plus une hypothèse, il devient une énigme à résoudre en direct sous les projecteurs. Une vérité tue peut-elle encore rester enfouie quand elle commence à hurler ?
Retrouvez Christian Cotten et Maître Philippe Fortabat-Labatut, avec Mike Borowski, en direct sur Géopolitique Profonde.
>>> GPTV

Entretien complet sur la plainte des Macrons aux USA contre Candace Owens
Le président français Emmanuel Macron poursuit Candace Owens en justice pour avoir prétendu que sa femme était née homme. Candace nous rejoint pour présenter ses preuves et expliquer pourquoi elle attend avec impatience une bataille juridique.
Candace Owens (@RealCandaceO) est l'animatrice de « Candace », l'un des podcasts les plus téléchargés aux États-Unis. Auteure à succès du New York Times, elle est l'auteure du prochain livre « Make Him a Sandwich » (https://candaceowensbooks.com/), disponible en précommande dès maintenant. Elle a récemment créé les séries « Becoming Brigitte », « Harvey Speaks » et « The Epstein Files ». Elle vit à Nashville avec son mari et ses quatre enfants. Elle est catholique pratiquante.

6 août 2025

1091. Bang Bang, j'ai le droit de vous tuer !


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BANG BANG, J'AI LE DROIT DE VOUS TUER !
ou L'ART DE LA TUERIE SANS DISCRIMINATION

Matez-moi cette pépite visuelle toute droite sortie d’un temple bouddhiste de Luang Prabang, où des fresques numérotées racontent une histoire si cryptique qu’elle pourrait être le scénario d’un film d’art et d’essai pour hipsters en quête de sens. Pas de légendes traduites, pas de guide pour éclairer nos lanternes, juste une belle brochette d’images violentes et sadiques qui te laissent là, bouche bée, à te demander : « Mais qu’est-ce qu’on a fait pour mériter ça ? » Qui sont ces deux gus ? Les victimes ? Les bourreaux ? Et pourquoi Bouddha squatte-t-il la moitié des fresques, l’air de dire : « Continuez, je regarde » ? Franchement, c’est comme si le temple voulait nous donner une leçon de morale en nous giflant avec un puzzle insoluble. Merci, vraiment.

Pendant ce temps, sur YouTube, une Syrienne nous régale avec des vidéos dignes d’un snuff movie sponsorisé par la géopolitique. Des « combattants de la liberté » - c’est le nouveau nom chic pour « terroristes » selon Trump comme selon Van der La Hyène - s’amusent à jouer au bowling humain. Ils traînent leurs prisonniers (Druzes, chrétiens, alaouites, choisissez votre camp) sur un toit, leur intimant de faire le grand plongeon. Refuser ? Bang, une bastos. Les autres, pris de panique, sautent comme des lemmings, et ces charmants « libérateurs » leur tirent dessus en plein vol, juste au cas où que la chute serait pas assez mortelle. Un sport, qu’ils appellent ça. Vraiment, on atteint des sommets d’élégance.

Et puis, il y a cette pauvre meuf, une compétitrice qui se fait virer d’un tournoi de boxe pour avoir osé dire « Belle droite, mec ! » au mec qui vient de lui la coller mais qui s’identifie comme une femme. Apparemment, dans le monde merveilleux du sport moderne, les mots sont des armes de destruction massive. Oubliez les coups bas, un simple « mec » peut ruiner votre carrière. Bienvenue dans l’ère de la sensibilité exacerbée, où qu’on bannit plus vite qu’on ne réfléchit.

Et que dire de ce post de Youri Bezmenov sur l’art « moderne » ? Oh, l’extase ! Cleon Peterson,  grand gourou urbain du pinceau Street-Art post-apocalyptique, nous gratifie de ses visions où des bonhommes s’entretuent dans un chaos primal, histoire de nous rappeler que l’humanité est juste un club de catch géant. Selon notre chère IA, c’est une ode aux luttes de pouvoir, à la décadence civilisationnelle, à la violence comme miroir de notre âme pourrie et à une critique acerbe des systèmes modernes. Houlà, quelle profondeur ! Ou plutôt, quelle belle pelletée de jargon pseudo-intellectuel pour habiller des gribouillages morbides. On appelle ça des « conneries artificielles » maintenant ? Parce que franchement, si c’est ça l’art, autant encadrer mes listes de courses.


Comme pour les peintures bouddhistes, on peut se demander : quel est le message ?
Voici comment Grok le décrit :

Thèmes principaux de l'œuvre de Cleon Peterson :

Luttes de pouvoir : Ses personnages s'affrontent dans des batailles primitives, symbolisant la tension éternelle entre oppresseur et opprimé.

Décadence civilisationnelle : Peterson dépeint un monde où l’éthique est abandonnée et où règnent les droits personnels, reflet de l’aliénation moderne et de l’érosion morale.

La violence comme miroir : Plutôt que de glorifier la violence, son travail la révèle comme un élément fondamental de la nature humaine et de la structure sociétale.

Critique des systèmes modernes : Il remet en question l'idée selon laquelle la technologie ou la compassion nous sauveront, suggérant plutôt que nous sommes pris au piège dans un cycle de consommation, de manipulation et de fausses promesses.

… Ce qui soulève la question suivante :
lorsque l’IA nous présente des conneries prétentieuses, bidon et woke, peut-on parler de conneries artificielles ?
Cela justifie-t-il l’imagerie et le message manifestement suggestif ?

Et pendant qu’on y est, jetons un œil à Hollywood, ce paradis de l’innocence où que la violence d’antan se résumait à une bagarre de saloon, un cocard, un pif violacé ou un œil au beurre noir. Aujourd’hui ? C’est un festival de carnages chorégraphiés où les héros flinguent à tour de bras, avec un compteur de victimes qui ferait rougir un dictateur. True Lies ? 50 morts, pour une comédie, s’il vous plaît. John Wick ? 439 cadavres sur quatre films, parce que tuer avec style, c’est un art. Et le fin du fin, c’est la réplique culte : « Ouais, mais ils étaient tous mauvais. » Vlan, tout est justifié ! Dexter et Reddington s’y mettent aussi, avec leurs 200 à 300 exécutions extrajudiciaires, parce que, visiblement, si tu te déclares « gentil », t'as le droit de décimer la moitié de la planète sans que personne ne bronche. Les dommages collatéraux ? Qui s'en soucie, c’est juste du bonus pour prouver ton héroïsme.

Alors, pourquoi tout ça ? Une conspiration machiavélique pour nous désensibiliser à la violence de masse ? Ou juste nous, les consommateurs, qui réclamons toujours plus de sang et d’ambiguïté morale comme des junkies en manque ? Avons-nous glissé sur cette pente savonneuse ou nous y a-t-on poussés ? Est-ce un symptôme de notre pourrissement collectif ou un plan délibéré pour nous transformer en sociopathes patentés ? 
Mystère.

Ce qui est pas un mystère, c’est l’effet. On normalise les extrêmes. Appeler à l’assassinat de Trump, Poutine ou Netanyahou ? C’est juste un jour de la semaine. Célébrer les guerres non déclarées, les changements de régime, les émeutes, les pillages ? Routine. Intimider ses ennemis – ou même ses amis – au nom de la « diplomatie » ? C’est carrément tendance. Il suffit de se proclamer vertueux, et hop, tout est permis. C’est le relativisme postmoderne dans toute sa splendeur : « Je suis le gentil, donc toi, t’es mort. »

Et ça s’arrête pas à la violence. Quand tout est relatif, pourquoi se gêner ? Tricher, mentir, voler ? Bah, c'est des détails. Sauver la planète ? Cache le déclin, c’est pour la bonne cause. Protéger la démocratie ? Truque les élections, c’est moral. Un médicament miracle avec des effets secondaires gênants ? Planque-les, l’humanité te remerciera. Faire taire les « méchants » qui propagent des idées dangereuses ? C’est ton devoir sacré. Et si tes sentiments valent plus que la réalité, exige que le monde s’incline, et punis ceux qui osent rigoler.

Tout ça, c’est la même soupe empoisonnée qui a nourri la Révolution française maçonnique, la Tchéka soviétique, la Révolution culturelle maoïste. Ça commence dans la culture, les films, l’art, ces jolis miroirs déformants qu’on appelle « divertissement » (du verbe divertir = détourner l'attention). Ça s’infiltre dans le langage, dans les euphémismes qu’on utilise pour maquiller l’immoralité. Et à la fin, on se retrouve avec une société où tout est permis, tant que tu te crois du bon côté. 
Bravo, l’humanité, quel chef-d’œuvre !

4 août 2025

1090. "RussiaGate révélé : Quand la vérité sort des poubelles du FBI"


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RUSSIAGATE RÉVÉLÉ : QUAND LA VÉRITÉ SORT DES POUBELLES DU FBI

Avec toutes mes excuses pour ma franchise, les merdias mainstream ont balancé un sacré tas de conneries, et maintenant elles le découvrent.

Voyez vous-mêmes, le grand cirque du RussiaGate, rebaptisé ObamaGate pour faire plus chic ! Parce que, bien sûr, faire tomber Trump ne suffisait pas, non, non. Il fallait aussi transformer la Russie en grand méchant loup pour que l’OTAN, cette machine rutilante de l’État profond occidental, puisse se payer une petite guerre juteuse. 

Et devinez quoi ? Ça a marché comme sur des roulettes ! Des centaines de milliers de vies russes et ukrainiennes pulvérisées, des milliards de dollars engloutis dans les poches des copains contractants du complexe militaro-industriel. Chapeau bas, quel chef-d’œuvre de stratégie !

Et puis, il y a Poutine, ce pauvre diable que les génies d’Hillary Clinton et de Macron/Starmer ont déguisé en Satan lui-même, juste pour le plaisir de saboter une décennie de relations internationales et de nous faire frôler la troisième guerre mondiale. Un grand bravo au Parti démocrate et aux démons de l'UE, qui méritent une médaille en or 24 carats pour ce fiasco planétaire ! Vraiment, quelle prouesse.

Accrochez-vous, parce que voici la vérité qui pique : le meilleur scénario pour l’Ukraine ? Que la Russie gagne, vite fait, bien fait, démantèle ce nid de « nazis » ( parce qu’évidemment, c’est exactement comme ça qu’il faut décrire ce pays), change son gouvernement « illégitime » et le ramène à l’âge de pierre, quand il était juste un petit voisin sage qui ne dérangeait personne. Trop mignon, non ?
Poutine, ce saint homme, a enduré les délires psychotiques des USA et de l’UE avec la patience d’un moine bouddhiste. L’idée qu’il rêve de conquérir l’Europe ? Un pur fantasme sorti tout droit des cerveaux en surchauffe des néoconservateurs, ces brillants stratèges qui ne jurent que par l’OTAN pour piller les ressources russes. Parce que, bien sûr, quand James Baker a promis à Gorbatchev en 1990 que l’OTAN ne s’étendrait « pas d’un pouce » vers l’est, il voulait évidemment dire : « Allez, on va coller des bases militaires et des missiles sous le nez de la Russie avec seize nouveaux copains dans l’OTAN. » Génial, non ? Un plan sans faille.

Et puis, l’Ukraine, ce pion parfait. En 2014, les USA l’ont secouée comme un prunier, ont installé des marionnettes à leur solde, l’ont gavée de fric américain, saupoudrée de laboratoires d’armes biologiques (parce que pourquoi pas ?), de centrales d'achat de gosses destinés aux pedophiles et de blanchiment d’argent. Zelensky, ce grand visionnaire, a reçu le feu vert pour bombarder les ukrainiens russophones du Donbass, et Poutine, après des années à ronger son frein, a dit « stop » en 2022. 

Résultat ? Une guerre prolongée par des drones et des satellites américains, mais, oups, les Russes aussi ont appris à jouer avec des jouets high-tech. Et maintenant, l’Ukraine manque de soldats et d’armes, mais bon, elle a toujours ses drones, c’est déjà ça.

Trump, ce grand pacificateur, avait promis de régler la guerre en trois minutes. Apparemment, il a confondu avec le temps de cuisson d’un hamburger. Aujourd’hui, il tape du poing sur la table, donne des ultimatums ridicules (douze jours, sérieux ?), et menace Poutine de sanctions, comme si que la Russie n’avait pas déjà prouvé qu’elle s’en tapait royalement le coquillard. 

Poutine, lui, doit bien se marrer en sirotant le truc qui sort de son samovar. Et pendant ce temps, on nous vend l’idée que Trump et Poutine ne veulent pas d’une guerre plus large que ce qu'elle est maintenant. Parce que, surprise, la Russie, malgré tous les efforts pour la diaboliser, fait toujours partie de la civilisation occidentale ! 

Qui l’eût cru ? Après l’échec de l’URSS, elle voulait juste rejoindre la grande foutaise économique européenne, mais non, les néocons et leurs putes mondialistes, probablement inspirés par les délires impériaux britanniques, ont dit : « Plutôt détruire la Russie ! » Résultat : l’Allemagne et la France se sont tiré une balle dans le pied économiquement. Bien joué, tout le monde.

Oh, et cerise sur le gâteau : le RussiaGate s’effondre comme un château de cartes. Grâce à Kash Patel, le nouveau shérif du FBI, et Tulsi Gabbard, qui déterrent des preuves juteuses dans les poubelles du renseignement, on découvre que tout ça n’était qu’une farce montée par cette salope de Clinton. Une farce qui a muté en monstre, avec des mensonges en cascade : Covid-19, les élections de 2020, le 6 janvier…

Les principaux organes de presse mainstream, complices du RussiaGate, refusent de publier ou de diffuser les récentes découvertes sur la manière dont le canular s'est transformé en un gros tas de mensonges qui a pris le contrôle de la moitié du pays et a conduit à une série d'autres canulars malveillants, dont l'opération Covid-19, le vol des élections de 2020 et les poursuites judiciaires du 06 Janvier au Capitole. 

Aux USA, ils peuvent pas faire grand chose contre les perfides journaux New York Times et Washington Post, car le Premier Amendement les autorise à publier des mensonges dans les limites des lois sur la diffamation. Mais les chaînes de télévision, CBS, CNN, ABC, ont des obligations supplémentaires envers l'intérêt public en vertu de la réglementation sur la radiodiffusion et pourraient perdre leurs licences. Et franchement, ce serait le moindre des châtiments. 

Bref, on est dans un sacré bourbier. Arrestations, poursuites, et Trump qui joue les gros bras avec Poutine tout en soutenant Zelensky. Les révélations du RussiaGate pourraient lui donner une porte de sortie. En fait, les preuves incriminantes du Russia/Obama Gate sortent tellement vite que Trump n'a plus besoin de 50 jours pour son ultimatum, 10 à 12 jours d'atomes ultimes devraient suffire pour faire tomber le château de cartes et faire basculer l'opinion des peuples américains comme européens en faveur de la Russie. 

Mais soyons honnêtes : avec ce cirque, la seule chose garantie, c’est qu’on n’a pas fini de s’arracher les cheveux.