Bienvenue, curieux voyageur

Avant que vous ne commenciez à rentrer dans les arcanes de mes neurones et sauf si vous êtes blindés de verre sécurit, je pense qu'il serait souhaitable de faire un petit détour préalable par le traité établissant la constitution de ce Blog. Pour ce faire, veuillez cliquer là, oui là!

31 mai 2006

179.Bruits de coursives

C’est quoi que je devrais faire ?
J’aimerais poster plus souvent des trucs sérieux, mais tous les jours il se passe un nouveau truc qui divertit mon attention alors je dois remettre à plus tard ce que je voulais dire. C’est comme une conspiration. Une attaque gouvernementale massive contrecarrant toutes mes tentatives pour corrompre les esprits les plus éclairés de ce monde à l’aide de mes conneries étonnement pathétiques et débiles.
Je peux juste imaginer ce qui se dit lors de ces rencontres gouvernementales hyper secrètes.

- Ah, Niko, merci d’être venu si vite.
- A ton service, Jako. Et comment ça va ce matin ?
- Eh bien mon bon Niko, il semblerait que l’autre taré du Blog Fondant essaie encore d’écrire un nouveau post cynique et désobligeant et nous ne souhaitons que ça cesse. Sécurité nationale et tout le toutim.
- Pourquoi donc ? Il me parait assez inoffensif. Il est même pas drôle.
- Non, il ne l’est pas. Mais il n’est pas inoffensif non plus. Il essaie de le cacher, mais nous savons qu’en réalité, il est membre de la section d’élite du Bureau National des Services Hyper Super Top Secrets Néo-Périgourdins. Sinon, comment aurait-il pu savoir que j’utilisais la Star Ac’ et Patrick Bruel ainsi que mon fidèle ami Drucker pour contrecarrer ses manigances ?
- Je vois. Et que veux tu que je fasse, Ô grand Jako ? Tu veux qu’il disparaisse? Un petit coup de karsher ?
- Rien de tel, mon bon Niko. Tiens le bien occupé, si occupé qu’il n’aura plus le temps de rien écrire. Et surtout qu'il aille pas déblatérer sur mon ami Guy Drut.
- Okay, j’en déduis que tu voudrais qu’un de nos gens des Transports lui trouve un commandement dans le fin fond de l’Amazonie, un truc dans ces eaux là ?
- Oui, ça pourrait le faire. Et puis aussi, tu devrais t’assurer que sa femme, celle qu’il appelle affectueusement Matuvu Mégaloquelque chose …
- Marylou Mégalovitchkaïanovna, pauvre tache...
- Marylou? T’es sûr ? Kasher ?
- Oui. Marylou.- Et où ce qu’il a été chercher un nom à la con pareil ?
- Pas pire que Bernadette.
- Je serais toi, je jugerais pas si vite, Niko…
- Ecoute, ducon…
- Peu importe. Assure toi seulement que cette femme en chie un max dans son bureau de poste. Faut la crisper, comme la mienne quand ses anglaises débarquent. Comme ça, il sera frustré, ça l’empêchera de pianoter sur son clavier.
- Okay, c’est noté. C’est tout ?
- Non, Niko, c’est pas tout. Je pense qu’il faudrait aussi que tu me dégotes quelqu’un pour écrire mes nouveaux discours à ma place. M’en faudrait un qui puisse me coucher un truc ou deux pour calmer les amis de nos enfoirés de Sénégalo-congolicains et sans papiers qui font chier tous mes vieux fidèles dans cette bonne ville et un autre destiné à la loge P4 des Grands Sucriers de France concernant notre attachement inaliénable à la PAC mode de chez nous.
- Ouais, t’as raison, Jako. Comme si les gens t’écoutaient encore, toi et tes discours merdiques. Ta vieille bigote de Soubirous est hémophile de la foufoune ou quoi ?
- C’est assez, Niko. Je suis Prézident des Gaules et tu ferais bien de montrer un peu de respect sinon ça va chier.
- Je te respecterai quand tu sauras prononcer ‘Président’ sans téléprompteur, pauvre tache.
- Tu te crois malin, hein Niko ? Essaie donc de lire le fond de ma pensée pour voir, face de rat venue des Carpathes.
- Parce que tu penses, toi, Ô fils unique du grand Charlot à face de singe ?
- Parle pas comme ça de mon père !
- Sinon quoi ? Tu vas l’appeler en chialant, femmelette ?
- Pas besoin de mon vieux pour des pin’s de ton espèce, Niko.
(Jako fout une baffe à Niko.)
- C’est pas ton papou qui va te sauver cette fois, vieux schnock !
(Niko refile une taloche à Jako.)
- Fais gaffe ou j’appelle Vil Lapin de Niquetamère !
- Je lui défoncerai le cul aussi !
(S’en suit un ballet de pinces à gogo)

Doux saigneur, qu’est ce qui m’arrive ? Je promets que mon prochain post sera plus divertissant que de vous verser un seau de crabes vivants dans le slip comme je viens de le faire.
Mais qui n’aime pas danser avec des étrilles frétillantes plein le calbute, hein, qui ?