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L'ALARMANTE EXPLICATION D'UN MEC QU'A COMPRIS QUE LES DÉS SONT PIPÉS DEPUIS LE DÉBUT
Il y a un truc vraiment flippant qui se trame en dessous de la vie moderne, un machin que tout le monde sent au fond de soi mais que personne n'arrive à articuler le doigt dessus. Ça se traduit par une angoisse qui traîne en permanence, une fatigue bizarre que même une bonne nuit de sommeil n'efface pas, et ce doute tenace que la vie qu'on mène n'est pas celle qu'on était supposé vivre. Ironique, hein ? Comme si qu'on jouait un rôle dans une série B sans avoir lu le script.
Imaginez maintenant ce qui arrive quand quelqu'un qui ressent ce malaise constant – ce fossé énorme entre ce qu'il est vraiment et ce que la société attend de lui – décide de chercher de l'aide par les moyens classiques. Vous poussez la porte d'un psy et vous essayez d'expliquer ce que vous avez sur le cœur : que le système moderne semble fait pour vous pomper plutôt que pour vous booster, que les buts qu'on vous colle paraissent vides une fois atteints, et que malgré tous vos efforts, vous avez l'impression d'être un acteur dans une farce géante sans avoir jamais signé le rôle par contrat. Le doc écoute, hoche la tête, gribouille deux-trois notes. Dans son manuel de diagnostic, il faut tout classer, étiqueter, ranger dans une boîte à troubles. Anxiété généralisée, peut-être. Problème d'adaptation. Déprime avec un zeste de questions existentielles. Et hop, voilà l'ordonnance. Un petit inhibiteur de recapture de Sérotonine pour lisser les angles, et pourquoi pas une cure de Benzodiazépine pour les crises où l'absurdité hurle trop fort. Le but, révélé ou pas, c'est de vous remettre sur pied – c'est-à-dire de vous rendre à nouveau capable de nourrir les mêmes machines qui vous ont mis dans cet état. Génial, non ?
Vous avalez vos cachetons. Vos émotions se calment. Ce sentiment aigu d'un malaise profond se transforme en un bruit de fond que vous apprenez à zapper. Vous retournez au boulot, reprenez vos habitudes de shopping compulsif, plongez à nouveau dans le scroll infini des réseaux sociaux et dans vos corvées quotidiennes. Selon les critères médicaux, vous allez mieux. Par définition, vous êtes guéri – parce que vous redevenez un rouage productif, un pion fiable dans le grand réseau d'exploitation, sans poser de questions embarrassantes ni ressentir d'émotions interdites. La psy n'a pas soigné le vrai problème, il a juste étouffé votre flair pour le détecter. L'alarme sonnait ; au lieu de maitriser le feu, on a enlevé les piles de l'alarme incendie. Et on vous renvoie dans le bâtiment en flammes avec un certificat de bonne santé mentale pour ignorer les flammes. Bravo la science !
Heureusement, je suis pas assez pervers pour m'être orienté vers une carrière de psy, et ce sentiment n'est pas un bug à corriger avec des pilules, ni un défaut de personnalité à vaincre avec des mantras positifs. C'est en fait une vision juste de la réalité : la prise de conscience, même imparfaite, que le monde tel qu'on le voit tourne sur des principes et des rouages cachés à la plupart des gens. Ah, la joie des secrets bien gardés !
Ce que je vais balancer va secouer pas mal les certitudes de certains d'entre vous sur comment marche la réalité, pourquoi votre vie a pris ce chemin, et surtout, ce que vous pouvez faire pour changer ça. C'est perturbant, conçu pour vous sortir de votre zone de confort qui garde la plupart des gens coincés dans des vies qu'ils n'ont jamais vraiment choisies. Mais c'est aussi pour vous armer, parce que c'est pile dans ces mécanismes qui vous brident que se cache la clé pour les exploser complètement.
Pensez une seconde à la structure de la réalité où que vous vivez. Pas les détails superficiels de votre routine, mais l'architecture profonde qui dicte ce que vous pouvez faire et ce qui restera pour toujours hors de portée. Cette réalité fonctionne comme une simulation – pas au sens SF avec des pixels et des hackers (sinon on y passerait des semaines à débattre), mais comme un immense système de conscience régi par des règles précises qui fixent ce que chaque personne peut vivre à un moment donné. Imaginez un champ géant de possibilités divisé en un tas de zones, chacune avec sa vibration énergétique unique. Votre situation actuelle – fric, relations, santé, bonheur ou manque de tout ça – n'est pas due au hasard ou à des choix foireux. C'est juste le reflet direct de la zone de cette simulation que vous occupez, et vous y êtes parce que c'est la fréquence que vous émettez. Pas de bol, hein ?
Ce truc mérite qu'on creuse, parce qu'il fout en l'air presque tout ce qu'on nous a appris sur le succès, l'échec, le bonheur et le malheur. Le blabla habituel dit que tout dépend de l'effort, du talent, des études, des contacts et d'un coup de pot. Méritocratie en gros. Bossez dur, faites les bons choix, et la réussite suivra. Sinon, galère. C'est pas totalement bidon – l'effort compte – mais ça cache le vrai moteur planqué en dessous.
Votre fréquence énergétique, mélange de vos pensées, croyances, émotions et identité principale, agit comme un GPS interne qui vous colle à un endroit bien précis dans cette grande simulation. Vous ne partez pas d'un point zéro pour chasser des résultats. Vous envoyez un signal qui décide à quelle partie de la réalité vous avez accès. C'est pour ça que deux personnes peuvent faire les mêmes efforts extérieurs et pourtant finir avec des résultats opposés. L'univers n'est ni capricieux ni injuste ; ces deux personnes opèrent juste depuis des fréquences différentes, et ça définit leur terrain de jeu.
Ceux qui ont le vrai pouvoir – pas les stars ou les politiques qui sont juste des façades, mais ceux qui moulent vraiment nos vies – pigent ces règles depuis toujours. Ces principes sur la conscience et la réalité physique ne datent pas d'hier. On les trouve dans les traditions hermétiques vieilles comme le monde, les enseignements des sociétés secrètes, les textes anciens qui précèdent nos civilisations modernes de milliers d'années.
Des idées comme le principe du mentalisme, où tout est mental au fond ; le principe de correspondance, avec des patterns qui se répètent partout telles des fractales ; le principe de cause et effet, qui lie l'intérieur à l'extérieur – ce ne sont pas des délires mystiques ou des trucs pour philosophes oisifs. Ce sont des manuels pour hacker la réalité, et ceux qui les maîtrisent dominent ceux qui les ignorent. Logique, non ?
Les 99 % qui rament, se sentent bloqués, et devinent un gros problème sans parvenir à le nommer, ils restent piégés justement parce qu'ils ne connaissent pas les règles de cette simulation. C'est comme jouer à un jeu sans le mode d'emploi, face à des pros qui le connaissent par cœur. Pas vraiment fair-play, hein ?
Dans la grande simulation de la réalité, il y a plein de mini-simuls : des systèmes pour organiser les humains et surtout drainer leur énergie vers des buts précis. L'économie en est une. Le gouvernement une autre. L'école, la santé, les médias, le divertissement : chacune est une simul dans la simul, avec ses règles qui rétrécissent encore plus le champ de vision et de perception pour ceux enfermés dedans.
Et là, ça devient vraiment glauque de ouf : ces systèmes ne sont pas neutres. Ils n'ont pas été faits pour notre bien ou pour nous faire briller. Ils sont conçus pour sucer notre énergie créative – attention, boulot, émotions – et la rediriger vers eux-mêmes et leurs boss. Nous sommes censé être des batteries, pas des inventeurs. Alimenter la machine, pas la concevoir ou la fabriquer. Charmant !
Imaginez quelqu'un qui touche 2000 balles par mois dans un job de bureau qu'il déteste, coincé en banlieue par nécessité. Cette personne est dans une zone précise de la simulation. Sa fréquence – croyances sur ses limites, émotions d'angoisse et de résignation, identité de salarié lambda – la garde pile là où qu'elle se trouve. Elle rêve peut-être d'autre chose : gagner 10 ou 20 fois plus, travailler à distance, voyager, lancer un projet perso. Ces rêves existent dans d'autres zones, occupées par d'autres. Mais le truc clé : pour y accéder, passer du bureau minable à l'entreprise qui cartonne, il faut plus qu'une nouvelle stratégie ou du muscle. Ça demande un shift massif de fréquence, une transformation interne si profondément intérieure que le monde extérieur se réarrange tout seul.
C'est ça, devenir un bug dans la simulation. C'est pas briser les règles – quasi-impossible vraiment – mais les utiliser avec une précision chirurgicale pour des résultats qui paraissent magiques dans le système normal.
Le quidam moyen ne quitte jamais sa simulation de naissance. Il évolue dedans, avec des variantes mineures sur le même thème, sans basculer dans un mode différent. Il commence modeste, finit un peu mieux, suit les rails – études, carrière, retraite – sans se demander si c'était son vrai chemin. Il reste dans la même vibration énergétique toute sa vie, et sa réalité suit le mouvement.
Les glisseurs sont différents. Ils ont réussi à modifier leur fréquence interne de façon si radicale qu'ils ont quitté une simulation pour en intégrer une autre. Ils sont passés du statut d'employé en difficulté à celui d'entrepreneur prospère, ou de la maladie chronique à une santé rayonnante, ou encore de l'isolement et de la dépression à une profonde connexion et à la joie. Ces transitions apparaissent comme des miracles aux yeux des observateurs extérieurs, car elles ne peuvent s'expliquer par un raisonnement causal classique. Elles ne peuvent être comprises qu'en termes de fréquence et de la réponse de la simulation à cette fréquence.
Si ces glissements sont si rares, c'est pas parce qu'ils sont durs à effectuer ou réservés à une élite. C'est parce que les systèmes nous bloquent exprès. Dès la naissance, on nous bombarde d'infos pour mouler notre fréquence d'une certaine façon.
Le lavage de cerveau commence tôt, via les parents (eux-mêmes formatés), l'école qui vous apprend à rester sage, obéir, chercher l'approbation et définir le succès par des normes, les médias qui vous matraquent sur ce qu'il faut craindre, désirer, croire de soi et des autres. Avant même de penser par nous-même, le code est installé. Peurs, insécurités, vision du possible – rien de naturel. C'est implanté couche par couche par un système qui profite de nos chaînes. Subtil, hein ?
Pensez à ce que vous êtes vraiment, au fond. Avant le formatage, les attentes des autres, les normes sociétales, vous êtes un point de conscience avec une énergie créative monstrueuse. Les scientifiques disent que l'énergie d'un corps humain pourrait alimenter une ville pendant une semaine si libérée. On est des centrales nucléaire sur pattes, capable de générer des trucs fous. Mais on nous l'a fait oublier. Le conditionnement nous persuade que nous sommes tout petits, limités, dépendants. On nous pousse à gaspiller notre jus – soucis, regrets, angoisses, scroll addictif, contenus qui déclenchent la peur – pour que on n'en ait jamais assez pour changer de fréquence et de vie.
Les réseaux sociaux sont peut-être le pompeur d'énergie le plus malin de tous les temps. Notre attention – conscience focalisée – est le trésor ultime. Pas le pétrole ou l'or, mais l'attention humaine. Ces boîtes font des milliards en captant la nôtre et en la vendant aux publicitaires.
Mais c'est plus que de la pub. Quand on fixe quelque chose, on lui donne notre énergie vitale. On l'intègre un peu. Les heures à scroller indignation, comparaisons, faux drames ne sont pas perdues. C'est investir notre créativité dans des systèmes faits pour nous garder distraits, anxieux, impuissants. Chaque minute là-dedans est une minute pas utilisée pour créer notre réalité rêvée. Astucieux, non ?
Idem pour les médias classiques, les "programmes" TV (le mot "programme" est parfait), les infos TV en continu pour nous garder en peur et divisés, les divertissements qui glamourisent le chaos et normalisent les trucs toxiques. Rien d'accidentel. Le but n'est pas d'informer ni d'amuser en premier lieu, même si c'est l'alibi. Le but, c'est de programmer, de conditionner. Implanter croyances, désirs, émotions pour que notre fréquence reste basse et gérable.
Une population éveillée, épanouie - sans besoins extérieurs, confiante, sans honte ou fausses peurs - est impossible à contrôler. Elle n'achèterait pas pour combler des vides créés de toutes pièces par les pubs, ne se soumettrait pas à des trucs inutiles, ne gaspillerait pas son énergie. D'où les investissements massifs pour l'empêcher.
La vibration moyenne de l'humanité est coincée dans les centres énergétiques bas. Si vous connaissez les chakras : les trois plus bas : racine (peur instinctive), sacré (honte, insatisfaction), plexus solaire (ego, besoin d'approbation). Dont les couleurs se retrouvent comme par hasard inversées sur les drapeaux LGBTQ où elles se retrouvent en haut.
Regardez les thèmes des médias, de la politique, de la pub, des réseaux : peur du manque, du danger, de l'autre ; honte du corps, des désirs, d'être différent ; message que nous ne valons pas assez, que nous devons performer pour valoir quelque chose. Ces vibrations imprègnent tout : institutions, systèmes, vie moderne. C'est l'eau où on nage, tellement partout qu'on n'y voit plus que dalle, et on se demande rarement si c'est réel ou juste une manip de masse efficace. Malin !
L'économie repose sur une fausse rareté. L'argent est crée en tant que "dette" garantissant qu'il n'y en aura jamais assez pour tout le monde, avec une compétition féroce pour s'en approprier. L'inflation grignote ce que vous avez, créant une course infinie pour juste survivre.
Le discours sur le fric – il n'y en a jamais assez, faut se tuer au boulot, sécurité fragile – n'est pas descriptif. Il est prescriptif. Il implante la rareté dans notre subconscient, nous fait vibrer de peur d'en manquer, ce qui se matérialise en véritable manque, renforçant la boucle. Vicieux, conçu pour être inévitable et implacable si on ne pige pas le truc.
Peur, honte, besoin de reconnaissance : la trinité du contrôle, les fréquences qui gardent les humains en quasi-esclavage. Je dis ça exprès, pour que ça vous gratte.
Un esclave n'est pas autonome, il ne décide pas pour lui-même, il sert des systèmes qu'il ne voit même pas comme séparés. Pas besoin de chaînes ; juste un conditionnement si profond que nos "choix libres" servent toujours d'autres intérêts. Quand la peur bloque les risques par un formatage non choisi, quand la honte censure via punitions sociales, quand on agit pour se sentir digne aux yeux des autres plutôt que par véritable envie, on n'est pas libre. On exécute un code écrit par quelqu'un d'autre qu'on prend pour le nôtre. Triste ironie !
Pour nous en sortir, faut qu'on prenne le contrôle des mécanismes qui nous contrôlent. Si la fréquence fixe notre position dans la simulation, et qu'elle mixe notre attention, nos émotions, notre identité et nos croyances, maîtriser ça est la seule clé pour devenir un bug dans cette simulation.

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