(On Web version, use BlogTranslator dropdown menu on top-right of this post to read it in your language)
REMIGRATION : RENVOYEZ-LES CHEZ EUX !
Le Grand Remplacement des Européens est un fait indiscutable, voyons ! Un génocide cinq étoiles, ultra-lent, en mode « cuisson lente à l'étouffée », tellement discret que les victimes sont priées de dire merci et de payer l’addition.
Cette année, l’Université de Buckingham – cette institution mondialement connue pour son impartialité légendaire – a gracieusement annoncé que les Britanniques blancs ne seront minoritaires que dans 38 petites années, en 2063. Nos amis rosbeef ont encore le temps de réserver le champagne pour la fête !
En Allemagne, une étude de 2022 (financée par des gens qui adorent les bonnes nouvelles) nous rassure : le « basculement majorité-minorité » n’arrivera qu’aux alentours de 2065. Ouf, on respire, on a failli paniquer avant le dessert.
Bref, toute l’Europe occidentale est en train de se faire gentiment remplacer, et dans certains coins, c’est déjà plus rapide qu’un swap de sim sur Wish. Regardez-moi cette charmante photo du bal de fin d’année du collège Errigal, dans le comté de Donegal, en Irlande. Rien ne crie « culture celtique millénaire » comme une salle remplie à 99 % de gosses qui n’ont clairement jamais entendu parler des Pogues ou de la Saint-Patrick autrement que sur TikTok.
Et cherchez bien les chères petites têtes blondes dans cette classe primaire de Londres...
Et voici des musulmans britanniques – tout à fait intégrés, bien sûr – qui pleurent le martyre d’Hussein ibn Ali, mort en… 680. Priorités culturelles au point. (On a aussi pleuré à Houston, mais ça c’est une autre histoire de diversité réussie.)
(cliquer image pour l'agrandir)
Big Ben doit être tellement fière. Mais alors, ces gens sont-ils vraiment britanniques ? Un vrai Britannique de souche répond à la question avec la subtilité d’un camion : « Non, putain de bordel de merde. » Merci pour cette analyse nuancée.
Vous me direz que je critique que les Irlandais et les Rosbifs ? Pardon, c’est pareil partout. Voici Lisbonne, centre-ville, ambiance souk de Marrakech, afghans et pakistanais en prime, avec un soupçon de fado en fond sonore pour faire local.
(cliquer image pour l'agrandir)
Voici une gare juste à côté d'Abidjan. Non, pas en Côte d'Ivoire, c’est… attendez, si, c’est bien la gare de Sarcelles. Mon erreur, mais j'ai des excuses, y a pas un chti sur la photo. L’immigration, c’est cher payé pour de l'amour : rapport allemand qui explique que les Syriens ont dix fois plus de chances de toucher les revenus sociaux que les Allemands de souche, et les Afghans neuf fois plus. Mais bon, c’est pour la diversité, faut bien payer le prix de l'arc en ciel.
(cliquer image pour l'agrandir)
Et puis y’a les petits bonus : après que Nahel se soit pris une bastos (un ange de 17 ans avec un casier long comme celui de Sarkozy), les émeutiers ont brûlé 5 000 voitures, 1 000 bâtiments et 250 commissariats. C’est ce qu’on appelle une « fête de quartier multiculturelle ».
Notre pays collectionne les émeutes raciales comme d’autres collectionnent les timbres : depuis 1979, c’est presque une tradition. Et les attentats terroristes ? 60 en 13 ans, 304 morts, 973 blessés. Mais circulez, y’a rien à voir, c’est juste l’amour de l’islam qui déborde. « Vous inquiétez pas, la deuxième génération va s’intégrer ! » qu’ils disaient. Résultat : 57 % des jeunes musulmans français trouvent que les lois islamiques, c’est quand même plus stylé que la loi républicaine et 21% réclament la pleine application de la charia. Laïcité mon cul.
Causeur, ce journal patriote qui a osé montrer des photos du métro parisien, a eu le culot de titrer : « Souriez, vous êtes remplacé(e)s ! » La ministre Elizabeth Moreno de l'époque a aussitôt été chialé auprès du procureur. Parler du remplacement quand on est blanc, c’est presque un crime de haine, soyons sérieux.
(cliquer image pour l'agrandir)
The Economist, ce journal rothschildien "neutre et objectif", s’inquiète des « fanatiques de la fertilité MAGA » et ose suggérer qu’avoir des enfants blancs, c’est suspect. Faut disparaître en silence, voyons. L’ONU, il y a 25 ans, avait déjà le plan : « Migration de remplacement », rien que le titre est subtil comme un parpaing sur le coin de la gueule.
(cliquer image pour l'agrandir)
Traduction: Avec Trump et Vance au pouvoir, nombre de pro-natalistes pensent que le moment est venu de se mettre dans les starting-blocks pour faire des bébés. Mais nombre de critiques voient les pro-natalistes comme faisant partie d'un projet insidieux pour rendre l'Amérique plus blanche.
Ce rapport des Nations Unies vieux de 25 ans (2001) le disait déjà. L'Europe devrait accueillir des millions de non-européens plutôt que de faire des bébés. Son titre: "Migrations de Remplacement"
(cliquer image pour l'agrandir)
Télécharger en anglais ici
Télécharger en anglais ici
Le National Geographic en rajoute une couche : « Les nouveaux Européens », avec une couverture qui sent bon le tourisme humanitaire.
Tu pourrais t’installer dans leur pays et devenir comme eux ? Non. Eux non plus, d’ailleurs. Ils ne veulent pas. Une nation, c’est un peuple, pas un auberge espagnole ethnique. Planter une carotte dans un champ de patates, ça reste une carotte. Point. Mais bon, on nous avait promis que les non-Blancs seraient une bénédiction. Résultat : ils prennent le pouvoir et nous disent cash « Acceptez le Grand Remplacement, pleurez pas ». Merci les mondialistes, merci à l'Open Society de George Soros qui subventinne à donf SOS Méditerranée. Bienvenue les migrants ! Amenez vos familles ! Quand je pense que c'est moi et un autre capitaine allemand qui sommes à l'origine de SOS Méditerranée, j'en ai honte aujourd'hui. Mon but était de sauver des vies, pas de servir de ferry-boat vers l'Europe.
Bref, c’est une invitation polie à l’extinction. Et la réponse civilisée des Européens est : non merci, on préfère la remigration, bisous. On les a laissés entrer ? OK, mea culpa collectif. On a eu des dirigeants qui nous ont trahis avec le sourire – coucou Bill Clinton qui jubilait en 1998 à l’idée qu’on devienne minoritaires. En Europe c’est encore plus rapide, mais chut, vouloir survivre c’est mal.
Ça va changer, promet le texte. La jeunesse est « trop passionnée » (traduction : un peu énervée). Bientôt les gouvernements vont se réveiller, vont changer, dire aux étrangers « l’Europe survivra, les Blancs survivront, donc vous, vous dégagez ». Et ils partiront, comme ça, en claquant des doigts.
Fin du conte de fées patriote du soir, bonne nuit les petits, fermez bien les volets, on ne sait jamais.

















.jpg)