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13 nov. 2025

1134. Vive la Discrimination !


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VIVE LA DISCRIMINATION
Parce que Pourquoi Pas Ajouter du Sel sur les Plaies Ouvertes ?

Depuis des lustres, je me grattouillais les neurones pour pomponner un post intitulé « VIve la Discrimination », ce chef-d'œuvre absolu qui va révolutionner le monde en nous apprenant à trier nos semblables comme on trie nos chaussettes sales. Mais ce texte-ci ? Pff, c'est qu'une vulgaire illustration des périls d'une approche foireuse, genre : "Regardez-moi ce gâchis, c'est comme si qu'on avait confié les cordons de la bourse à un bonobo avec un crédit à gogo."

La division extrême ? Un flop total, aussi ridicule que de vouloir recoller les morceaux d'un vase brisé avec du scotch transparent. Et ce mirage d'harmonie forcée, là où que même les pigeons se bouffent le bec ? Une blague cosmique. Mais le vrai tue-l’amour, c'est notre talent olympique pour zapper ce qui  nous pourrit la vie. Spoiler : c'est pas le voisin qu'a volé votre place de parking, c'est nous, avec nos œillères en titane.

L'immigration ? En soi, c'est comme inviter des potes à une fiesta : sympa si le bar est bien géré. Mais là, on parle d'une orgie anarchique : horde d'intrus sans cartons d'invitation, aussi illégaux que l'identité de Chibritte Macron, et plus protégés par le système qu'un neveu de ministre. Pendant ce temps, les autochtones triment comme des forçats pour payer l'addition. Le vrai drame ? La croissance économique qui avance au ralenti, genre escargot sous sédatifs. 

Et que dire du système de protection sociale ? Une pyramide de Ponzi 2.0, où que les anciens ponziens – je parle des retraités comme moi  – se la coulent douce pendant que les pigeons frais – vous, ceux qui bossent – casquent. On flatte les immigrés en priant pour qu'ils bossent comme des mules éreintées, histoire de financer les croisières à  des bobos autochtones de 70 balais. Parce que ouais hein, rien de tel qu'un mirage culturel : "Ignorez les différences, et pouf ! Elles s'évaporent comme un régime miracle." En résumé, le coupable ? La politique. Surprise, surprise – c'est encore elle, la garce, c'est toujours elle, la pute.

Discrimination (Ou : Comment  Nous Sauver de Notre Propre Bêtise)
Si on vous balance: « Acceptez que le monde soit gris. C’est une vertu, pas un vice. » Boum ! Tout est dit en une seule vanne. Parce que le monde, ce bordel nuancé et mouvant comme un kaléidoscope sous LSD, nous force à trancher en mode oui/non, comme un robot bourré à la tequila. Nos actes ? Binaires comme un interrupteur : on allume la lumière (cool) ou on crame la baraque (merde). Priorité absolue : chopper les bonnes décisions, ce qui exige de décrypter les nuances comme un Sherlock sous amphètamines. L'État-providence libéral occidental ? Un château de cartes gonflé à l'hélium : croissance économique en mode turbo, productivité qui explose, baby-boom fiscal, et impôts qui pleuvent comme des confettis. Si un pilier flanche – boum ! – c'est l'apocalypse, pas juste un rhume.
 Et non, c'est pas le voile de la voisine qui nous achève ; c'est notre addiction au "tout gratuit" qui nous enterre vivants. Le scoop sur l'immigration incontrôlée dans nos chères démoncraties ? C'est pas les bouilles exotiques, ni les clashs culturels (genre, "Ton curry pue, mon clacos est supérieur"), ni l'assimilation ratée (parce que qui qu'a le temps d'apprendre l'imparfait du subjonctif en bossant 60h/semaine ?). Non, c'est qu'on la pimpe comme le sauveur miracle de notre État-providence en faillite. Problème global, pas juste occidental : regardez le Japon et la Corée du Sud, ces îles high-tech qui se noient dans leur propre démographie sans un seul visa d'entrée tamponné. Pas d'immigrés, mais même rengaine : "Oups, plus de main-d'œuvre pour payer les séniors et leurs vieilles geishas en kimonos dorés. " Expérience hilarante à pitcher aux Européens : "Dites-moi, chers moutons fiscaux, vous kiffez quoi ? Une refonte totale des retraites et de la sécu, avec des coupes sombres et des sueurs froides ?"
Ou une vague d'immigration XXL, avec ses bonus : bidonvilles chics, clashs ethniques et impôts en pointe pires que sur les protéines ?"

Et l'autre duo infernal : Liberté perso et État minimaliste, genre "Fais ce que tu veux, mais assume" ?
Ou crédit social numérique, où Big Brother te note sur ta connerie quotidienne, et hop, plus de likes = plus de pain ?

Pari tenu : 80% pour l'option "douce illusion". Tout pour esquiver les choix qui piquent. Regardez notre pays, terre des Lumières éteintes : la réforme des retraites ? Une capitulation en fanfare ! "On laisse les vieux vider le frigo national, et tant pis si l'économie tousse du sang." Des soluces existent, mais non, les Français préfèrent sniffer le déni. Leur contrat social ? "L'État mère-poule nous berce jusqu'au crash." 

Une loi tiède passe in extremis, mais c'est un pansement sur une jambe de bois : report du big bang à "demain, promis." Un électeur lambda, ce héros mythique, capterait le scam et voterait "non merci" aux bonbons empoisonnés. Mais non : on réélit les clowns pour plus de subventions, plus de "gratuit", plus de câlins étatiques. 

La polarisation ? Pas un dérapage, c'est voulu, c'est planifié ! 
Merci les gauchiards de merde : ils divisent comme Moïse la Mer Rouge, et l'État jubile. "Hourra, du chaos ! On va légiférer pour vous sauver !" Australie, cas d'école : interdiction des flingues, 85 ans après nous quand même !  Chute des tirs en rafale, mais boom des coups de surin ! Logique, hein ? Bientôt, interdiction des couteaux : vive les attaques au pied-de-biche et au tournevis ! Et si on interdisait les poings ? Ou l'air ? Les criminels, ces rebelles adorables, snoberaient les règles de toute façon. Le plus fou ? La populace applaudit : "Oui, papa État, protège-nous des fourchettes pointues !"
Cette polarisation ? Un carburant pour l'État : passions en ébullition, bagarres de rue, et boum, encore plus de lois pour "calmer le jeu". Ça masque les vrais ulcères – immigration loose, crime en freestyle – que l'État caresse en douce pour gonfler son ego totalitaire. Tant que la moitié des crétins votera pour "plus de contrôle", on stagnera. La polarisation cartonne : on crame nos neurones en invectives pieuses d'un côté ("Tous des racistes !"), hystérie vertueuse de l'autre ("Tous des gauchistes !"), pendant que les solutions pragmatiques moisissent au fond du tiroir.

Nous Avons Rencontré l'Ennemi...... Et cet ennemi c'est nous, évidemment. Ou du moins, la clique des abrutis électoraux qui rafle la mise aux urnes. C'est nous qui kiffons l'État-providence comme un junkie son shoot : "Papa, encore un peu de gratuité !" C'est nous qui portons aux nues ces mondialistes gluants, plus huileux qu'un villebrequin dans le fion de notre pestilent Manu. C'est nous qui bavons sur les soins "gratuits" (payés par... qui, déjà ?), l'école gratuite (mais bondée de profs en burnout et formés à la mode woke), les salaires minimaux (qui tuent les jobs low-cost), les lois familiales (pour que l'État joue les baby-sitters et formattent nos petiots dès la couche-culotte), la sécu de l'emploi (parce que virer un incompétent, c'est mal), les éco-règles (qui font fermer les usines pour diminuer le CO2 qui est pourtant vital), le zonage (pour que les riches gardent leurs quartiers pépères), les pensions d'État (pyramide éternelle !), la sécurité sociale (en mode zombie), les logements "abordables" (rires sarcastiques), la diversité forcée (comme un menu unique au resto), les tribunaux des droits (où tout le monde a "raison"), le contrôle des armes (mais pas des gangs), le contrôle des prix (inflation masquée), des subventions (pour les copains), et une litanie d'interventions étatiques qui nous noient sous la bureaucratie.

C'est nous qui réclamons une bulle protectrice contre les méchants qui osent penser fort. On veut la facilité, ce fantasme rose bonbon, sans piger que la vie, c'est du cardio permanent. Résultat ? L'addition arrive : immigration en rouleau compresseur, État de droit en lambeaux, crime en mode festival, inflation qui ronge les salaires, logements en or massif, pouvoir d'achat en chute libre. L'immigration incontrôlée ? Pas le cancer, juste le symptôme fiévreux. S'engueuler là-dessus, c'est comme se chamailler pour les chaises longues sur le Titanic qui pique du nez. Faut plutôt brainstormer : "Et si on apprenait à nager avec des bouées percées ?" On se fait berner par nos saltimbanques en costard, et on s'auto-aveugle avec notre connerie moralisatrice, ce sirop qui nous endort jusqu'au réveil en cauchemar. Allez, à quand l'éloge de la discrimination ? Au moins, ça permettrait de trier le bétail avant l'abattage.