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SERVAGE MONÉTAIRE & SEIGNEURIAGE BANCAIRE
Ce ne sont pas les puissants qui ont besoin d’argent puisqu'ils l’impriment eux-mêmes, tandis que les gens ordinaires doivent s’endetter auprès d’eux pour l’obtenir, le problème est si simple et banal que très peu y croient encore.
Seigneuriage bancaire : le grand cirque de la finance mondiale
Comme c'est triste ! Seuls neuf pays dans ce vaste monde ont encore l’audace de posséder une banque centrale qui n’est pas sous la coupe de la très Rothschildienne Banque des Règlements Internationaux de Bâle (BRI), la Banque Centrale des Banques Centrales. Applaudissons chaleureusement la Chine, la Russie, l’Iran, le Venezuela, la Hongrie, la Syrie, Cuba, l’Islande et la Corée du Nord, ces héros rebelles qui osent défier les seigneurs de la finance ! Et, ô miracle, trois d’entre eux – la Russie, l’Iran et le Venezuela – se pavanent avec les trois plus grandes réserves énergétiques du monde en pétrole, gaz et charbon. Quelle coïncidence délicieusement suspecte !
Directement ou indirectement, toutes les autres Banques Centrales de la planète sont des marionnettes dans les mains des Rothschild. Certaines ont même le privilège d’être cotées en bourse, comme des stars du CAC 40 ! Les banques centrales de Belgique, de Grèce, du Japon et de Suisse jouent les divas financières. La Banque centrale de Grèce, par exemple, fait son petit numéro à la Bourse d’Athènes et à la Bourse allemande. Quelle classe !
Ces charmantes observations éclairent nos lanternes défaillantes sur pourquoi les pays avec une banque centrale indépendante sont sans cesse traînés dans la boue par les médias mondiaux, ces fidèles toutous des grandes puissances impérialistes occidentales. Avoir une banque qui ne fait pas la révérence aux Rothschild vous vaut une place VIP dans l’« axe du mal ». Leurs gouvernements ? Des « dictatures », bien sûr, selon les torchons médiatiques ! Et, cerise sur le gâteau, ces pays sont toujours secoués par des tentatives de déstabilisation. Quelle surprise !
On comprend mieux aussi pourquoi la Russie, l’Iran et le Venezuela sont les punching-balls préférés des médias internationaux. Non seulement ils ont l’outrecuidance d’avoir des banques centrales indépendantes, mais ils osent aussi s’asseoir sur des montagnes de ressources énergétiques. Franchement, c’est presque un crime contre l’humanité !
Mais passons aux choses sérieuses. Quand une banque centrale concocte la politique économique et monétaire de son pays, vous pensez vraiment qu’elle se soucie des petites gens ? Pfft, soyons sérieux ! Elle pense aux intérêts de ses actionnaires, évidemment ! C’est pourquoi la Belgique peut se passer de gouvernement pendant 18 mois – qui a besoin d’un État quand les banquiers tirent les ficelles ? Et la Grèce ? Complètement à la merci de la Troïka – le FMI, la BCE et la Commission Eurpéenne, ces bienfaiteurs de l’humanité. Tout est si bien orchestré, pas vrai ?
Si c’est pas encore clair pour vos cerveaux embrumés, tout a été planifié avec une précision machiavélique. Mais tant que l’humanité ne se réveillera pas pour voir ce qu’ils ont fait…, bref, jetons un œil, ça ira plus vite, aux perles de sagesse des Rothschild eux-mêmes :
« Permettez-moi d’émettre et de contrôler la monnaie d’une nation et je me fiche de savoir qui fait ses lois. »
– Mayer Amschel Rothschild, le grand philosophe du portefeuille.
« Notre politique est de fomenter des guerres, mais en organisant des conférences de paix, afin qu'aucune des parties au conflit ne puisse réaliser de gains territoriaux. Les guerres doivent être menées de telle manière que les nations impliquées, des deux côtés, s'enfoncent toujours plus dans leurs dettes et, par conséquent, s'enfoncent toujours plus sous notre domination. »
– Mayer Amschel Rothschild, 1773, stratège de l’endettement.
« Peu de gens comprendront ce système, ceux qui le comprendront seront occupés à l'exploiter, le public ne comprendra peut-être jamais que le système est contraire à ses intérêts. »
– Rothschild, 1863, prophète de l’ignorance collective.
« Le moment d’acheter, c’est quand le sang coule dans les rues. »
– Nathan Rothschild, champion de la finesse morale.
Et maintenant, la question à un million : est-il possible qu’une seule famille, en graissant la patte à une armée de flagorneurs, ait mis l’humanité entière à genoux et causé des milliards de morts ? Franchement, doit-on payer une rançon planétaire à ces gens ? Soyons clairs : le vrai problème, c’est que l’humanité est trop occupée à scroller TikTok pour évoluer. Il nous faut une « augmentation vibratoire », rien que ça ! Et pourquoi ne pas juste prendre tout l’argent des Rothschild et le balancer dans une favela ? Ce serait hilarant, non ?
Parlons chiffres, parce que c’est là que ça devient croustillant. La famille Rothschild, avec ses 550 000 milliards de dollars – oui, vous avez bien lu – aurait apparemment volé cette somme à l’humanité via des méthodes aussi raffinées que le meurtre, le trafic de drogue, la fraude, le terrorisme, les guerres, le chantage et les menaces. Sans oublier leurs copains Rockefeller, Soros et compagnie, ça fait 80 000 dollars par habitant de la planète. Même les gens qu’ont jamais vu un billet de banque de leur vie doivent payer leur part, c’est ça ? Génial !
Et l’Union Européenne dans tout ça ? À part la Hongrie, tous les États qui la composent sont des marionnettes rothschildiennes, des nations « indépendantes » sans honneur, sans dignité, et surtout sans souveraineté. Des États fantoches imposés par des élections truquées et des armées victorieuses d’une « résurrection » maçonnique juive de 1861. On dirait le scénario d’un film de série Z !
Le seigneuriage de la Banque mondiale ? Un outil d’esclavage, de destruction et de mort, expliqué avec amour et précision. Et qui sont les coupables ? Des voleurs de haut vol et, pourquoi pas, des satanistes pour pimenter le tout ! Prenez la gauche canadienne, ces nobles « wobblies » défenseurs de la classe ouvrière, qui élisent un banquier central comme Mark Carney, ex-directeur de la Banque Centrale d'Angleterre, un type qui a passé deux décennies à écraser la classe qu’il prétend soutenir. Quelle ironie savoureuse ! Jouer les héros du prolétariat, ça rapporte gros, apparemment.
Le droit de battre monnaie, ce symbole ultime de souveraineté ? Bah, oublié ! Peu importe que 40 % de la classe moyenne vive au jour le jour, que 50 % des Canadiens veuillent fuir, ou que la génération Z soit désespérée. Non, continuons à ignorer le pétrole et à nous moquer des vagues politiques qui secouent le monde. Les Canadiens ? Payés à 46 % par le gouvernement pour fermer leur clapet. « Mon ONG ultra-vertueuse a besoin de plus de subventions ! » – c’est à hurler de rire !
Cette comédie confirme que la gauche est rien de plus qu'une extension de la classe bancaire, finançant les escroqueries des partis qu’elle soutient. Et l’idée que les Rothschild aient manipulé Lénine, Trotski et Staline ? Absurde, voyons… mais bon, vu le plan, pourquoi pas ? Appelons-les des banquiers/assassins, ça sonnera bien plus proche de la vérité. Derrière chaque guerre, un banquier qui veut plus d’argent. Élémentaire, non ?
Faisons un peu de maths, histoire de rigoler. Ces banquiers-bouchers ont fait trois erreurs catastrophiques ces vingt dernières années. Ou plutôt, des « erreurs » délibérées, parce que soyons honnêtes, ils s’en mettent plein les fouilles pendant qu’on paie leurs dettes nationales. Et s’ils tentaient un virus ou une guerre nucléaire pour changer ? Même là, on les traquerait. Leur seule peur ? Que la majorité se réveille. Oups !
Quand ils disent que toutes les nations doivent être dirigées par leurs Banques Centrales, ils ne plaisantent pas. L’UE ? Une marionnette de la Banque Centrale Européenne BCE, avec des règles si opaques qu’on dirait un roman de Kafka. Et la Fed américaine ? Elle répète en boucle : « Laissez-nous tranquilles, on gère l’emploi et l’inflation, c’est tout ! » Sauf que la Constitution dit qu’elle doit rendre des comptes au Congrès. Détail gênant.
Et la Banque des règlements internationaux (BRI) ? Au-dessus des lois, carrément ! Elle décide qui vit, qui meurt, et si vos enfants iront à l’université. Le GIEC ? Une arnaque Rockefeller déguisée en sauveur de la planète. L’indépendance des banques centrales ? Une blague au même niveau que le « changement climatique apocalyptique » que même le GIEC a fini par démentir.
Revenons à leur mission sacrée : contrôler l’inflation. Comment s’en sortent-ils ? Pas terrible, disons. En 2007, la dette nationale US était à 1 600 milliards, fruit de 250 ans d’efforts laborieux. Puis arrive Obama, le « Porteur de Lumière », et boum, 3 000 milliards de plus pour sauver les banques. Résultat ? 4 600 milliards de dette, et le peuple n’a eu que de la peur et des miettes. En 2022, on frôle les 8 900 milliards, et personne ne sait où est passé le pognon. La Fed ? « Vous n’avez pas besoin de savoir, circulez ! » Les contribuables, eux, paient 1 000 milliards d’intérêts par an. Youpi !
Sir Mervyn King, ex-patron de la banque centrale britannique, l’a dit sans sourciller du cul : « l’expansion des dépôts nous a donné de l’inflation ». Merci, ô capitaine mon capitaine ! Imprimer de l’argent ruine les pauvres, mais sauve les banquiers. Et le marché boursier ? Un terrain de jeu pour des vautours comme Jerome Powell, le président de la FED US, qui a fait ses 50 millions en pillant des entreprises via des fonds spéculatifs. Bravo, Jerome, quel CV !
Comment s’en sortent-ils, ces génies ? Avec une grimace bienveillante lors des auditions au Congrès, protégés par une propagande qui fait passer leurs détracteurs pour des fous. Les théoriciens du complot avaient raison sur toute la ligne, mais chut, fermez vos gueules !
Catherine Austin Fitts, cette complotiste éclairée, a trouvé un trou noir de 21 000 milliards dans les finances US. Où va l’argent ? À des fondations comme Harvard, ou peut-être à des bases souterraines high-tech ? On dirait un scénario de science-fiction, mais bon, pourquoi pas ?
Ce qui nous ramène aux Rothschild, toujours eux, avec leurs liens aux Nephilim, ces géants cannibales de l’Ancien Testament. Oui, on en est là : des banquiers descendants d’anges déchus, adeptes de sacrifices et d’inceste. Ça devient presque trop savoureux ! Laura Sanger relie tout ça à l’Empire romain, aux Khazars, aux sionistes… et bien sûr, à la Fed. Tous les chemins mènent aux Rothschild, comme dans un mauvais polar.
Charles A. Lindbergh l’avait dit : « Le système est privé, géré dans le seul but de maximiser les profits possibles grâce à l’argent d’autrui, au bénéfice des actionnaires et de leurs alliés. » Et Ben Bernanke, en 2002, a avoué que la Fed avait causé la Grande Dépression : « En ce qui concerne la Grande Dépression… nous l’avons provoquée. Nous en sommes profondément désolés… » Promis, on ne recommencera pas. Sauf qu’ils ont recommencé, oops !
Crozier l’a résumé : « l’esclavage par la dette est pire qu’un fouet. Chaque enfant naît avec une hypothèque à vie ». Charmant, non ? La solution ? Se réveiller et viser le cœur du problème : le système bancaire et la finance criminelle. Oubliez les chemtrails et la 5G, c’est la monnaie qui nous enchaîne !
La vraie démocratie : un conte de fées oublié
Tout le monde connaît le mot « démocratie » : le pouvoir du peuple, bla bla bla. L’article 1 de la Constitution italienne claironne : « la souveraineté appartient au peuple ». Parait que c'est la même chose dans la Constitution de chez nous. Sauf que, surprise, cette belle promesse ne correspond pas à la réalité ! Le pouvoir, avec ses tours de programmation neurolinguistique, manipule les masses en leur faisant croire qu’elles sont libres de consommer l’argent de la BCE. Merci, Freud, d’avoir appris aux entreprises comment nous laver le cerveau avec des pubs !
Dans un système où la richesse se mesure en argent et en PIB, celui qui contrôle la monnaie contrôle tout. D’où la mort de la démocratie représentative avec l’usurpation de la souveraineté monétaire. En Italie, le gouvernement Forlani et le ministre Andreatta (le prof de Prodi, rien que ça) ont scellé le sort de la Banque d’Italie en 1981 en la séparant du Trésor. Privatisation réussie, peuple floué !
Mais la Constitution italienne, ce bout de papier si charmant, dit que « la souveraineté appartient au peuple » (y compris monétaire, bien sûr) et que « la République encourage et protège l’épargne sous toutes ses formes ; discipline, coordonne et contrôle l’exercice du crédit » (art. 47). Sauf que l’article 105/A du Traité de Maastricht donne à la BCE le droit exclusif d’émettre des billets. Oups, souveraineté volée ! La Banque d’Italie et la BCE ? Des sociétés privées, hors de contrôle du peuple. Quelle blague !
Il y a même des précédents juridiques pour pimenter l’histoire. En 2005, la Banque d’Italie a été condamnée à rembourser 87 euros à un citoyen pour le seigneuriage. Mais en 2006, la Cour suprême a dit : « Nope, l’État fait ce qu’il veut en matière monétaire, circulez ! » Les citoyens européens sont « libres » de dépenser de l’argent-dette créé de toutes pièces par des banquiers. Génial, non ?
Ce système est virtuel, comme un jeu vidéo. L’argent n’existe que dans des ordinateurs, sans or pour le garantir. Grâce à la réserve fractionnaire, les banques prêtent de l’argent qui n’existe pas, endettant les États et les citoyens. Un exemple ? Vous déposez 100 euros, la banque prête 92 euros à quelqu’un d’autre tout en affichant toujours 100 euros sur votre compte. Magie ! Cet argent fictif sert à corrompre les politiciens, financer les guerres et soutenir les copains des banquiers. Démocratie ? Quelle démocratie ?
Mais il y a mieux ailleurs ! Au Brésil, les citoyens décident de 25 % du budget municipal. Aux US, ils virent les élus corrompus. En Suisse, les référendums fonctionnent vraiment. En Italie ? On a un quorum de 50 % + 1 pour les référendums, une blague mondiale ! Une vraie démocratie donnerait au peuple sa propre monnaie via une banque publique, des primaires ouvertes, et des lois rédigées par les citoyens. Mais non, on préfère déléguer et se plaindre.
Henry Ford l’avait prédit : « Il est heureux que les gens ne comprennent pas le fonctionnement de notre système bancaire et monétaire, car s’ils le comprenaient, je crois qu’il y aurait une révolution avant demain matin. » Réveillez-vous, les amis, ou continuez à liker des vidéos de chatons maladroits !
Vivre dans un sort : bienvenue dans Matrix
Vous avez vu Matrix ? Les machines élèvent les humains pour voler leur énergie, tout en leur faisant croire qu’ils vivent dans un monde réel. Remplacez les machines par des banquiers, et vous avez notre réalité !
La monnaie-dette, créée par la réserve fractionnaire, est le programme virtuel qui nous enchaîne. Les gouvernements, au service des banquiers, contrôlent l’information, les écoles, les universités, pour produire des moutons bien dociles.
Dès 1951, Carl Schmitt voyait venir le Nouvel Ordre Mondial avec l’ONU, un projet de turbo-capitalisme et de monnaie unique. Aujourd’hui, on a des codes-barres partout, ÉCHELON qui espionne tout, et bientôt des puces sous-cutanées et une monnaie électronique avec MONDEX. Créé par les banquiers de Natwest/Coutts, la banque de la famille royale britannique, bien sûr ! Giulio Setti, en 1997, parlait d’un « gouvernement occulte » avec Thatcher, Bush et la CIA, visant un gouvernement mondial de banquiers. Complots farfelus ? Peut-être, mais l’Irlande a bien rejeté le traité de Lisbonne, seul peuple à avoir eu son mot à dire. Mais bon, ils les ont fait revoter jusqu'à obtenir le résultat souhaité...
La BCE, le FMI, la Banque mondiale ? Des machines à endetter les pauvres pour les profits des riches. Les élites ont vendu le peuple à des sociétés privées, et on appelle ça la « démocratie ». Réveillez-vous, ou restez dans la matrice !
L’esclavage économique, seul objectif de l’élite
Pourquoi nous prête-t-on « notre » argent avec des intérêts ? Si c’est à nous, pourquoi payer pour l’utiliser ? La Fed et la BCE, ces sociétés privées, contrôlent la monnaie et donc le monde. Les parlements ? Des décorations inutiles. La richesse se mesure en dette, et les citoyens triment pour rembourser.
Le seigneuriage ? La différence entre la valeur nominale d’un billet (100 euros) et son coût d’impression (3 centimes). La BCE demande des intérêts sur cette monnaie qu’elle crée de rien. Depuis l’abandon de l’étalon-or, c’est open bar pour les banquiers. Et avec la réserve fractionnaire (8 % selon Bâle II), ils prêtent de l’argent fictif, créant inflation et dettes. La Banque d’Italie ? Privée à 95 %. La France ? Pareil depuis la loi Pompidou-Rothschild de 1973. Même la Banque d’Angleterre touche sa part du seigneuriage de l’euro sans l’utiliser. Bravo !
Une juge de Lecce a condamné la Banque d’Italie à rembourser 87 euros à un citoyen, mais la Cour suprême a vite remis les pendules à l’heure : l’État est intouchable. Les Occidentaux triment pour acheter de l’argent-dette, pendant que les banquiers sirotent des cocktails. Mais si le peuple se souvenait qu’il est souverain, il pourrait créer une banque publique et imprimer sa propre monnaie. Les lois actuelles ? Une violation de la Constitution. Libérez-vous, ou restez esclaves !
Les CBDC/MNBC ou Monnaies Numériques de Banque Centrale
Et maintenant, le clou du spectacle : les CBDC, ces monnaies numériques qui vont ficher votre vie entière. Lors des réunions du printemps 2023 du FMI, la Central Bank Digital Currency Authority (DCMA, quel nom pompeux !) a annoncé le lancement d’une monnaie numérique de banque centrale internationale (CBDC/MNBC), l’Unité Monétaire Universelle (UMU, ou Ü pour les intimes). Un bien monétaire juridiquement contraignant, échangeable contre n’importe quelle monnaie légale, qui renforce la souveraineté des banques centrales (tu parles d’une souveraineté !) et protège l’intégrité financière des banquiers. Youpi !
Les risques des CBDC ? Les médias alternatifs en parlent depuis des années, et pour cause ! Ces monnaies, cousines du bitcoin mais contrôlées par les banques centrales, sont une menace dont on nous avertit depuis plus d’une décennie. Dans une société sans cash, tout ce que vous achetez, vendez ou faites sera tracé. Fini l’anonymat, bonjour la surveillance ! Mangez trop de steak ? Le gouvernement, dans sa grande sagesse, pourrait décider que c’est un « danger pour la santé » et un « risque climatique » à cause des vaches. Résultat ? Une taxe carbone rétroactive sur vos achats de viande, et votre assurance santé vous lâche pour « risque médical élevé ». Trop mignon !
Les récidivistes devront suivre un stage de sensibilisation – à leurs frais, bien sûr ! Avec les CBDC, n’importe quel bureaucrate peut bloquer vos achats ou vous forcer à en faire certains. Votre historique d’achats ? Un profil psychologique pour calculer votre « crédit social », comme soi-disant en Chine.
Refusez un vaccin obligatoire ? L’algorithme le remarque, et paf, votre crédit social s’effondre. Adieu les lieux publics, voire votre job ! Et le pire ? Votre argent ne vous appartient plus et il s'auto-détruit avec le temps. Les gouvernements peuvent bloquer vos transactions à tout moment. Postez un tweet anti-système ? Compte gelé jusqu’à ce que vous vous soumettiez… ou que vous creviez. Bienvenue dans l’oppression technocratique !
Les banques centrales avancent à toute vitesse pour imposer ces CBDC. Ce ne sont pas des expériences, mais des systèmes prêts à l’emploi. La Fed lance son programme « FedNow » en juillet, un tremplin vers les CBDC.
Et la BRI, la « banque centrale des banques centrales », est en première ligne avec son Projet Icebreaker (Brise-glace, quel nom badass !). Ce projet ? Une chambre de compensation pour les CBDC de détail, permettant des échanges rapides entre pays. Le Icebreaker Hub, contrôlé par la BRI, connecte les banques pour faciliter les transactions. Ça ressemble à SWIFT, mais en plus flippant. Plus de 10 000 institutions dans 212 pays utilisent SWIFT, et on a vu comment la Russie en a été exclue pour juste s'être défendue. Avec Icebreaker, c’est pareil, mais en pire.
Imaginez : vous dirigez une entreprise qui commerce avec le Vietnam. Avec les CBDC, vous dépendez du Icebreaker Hub. Si la BRI ne vous aime pas, sanctions ! Votre boîte coule. Et si la BRI impose des normes environnementales pour utiliser son hub ? Vous devrez jouer les écolos zélés ou dire adieu au commerce international. La BRI pourrait manipuler les tendances sociales en forçant des millions d’entreprises à obéir. Charmant !
Mais attendez, ça devient encore plus savoureux. Icebreaker utilise une « monnaie relais » pour combler les écarts de change. Une solution astucieuse ? Peut-être. Mais imaginez une crise financière mondiale : le dollar perd son statut de réserve, le marché des changes (7 500 milliards par jour) panique, l’inflation explose. Les banquiers, en bons sauveurs, poussent les CBDC comme solution. La BRI devient l’intermédiaire de toutes les transactions internationales via Icebreaker. Mais, oups, aucune monnaie n’est assez stable pour servir de relais…
Pas de panique ! La BRI et le FMI ont leur propre CBDC mondiale, basée sur les Droits de Tirage Spéciaux (DTS). Cette monnaie unique devient le pilier du commerce mondial. Et là, les banquiers posent la question fatale : « Pourquoi vous faire chier avec des monnaies nationales quand on a une CBDC mondiale parfaite ? » Hop, centralisation totale ! Adieu les nations, bonjour le gouvernement mondial !
Ce cauchemar, c’est Icebreaker : un projet innocent en apparence, mais l’ADN de la tyrannie économique.
Le gouvernement mondial sera leur prochaine et dernière étape.
On voit le cauchemar se dérouler lorsqu'on voit des projets comme Icebreaker. Apparemment innocents, ils constituent pourtant l'ADN de la tyrannie économique.
La solution ?
L’or, l’argent, les échanges physiques. Tout sauf leurs portails numériques. Comme le disait Henry Ford : « Il est heureux que les gens ne comprennent pas le fonctionnement de notre système bancaire et monétaire, car s’ils le comprenaient, je crois qu’il y aurait une révolution avant demain matin. »