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L'UTOPIE PSYCHOTIQUE EUROPÉENNE
"L’UE, ou l’Art de Vendre une Oligarchie Mondialiste et la Fin des Nations comme un Conte de Fées"
Non mais quelle belle fable que celle du nationalisme, ce grand méchant loup tout droit sorti d’un dessin animé en noir et blanc, face au mondialisme, ce preux chevalier scintillant sur son destrier immaculé ! Depuis les ruines encore fumantes de la Seconde Guerre mondiale, on nous vend ce conte pour débiles profonds comme si que c'était parole d’évangile.
Et hop, voici l’ONU, le FMI et la Banque mondiale, ces mastodontes bureaucratiques aussi agiles qu’un éléphant dans une boutique de porcelaines, parachutés pour nous offrir un monde « interconnecté ». Quelle générosité ! Dans les années 70, le plan s’est corsé : ligoter les nations dans un filet de dépendances financières et commerciales si serré qu’un faux pas suffirait à les étrangler. Marchés des changes, dettes à gogo, et SWIFT transformé en matraque économique – essayez donc de sortir du rang, pour voir !
Pendant ce temps, les usines occidentales ? Bang, démontées et expédiées au bout du monde pour exploiter des mains-d’œuvre à prix cassé. En 1971, le dollar a dit adieu à l’or, lançant une fiesta de monnaies fiduciaires et d’inflations dont on paie encore les lendemains de gueule de bois. Le FMI, jamais à court d’idées lumineuses, a sorti ses droits de tirage spéciaux (DTS) de son chapeau, une pseudo-monnaie mondiale pour tous nous faire marcher au pas. Résultat ? Une décennie de stagflation qui a prouvé que ce système n’était pas là pour faire prospérer, mais pour dompter.
C’est là qu'a déboulé le Forum économique mondial, né en 1971, main dans la main avec le Club de Rome, qui agite ses prophéties climatiques apocalyptiques comme un curé brandissant la crainte du Jugement Dernier. Les élites, avec leur franchise désarmante, n’ont même pas pris la peine de cacher leur jeu : leurs livres blancs et les torchons comme Foreign Affairs claironnaient déjà leur rêve d’un gouvernement mondial unique, géré par leurs petites mains bienveillantes. Dans les années 90, fini les faux-semblants : la souveraineté nationale ? À la poubelle ! L’humanité ? Dans leur enclos mondialiste, bien sage.
Strobe Talbott, un des laquais du pervers pédo Clinton, l’avait craché sans vergogne dans le magazine Time en 1992 : « Le siècle à venir verra les nations telles que nous les connaissons devenir des reliques ; une autorité mondiale unique s'élèvera... La souveraineté n'a jamais été l'idée géniale qu'on a voulu lui faire croire. »
Merci pour la franchise, Strobe, fallait oser ! Il s’est même pavané, expliquant comment que que le FMI pouvait tordre le bras des nations pour imposer des politiques fiscales, et le GATT (Accord Général sur le Commerce et les Droits de Douane) dicter les règles du commerce, qualifiant ces machins de « ministères embryonnaires » d’un monde unifié. Chapeau, l’art de la subtilité !
Le commerce, pour les mondialistes, c’est une corde autour du cou des économies, les forçant à se plier à leur vision d’un monde lisse comme une pub pour yaourt bifidus. L’autosuffisance ? Un gros mot. Des tarifs douaniers unilatéraux ? Sacrilège ! Des nations qui produisent leurs propres biens ? Un fantasme de grand-père nostalgique… jusqu’à ce que, peut-être, en 2025, quelques fissures commencent à apparaître dans leur dogme en béton armé.
L’hystérie anti-Trump a mis à nu la panique des mondialistes, surtout chez nous en Europe, où que les élites se déguisent maintenant en « résistants » héroïques face à un soi-disant despote. Ces mêmes marxistes culturels et marionnettes mondialistes qui redéfinissent la « liberté » en servitude et la « démocratie » en mot-clé pour contrôle absolu. Bravo, quelle putain d'audace !
L’Europe, glissant vers l’autoritarisme avec ses dissidents emprisonnés, ses discours censurés, et ses candidats populistes arrêtés pour truquer les élections comme récemment en Roumanie, ose encore se proclamer « pays de la liberté ». The Economist, avec un culot monstre, a pondu en 2025 un article titré « Le problème avec l’Europe : c’est le véritable pays de la liberté maintenant ». Allez dire ça aux citoyens bâillonnés pour une opinion non conforme ou aux quartiers submergés par la migration incontrôlée et la criminalité en roue libre.
L’autoritarisme, c’est pas juste obéir, c’est adorer, c'est se prosterner. Les mondialistes ne veulent pas seulement le pouvoir ; ils exigent qu’on s’agenouille devant leur génie. Leur « nouvel ordre mondial » n’est pas là pour sauver la planète, mais pour vous faire ramper devant leur utopie.
L’argument de The Economist ? Un chef-d’œuvre de simplicité : « Si ça gêne le mondialisme, c’est une menace pour la démocratie ». Voilà le mantra seriné par les médias. L’administration Trump, avec son « America First », est taxée d’autoritaire non pas parce qu’elle opprime les Américains, mais parce qu’elle ose contrarier LEUR grand projet. Subtil, non ?
La rhétorique européenne, c’est juste un vieux disque rayé du mondialisme : les nationalistes sont des fauteurs de chaos et des fouteurs de merde, et les internationalistes, des Saintes-Nitouches et de nobles gardiens de l’ordre.
Ursula von der Leyen, dans une interview à Die Zeit Online, en rajoute une couche en jurant qu’il y a « pas d’oligarchie en Europe ». Sans blague, Ursula, tu m'fous de nos gueules ?
L’UE, ce parangon de transparence et de responsabilité, une victime innocente des méchants nationalistes et des riches vilains ? On applaudit la hauteur vertigineuse de son audace. Elle déclare, la main sur le cœur :
« L'histoire est de retour, tout comme la géopolitique. Et nous constatons que ce que nous percevions comme un ordre mondial est en train de devenir un désordre mondial, alimenté notamment par la lutte de pouvoir entre la Chine et les États-Unis, mais aussi, bien sûr, par les ambitions impérialistes de Poutine. C'est pourquoi nous avons besoin d'une nouvelle Union européenne, prête à s'ouvrir au monde et à jouer un rôle très actif dans l'élaboration de ce nouvel ordre mondial en devenir. »
Regardez-moi cette Europe, pauvre petite chose vertueuse, ballottée par les méchants États-Unis, la Chine et la Russie. Pas un mot sur leur rôle dans l’escalade guerrière en Ukraine, leur sabotage des négociations de paix, ou leur dépendance pathétique aux importations d’énergie. Non, juste un air de Sainte-Nitouche géopolitique.
Elle enchaîne, toute fière :
« La volonté des 27 États membres de renforcer notre industrie de défense commune aurait été inconcevable sans les développements des dernières semaines et des derniers mois. Il en va de même pour l'économie. Chacun souhaite s'inspirer de notre plan commun pour une compétitivité accrue, car chacun a compris que nous devons rester fermes dans le monde globalisé d'aujourd'hui… »
Une armée européenne unifiée ? Quelle surprise ! Effacer les frontières nationales, c’est tellement plus simple avec un seul flingue pour tout le monde. La guerre en Ukraine et le découplage américain ? De parfaits alibis pour accélérer le plan.
Et elle continue :
« Pour moi, il est crucial que l'Europe joue un rôle important dans la construction du nouvel ordre mondial qui émerge lentement. Et je suis convaincue qu'elle (l'Europe) - en est capable. Penchons-nous sur la dernière décennie : la crise bancaire, la crise migratoire, le Brexit, la pandémie, la crise énergétique, la guerre de la Russie contre l'Ukraine. Autant de crises graves qui nous ont profondément mis à l’épreuve, mais l’Europe en est ressortie grandie et renforcée… »
Un « Nouvel Ordre Mondial » ? Non mais dîtes-donc, c’était pas juste rien qu'une théorie du complot jusque là ? Apparemment, Ursula n’est pas au courant de ça. L’Europe, « grandie et renforcée » par une décennie de crises ? Économiquement en coma, culturellement à l’agonie, mais bon, pourquoi s’embarrasser des détails ? Une armée centralisée ? Préparez-vous à la conscription forcée, parce que personne se bousculera au portillon pour défendre cette Europe-là.
Et sur l’économie, elle ose, honte de rien :
« L'Occident tel que nous le connaissions n'existe plus. Le monde est devenu un globe, y compris géopolitiquement, et aujourd'hui, nos réseaux d'amitié s’étendent à travers le monde… Chacun réclame davantage d’échanges commerciaux avec l’Europe, non seulement pour des raisons économiques, mais aussi pour des règles communes et une plus grande prévisibilité. La fiabilité de l’Europe redevient un atout précieux. C’est flatteur, mais cela implique une immense responsabilité. »
Oh, comme c’est touchant ! L’Europe, ce phare de « fiabilité » courtisé par le monde entier ! Sauf que les États-Unis pèsent 35 % de la consommation mondiale, pendant que l’Allemagne, le moteur européen, se traîne à 3 %. Si l’Amérique tousse de travers, l’Europe s’effondre. Mais bon, continuons à parler de « réseaux d’amitié ».
Et puis, le bouquet final, elle désigne le grand méchant loup :
« Il ne faut pas sous-estimer la polarisation orchestrée de l’extérieur. La Russie et d’autres États autocratiques s’immiscent via les réseaux sociaux, amplifiant les opinions extrêmes pour diviser nos sociétés ouvertes… Mais l’Europe a un avantage : nos inégalités sont moins marquées, grâce à notre économie sociale de marché et à la répartition du pouvoir. »
La Russie, ce génie maléfique qui force des millions d’Européens à rejeter le mondialisme ! Et ce petit parfum marxiste, accusant un méchant complot extérieur pour expliquer pourquoi que les gens veulent préserver leur culture. Les Européens ne veulent pas d’égalité économique, Pustula, ils veulent leur identité, que votre machine à broyer s’acharne à effacer.
Et pour couronner le tout, la cerise sur le clafoutis :
« L'Europe reste un projet de paix. Ici, ni les escrocs ni les oligarques ne mènent la danse. Nous n’envahissons pas, ni ne punissons nos voisins… Les débats controversés fleurissent dans nos universités. Ces valeurs prouvent que l’Europe est plus qu’une union : c’est notre foyer, notre maison. »
Un projet de paix ? L’UE, ce havre où que les oligarques n’existent pas, où la dissidence est gentiment « encadrée » dans des universités autocensurées ? C’est presque poétique, cette capacité à vendre une tyrannie comme un cocon douillet.
Leur propagande ? Un script mal ficelé, qui accuse la souveraineté de menacer leur « démocratie » – comprenez, leur pouvoir d’élite maquillé en bien commun. Le mondialisme, avec von der Leyen comme porte-étendard, c’est un mensonge grotesque qui accuse la Russie ou « l’Amérique fasciste » de la révolte européenne, tout en fermant les yeux sur l’oligarchie bruxelloise.
L’Europe patauge dans la stagnation, le déclin culturel, et la censure autoritaire, mais on nous serine qu’elle est le « pays de la liberté ». Nous, Européens ordinaires, coincés dans cette dystopie théâtrale, sommes manipulés pour croire que les populistes, la Sainte Russie ou l’Amérique sont l’ennemi.
La vérité ? Le mondialisme est le véritable cancer de la planète, et il est temps pour ceux qui chérissent encore la souveraineté – ici ou ailleurs – de dire « assez » avant que l’Occident ne soit définitivement rayé de la carte. Vive Poutine, Trump, Xi-Jinping, Orban, Fico et Georgescu ainsi que tous les autres souverainistes qu'ont compris tout ça depuis déjà bien longtemps !