Bienvenue, curieux voyageur

Avant que vous ne commenciez à rentrer dans les arcanes de mes neurones et sauf si vous êtes blindés de verre sécurit, je pense qu'il serait souhaitable de faire un petit détour préalable par le traité établissant la constitution de ce Blog. Pour ce faire, veuillez cliquer là, oui là!

20 févr. 2025

1016. "Social-mondialisme : l’utopie parfaite, tueuse de civilisation

 

(On Web version, use BlogTranslator dropdown menu on top-right of this post to read it in your language)

SOCIALO-MONDIALISME : L'UTOPIE PARFAITE TUEUSE DE CIVILISATIONS (mais qui fait rêver les cons comme les fachos hypocrites)
Comment affronter et démanteler la logique, le langage et la moralité du Socialo-Mondialisme

Putain, le socialisme, cette belle utopie où que tout le monde est censé kiffer la vie en mode "partage équitable" et "propriété collective". Un rêve de bisounours, quoi. Sauf que, dans les faits, c’est plutôt un cauchemar où tout le monde trime pour que personne ne possède plus rien. L’histoire nous a montré que ce système, c’est un peu comme un parasite : il bouffe tout sur son passage jusqu’à ce qu’il crève d’inefficacité et d’oppression. Regardez l’URSS, par exemple : une superpuissance devenue un gros flop économique. Mais bon, y’a toujours des gourous modernes – politiciens, célébrités et autres riches hypocrites – pour nous vendre leur soupe socialiste. Ils ignorent allègrement les charniers et les désastres économiques, tout en poussant leur agenda. Pourquoi ? Parce que ça les arrange ! Et si jamais ils réussissent, on se retrouvera avec une civilisation en ruines, mais au moins on aura eu droit à leur "progrès" bienveillant de merde.

Le socialisme, c’est pas juste une erreur, c’est un suicide collectif. Et le pire, c’est que c’est une idéologie qui se déguise en "compassion" alors qu’elle est juste là pour contrôler et opprimer. Le capitalisme, lui, c’est l’inverse : c’est organique, ça part des échanges entre les gens, et ça évolue naturellement. Le socialisme, c’est une construction intellectuelle imposée par la force, un peu comme un architecte qui te force à vivre dans une maison qui s’écroule. Et attention, le conflit entre capitalisme et socialisme, c’est pas juste une question d’économie, c’est une guerre politique. Le capitalisme, c’est la liberté individuelle, tandis que le socialisme, c’est le contrôle total. Et devinez quoi ? Le socialisme finit toujours en dictature, parce que pour maintenir ce système, faut être prêt à écraser les gens.

Les socialos adorent jouer avec les mots : "égalité" devient "uniformité", "équité" devient "confiscation", et "justice" devient "vengeance". Mais même avec des arguments en béton, ça suffit pas, parce que le socialisme, c’est une religion. La foi l’emporte sur la raison, et c’est ça qui le rend si dangereux. On se retrouve à combattre une bête à trois têtes : la logique tordue du socialisme, le langage manipulé qui le soutient, et la morale sombre qui justifie la coercition. Et chaque tête doit être décapitée si on veut s’en sortir.

Le socialisme, c’est aussi une machine à fabriquer de l’inégalité. Même en prétendant vouloir l’égalité, ça finit toujours par créer des despotes et des privilégiés. Et quand ça commence à s’effondrer, les socialistes redéfinissent leur idéologie pour la faire passer pour une version "modérée" du libéralisme. Mais c’est du flan. Les pays scandinaves, souvent cités comme des modèles socialistes, sont en réalité des États libéraux avec une fiscalité élevée et une meilleure efficacité gouvernementale. Rien à voir avec le socialisme pur et dur.

En fin de compte, le socialisme, c’est une idéologie de la stagnation. Il n’inspire pas, il ne fait que maintenir le statu quo. Et c’est là que le capitalisme et la liberté brillent : ils nous poussent à grandir, à explorer, à innover. Notre destinée, c’est pas de végéter dans un système qui nous contrôle, c’est de viser les étoiles, de chercher l’immortalité et de repousser les limites de ce qui est possible. Alors, oui, le socialisme, c’est peut-être séduisant sur le papier, mais dans la réalité, c’est un piège à cons. Et nous, on a mieux à foutre que de se laisser enfermer dedans.