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LE GRAND CIRQUE DES VA-T-EN GUERRE
D'abord, pourquoi Donald Trump a exclu l’UE des négociations sur l'Ukraine ou comment Trump joue au poker avec Poutine en laissant l’UE dans les chiottes turques et sans pécu)
Tout ça, c'est excellent, du grand Trump… Mais pourquoi-t-est-ce donc ?
Parce que, amigos, le grand magicien de l’America First a décidé que l’Europe, c’était trop compliqué pour lui. Trop de pays, trop d’acronymes, trop de fromages qui puent du cul à se faire sodomiser en continu et trop de vaccins qui tuent. Alors il a fait ce que tout bon businessman ferait : il a viré l’UE de la table de négociation. Pourquoi ? Parce que les marionnettes européennes, ces championnes de la bureaucratie et de la corruption, sont enfin démasquées. Trump, dans sa grande générosité, ne fait que les exposer à la lumière crue de la réalité. Et quelle réalité ! Des détournements d’argent à faire rougir un banquier suisse, une guerre en Ukraine qui ressemble à un mauvais scénario de Netflix, et des peuples européens qui s’appauvrissent plus vite qu’un compte en banque grec. Bravo les artistes !
Trump, le héros que personne n’a demandé
Donald Trump, dans une interview mémorable sur CNN, a déclaré : "Ce sera juste moi et Poutine, comme dans un film d’action des années 80. Les Européens ? Non merci, ils ne sont pas invités à la fête. Si l’Europe a un problème avec ça, qu’elle se débrouille toute seule. La Russie ? Qu’elle les bouffe tous crus !" (traduction libre). Pourquoi exclure l’UE ? Parce que, selon Trump, les représentants européens ne savent faire qu’une chose : prolonger les conflits pour cacher leur incompétence légendaire. "Je ne négocie pas avec des gens qui veulent juste vendre des armes et faire durer le suspense. Moi, je veux la paix. Un mot qui, apparemment, est interdit dans le dictionnaire européen."
Les va-t-en-guerre de salon en panique
Et voilà, les petits soldats de l’UE sont maintenant coincés. Macron, Zelensky, Von der Leyen et toute la bande sont en train de réaliser que leur jeu de guerre virtuel vient de se transformer en cauchemar bien réel. Ils voulaient jouer les durs avec la Russie, mais maintenant que Trump leur a retiré le parapluie américain, ils sont là, comme des bambins perdus dans un supermarché. La réunion de crise organisée par Macron ? Une séance de brainstorming pour savoir comment éviter de se faire écraser par Poutine. Leur seul allié ? La Grande-Bretagne. Oui, celle-là même qu'a claqué la porte de l’UE en disant "Bye, les gars !". Ironique, non ?
Analyse de la pensée de Trump (ou comment survivre à un ego surdimensionné)
1. Priorité à la paix : Trump veut la paix, mais uniquement si c’est lui qui la signe. Les Européens ? Trop compliqués, trop grandes gueules, rien dans le slip,
2. Critique de l’UE : Pour lui, l’UE est un cirque où les clowns sont payés en euros et en dettes.
3. Refus de la guerre prolongée : Trump veut pas financer une baston qui rapporte rien à l’Amérique. "Business is business".
4. Méfiance envers les alliances : L’OTAN ? Trop chère. L’UE ? Trop bruyante. Poutine ? Au moins, il est droit dans ses bottes.
Réactions possibles des Européens (ou comment improviser quand tout part en vrille)
1.Autonomie stratégique : Traduisez : "On va essayer de faire sans les États-Unis, mais on a peur."
2. Dialogue avec les USA : "S’il vous plaît, Donald, revenez ! On vous promet qu’on sera sages."
3. Négocier avec la Russie : "Bonjour Vladimir, c’est nous, les Européens. On vient en paix… enfin, presque."
4. Dénoncer Trump : "Il est vilain, il nous critique, c’est pas juste !"
5. Renforcer les alliances : "Hey, le Canada, tu veux être notre nouveau meilleur ami ?"
Réactions possibles de la Russie (ou comment que Poutine rigole dans sa barbe)
1. Diviser pour mieux régner : Poutine adore voir l’Europe et les USA se chamailler.
2. Négocier avec Trump : "Enfin un Américain qui parle cash !"
3. Isoler l’UE : "L’Europe ? C’est qui déjà ?"
4. Profiter du désengagement américain : "Tant pis pour eux, on prend l’Ukraine et on verra après."
5. Préparer des contre-mesures : "Si l’UE devient trop forte, on envoie les hackers."
Conclusion (ou comment que tout peut encore empirer)
Trump a jeté un pavé dans la mare géopolitique, et maintenant tout le monde patauge. L’Europe doit choisir : se réveiller et prendre son destin en main, ou continuer à jouer les figurants dans le grand spectacle de la politique mondiale. Quant à la Russie, elle se frotte les mains en attendant de voir qui fera la prochaine erreur. Et si jamais un dirigeant européen décide de lancer une fausse attaque pour relancer la machine de guerre… eh bien, ce sera la cerise sur le gâteau de l’absurdité.
Trump exclut l’UE, Poutine rigole, l’Europe panique, et tout le monde se demande comment on en est arrivé là. Bienvenue dans le monde merveilleux de la géopolitique !
Paris 17/02/2025: Quand les Dirigeants Européens Jouent aux Cons… et Perdent"
Alors que Macron et sa bande de joyeux lurons européens s’agitent comme des poulets sans tête pour organiser un sommet qui promet d’être historique (ou historiquement ridicule, c’est selon), on peut s’empêcher de se demander s’ils ont déjà réussi à monter une tente sans se prendre les pieds dedans. Ces dirigeants, empêtrés dans leurs contradictions comme un chat dans une house de couette, essaient désespérément de se donner un air sérieux en organisant des réunions qui ressemblent plus à des épisodes de Koh-Lanta qu’à de la diplomatie. Mais attention, gravir une montagne, ça s’improvise pas, surtout quand on a oublié les crampons et qu’on part avec une boussole cassée. Leur sommet tant vanté ? Une chute libre en direct, avec un public hilare.
Macron, Ursula von der Leyen et les autres marionnettes de l’OTAN continuent de jouer leur pièce de théâtre, mais on dirait qu’ils ont oublié leur texte. Leur obsession à vouloir contrer Donald Trump, tout en jouant les durs avec la Russie, est d’une naïveté à faire pleurer un gosse de maternelle. Ils multiplient les déclarations grandiloquentes, mais le résultat est toujours le même : l’Europe s’effrite, se divise et perd toute crédibilité, comme un château de cartes dans un courant d’air.
Ces dirigeants, aveuglés par leur arrogance et leur amour-propre démesuré, réalisent même pas qu’ils sont devenus la risée du monde entier. Leur gestion des crises ? Un mélange de The Office et de Veep. Leur hypocrisie ? Tellement flagrante qu’elle pourrait éclairer une ville entière. Pendant des années, ils ont piétiné les accords de Minsk, menti à leurs citoyens avec un aplomb digne d’un magicien, et armé l’Ukraine en cachette, tout en se présentant comme les chevaliers blancs immaculés de la paix. Résultat ? L’Europe est en pleine déroute, et ils ont personne à blâmer… si ce n’est eux-mêmes. Bravo, les champions.
Et maintenant, ils osent parler d’invasion russe ? Combien de pays ont-ils eux-mêmes envahi, combien de nations ont-ils détruit sous prétexte de "démocratie" et de "liberté" ? Leur hypocrisie atteint des sommets stratosphériques. Ils veulent jouer les justiciers, mais ils ressemblent plutôt à des gamins qui jouent à la guerre dans un bac à sable.
Nos dirigeants, ces bouffons en costume-cravate, veulent la guerre. Pas les peuples. Nous, on veut juste être entendus et libres, pas servir de figurants dans leur film catastrophe. Bravo à Trump, d’ailleurs : il représente un espoir… enfin, si on aime les reality shows géopolitiques. Débarrassons-nous de ces technocrates de l’UE, incompétents et déconnectés des réalités. On arrive aux limites du système ; il est temps de faire un reset politique avant que tout ne parte en vrille.
Macron et ses comparses devraient peut-être se regarder dans un miroir avant de donner des leçons. Leur sommet, s’il a lieu, ne sera qu’un nouvel épisode de leur sitcom grotesque. Ils continuent de dégringoler la pente, et nous, on se régale à les voir s’enfoncer. Allez-y, messieurs-dames, continuez comme ça : vous êtes sur la bonne voie pour mordre la poussière. Et cette fois, personne ne sera là pour vous relever. On aura juste le popcorn et une chaise pour profiter du spectacle.